jeune bourgeon
L’émerveillement n’attendait pas. Esther bien trop excitée par cette soudaine idée qui avait fleuri dans son esprit (et c’était le cas de le dire). C’était le résultat d’une légère dépense qui avait fait un joli trou dans son porte-monnaie d’origine que très peu garnie, mais la simple pensée d’imaginer les sourires d’autrui avait arrivé à faire disparaître cette faible tristesse de son esprit. Des paquets de graines de fleurs de plusieurs couleurs, Esther qui avait partagé son idée la veille pour simplement savoir, si d’autres personnes pouvaient être intéressées par l’embellissement d’une vie.
Elle c’était alors levée bien tôt, comme si Esther Damon allait réaliser un des méfaits les plus atroces, qui nécessitait donc une discrétion sans nom. Son sac de sport des plus remplis, bien lourd pour son petit gabarit, mais ce matin rien ne l’arrêterait. Sauf peut-être de tomber nez à nez face à signe d’autorité, mais là, mit à par croiser les doigts le plus fort possible pour ne pas être arrêtée, elle ne pouvait semblablement, rien n’y faire.
Heureusement pour elle, le voyage jusqu’au première étage se fit sans encombre. La salle commune plongé dans un silence qui l’effrayerait presque, parce qu’Esther n’avait rien de très courageux dans sa personne, même si par moment, elle essayait de se convaincre du contraire. Personne n’était arrivée avant elle, une légère crainte qu’aucune personne n’est eu le courage de se lever aux aurores afin de planter des fleurs. Mais malgré toute son appréhension, Esther avait confiance en sa maison. Alors elle s’assit simplement sur un canapé, son sac posé sur la table devant elle.
Elle attendrait une dizaine de minutes, et si personne n’arrivait, tant pis.
Elle serait la seule à décorer la salle de magnifique fleur.
Elle c’était alors levée bien tôt, comme si Esther Damon allait réaliser un des méfaits les plus atroces, qui nécessitait donc une discrétion sans nom. Son sac de sport des plus remplis, bien lourd pour son petit gabarit, mais ce matin rien ne l’arrêterait. Sauf peut-être de tomber nez à nez face à signe d’autorité, mais là, mit à par croiser les doigts le plus fort possible pour ne pas être arrêtée, elle ne pouvait semblablement, rien n’y faire.
Heureusement pour elle, le voyage jusqu’au première étage se fit sans encombre. La salle commune plongé dans un silence qui l’effrayerait presque, parce qu’Esther n’avait rien de très courageux dans sa personne, même si par moment, elle essayait de se convaincre du contraire. Personne n’était arrivée avant elle, une légère crainte qu’aucune personne n’est eu le courage de se lever aux aurores afin de planter des fleurs. Mais malgré toute son appréhension, Esther avait confiance en sa maison. Alors elle s’assit simplement sur un canapé, son sac posé sur la table devant elle.
Elle attendrait une dizaine de minutes, et si personne n’arrivait, tant pis.
Elle serait la seule à décorer la salle de magnifique fleur.