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hypotyposes saturiennes nc-16 (nirvana)

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hypotyposes saturiennes nc-16 (nirvana) Mer 18 Avr - 22:31





les désordres enchantées


 

 
Tu les entends résonner, les scintillements de la pluie. Bruissements craintifs tu t'arrêtes et fixe le ciel en larmes - tu ne peux pas t'empêcher de l'appréhender ainsi. Tes contemplation se font alors silencieuses et d'un mouvement muet tu t'empares de ton carnet. Les arabesques de ta plume enlacent quelques ébauches mais ne sentant pas l'envie d'aller à la conquête de ces muses nouvelles tu te désarmes de tout fantasme, reprenant simplement ton chemin.

Et les promesses sans visages se redessinent et par-delà quelques songes un portrait t’apparaît. Nirvana, qui s'est introduit dans ta vie sans que tu n'aies eu le temps de le repousser. Il te surplombe, alors que t'es censé être l'aîné, il te vole des injures du coin des lèvres et c'est dans son sourire que ta haine se brise. Nirvana est un mystère au milieu de ton animosité et ta condescendance s'en retrouve abdiquée. Nirvana est une énigme que tu ne préfère pas déchiffrer, car sans sentir la voluptés de ces gestes, tu crois déchiffrer malgré tout, la véhémence comme étoile au creux de son regard.

Nirvana t'effraies, peut-être. Dans un murmure tu exprimes un rictus à cette pensée, t'aimerais pendre tes sottises et pouvoir t'en moquer. Mais là n'était pas le plus important et le pas se faisait impatient. Dans un écho tu disparaît, t'approchant alors c'est dans un soupir que tu pénètres dans la salle commune des gryffondor. Oh, tu pries pour ne pas croiser Achille ou Ruben, surtout Ruben, tu n'étais pas d'humeur à te battre.

Tu dévisages l'entrée du dortoir du gryffondor, quelques instants avant t'y engouffrer. Bonsoir. Tu déclares alors calmement, alors que vos regards se croisent. J'avais quelques trucs à régler à la bibliothèque, tu passes une main derrière ta nuque, désolé si je t'ai fais trop attendre.




+ tagnirvana s. ørøfin

+ notesen espérant que tout soit ok orz


BY MITZI




Dernière édition par S. Aristotle Darling le Ven 27 Avr - 11:49, édité 2 fois
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Re: hypotyposes saturiennes nc-16 (nirvana) Jeu 19 Avr - 2:45



Les écouteurs suintants de mélodies déchaînées lovés au creux de tes oreilles, le bout de tes phalanges estropait sporadiquement les boutons ornementés de symboliques agrémentant ta PSP de vivaces et machinales oppressions désireuses d'aboutir chacun des niveaux exhibés par le jeu. Sa véhémence s'effritait au gré de tes avancées en son sein, ton faciès demeurant pourtant mutilé de monotonie tant il était d'une indécente facilité à essouffler. Une pétillante sensation papillonneuse asservit subitement tes entrailles ventrales et il s'auréola finalement d'une incandescente esquisse qui incendia tes lippes. Les minutes s'éclipsèrent et le firmament qui s'était engorgé de lypémanie déborda de jaillissantes myriades gouttelées qui constellèrent rapidement la translucide vitre close de la fenêtre. Tes iris délaissèrent la luminescence de l'écran de l'objet ludique avachi au creux de tes paumes pour s'enliser au coeur de contemplatives perditions d'une Dame Nature semblant esseulée.

Le jeu ensommeillé d'un fugace revers de phalanges, tes prunelles incapables de fuir la beauté affligée de l'environnement, un bâtonnet serti d'une truculente orbe édulcorée et affriolante d'une saveur fruits des bois fut extirpé de l'entrave tissulaire de ton pantalon l'aliénant. La sphère soulagée de l'emballage plastifié l'enrobant, elle fut engouffrée au creux de ta bouche, ta langue l'étiolant silencieusement de ses assaillantes succions. Ton regard sillonna finalement brièvement à travers la salle affublée de rubis en quête de la présence du serpentard dont la maladresse l'entravant sentimentalement avait insufflé une affection particulière de ta part. Aristotle et sa sensibilité éclipsée de ses vipérines palabres. Aristotle ornementé du fallacieux émoulu de son gravé. Lorsque le jeune homme fit vaciller la salle commune des lions de sa présence, tes iris s'enlisèrent vivement au creux des siens.  

