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Fill my heart with sunshine ☼ Alice

Alice Lewis
L'éclair jaune
L'éclair jaune
Alice Lewis
Messages : 56
Points : 243
Fill my heart with sunshine ☼ Alice Dim 29 Juil - 23:03

Alice Lewis


IDENTITÉ ☆ Alice Lewis
ÂGE ☆ 16 ans, née le 9/08/2012
ORIGINE ☆ Anglaise
SANG ☆ Né-moldu
ANNÉE D'ÉTUDES ☆ 6e année à la rentrée
OPTIONS OU LICENCE ☆ Plus d'histoire, ni de divination, alchimie, rune approfondie et transmutation
AVENIR ☆ N'y pense pas
AVIS SUR LES CRACMOLS ET MOLDUS À POUDLARD ☆ Tant qu'ils peuvent étudier ce qui les intéresse, où est le problème ?
MAISON ☆ Poufsouffle
AVATAR ☆ You Watanabe ; Love Live Sunshine

BAGUETTE MAGIQUE ☆ Sorbier, crin de licorne, 26.67 cm, souple
ÉPOUVANTARD ☆ Son chat et sa mamie, morts
PATRONUS ☆ Éléphant
REFLET DU MIROIR DE RISÈD ☆ Elle, en train de lire une histoire qui éblouit tous les enfants qui l'écoutent.
ODEUR DE L'AMORTENTIA ☆ Herbe fraîchement coupée, pêche et tarte aux poires de sa mamie
MATIÈRE FAVORITE ☆ Potions
BONBON FAVORI ☆ Fizwizbiz
ANIMAL DE COMPAGNIE ☆ Réglisse, un chat noir
PSEUDO ☆ Ryunos

Un soleil traverse le ciel à toute vitesse, bien plus brillant que l'astre solaire lui-même. On croirait pouvoir entendre son rire à des kilomètres à la ronde et voir son sourire étincelant depuis la lune. Personne ne sait pourquoi elle semblait si pressée de s'envoler. Elle était simplement en train de jouer à sa console quand cette envie l'a frappée si violemment qu'elle ne pouvait plus rester en place. Sans même éteindre la machine, elle l'a lancée sur son lit, a sauté dans ses chaussures et a quitté le dortoir. En sautillant, courant, trottinant, enchaînant les différents types de courses dans un ballet insensé, elle a traversé les couloirs et escaliers. Bien sûr, elle a failli rentrer dans quelques personnes au passage parce qu'au lieu de regarder devant elle, elle regardait déjà les cieux. Des excuses accompagnées d'un joli sourire l'ont lavée de tout méfait. De toute façon, tout le monde a déjà l'habitude de ses idées folles et de son énergie débordante. Nombreux sont ceux à qui elle a pris la main pour les entraîner dans ses aventures. Tenter un sort qu'elle vient de découvrir dans un livre, parier sur le premier qui tombera sur la fameuse saveur crotte-de-nez des dragées de Bertie Crochue, mélanger tout un tas d'aliments qui n'ont rien à faire ensemble puis goûter le résultat, elle ne recule jamais devant de nouvelles expériences, surtout si elles permettent de s'amuser ! Elle aimerait tout voir, tout essayer. Elle dévore les livres avec passion, termine tous ses jeux vidéos à 100%, discute avec tout le monde. Elle s'investit toujours un peu trop dans ce qu'elle fait. Si quelque chose paraît hors de portée, elle redouble d'efforts. Oui, elle saura sauter suffisamment haut pour atteindre la plus haute branche et concocter cette potion très difficile qu'elle a vu en cours. Elle n'arrête jamais, toujours à la recherche d'un nouveau frisson, de nouvelles sensations.

