déraisonnable. »

NOM  → Avery.
PRÉNOMS  → Hazel, Epsilon.
SURNOM  → Nimhe, qui provient de l'expression irlandaise "mo nimhe milis" qui signifie "mon doux poison" qu'utilisait son père en toute tendresse et qui est restée.
NATIONALITÉ  → Irlando-canadienne.
AGE  → Vingt ans.
SEXE  → Féminin.
ORIENTATION SEXUELLE → Bisexuelle. Surtout sexuelle en fait.
SANG  → Sang-pur.
PARTICULARITÉ  → Extrêmement riche. Tellement riche, que c'est gênant pour les autres.
ANNÉE D’ÉTUDES  → Rentre en neuvième année.
BI-LICENCE  → Défense magique et Occultisme ainsi qu'Étude des créatures magiques.
MAISON  → Serpentard.

Baguette magique  → Bois de pin, crin de Sombral, vingt-sept centimètres, délicieusement rigide, alliée de choix dont la loyauté n’est plus à prouver.
Epouvantard  → Elle-même, lorsqu’elle était plus jeune, les paumes tendues, le visage blafard, les yeux fous. Rappel d’une impuissance cruelle.
Patronus  → D’apparence indolente, sur son arbre perché, la panthère à la robe couleur de nuit sans lune, dissimule sa férocité.
Reflet du miroir de Risèd → Les cheveux dans le vent, habillée comme pour partir à l'aventure, un Demiguise accroché à son coup tandis que s’étend derrière elle, un vaste domaine, son refuge pour créatures magiques, et  à hauteur du ciel une silhouette masculine volant sur un balai. L’atmosphère elle-même semble rieuse et espiègle.
Odeur de l'Amortentia → L’ambre, les Bluebells irlandaises et la fumée de cigarette.
Matières favorites → Vol, Soins aux créatures magiques et Sortilèges.
Bonbon favori → Le chocolat de chez Honeydukes.
Créature inspirante → Elle éprouve une grande affection et une fascination certaine pour les Demiguises. Les créatures magiques en général, ainsi que les animaux, sont les seuls êtres pour qui elle éprouve du respect et une tendresse sans borne.
Animal de compagnie → Un majestueux Maine coon de grand gabarit à la robe "black silver tabby" du nom de Rigel.

Avec ses yeux d'obsidienne, ses lèvres rouges, ses cheveux qui s'étalent librement et ce sourire mutin, elle a des airs de fée. Pas de celles qui réalisent les vœux, plutôt celles qui chapardent et font preuve de malice. Elle dit se moquer de tout, tout en prenant les choses trop à cœur. Les promesses d'éternité la font rire et les mots doux la font fuir. Jamais elle ne se donne, toujours elle se préserve. Sagace et perspicace, elle ne laisse rien au hasard. Elle se méfie de tout et de tout le monde. Alors elle attaque la première et prend soin de viser juste. Elle connaît les êtres humains, elle sait qu'ils salissent et qu'ils s'enlisent dans leurs propres vices. Parce qu'elle n'estime n'avoir rien à perdre et tout à gagner, son effronterie devient audace. Elle a aussi cette façon de rire si particulière, qui monte jusque dans ses yeux et vous percute de plein fouet. Elle a ce goût pour l'orage, le sarcasme et l'acidité. Elle est celle qui ose, celle qui désir, celle qui dispose. L'insolente, l'excessive, l'infernale et l'insoumise.
Son regard brûlant, les bracelets qui s’entrechoquent à son poignet, ses seins lourds, sa démarche étudiée. Au fond, incapable de vivre et de laisser vivre, elle attend qu'on lui coupe le souffle, qu'on la surprenne, qu'on lui appartienne. Ce lent poison aphrodisiaque. Elle craint l'ennui autant que la lassitude. Elle a appris que chaque vie a son lot de drames et de larmes, que certains restent et d'autres partent. Qu'être mis en pièce n'est pas si rare. Qu'il faut s'endurcir pour pouvoir lutter à armes égales. Que les coups au cœur sont les plus redoutables. Elle dissimule son appétit vorace et son envie d'émerveillement. Mais chacun sait que derrière l'inconséquence, il y a la férocité faite femme. Elle n'ignore pas le reste non plus. Qu'on ne peut survivre entre inquiétude et sentiment d'insécurité. Que l'existence n'est pas faite pour être vécue en noir et blanc. Alors comme l’ouragan, elle se lance et s'élance, dévaste par endroit et soulage ailleurs. C'est en souriant qu'elle dit que ce monde manque de charme et qu'elle remercie la magie de le lui rendre plus supportable.

Charismatique  Sur la défensive  Sensuelle Aime l'orage et les grands espaces Semble s’amuser de tout A toujours un petit sourire au coin des lèvres N'aime pas être bousculée  Redoutable en colère  Joueuse Membre de la famille Avery donc très riche Passionnée d'histoire et d’archéologie sorcière  Esprit analytique A de l'affection pour ce qui est tordu, brisé   Calculatrice  Apprécie dangereusement l’adrénaline Fuit l'engagement comme la peste Particulièrement douée pour exprimer le mépris et la moquerie au travers d'un haussement de sourcil  Joyeusement cynique Taquine Aime les hommes plus âgés Father complex latent Ne mange que ce qu'elle aime   N'a donc jamais de vert dans son assiette Adore les animaux et les créatures magiques Recueille tous ceux qu'elle rencontre Elle a un côté fantasque qui dépasse un peu les autres Possède une très grande bibliothèque   Ce n'est pas une grande fan du genre humain dans son ensemble Souvent prise d'une frénésie dépensière Déteste être réveillée Mal-à-l'aise avec les enfants Ne supporte pas la foule Plutôt à l'aise avec la technologie moldue Si vous la faites rire vous êtes susceptible de lui plaire, même à vos dépends Son oncle et tuteur légal adore lui envoyer des robes de l'ancienne époque et la voir les porter Elle lui accorde ce plaisir avec joie Aime tout particulièrement voir les gens se faire assommer par un cognard lors des match de quidditch Féministe Comme toutes les Avery, c'est une femme de pouvoir

Il fixa un point invisible en face de lui, les yeux dans le vague. Puis, il finit sa tasse de thé et s’installa dans le fauteuil. Il se tourna vers toi et son expression s’adoucit.  