Chalut !

La sucreteuse douceur écrouée par ta cavité buccale distordant les paroles écoulées d'entre tes lippes, ta langue l'accola contre la paroi de ta pommette gauche pour se galvaniser d'un espace ravivé et se mouvoir avec une aisance accrue. Tes esquisses se tordirent et tu regagnas ta stature, la PSP emparée d'une de tes paumes. Sa comparse flagella délicatement l'épaule d'Aristotle d'une amicale pulsation suintante de réconfort.

T'inquiète, je suis quelqu'un de patient. Maintenant que t'es libre c'est parfait on pourra mater des films en bouffant des chips et en picolant.

Ton bras s'échoua derrière sa nuque et tu l'entraînas au creux de ton sillage jusqu'à ta chambre dont les courtines chutèrent aussitôt d'un balbutiement de ta baguette. L'écran télévisé s'anima également d'un sortilège et tu l'invitas à s'affaler au coeur du petit canapé l'agrémentant, tes courbes gagnant vivement la proximité de ton mini bar pour exhiber deux bouteilles de verre criardes de bière, les débarrasser de leur manteau capsulé et les abandonner sur la table basse semblant fièrement précéder le fauteuil. Tu révélas ensuite le contenu de ta commode pour étreindre un paquet de chips de tes phalanges dont la place libérée fut asservie par ta PSP et le disposer aux côtés des breuvages alcoolisés. Tu valsas finalement vers l'imposant objet électrique et tes doigts délogèrent quelques pochettes de DVD  de leur alignement rectiligne.

Fais comme chez toi. Il y a de la bière et tout. Tu veux regarder quoi ? J'ai de tout, du fantastique, de l'action, du romantique, du porno ...
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Re: hypotyposes saturiennes nc-16 (nirvana) Jeu 19 Avr - 17:57





les désordres enchantées


 

 
Et il te salut à son tour. C'est un hochement de tête qui vient s'ensuivre absent de toute aversion. Car tu ne le vouais pas aux gémonies et qu'en aucun point tu n'étais d'humeur à maudire. Tu paraissais alors bien plus jeune, sans toute cette aigreur brûlant ton regard, embrassant tes lèvres pour en venir teinté tes mots d'un blanc méprisant.  

Premier contact, main sur l'épaule pareille à de la soie quelques caresses. T'inquiète, je suis quelqu'un de patient. Un instant et tu ne sembles pas comprendre, tu ne t'en formalises pas cela dit. Maintenant que t'es libre c'est parfait on pourra mater des films en bouffant des chips et en picolant. Ne prenant à peine le temps de songer à l'appel de l'alcool, tu sens son bras'échouer sur ta nuque et tu divagues bien ailleurs, tâchant de ne laisser l'ombre d'aucune trahison par-delà ta stature, c'est alors ton pouls qui se voit malmener. La confusion en musique et ta fierté s'indigne.

A défaut de paroles, c'est pratiquement impuissant que tu  le suis. Tandis que vous atteignez sa chambre tu balaies d'un coin de regard ennuyé l'aspect des lieux. Depuis longtemps habitué à Serpentard tu ne ressens qu'un profond malaise face à ces allures chaleureuses. Tes réflexions sont alors coupées par le bruit non-négligeable de l'écran télévisé, débarrassé par la suite de ton manteau, tu t'attardes sur Nirvana.

Quelques souvenirs se soulignent alors que tu contemples sans admirations les bouteilles d'alcool. Le breuvage amer semble avoir le goût de tes larme, de la lumière non-existante du bar et de ta première cigarette.  Tu te reprends alors, t'abandonnant plutôt au Gryffondor. Ça faisait longtemps que tu étais loin derrière ces bribes nocives. Fais comme chez toi. Tu lui jettes une œillade, acquiesçant silencieusement. Tu veux regarder quoi ? J'ai de tout, du fantastique, de l'action, du romantique, du porno ... Tu étouffes. Du porno ?! Offusqué tu ne peux que le fixer ahuri. Tentant de te reprendre tu t'éclaircis. C'est absurde, j'ai bien d'autre à faire que de regarder de la pornographie... Surtout en ta présence. Tu te diriges alors vers le divan, te laissant tomber dessus, gêné à l'image de telles obscénité. Tout me convient, hormis la pornographie bien sûr, je te laisse le choix. Et tu t'attardes de nouveau sur la bouteille, hésitant un instant avant de l'enivrer du bout de tes lippes son parfum exécrable. La première gorgée te sonne comme une trahison. Tu vas en avoir besoin.




