faire la sourde oreille ☩ waldemar9

Ton nom à toi c’est WALDEMAR KANERVA. Pas grand monde comprends ton premier prénom, alors tu dis BJÖRN, mais en fait c’est pire. Alors tu dis « oh appelle moi Wal, ça ira ». Alors c’est WAL. Ou BIO. T’as eu VINGT ANS l’été dernier, chez toi, en FINLANDE. En LAPONIE, même. Assis au milieu des rennes avec la petite fratrie qu’il te reste. Les Kanerva, c’est une ancienne famille de sang-purs depuis longtemps diluée, tu es donc SANG-MÊLÉ, sang-souillé comme on t'appelait à Durmstrang. Mais tu t’en fous, t’ignores les critiques maintenant, tu fais la sourde oreille. C’est un peu risible quand on sait que tu es MALENTENDANT, mais tu trouves ça étrangement encore plus approprié. À Poudlard, t’es qu’en NEUVIÈME ANNÉE, parce que t’as redoublé tes aspic. Tout ça pour choisir la licence de DÉFENSE MAGIQUE ET OCCULTISME que tu comptes finir jusqu’au bout pour devenir TRAQUEUR DE LOUPS-GAROUS. Quand tu repenses à ta mère, tu ne vois que ça. Et puis tu revois ton père, et tu te dis que tu pourrais aussi bien finir ÉLEVEUR DE RENNES. Ta longue cape noire en laine est doublée de VERT depuis que le Choixpeau t’as fourré chez les SERPENTARDS. Et quand tu croises quelqu’un avec un uniforme gris, tu le toises sans rien dire, regard noir s’il ose venir te parler. ILS N'ONT RIEN À FAIRE LÀ. Tes potes te disent que t’as la tête de TANAKA RYUUNOSUKE. de haikyuu!!? Pff, genre.

Ta simple baguette magique est taillée dans de L’ÉBÈNE et renferme un cœur D'OS, pour mesurer 31CM, elle est FINE ET PARTICULIÈREMENT RIGIDE, en plus elle LANCE DES ÉTINCELLES QUAND T'ES ÉNERVÉ. Un épouvantard devant toi se change en CADAVRE D'UN DES MEMBRES DE TA FAMILLE et tu tentes toujours de rester de marbre, même si tu échoues à chaque fois. Pour faire apparaître ton patronus, la douce voix de ta mère te fait sourire et un REQUIN BLANC jaillit, vif et menaçant. Quand au miroir du Risèd, il te reflète TOI, LES PIEDS DANS LA NEIGE ET UNE FEMME SUR LES ÉPAULES, vous riez. Pour toi, amortencia rime avec FROID, ÉCURIES, RENNE, SÈVE DE PIN et BOIS SEC. Ton cours favori reste celui de DÉFENSE CONTRE LES FORCES DU MAL mais aussi ceux D'OCCULTISME et D'ALCHIMIE. Tu apprécies plus généralement sentir une magie puissante courir dans tes veines. S’il y a bien une chose que tu pourrais manger même sans avoir faim, c’est le POPCORN AU TABASCO. La créature qui te fascine le plus est le CERVITAUR, pour des raisons évidentes, mais aussi la LICORNE, pour sa douceur qui te touche. En Laponie, ta meilleure amie est UN RENNE, elle s’appelle Riika et vous êtes très complices. Avec elle réside aussi ton RENARD ARGENTÉ très bien dressé, qui répond quand tu le siffles. À Poudlard, tu es souvent accompagné de ta petite COULEUVRE À COLLIER albinos que tu as appelé Eska. Elle, elle dort un peu trop.

