Somebody's gotta nail that girl's fins to the floor — Evy Wimbley Dim 30 Avr - 22:43 | |
| Evy, Mildred, Desidaeria Wimbley “ Tu respectes le pain au lait et tu domptes le beignet ! „ Le choixpeau a quelques questions pour commencer... Tu t’appelles ? — Evy Wimbley Un surnom ? — Evil Wimbley, mais disons-le, ce ne sont pas ses amis qui l'appellent ainsi. Surtout les sorciers superstitieux, en fait. Donne moi ton âge jeune individu... — 19 ans (Et demi !) Tu viens d’où ? — Dans le quartier sorcier de Londres Et au niveau de ton rang ici ? (Sang-pur, mêlé, cracmol..) — Sang-mêlé Si tu as un don précise le ici — Voyante (don qu'elle ne maîtrise pas DU TOUT.) T’es en quelle année ? — 8ème année Quelle licence? — Défense magique et occultisme Tu aimerais faire quoi plus tard ? — Depuis très jeune, Evy avait l'ambition de briguer, en toute simplicité, le poste de ministre de la magie. Toutefois ses choix de vie ont été remis en question à l'époque de ses BUSEs. A présent, elle pense plus au présent qu'à l'avenir. Que penses-tu des élèves moldus et cracmols à Poudlard ? — Evy ne voit pas d'un bon oeil leur présence à Poudlard ou leur rapprochement pur et simple avec le monde magique. Toutefois, elle éprouve parfois une légère sympathie teintée de pitié pour les cracmols. Je vois je vois… tu seras donc dans la maison… (attendre la répartition) — Il est temps que tu apprennes la différence entre la vie et les rêves. Ta baguette magique — Tilleul argenté, épine de monstre du fleuve blanc, 25,3cm, fine, souple et sifflante. La forme de ton épouvantard — C'est une vision complexe pour les personnes extérieures qui ne voient qu'un amas abstrait de formes et de couleurs. La tourmente d'Evy, c'est sa malédiction qu'elle ne contrôle pas du tout, dont elle a peur qu'elle la rende folle. Alors, lorsqu'elle se trouve face à un épouvantard, celui-ci illustre à peu près toutes les visions qui sont passées par le troisième œil d'Evy. Celles-ci souvent trop abstraites rendent la forme de l'épouvantard oppressante, ce qui a une conséquence épidermique pour Evy qui ne peut s'empêcher de revivre les sentiments ressentis lors de ces visions. Ce sont ces sentiments, en plus de la terreur dont elle est victime, qui la neutralise. L’animal de ton patronus — Une méduse. Qu’est-ce que tu vois dans le miroir de Risèd ? — Elle, au calme, flottant et dérivant au gré des vagues au milieu d'une étendu bleue. La matérialisation du calme et de la sérénité. Que sens-tu au dessus de la potion d’Amortencia ? — Une odeur d'iode, le geitost et l'anis Ta matière favorite — Evy n'est pas difficile dans ses études, mais si il y a peut-être une matière qu'elle a toujours particulièrement affectionnée, c'est la métamorphose. Elle aimerait d'ailleurs entamer un apprentissage pour devenir animagus mais sa situation psychique actuelle ne le lui permet pas. Elle assassinera à coup de fourchette dans le nez le premier qui lui fera remarquer qu'elle est très forte en divination et que donc, ce devrait être l'une de ses matières préférées, non ? Tu aimes quoi comme bonbon ? — Les baguettes à la réglisse. Au moins, on sait ce qu'on a : pas de risque de perdre ses dents ou de se transformer en canard affreux ! La créature qui t’inspire le plus — Elle est souvent impressionnée par la majesté des abraxan ou de certaines races de dragon (sur lesquels son grand-père a de nombreuses histoires et dont il parle avec plus de respect que pour certains de ses semblables.) Mais son grand copain (qu'il le veuille ou non), c'est le calamar géant du lac de Poudlard dont elle aime chatouiller les tentacules. Un animal de compagnie peut-être ? — Sir Ichabod de Wittelsbach-Bonde. Un énorme chat norvégien au poil irisé foncé qui n'en fait qu'à sa tête et dont on a la constante impression qu'il juge sévèrement son entourage. Le gros minet ne se considère pas comme l'animal d'Evy, c'est même plutôt le contraire. D'ailleurs, si on demande à la principale intéressée, son animal de compagnie, c'est le calamar géant. Sir Ichabod ne fait qu'acte de présence pour ses croquettes et la grattouille hebdomadaire.