+ tagnirvana s. ørøfin

+ notesta réponse était parfaite jpp


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Re: hypotyposes saturiennes nc-16 (nirvana) Sam 21 Avr - 4:21



Les entrailles du jeune homme à la chevelure caféinée s'engorgèrent de cet inconfort à embraser les tréfonds de ta pulpe d'un amusement édulcoré, quelques brisures rieuses à peine parvenues à fuir tes lippes chancelantes de béatitude essoufflées de ta vivace contenance. Le bâtonnet culminé de la sucreteuse orbe fut entrelacé du bout de tes phalanges, ta langue balafrant la douceur rosacée de ses ondulantes délectations, quelques mélodieuses et érotiques succions balbutiant dans les airs tandis que la réflexion émailla tes pensées.

Hm, d'accord, je vois. Alors ...

Tes phalanges sillonnèrent à travers les pochettes exhibées à tes iris, détonnant sur les sommets rectilignes puis elles s'emparèrent de l'une d'entre elles, l'extirpant de l'étreinte de ses comparses. Un métrage suintant d'horreur à ces existences aux faciès estropiés d'effroi ornementant sa couverture.

On se fera donc un Massacre à la tronçonneuse. Un petit film d'horreur de temps en temps c'est fun de toute manière.

Tu écartelas la pochette pour la dérober de son disque que tu engouffras au creux du lecteur, sa dépression circulaire centrale soigneusement embrassée de l'excroissance du support de l'objet électronique. Tu gangrénas finalement la distance lovée entre vos deux existences pour t'échouer au coeur du fauteuil accueillant les arabesques du serpentard, la télécommande emportée dans ton sillage. Tes courbes entièrement leptosomes le long de son moelleux, l'arrière de ton crâne s'avachit nonchalamment contre les onctueuses cuisses de l'autre jeune homme désormais muées en son piédestal tandis que tes phalanges batifolèrent le long des boutons de l'objet aliéné de l'étau de ta paume. L'écran télévisé ainsi ravivé de l'aube cinématographique, il fut délaissé d'un revers sur la table basse. Ta frange émaillée macula la friandise de craquelures qui, rapidement éreintée abdiqua et fut vivacement concassée par les inquisiteurs creux de tes molaires et ta paume s'enticha de la bouteille asphyxiée de breuvage alcoolisé gisante pour te galvaniser de quelques lichées.

Aaaah ! On est bien là. Au fait, je t'ai pas dit mais tout à l'heure j'ai rajouté en scred de la liqueur de cerise dans nos bières pour qu'elles aient un goût fruité et que ce soit plus fort. À la nôtre Ari !

La verrerie fut brandie dans les airs, désireuse d'accueillir un léger et fugace fracas de la part de sa comparse.
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Re: hypotyposes saturiennes nc-16 (nirvana) Sam 21 Avr - 22:21





les désordres enchantées


 

 
Pointe amère accolant le dessous de ta langue. C'est dans une morsure que l'alcool fait comprendre sa présence et t'ancre alors ton regard autre part, Nirvana cajolant avec démesure sa friandise. Quelques bribes de fables qui au creux de tes doigts reposent, à la vue de ce tableau tu blâmes sans honte ton breuvage, car au-delà de la fièvre qui embrasse ton visage, tu éloignes tes œillades de ces esquisses lubriques.

Hm, d'accord, je vois. Alors ... Et tu bois une autre gorgée, plus insistante. Dans un silence, c'est d'une soupirail que tu balaies la pièce, rivant tranquillement entre la silhouette du brun et tes mains craintives enveloppant la bouteille de bière. Massacre à la tronçonneuse sonne dans tes oreilles et y'a des pensées morbides qui se dessinent. Tu lèves alors de nouveau un regard vers Nirvana, le laissant mettre tout en place.

