Prénom(s) et nom — Jordan Zuri Kiele Surnom(s) — Jojo (elle aime pas mais bon), Jordy, Zuzu, Kiki. C'est au choix ! Âge — 16 ans (17 le le 17 décembre 2028) Orientation sexuelle — Homosexuelle Origine — Hawaïenne Sang — Sang-mêlé (sang-pur si son père ne s’était pas marié à une sang mêlée, noire qui plus est) Particularité — maudite de niveau 1 : toutes les vulgarités qu'elle prononce sont changées en un mot similaire (merde/merle) (oe ok j'ai beaucoup aimé the good place et alors) Année d'études — 7ème année Options ou licence — elle a abandonné l'histoire au profit des arts magique. Avenir — voudrait être tatoueuse. Avis sur les cracmols et moldus à Poudlard — Ils sont les bienvenus. Elle a bien vu, Jordan, que ça ne servait à rien de se déchirer pour une histoire de sang et de magie, que ça faisait plus de mal qu'autre chose. Maison — hihi Avatar — Angie Yonaga (Danganronpa) + Vanessa Morgan | |
| Baguette magique — Bois d'ébène, moustache de fléreur, d'épaisseur normal, plutôt flexible, 26 centimètres Épouvantard — Une gigantesque pieuvre, immonde. Patronus — Un wallaby Reflet du miroir de Risèd — Jordan tient un trophée dans ses mains : elle a gagné un concours de tatouages à l'international. Odeur de l'Amortentia — l'odeur de la peinture fraîche mélangée à celle du sable chaud des plages d'Honolulu Matière favorite —Les Arts Magiques Bonbon favori — Les bonbons qui piquent Créature inspirante — les oiseaux, libres et légers Animal de compagnie — elle a un petit canard, mais l’école interdit formellement ce genre de compagnons alors… elle le planque, entre le lac et la forêt. |
Mental
C A R A C T È R E
joviale • spontanée • profondément gentille et douce • préfère mentir pour ne pas blesser son interlocuteur, même si elle va s’en vouloir pendant trois jours • n’accorde sa confiance qu’à une poignée de gens • bruyante • un peu envahissante et collante • adore les ragots même si elle sait que ce n’est pas bien • désinvolte • en mode no care de ce que les gens pensent • a parfois du coup un peu de mal à se rendre compte quand elle est gênante ou chiante • n’arrive pas à sincèrement s’attacher aux gens • très bonne vivante • sait s’amuser • prête à suivre ses amis dans leurs folies (cc jay) • toujours prête à rendre service • aime rendre le sourire aux gens (cc judy) • est du genre à prendre du pop-corn quand une dispute éclate et à compter les points • bonne humeur communicative • grossière dans ses paroles
R A N D O M F A C T S
elle a un petit peu de mal avec le concept de pudeur et de nudité
elle peint, dessine, gribouille, partout où elle peut, à commencer par son corps
elle a donc beaucoup de tatouage, dont un magique : son patronus, un wallaby qui se déplace un peu partout sur son corps
elle possède un petit caneton, une lubie qui l’a prise quand elle l’a trouvé tout seul
elle attache énormément d’importance à son apparence personnelle mais n’en tient pas rigueur pour tous les autres
elle a une tonne de wigs pour changer de couleurs et de coiffures au moins trois fois par jour
sa vraie couleur de cheveux est le noir mais en ce moment ils sont teint en gris/blanc
elle parle fort
elle rigole tout le temps
franchement, elle est intenable
elle ne se prend pas du tout la tête, elle profite juste de la vie et tout le monde devrait faire pareil
elle se maquille beaucoup, c’est un vrai plaisir, une passion même
elle met le lait après les céréales
il lui est arrivé de brûler une de ses perruques en essayant d’allumer une bougie parfumée dans sa chambre, parce-qu’elle avait peur de se brûler avec l’allumette
elle adore manger épicé
M A L E D I C T I O N
C'est arrivé sur un marché, dans la ville d'Eleele. Jordan et sa cousine se promenaient et touchaient à tout, deux gamines intenables et très désagréable. Une grand-mère vendait des poupées plutôt laides, si on en croit l'avis des deux jeunes filles. Elles se sont permises de le lui dire, le tout entouré de grossièretés (le père de Jordan lui avait toujours dit que ça finirait par lui faire du tort). Elles ont appris, à leurs dépends, que cette grand-mère était une sorcière pratiquant de la magie vaudou : d'une aiguille transperçant deux poupées, les deux demoiselles n'ont plus jamais pu prononcer la moindre vulgarité...
Story
« Je vais épouser Alani Kiele, père, peu importe ce que vous en penserez. » Le père de Charlie ne contrôla pas son geste : il gifla son fils, dans un élan de colère. Il était extrêmement déçu. Pas un de ses trois premiers enfants n’avaient osé s’opposer à lui de cette façon. Tous s’étaient rangés et pliés aux volontés familiales ; une épouse choisie parmi les descendantes de familles pures nord-américaines, une place de choix dans la bourgeoisie sorcière. Mais Charlie était le dernier, et on lui avait trop souvent laissé le choix, par négligence. On l’avait laissé voyagé, faire ses propres expériences, profité de son adolescence. Désormais, ses parents ne pouvaient que s’en mordre les doigts. Ce fut la mère qui essaya d’arranger les choses, maladroitement, avant que les insultes fusent entre les deux hommes. « Charlie, nous comprenons bien que tu te sois attachée à cette domestique mais voyons, pense un peu au futur de ta famille. Comment serions-nous vus si tu liais ton destin à cette femme ? Pense aussi à tes enfants qui traîneront ce fardeau de… » Il fulminait. Il ne pouvait pas exploser ici, dans la demeure des Archibald, et dénigrer ses parents comme eux se permettaient de le faire. Mais cette phrase laissée en suspens fut de trop. Il se doutait bien de la suite. « Je vous en prie, mère, quel fardeau ? » Le père intervint avant sa femme. « Celui d’avoir une négresse pour mère ! N’as-tu donc rien appris durant toutes ces années ? Cela fait des décennies que nous entretenons notre sang de sorcier et notre blancheur. Et toi, tu voudrais tourner le dos à ton héritage, salir notre patronyme et le traîner dans la boue ? Il en est hors de question. » Et, avant que Charlie n’ait pu protester, son paternel avait sorti sa baguette pour détruire toute trace de son existence. Photos, effets personnels : tout ce qui rappelait que Charlie Archibald avait séjourné ici disparaissait. S’il était encore vivant à ce jour, c’était sans nul doute grâce à sa mère, qui l’avait fait sortir avant que son mari ne commette l'irréparable.