Tout est possible, du moment qu'on a assez de cran Evy Wimbley, c’est deux pièces d’un même puzzle. Il y a celle, la naturelle, qui assume tout ce qu’elle est. Elle est restée une petite princesse, même dans sa vie de tous les jours. Une diva capricieuse qu’il est difficile de faire bouger de ses positions. Elle a du mal avec l’autorité, ou plutôt, avec le fait qu’on lui donne des ordres à elle. C’est toute l’hypocrisie du fait qu’elle ait un respect inné pour la hiérarchie, à l’image de la hiérarchisation naturelle de sa famille. Une doctrine qui la pousse à remettre en question la place des cracmols et des moldus dans le monde des sorciers. Sans animosité violente, elle ne peut restreindre un léger mépris pour les moldus qui s’immiscent dans son monde (surtout rapport à leur ignorance.) Elle a de l’assurance, de la prestance et un charisme naturel. Quand elle rit c’est à gorge déployée et quand elle pleure, elle ne retient pas ses larmes. Mais cette Evy-là, elle s’efface de plus en plus au profit de celle qui est plus posée, plus réfléchie. Elle qui n’avait aucun problème à se mettre en avant, commence à se mettre plus en retrait. Pas par humilité ou quoi que ce soit, simplement pour ne pas montrer au monde lorsqu’elle déraille. Il lui arrive de tomber dans des périodes de profonde solitude. Elle vit mal cette transition puisqu’elle résulte plus d’un besoin face à sa propre instabilité plutôt qu’une évolution naturelle. Au delà de tout ça, c’est une femme pleine de principes : les femmes sont les égales des hommes, on s’en prend pas aux plus faibles, la loyauté et le respect, ça s’achète pas, ça s’obtient, l’amitié c’est sacré… Mais disons-le, elle n’est pas du genre à faire ce qu’elle prêche : elle a, même inconsciemment, un grand côté “moi d’abord”, qui s’accorde assez bien à son besoin d’auto-préservation. Elle est la première à jouer sur les mots et arranger les règles à son avantages pour ne pas avoir l’impression de les avoir violées (une politicienne née, vous dit-on.) Son physique l’aide assez de ce côté là : qui croirait qu’une jeune fille avec ce visage de bébé, ces grands yeux bleus et sa tignasse rousse sous laquelle on se demande comment elle ne croule pas, pourrait être mauvaise, lorsqu’elle brave les interdits avec un sourire aussi angélique ? Elle est du genre à attirer la confiance, c’est sûr. Mais encore une fois : elle n’est pas mauvaise pour l’être, elle est devenue experte pour peser les pours et les contres, elle n’appelle donc pas ça un retournement de veste mais une suite logique. Elle a du mal à comprendre que tout le monde ne marche pas sous cette même logique. La sortir de son petit monde est déjà très compliqué maintenant, puisqu’avec des insomnies récurrentes et l’impression qu’elle vit dans une autre réalité, elle n’est pas du genre à se faire influencer par autre chose qu’elle-même. Elle n’aime pas (plus) particulièrement être entourée, toutefois elle met une nuance à l’amitié et la relation bénéfique. Elle est prête à donner le bénéfice du doute à tout le monde, même les moldus et les cracmols si l’un d’eux s’avère courageux, savant, ou quoi que ce soit d’autre : elle n’apprécie rien de plus chez quelqu’un qu’un vrai caractère -même si celui-ci ne sera pas toujours en accord avec le sien.- Ce qui compte, ce n’est pas la naissance, mais ce que l’on devient. L'histoire d'Evy commence, comme celle de tous ses proches, avec l'histoire d'Alvar Virtanen, le grand-père d'Evy. Le doyen de la famille s'est affirmé comme patriarche respecté de sa famille ainsi que des branches secondaires de l'arbre généalogique. Un sorcier descendant d'une lignée qui s'affirme de sang-pur sans l'être, hostile aux changements et ayant très à coeur leur rang dans la société. Bref, des gens biens. Outre ses racines démagogues -dont il a lui-même hérité-, il est un sorcier respecté. Il plaisante parfois auprès de ses petits-enfants que sa seule erreur dans sa vie avait été d'épouser une Anglaise. Son expatriation de sa Finlande natale avait été difficile à vivre, ce qui avait provoqué le déclin de son mariage. Il commença très tôt une vie d'explorateur, pour ne se présenter plus que comme des apparitions providentielles