Ça me va. Nouvelle gorgée, brusquement tu crois suffoquer lorsque sur toi, des courbes nonchalantes s'étendent. Y'a un regard sans doute qui se perd à retracer des contours, c'est dans un sursaut quelques peu tardif que tu réagis. Hééé- ta voix se perd dans le brasier de ses pupilles. De la liqueur ? Tu finis pas trinquer. Merci.

De nouveau le liquide s'écoule. C'est vrai c'est un peu fort, tes syllabes ont l'allure plus détendues les nuances de tes paroles moins rigides, par contre ... Tu confonds mes cuisses avec le canapé. Et de ton index tu effleures son nez dans une pression légère. Tu t’enivres de nouveau des fragrances de la liqueur, la roulant du bout de ta langue dans un rictus flatteur, tu penches ton visage vers le sien. Change de position ... tu réfléchis un instant S'il te plait. Ca te ressemble pas. Et tu te relèves t'adossant au canapé, apportant de nouveau, à la façon d'une tendre addiction, la boisson au bout de tes lèvres. Tu détestes boire mais pas pour ce soir.

Face à l'écran, le film qui depuis un moment à commencé mais les images font peine à avoir de sens alors tu décides de parler - tu ne le fais jamais. Dis, Nirvana. Comment tu fais ? Je comprends pas. Ton regard s'éloigne de toute réalité, tu crois à quelques mondes imaginaires que tu as à peine eu le temps d'inventer et alors que les saveurs de l'alcool semblent t'avoir marquée tu lâche un soupir croisant de nouveau son regard. C'est comme si t'avais une avance sur touuut ce j'peux dire. Comme si tu savais déjà tout, que j'ai vu l'intégrale des Winx et que je pleure tout le temps en regardant Titanic. C'est frustrant tu sais. Dans un bruit inexprimable, on t'entendrait presque rire.





+ tagnirvana s. ørøfin

+ notesj'me rends compte que y'a des phrases qui ont pas le sens que j'voulais leur donner genre jsp mais c'marrant du coup j'laisse en espérant que ca aille jpp


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Re: hypotyposes saturiennes nc-16 (nirvana) Mar 24 Avr - 4:45



Une fébrile indignation presque ternie de fallacieux s'écoula d'entre ses lippes tandis que les tiennes se sublimèrent d'un enjôleur croissant truculent d'amusement. Un aveu entiché de ta confusion de ses cuisses si subitement muées en piédestal balbutia dans les airs et ton crâne dodelina, désireux d'embraser l'oppression insufflée de son inquisition flagellant leur si lénifiante onctuosité.

Du tout ! J'étais curieux de leur confort et c'est vraiment agréable mais si ça te dérange, je me redresse.

Le bout de son index sillonna doucereusement ta ligne nasale, érigeant quelques saccades de son extrémité désormais gangrénée d'une faiblarde démangeaison. Sporadiques et vivaces batifolages pour effriter la conquête de ce soudain inconfort chatouilleux érigé de l'aveulissement de son attention. Le faciès d'Aristotle vagabonda délicatement, essoufflant la distance l'éclipsant de la proximité du tien et tes iris s'entichèrent ardemment des siens, leur incandescence asservissant les obscurs abysses les maculant tandis que ton crâne se rehaussa délicatement pour s'abreuver d'un doucereux frôlement de ton nez à l'égard de son comparse. Tes arabesques se distordirent pour t'avachir aux côtés du jeune homme et une lichée cascada le long de tes parois oesophagiques tandis que ta paume éventra le paquet engorgé de croquantes feuilles salées pour l'en dépouiller de quelques épars qui expièrent lorsqu'ils furent délaissés au creux de ta cavité buccale, les forteresses occlusales de tes molaires les mutilant de fiévreux concassements, quelques craquelantes sonorités s'extirpant de ta bouche et fendant les airs.

Les actions cinématographiques animant l'écran télévisé ne parvinrent à affrioler l'attention de tes prunelles, le gravé du serpentard enjolivant la pièce, émoustillant fugacement tes tympans. L'effervescence de tes iris flagella les siens, ses dévalantes palabres carillonnant en une myriade de constations entichées de cette véhémente prescience héritée des gênes de cervitaure forgeant infiniment ton existence. Quelques brisures rieuses s'extirpèrent de tes lippes, l'intrigue érodant ses entrailles fomentant ton fébrile amusement et ta pommette gauche balafra la sienne d'un suave accolement puis l'asservit délicatement de caressantes oscillations. Animalière affection exsudée de l'opulence de ta familiarité à son encontre.