« Tu sais, ton père c'était un véritable feu de forêt. Il était fascinant, il attirait les regards, les gens gravitaient autour de lui comme si c'était un aimant. Il était libre, sans contrainte. A côté de ça, il était impitoyable et ravageait tout sur son passage. A trop s'enflammer, on finit par s'éteindre. Ton père au fond, il ne pouvait qu'être éphémère. Les plus belles choses le sont, nimhe. »

Il posa la main sur le dessus de ta tête et te caressa les cheveux en souriant.

« Ne sois pas triste. Il est parti comme il a vécu ; avec insolence. Tu es la personne qu'il a le plus aimée, la seule pour qui il revenait tous les mois. Tu étais sa fille chérie, la seule femme qu'il voyait à ses côtés. Votre lien est si fort, même maintenant. Il semble imprégner tout ton être.Tu lui ressembles, tu sais. Tu es faites de flammes. »

Une fois encore, son regard se voila. Par réflexe, tu t’enfonça un peu plus dans le moelleux des coussins.

« Tu es jolie nimhe, mais tu es trop sauvage. Apprends à mesurer les choses, à te laisser approcher. La solitude abîme plus qu'elle n'apaise. Ne t'enfermes pas. Ouvre les portes et les fenêtres. Laisse le vent te caresser mais ne le laisse pas t'emporter. Et n'en veux pas à ta mère, ma petite. C'était compliqué d'aimer ton père, d'être son ombre dans cette famille où les femmes se doivent d'être au pouvoir. Elle brille aussi sais tu ? A sa façon, au travers de son élégance, de ses yeux couleur d'océan, de l'abandon dont elle sait faire preuve. Elle t'aime, sois en assurée. Elle doit se reconstruire c'est tout, et pour ça elle a besoin d'être loin. Vous êtes juste différentes. Et nimhe, reconnais le, tu es difficile. »

Il tenta en vain d'adopter une mine sévère mais le tendre sourire qui éclaira son visage manquât de le rendre crédible.

« Attachante puis insupportable. Tu occupes l'espace ma chérie. Tu avances trop vite aussi. Tu n'en n'a jamais assez. Tu en demandes trop. Les gens savent de moins en moins donner. Te canaliser n'est pas chose aisée. Mais je sais la vérité, nimhe. Je sais que tu as peur et que tu ne t'aimes pas. Mais cette colère, cette colère, il faut que ça cesse. »

Il planta son regard dans le tien. C'était sans équivoque. Pour une fois, tu ne pipas mot.

« Je sais pertinemment que notre famille peut être implacable. L’exigence est toujours plus importante. Cependant, tu ne dois pas te laisser influencer. Ta magie finira par se déclarer, mon enfant. Ne t'impatiente pas et ne te fais pas de mal. Le temps viendra où tu seras l’incroyable sorcière que je vois en toi. En attendant, je ne veux plus que tu t'enfuies du manoir. Tu es sous ma responsabilité, cesse de disparaître ainsi ! »

Alors qu'il te faisait les gros yeux, tu tentas tant bien que mal de ravaler ton sourire moqueur. Il ne tarda pas à s'en apercevoir et poussa un grand soupir désabusé.

« Ah nimhe, tu portes vraiment bien ton surnom. Tu es un vrai poison quand tu t'y mets. »

Tu en conclues que la discussion -enfin son monologue- touche bientôt à sa fin. Tu descendis alors du canapé et tu pris place sur ses genoux. Front contre front, ta petite voix rieuse s’éleva dans la pièce.

« Je ne suis pas faite pour être sage, mon oncle. L'aventure m'attend. » précises tu de ta voix d'enfant.

Les éclats de son rire résonnèrent encore quand il te prit dans ses bras.

« Infernale gamine. Mo nimhe milis. »

Alors tu sais qu'à partir de cet instant, prise dans l'étreinte de ton deuxième père, tu apprivoiseras la vie et tu feras avec ses drames. Tu seras cajoleuse et distante, piquante et lascive. Tu seras une Avery, une femme devant laquelle on s'incline, une femme qui porte le monde. Ton bonheur à toi sera plein de disputes et c'est tant mieux. Tu es Hazel, le plus doux des poisons.

Hello le monde. /o On m'appelle Erakis et je suis encore fraîche et pimpante malgré ma vingtaine passée. J'aime les sous-entendus, le sucre et les chats. Je suis étudiante en criminologie et je suis passionnée de littérature. Ça faisait longtemps que je cherchais un forum hp où je pourrais m'en donner à cœur joie et écrire avec de chouettes personnes. J'espère parvenir à me faire une place parmi vous. Je n'ai pas rp depuis longtemps donc n'hésitez pas à souligner mes maladresses. En dehors de ça, sachez que je suis une joueuse facile (dans tous les sens du terme /paf) et que j'aime créer des liens et les mettre en scène. Amour sur vous.

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