Il avait été chassé de chez lui, par ses propres parents, pour avoir voulu épouser la femme qui le rendait heureux. Son compte bancaire fut vidé les jours suivants. Un avocat de la famille était venu le trouver : il devait cesser d’agir en le nom des Archibald et, dans le meilleur des cas, disparaître.
Charlie partit sans demander son reste, profondément blessé. Sa famille lui avait tourné le dos, l’avait effacé de leur arbre. Il n’existait plus.
La famille de Jordan, c’est ça : un papa blanc tout seul, et une maman noire avec des soeurs, des frères, des cousins, des parents. Un entourage aimant, sain, joyeux, bon vivant. Un lieu de vie paradisiaque : Honolulu, le sable chaud comme oreiller et le son des vagues comme berceuse. Elle a grandi sans vraiment chercher à savoir pourquoi toutes ses copines portaient le nom de leur père et pas elle, sans vouloir connaître la famille du continent. On lui disait toujours qu’ils étaient en voyage, pas disponibles. Jordan ne les connaissait pas ; ça ne lui manquait pas.
La magie a toujours fait partie de son existence. Elle ne comprenait pas bien le terme de “sang-pur” que quelques oncles usaient pour qualifier son père, mais elle savait que la sorcellerie était un don précieux dont tout le monde n’héritait pas forcément. Deux de ses cousins sont ce que l’on appelle des cracmols. Et ils ne sont pas moins drôles que les autres. Elle se fichait pas mal, Jordan, d’être dotée de pouvoirs ou non. De toute façon, lorsqu’elle dessinait, sa mère lui disait toujours qu’elle avait de la magie dans les doigts pour parvenir à faire ce genre de choses. A partir de là, en quoi était-ce formidable d’être un sorcier si n’importe qui, par l’expression d’un talent, pouvait arracher quelques étoiles d’admiration dans les yeux de son entourage ?
Jordan comprit que la vie n’était pas si rose quand, après quelques crayons de couleurs se soient mis à s’agiter sous sa volonté, ses parents passèrent de longs moments au téléphone. Charlie avait l’air épuisé, et si triste. Ce sont des souvenirs qui ne la quitteraient jamais. Des cris venaient de la pièce d’à côté, tard le soir. La cloison n’était pas très épaisse et Jordan avait pu tout entendre. Elle n’irait pas à Ilvermony. Au début, elle avait beaucoup pleuré, elle pensait que ses parents la punissaient ou qu’ils ne voulaient pas qu’elle s’en aille. C’est au fil de la nuit qu’elle avait compris.
Ce n’était pas de sa faute, c’était la faute de ses grands-parents. Ceux qu’elle ne connaissait pas. Ceux qui ne voulaient pas la connaître. Ceux qui auraient préféré qu’elle ne voit jamais le jour. La gamine de 10 ans n’avait pas compris l’ampleur de ces mots. C’est seulement lorsqu’elle fut familière à l’environnement de Poudlard et ses nombreux et glorieux groupes familiaux qu’elle avait saisi. Jordan Kiele et son père Charlie Archibald étaient une énorme tâche sur l’arbre généalogique. Le patriarche n’avait aucune envie que la petite bâtarde fasse connaître son existence en rejoignant ses cousins de la haute société à Ilvermony. Pour sa sécurité, Alani et Charlie ont choisi de l’envoyer à Poudlard, où elle recevrait la meilleure éducation possible selon son père.
Officiellement, Jordan est à Poudlard pour un “enrichissement culturel”, pour le voyage, tout ça… En fait, elle avait honte d’être reniée par une partie de sa famille. C’était trop difficile pour elle de l’accepter, c’est un secret, quelque chose qu’elle ne raconte pas. En plus, Alani pense que les Archibald pourraient s’en prendre à elle, alors Jordan préfère rester discrète.
Il y a deux ans, elle a rencontré cette fille, dans les couloirs de Poudlard. Une visage d’ange, une chevelure soyeuse et un sourire ravageur. Elle était un peu plus âgée, rayonnante, sublime. Jordan était sous le charme. Ce n’était que quelques oeillades, et un furtif baiser dans le placard à balais, mais elle s’est sentie différente. blablabla g tellement la flemme JE VEUX LA JOUER. donc elle commence à se poser des questions et tout, elle voudrait en parler à son père mais à noël, y’a un problème avec son cousin : il est gay et ça pose soucis à sa famille. Elle reste silencieuse. à partir de ce jour, elle se questionne toujours énormément sur son orientation sexuelle, et passe moins de temps chez elle.
VOILA C FINI un jour je rédigerais bien la fin………………………………...
Derrière l'écran
| Pseudo — solu c'est soleil texas curtis calypso mdrr me revoilà et no j'ai pas honte de me servir dans la même série pour mes irls merci envy pour les avas ET J-CREW IS COMING |