C'est parce que je suis à moitié cervitaure et que j'ai un puissant don de prescience en fait. Je ressens toutes tes émotions fortes et plus elles sont intenses plus mes ressentis son également puissants. C'est pour ça que je comprends à chaque fois dans quel état d'esprit tu es et que j'ai souvent une longueur d'avance par rapport aux autres. Je peux aussi prévoir les averses d'ailleurs.
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Re: hypotyposes saturiennes nc-16 (nirvana) Mar 24 Avr - 5:35





les désordres enchantées


 

 
Et d'une lichée tu lynches la bouteille. Tu t'abreuves presque désespérer presque à l’affût d'addiction non-désirée. Parce qu'aujourd'hui tu ne sais pas où réfugier tes peurs, t'as décidé tête basse de t'y laisser tenter, une nouvelle fois.  Mais pourtant la présence de Nirvana est loin d'être désagréable. Bien plus encore c'est au fil des gorgées que tu songes à t'immerger dans ses sourires, partir à la conquête de ses regards et vouloir retracer d'un verset les lignes de son corps.

Car d'un contact comme pour un baiser vos nez s'étaient effleurés. Des humeurs hypocrites misent en spectacle à l'écran et parce que les comédiens ressentent du vide tu t'en détournes. Au à l'instant même, t'aurais préféré aduler ta bière d'affection éphémère. A l'instant même, tu vis pour l'alcool, alors que tu le déteste. Tu l'aurais abhorré, ce poison, tu l'aurais brûlé, jusqu'à tatouer le brasier au plus profond de tes pupilles. Tu te serais amputer tes mains et tes rêves pour ne plus avoir à céder à cette soif.


Dans un rire silencieux, tu crois que tu te détestes. Alors c'est Nirvana qui t'empêche de penser un peu trop noir. Dans un éclat de sourire, il violente doucement le contour de ton faciès, rebord de ton esprit maintenant légèrement rougit par la liqueur. Dans un battement tumultueux, tu en demeures silencieux. T'aimerais assassiner le silence mais c'est ta nuque qui se penche légèrement, ne lâchant pas un instant ces effleurements incessants.


Dans sa tirade, il devient tout puissant. Nirvana, grand et fort est capable de comprendre les sentiments. Tu bois encore. Ca veut dire que tu les vois, tu cherches d'avantages ses soupiraux, pour ne plus jamais t'en séparer. tout ce que je ressens, mes joies, mes colères, mes peurs. Ta main vient chercher la sienne et tu commences à voir d'autres silhouettes. Tu sais quand je hais, quand je méprise, quand je crains et quand je désire ? Dans un soupir, tu sens de nouveau le liquide avec ardeur envahir tes papilles. Me vois-tu comme un livre ouvert, Nirvana ? Tu te penches un peu plus. Avec jalousie, avec envie, d'y desceller quelque chose d'autres, de voir par-delà ses rires et ses mains épouser tes courbes. Car pour moi tu es un mystère.




+ tagnirvana s. ørøfin

+ noteseske j'ai répondu trop vite....


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Re: hypotyposes saturiennes nc-16 (nirvana) Ven 27 Avr - 10:45



Aristotle se délecta de nouvelles lichées débordantes de décadences alcoolisées tandis que ta pommette s'abreuva davantage de la pétulance agrémentant l'onctuosité de la sienne. Sa paume embrassa doucereusement la tienne et tes phalanges s'entremêlèrent suavement à leurs comparses tandis que son gravé émoustilla incessamment tes tympans, la candeur affublant chacune de ses palabres ravivant l'esquisse suintante d'amusement ornementant tes lippes. Ton affection bercée d'une tendresse animalière s'effrita subitement et tu délaissas son faciès, ta tête pivotant à son encontre et tes iris truculents d'une éclatante suavité conquérant les siens de leur ardeur.

Presque comme un livre ouvert. Je ne peux pas avoir une idée de ton passé ni de ton futur, seulement des émotions fortement ressenties au moment présent. Je te parais mystérieux mais on peut apprendre à se connaître toi et moi. Viens là mon beau.