Pour toi Wal, la famille c'est sacré. Beaucoup d'amour, forgé par beaucoup de conflits, les Kanerva aiment offrir et partager leur culture et leur petit monde. T'es quelqu'un qui aime la compagnie des gens importants à tes yeux, ça c'est certain. Pour toi les amis c'est comme une deuxième famille, ça n'a pas de prix et ça s'entretient. Mais pour devenir pote avec toi Wal, il faut voyager au delà des apparences. Tu sembles distant, froid et méchant, avec ton crâne rasé, ta resting bitchface, ta tenue du grand nord et tes regards noirs quand on vient te déranger. Tu fronces souvent les sourcils quand on te parle, parce que tu comprends toujours pas parfaitement l'anglais et que tu essayes de piger ce qu'on te raconte, mais de l'extérieur ce n'est pas très amical. Tu ne souris  pas beaucoup, parce que t'es comme ça. Donc tu n'es pas très chaleureux de nature, mais ça ne veut pas dire qu'à l'intérieur tu n'es pas heureux, amusé, gêné ou ému. Et tu es beaucoup plus expressif avec tes mains. Tu mimes souvent quand tu parles, ou signes carrément ce que tu dis. Si la discussion ne t'intéresse pas tu as plutôt tendance à les cacher dans tes poches, ou au contraire à ne pas savoir où les mettre quand tu es gêné. En tout cas, c'est sacrément divertissant une fois la conversation engagée, il faut s'y faire mais c'est un charme que tu possèdes. Ta voix porte haut et fort, et même si ton accent particulier gêne la compréhension de certains, tu fais toujours des efforts pour te faire comprendre et écouter. Pratiquement sourd depuis toujours, tu as appris à lire le comportement des autres et es devenu très observateur. Tu sais lire les émotions dans les plis du visage et les haussements d'épaules, et tu ne quittes pas tes interlocuteurs des yeux quand ils te parlent. C'est un peu perturbant au début, mais on s'y fait vite. C'est d'autant plus déroutant quand tu refuses d'accorder un seul regard à ceux qui t'ennuient où aux moldus qui osent s'approcher de toi. Pas même une œillade, pas même un soupir. Et s'ils insistent malgré tout pour attirer ton attention, tu ne tardes pas à dégainer ta baguette et à leur faire comprendre que tu n'es pas d'humeur.

Tu n'as rien contre les sorciers hybrides. Loin de là. Ni les nés-moldus, ils ont prouvé leur force. Ni même les cracmols, que tu ne fréquentes pas mais envers lesquels tu n'as aucune animosité, ils n'ont rien demandé. Mais les simples moldus. Tu ne peux pas comprendre. Pour toi, ils n'ont pas leur place dans une école de magie. Ils n'ont pas ce qu'ont les sorciers. Ils ne peuvent pas voir les fantômes, les détraqueurs ou les sombrals, et ne comprendront jamais la complexité d'un sortilège ou d'une potion. Ils râlent toujours sur l'usage des plumes au lieu de leurs stylos minables sans caractère, parlent d'internet à tout va et prennent des photos qui ne bougent pas. Sans parler de leur métabolisme qui est complètement différent de celui des sorciers. Un simple rhume les cloue au lit. Tu les trouve faibles et n'a pas envie de les connaître. On ne mélange pas les torchons et les serviettes, c'est comme ça.

T'es un grand amoureux de la nature, ça c'est indéniable. Tu n'es jamais plus heureux que dehors, le nez au vent, accompagné de ton renard et des autres animaux que tu rencontres dans Poudlard. Tu n'as pas peur de t'aventurer dans la forêt interdite, qui à tes yeux n'est pas plus dangereuse que celle qui borde ton territoire en Laponie. On y trouve le même genre de créatures, après tout. C'est ce que tu aimes photographier le plus, la nature. Tu aimes faire de grands albums de photos magiques, qui recréent les différentes ambiances des saisons. C'est simple, si tu vas dehors sans ton appareil photo, c'est que tu l'as oublié où que tu n'as plus de papier. Tu aimes particulièrement l'hiver. Ce monochrome blanc te donne toujours envie de marcher des heures dans le froid, les poumons remplis de fraicheur. Mais depuis que tu as emménagé à Londres avec ta sœur, tu découvres peu à peu le charme d'une grande ville, et en tombe lentement amoureux. C'est aussi comme un forêt, d'un autre genre. Et tu es toujours ravi de pouvoir en explorer les moindres recoins dès que les vacances te libèrent du château.