auprès de sa famille tout en sauvant son mariage en n'imposant pas son tempérament à sa femme bien-aimée et en profitant de l'effet de manque. C'est dans cette ambiance qu'a grandie Evy, un foyer bourgeois, formé uniquement de sorciers et son grand-père comme icône. Elle se trouve au beau milieu du fratrie de cinq enfants. Seule fille de la famille, elle a non-seulement été traitée comme la sorcière de haut-rang que sa famille voulait qu'elle soit, mais également comme la petite princesse de sa famille. Elle se battait à armes égales avec ses frères, mais elle avait droit à encore plus de soins lorsqu'elle se blessait. Elle passait pour la favorite et notamment auprès de son grand-père qui était son héros. Lorsqu'il leur rendait visite, c'était jour de fête : ce vieil homme avait toujours les histoires les plus épiques à leur raconter et personne n'osait remettre en cause sa vérité. C'est sans surprise que les mots durs qu'il avait pour la mollesse du ministère de la magie Britannique ou pour la nouvelle ligne directrice de Poudlard ont fini par déteindre sur sa petite fille chérie. Quand il venait à Londres, grand-père Virtanen avait des airs d'ogre mal-luné. Mais Evy possède un nombre incroyable de très bons souvenirs de ses différents séjours en Finlande dans sa famille lointaine. L'ogre se transformait en ours fier et protecteur, les mythes et légendes qui entouraient les plaines enneigées la faisaient rêver. Se retrouver entourer d'étangs en Ecosse semblait tout de suite moins glamour. Son enfance était parfaite et son avenir tout tracé : l'héritage sorcier devait retrouver sa dignité d'antan. Bien qu'elle ne partageait pas toujours les vues extrêmes de son grand-père -et par extension, de sa famille-, Evy pensait que la séparation des moldus et des sorciers était primordiale pour assurer la sécurité de ces derniers. Les moldus n'avaient pas vraiment su se montrer compréhensifs lors des anciennes tentatives d'unification. Ca, c'est la partie où tout va bien. Parce que dans les faits, tout se passe rarement comme c'est prévu au départ. Sa scolarité quasi-exemplaire à Poudlard lui ouvrait le pas vers ses ambitions, quand elle ne se faisait pas recadrer pour sa mauvaise attitude envers les différentes figures d'autorité. Mais c'est avec les années que ce qu'elle prenait pour de l'intuition aiguisée et des "déjà-vus" s'intensifia. Son don se révéla en plein milieu de sa puberté, période déjà peu propice à la confiance en soi. Au départ, elle n’accepta pas ce qui lui arrivait comme l’affirmation de son don de voyance. C’est auprès de ses professeurs qu’elle trouva une réponse à ses troubles. Elle voyait des choses, mais elle ne savait jamais si elle les imaginait, les rêvait ou si ce n’était pas de la folie pure et simple. Ce n’était jamais clair, c’était comme d’entrer dans un tableau contemporain en mouvement. Mais c’était toujours accompagné de sensation : le parfum d’une personne qu’elle connaît, le sentiment d’une grande peur soudaine, d’une inquiétude puis d’une tristesse et une douleur physique qui lui entoure le coeur. Puis 3 jours plus tard, elle apprend que le père de sa camarade de chambre à fait une crise cardiaque. Ce sentiment de déjà-vu est omniprésent et il la rend folle. Pendant un temps, Evy ne sait plus séparer le réel de l’imaginaire. Elle est aidée, bien sûr, on essaye de la former comme on peut. Mais il n’y a aucun déclencheur formel. Avec le temps, parfois, elle aperçoit une image troublée de quelque chose de réel : une apparition plus nette que ses délires habituels. Mais elle le sait : toutes ses visions sont métaphoriques, rien n’est clair. Elle se rend folle à apprendre les symboles, les significations de chaques choses. Elle se prend d’une passion forcée pour la divination et l’arithmancie mais c’est surtout pour occuper ses nuits : elle ne dort plus. Elle a beaucoup trop peur de se réveiller sans savoir si ce qui l’entoure est la réalité. C’est une descente aux enfers pour la jeune Wimbley qui devient très vite l’objet de ragots et d’insultes dans les couloirs : évidemment, son comportement ne passe pas inaperçu. On se fait passer le mot de son troisième oeil dans les couloirs sans