Tes bras s'échouèrent autour de sa taille, l'enrobant de leur doucereux étau et l'attirant à tes côtés, gangrénant la distance lovée entre vos deux existences. Les effluves alcoolisées semblaient s'être entichées des méandres de son esprit, effritant ses entraves, dévastant cette contenance l'écrouant amèrement et déliant cette langue qui fut asservie de quelques perditions contemplatives de tes prunelles charmées de la véhémence de cette innocence flamboyant au creux des entrailles du serpentard.

Je te trouvais déjà de base très mignon mais qui aurait cru que l'alcool accentuerait ce côté de manière aussi drastique. C'en est irrésistible. Tu me pardonneras mes quelques écarts hein ? Je serai tendre, promis.

Les quelques hurlements exsudés de l'écran télévisé ne parvinrent à affrioler ton attention, tes iris particulièrement entichés de l'angélisme auréolant son faciès aux pommettes criardes d'un délicat rosacé. Une pétulance insufflée des myriades de lichées ayant cascadé le long de sa gorge qui fomenta quelques tressaillements de plaisance de la tienne. Tes lippes se galvanisèrent de la lascivité de leur frôlement contre les siennes puis les scellèrent sensuellement tant le symbolisme de délicatesse dont se parait Aristotle était d'une splendeur incapable à flageller de ta contenance émoulue de ta résistance. Les lèvres du serpentard furent érodées d'une litanie de baisers hachurés d'erratiques et fébriles blizzards qui ricochèrent délicieusement contre ses badigoinces, tes paumes embrasant ses hanches de caressantes promenades. L'une distordit son sillage pour s'arrimer à la fermeture éclair entravant son pantalon et l'assujettir d'un indécent et lascif abaissement. Tes phalanges s'insinuèrent à travers la lucarne désormais exhibée, se délectant doucereusement de la texture tissulaire préservant son intimité.
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Re: hypotyposes saturiennes nc-16 (nirvana) Ven 27 Avr - 21:44





les désordres enchantées


 

 
Affublé par ces liqueurs, quelque part parmi les bribes de pensées rationnelles la peur de t'y accoutumer semble naître. Mais tu délires et tes cauchemars se dissipent, laissant place à un monde où on réclame tes vices triomphants. Encore une fois, tu bois. Le passé et le futur n'ayant pas leur place ici, tu retiens un souffle alors que tes idées appellent aux chimères. Ses paumes caressent dans un soupir le tissu de ta chemise, t'enveloppant.

Les scrupules deviennent fictifs alors que tu réclames quelques souvenirs. Tu le trouves subitement héroïque, t'essaies de l'admirer tandis que vos corps se rapprochent. Regard de brume alors que tes réactions font preuve d'absence récalcitrante. T'essaies de deviner ses courbes car le voyant s'est dissipé,  car tu n'as plus l'âme d'un poète mais celle d'un idiot désespéré. Nouvelles fictions immonde bercé de la réalité de ces moments, tu succombes un peu plus, songeant à ces bras comme un repère alors qu'un peu plus tu te perds.

Distinguant de moitié ses paroles, alors qu'un peu plus l'alcool dynaste de tes trésors te pilles un peu plus encore. Les compliments fleurissent du bout de ses lèvres et tu veux lui avouer, que depuis le début tu l'as toujours aimer. Contemplations égarés au creux de ses pupilles, couleurs des sentiments miroitant les abords de ses luxures. Concupiscence charnelle, la réalité s'évade, ton coeur te fait mal. Pulsations désordonnées alors que l'alcool enthousiaste encore une fois épouse tes lippes.

T'abandonnant alors aux siennes, ton désir viscéral immergé de déraisons alcooliques. Et comme si elles effleuraient ton âme, tu la sentirais presque se craqueler. Fragments de rêves peu à peu brisés, poèmes entachés par la substance de l'instant. Tu perçois de nouveau son visage, tranchés de lumières, ses mains pareilles aux brises estivales les long de tes courbes. Tu te laisses perdre, tu contemples d'or et déjà un semblant de regret rejoignant les nuées dans un autre baiser. Ne les comptant plus - tu n'as pas compter le premier - tu te lamentes un peu plus.






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+ notes idk


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