Un truc amusant chez toi, c'est que tu es du genre à proposer des plans complètements farfelus au milieu d'un blanc de conversation. Quand tout le monde vaque à ses occupations dans sa chambre, quand personne n'a rien à dire, quand tu ressens l'ennuie comme palpable. « Je connais un super bar à Londres, v'nez on y va cette nuit! » « Qui pour une nuit de camping dans la Forêt Interdite? » « Ce week-end je rentre en Laponie pour me défouler, qui vient? » Des trucs dans le genre, qui en font sourire plus d'un. Mais quand tu as un plan dans la tête, que ce soit devenir traqueur de loup-garous ou d'aller photographier les filles dans les vestiaires pour se faire du blé sur les photos, t'es toujours à fond. Tu lâches jamais rien, tu veux aller au bout de tes objectifs, même s'il sont complètement stupides. On peut même dire que t'es sacrément têtu parfois. Mais c'est dans les moments comme ça que tu es le plus toi-même, que tu sembles le plus heureux. Quand tu partages un peu de toi avec les personnes qui te sont chères.

presque sourd // lit sur les lèvres un maximum mais un peu perdu quand il y a trop de monde // se rase la tête tous les deux jours car il souffre de la pelade // devient gaga devant n'importe quel animal // se sent très proche d'eux car il n'a pas besoin de les entendre pour les comprendre // parle finlandais, maîtrise la langue des signes et apprend encore l'anglais // n'a jamais l'air vraiment content // est en fait plutôt curieux et chaleureux mais seulement avec les personnes qu'il tient en estime // a une figurine de licorne sur sa table de nuit // aime jouer aux échecs et la photographie // n'aime pas les règles // généralement calme et posé, il a besoin d'exploser, de rire aux éclats de temps en temps // chante parfois de vieilles chansons finnoises quand il est seul // n'a rien contre la magie noire // est très motivé et actif // aime se lever tôt // accro au café // fait dix minutes de méditation tous les matins // apprend des tours à son renard // est plus violent dans ses mots et les sortilèges qu'il jette plutôt que dans des coups de poings // boit et fume peu car il sait que ça le rend très relou // aime tout régler par des duels de magie // kiffe aller à la plage // qu'on se foute de sa gueule ou de sa famille le met hors de lui

« Les Kanerva sont une ancienne famille de sang-purs vivant de l'élevage de rennes au fin fond de la Laponie. Depuis des générations, les descendants reprennent l'élevage de leurs parents et perpétuent les traditions. Dans une famille moldue, tout se moderniserait de décennie et décennie, mais chez les sorciers c'est différent, tout est resté simple et comme au bon vieux temps. Aujourd'hui, la lignée des sang-purs de cette famille est depuis longtemps éteinte et diluée par des nés-moldus ou des créatures magiques qui l'ont rejoint. Il ne reste qu'une petite fratrie de quatre enfants, qui tentent de perpétuer leurs traditions comme ils l'ont appris. Tous ont étudié à Durmstrang et en respectent les idéaux et l'enseignement, sauf Olavi, le dernier-né. Étant semi-cervitaur, il n'a pas reçu de lettre de Durmstrang, mais il s'entraine seul et avec l'aide de ses frères et sa sœur. »

23 JUILLET 2009 ▬ Ce jour-là vient au monde un petit garçon, troisième enfant d'un couple de sorciers vivants dans un coin reculé du nord de la Finlande. Il est accueilli avec curiosité par sa sœur Åsaa et son frère Mies, âgés respectivement de cinq et huit ans. Sous le regard bienveillant de Eilas et Sari Kanerva, ils attrapent chacun une des minuscules mains du nouveau-né et aident leurs parents à trouver le plus beau prénom qui soit. Cet enfant devient donc Waldemar Björn Kanerva.