qu’aucune confirmation ne soit faite, faute au fait qu’elle ai parfois essayé de faire part de ses prédictions aux principaux concernés. Mais comme personne ne comprend vraiment ce don, on l’accuse à chaque fois qu’une mauvaise chose se passe : est-ce-qu’elle n’aurait pas pu faire quelque chose pour empêcher ça ? Les deux dernières années de ses BUSEs ont été particulièrement et si ses examen finaux auraient dû se passer entre Efforts exceptionnels et Optimaux, elle le recevra de justesse avec Acceptable. Mais le plus dur était passé et sa famille décida de l’extraire de l’école pendant une année pour lui laisser le temps de se recentrer. Evy le vivait très mal : en plus de se sentir comme un monstre, elle se pensait inutile. C’est son grand-père qui décida que la laisser alitée n’était pas la bonne solution et qui s’en porta garant pendant une année. Une année qu’elle vécue près du château de Durmstrang où grand-père Virtanen officiait à présent comme professeur. Elle ne pu jamais passer les portes, évidemment. Cette école lui semblait mieux protéger que Gringott. Toutefois, elle pu rencontrer de nouveaux sorciers chercheurs et professeurs qui, à la demande du patriarche, s’attardèrent sur son cas avec moins de retenu, peut-être, que dans l’enceinte de Poudlard. Elle chercha à trouver ce qui lui provoquait ses visions, en vain. Elle apprit la méditation, elle apprit que comme pour des démangeaisons, l’immersion lui permettait de se concentrer sur ses visions et atténuer les sensations. Cette année l’aida un peu, elle retrouva confiance, au moins un peu, en l’avenir et surtout, elle savait qu’il lui était possible de dompter son don et d’apprendre à vivre avec. Elle retourna à Poudlard l’année suivante pour suivre ses années d’ASPICs avec le léger espoir que personne n’ai fait attention à son absence, le fait qu’elle soit née en fin d’année jouerait peut-être en sa faveur. C’était peine perdue, évidemment, puisque toutes les promotions se suivaient dans leur maison de la première année au passage des ASPICs. Lorsqu’il lui fallut choisir ses options, Evy prit la décision de poursuivre dans une voie plus obscure que la carrière politique qu’elle s’était choisie, au grand désarroi de sa famille. C’était une manière pour elle d’essayer de travailler son “don” comme elle l’avait fait lors de son année sabbatique. De toutes manières, son état psychologique ne lui permettait pas de se concentrer sur des matières aussi exigeantes que la géopolitique des sorciers. Evy |
| Qui es-tu ? — Une tortue. Ton âge ? — 23 ans Ton film favori — WOW. Beaucoup trop difficile. J'aime beaucoup le cinéma d'horreur en général. J'ai une affection particulière pour les films Big fish et l'étrange Noël de monsieur Jack. Ce sont les premiers qui me viennent à l'esprit mais ce ne sont vraiment pas les seuls. Ton livre favori — Je ne crois pas avoir de livre préféré particulièrement, mais j'aime plus ou moins toute la carrière de Serge Brussolo, H.P. Lovecraft, Granger, ... Là encore, beaucoup trop compliqué de ne s'arrêter que sur quelques uns. Vous me torturez QAQ Comment tu as découvert Dabberblimp ? — Top site. Des remarques pour l’améliorer ? — Pas pour l'instant ! Personnage sur l’avatar — Ariel - la petite sirène Une dernière… Nargole ou Joncheruine ? — Joncheruine ! |
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Dernière édition par Evy Wimbley le Lun 1 Mai - 17:48, édité 1 fois |
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En couple avec : Marié à Rachel O'Sullivan Scamander.
Re: Somebody's gotta nail that girl's fins to the floor — Evy Wimbley Lun 1 Mai - 22:12 | |
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Bienvenue sur Dabberblimp ! Salut. Je suis fan de toi. Voilà, fallait que je le dise. J'ADORE ton personnage omagad Evil est géniale 8D Je veux plein de liens avec toi voilà voilà. Bon j'ai l'impression que ma validation n'est pas du tout CONSTRUCTIVE. Juste, je t'aime. j'aime ta fiche. JE T'AIME. Je vais stalker tes RP meuf. (ok là ça devient malaisant.) Du couuup. Tu vas me faire ta fiche de liens, ton portable, checker les postes et les clubs, et .. t'amuser ?
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