DÉCEMBRE 2009 ▬ L'hiver est dur dans cette partie du monde. Les Kanerva ont beau savoir vivre dans les conditions très dures que leur impose la nature, se protéger des grands froids avec des sortilèges, conserver de la nourriture durant toute la longue nuit de l'hiver, les risques ne sont pas nuls. Et c'est durant une forte tempête de neige que le père de cette petite famille disparaît avec quelques rennes perdus qu'il était parti chercher, sans même laisser de traces. Waldemar n'a donc connu son père que quelques mois à peine, pas assez pou en garder le souvenir. Mais les Kanerva sont forts. Rongés par le chagrin, ils ne perdent pas leur vitalité et continuent, chaque jour, de mener leur vie.

FIN DE L’ÉTÉ 2010 ▬ Il semble à présent de plus en plus certain que Waldemar est sourd. Du moins, en partie. Il ne tourne pas la tête quand on l'appelle, n'a pas peur des bruits soudains et réagi un peu plus lentement que les autres bébés de son âge. Cela ne l'empêche pas de s'épanouir à son rythme. Depuis quelques jours, il a déjà fait ses premiers pas dans la yourte. Et quand on le met dehors, il a l'air passionné par tout ce qu'il découvre et ne tient pas en place.  

MAI 2011 ▬ Dans la forêt et les plaines qui font le territoire des Kanerva, nombre de créatures magiques ont fait leur nid. Parmi eux vit un petit clan de cervitaurs aux bois de rennes, qui ont toujours été en bons termes avec la famille. À la fin du printemps dernier, Sari, encore endeuillée par la perte de son époux, s'est rendue auprès d'eux pour trouver des réponses et de l'aide pour éduquer seule ses trois enfants. Accueillie à bras ouverts, elle y retournera de plus en plus souvent. Plus d'un an plus tard, Olavi pousse son premier cri, dans le même lit où sont nés ses frères et sœurs. Waldemar, encore très jeune, ne s'en souvient pas. Son petit frère fait partie intégrante de sa famille à ses yeux, tout comme le clan de cervitaurs.

AVRIL 2016 ▬ L'éveil magique de Waldemar a lieu un peu avant ses sept ans, le jour de l'anniversaire de son demi-frère. Ce dernier commence a avoir une petite paire de bois bien formés sur le haut du crâne, et tout le monde fait la fête en son honneur. Waldemar illustre alors cette superbe journée et la joie que d'être entouré de sa famille lui procure en faisant pousser plantes et bourgeons autour de la ramure de son frère par la simple force de son rire.

SEPTEMBRE 2020 ▬ Finalement, le temps d'aller à Durmstrang arrive bien vite pour Wal. Il est assoiffé de connaissance et trépigne d'impatience à l'idée d'apprendre la magie. C'est son grand frère, particulièrement doué pour l'artisanat, qui lui a fabriqué sa baguette. Elle est très simple mais lui convient parfaitement. Et rapidement, le jeune garçon fait ses preuves. Il suit ardemment les cours, et montre bien vite un véritable talent pour les sortilèges et les maléfices. Ses notes sont tout à fait raisonnables en potions et en sciences occultes. Il lui faut peu de temps pour se faire apprécier des professeurs. Pour les élèves, c'est un peu plus difficile, car il y a des rumeurs sur le statut de sang-pur perdu de sa famille, et sur l'existence de sorciers hybrides. Wal n'y prête pas attention, mais il est rapidement lié à des règlements de compte lorsque quelqu'un ose en dire trop. Il devient alors le plus grand lanceur de sortilège de langue de plomb de l'école.

AOÛT 2024 ▬ Pendant deux semaines en été, c'est le jour polaire. Le soleil ne se couche pas au-dessous de l'horizon. Mais la lune est clairement visible dans le ciel bleu, malgré le soleil de minuit. Et cette nuit elle est ronde et pleine. Certaines créatures ne sont que de passage dans la forêt. Sari, partie récolter des plantes aux propriétés magiques, est au mauvais endroit au mauvais moment. Son chemin croise celui d'un loup-garou sous l'emprise totale de la lune. Et sa vie prend tristement fin sans témoins. C'est un coup dur pour tout le monde, il est difficile de s'en remettre. Waldemar est le plus touché. Toujours, il n'a connu que sa mère. Ses ainés savent encaisser la tristesse avec plus de sagesse, et Olavi a encore son père et son clan de cervitaurs pour le guider. En un seul instant, Wal a perdu la personne la plus chère à ses yeux. Disparue pour toujours.

OCTOBRE 2024 ▬ Maintenant que Meis est à la tête de la famille, les conflits entre tout le monde sont plus fréquents, et plus violents. Personne n'arrive à se mettre d'accord sur la façon d'effectuer les taches quotidiennes, alors que tout le monde les fait depuis toujours. Les résultats scolaires de Wal sont en chute libre pendant plusieurs mois. Et pourtant. Les liens de la petite fratrie se resserrent et s'approfondissent chaque jour. Ensemble ils deviennent plus forts, plus soudés. Forcés de prendre leur indépendance plus tôt que les autres.

FÉVRIER 2026 ▬ Quelque chose ne va pas chez Wal. Il perd ses cheveux. Ce n'est pas normal, pour un adolescent de dix-sept ans. Mais les faits sont là, à trois endroits différents de son crâne, les cheveux sont tombés et ne poussent plus. Il ne faut qu'une simple consultation d'un guérisseur pour lui apprendre qu'il a la pelade, une maladie auto-immune sans traitement, même magique. Mais il n'y a aucun autre symptôme. Alors tant pis, Wal hausse les épaules, ses cheveux sont déjà courts de toute façon. Il prend le vieux rasoir de son père, et coupe ce qu'il lui reste. Il sourit, devant le miroir. Ça lui donne un style, c'est sûr.

ÉTÉ 2026 ▬ Malgré les quelques erreurs de parcours de Wal, il fini par avoir son diplôme, comme son frère et sa sœur avant lui. Fiers comme tout, ils ne tardent pas à lui demander ce qu'il compte faire maintenant. Et quand il répond qu'il veut approfondir ses études à Poudlard, personne ne s'y oppose. Tout cela se décide très vite; à la rentrée prochaine, il ira vivre avec Åsaa à Londres, car elle y a trouvé un travail de diplomate au service des droits des hybrides et compte y emménager pendant l'été. Waldemar découvre alors Londres. La culture anglaise, le brouhaha des rues, le chemin de traverse, les meilleurs bars à fréquenter. La présence des moldus ne le dérange pas tant qu'ils restent dans leur propre monde et ne se mêle pas au sien. Il vit parmi eux sans se faire remarquer et apprend à vivre autrement qu'au sein d'un élevage de rennes en Laponie.

2026-2027 ▬ Malheureusment, Waldemar râte le concours d'entrée pour le DEMA qu'il souhaite intégrer au début de l'année. Sa maîtrise de l'anglais est trop imparfaite, il ne comprend presque rien de ce qu'on lui raconte ou de ce qu'il peut lire. Mais il n'abandonne pas et rentre en septième année pour s'acclimater au mieux. Il se fait quelques amis, et les camarades qu'il trouve lui sont précieux. Il s'ouvre peu à peu à eux. Tout ça lui permet d'améliorer assez son anglais avant la fin de l'année pour qu'il réussisse ses ASPIC et puisse enfin progresser vers son but: devenir traqueur de loups-garous et empêcher qu'une tragédie comme la mort de sa mère ne se reproduise. Il ne cache pas sa haine envers ces êtres qu'il ne considère ni comme des humains ni comme des animaux. Ce sont des monstres dangereux et ils ne méritent pas de vivre libres. Il usera de toutes ses forces pour les empêcher de sévir.