Comme branchée directement à une centrale électrique, elle ne semble jamais fatiguée. Même si des poches sous ses yeux montrent bel et bien au monde entier qu'elle l'est, elle ne le laissera jamais paraître dans son attitude. Elle oublie trop facilement de se reposer, prise par ce besoin d'activité qui la pousse à toujours plus, toujours mieux. Même malade, elle refuse de rester au lit parce qu'il faut arroser des plantes et aussi qu'elle joue avec son chat, sans oublier cette course avec le club d'athlétisme. De tous les moyens possibles, elle fuit la solitude, elle fuit l'ennui mais elle a beau courir le plus loin possible, ils pourraient finir par la rattraper alors elle saisit des mains, émeut des coeurs et espère que sa gentillesse, que sa bonne humeur, que sa personne suffiront. Elle offre un coup de main, prépare une fête surprise, dépose un livre passionnant sur une table de chevet. Tout est une bonne excuse pour ne pas penser trop fort. Les seuls moments calmes où elle n'est pas en train de prévoir un milliard de trucs pour ce soir, demain matin et aussi demain après-midi ah et cette sortie le mois prochain, elle joue du piano. On imaginerait des mélodies entraînantes, au vu du personnage, mais elle préfère les airs mélancoliques. Là seulement, elle se permet d'exprimer ce qui ne va pas. Là seulement, elle s'assied et arrête de gesticuler dans tous les sens pour oublier la douleur. Là seulement, elle arrête de sourire et se permet de simplement être, sans artifices. Il lui arrive parfois de pleurer, sans pouvoir expliquer les larmes qui coulent sur ses joues. Tout est si intense. Ses sentiments sont si intenses qu'elle préfère les enterrer sous tout un tas d'activités, tout un tas de mots et de gens plutôt que les affronter. Pourvu qu'ils ne s'échappent pas, pourvu qu'ils ne détruisent rien. Elle a peur d'elle-même, peur de la colère, de la haine, de la tristesse. Elle ne sait pas les apprivoiser et n'a pas le courage de les laisser s'exprimer alors elle cache tout. Elle cache tout derrière ses jolies attentions et son doux sourire. Elle cache tout derrière son énergie et sa bonne humeur.
Elle prend la petite dans ses bras, heureuse d'avoir pu la rencontrer de son vivant. L'enfant ne sait encore rien dire, ne sait pas encore sourire mais elle attrape son doigt, fascinée par une découverte de plus dans ce monde tout nouveau. La voix chaude de sa nouvelle mamie l'émeut un peu et elle la regarde avec ses grands yeux bleus interrogatifs. Elle lui répond par un regard attendri et un sourire que la petite tente de reproduire. Et puis mamie la rend à maman.

« Tu sais, on l'a appelée Alice parce que c'est ton deuxième prénom. On voulait qu'il y ait une petite part de toi en elle, parce que tu as été si bonne avec nous et si attentionnée, encore aujourd'hui. Merci maman pour tout ce que tu as fait. »


Quelques larmes coulent sur les joues usées. Cela fait bien longtemps qu'elle n'a pas ressenti de si grande joie, tellement qu'elle a du mal à dater la dernière fois. Mais vu que la dernière fois, c'était son mari qui l'avait tant fait sourire, cela devait être il y a bien longtemps. La mélancolie emplit son visage.

« Voyons ma chérie, c'est normal. Tu es ma fille et je t'aime. »


Alice ne comprend pas encore les mots, ne voit que les larmes, les sourires, tant d'émotions déjà si fortes pour son petit coeur. Tout est trop fort, trop intense et elle craque elle aussi, se met à pleurer. Les adultes ne comprennent pas, le monde n'est plus aussi éblouissant pour eux depuis bien longtemps. Mais elle, elle n'arrive pas à voir, pas à respirer alors elle crie si fort. Ni maman ni papa n'arrivent à la calmer et ils se regardent, chacun à la recherche de la réponse au problème dans les yeux de l'autre. Finalement, c'est mamie qui apaise sa petite-fille. Elles le ressentent toutes les deux, un lien silencieux s'est déjà tissé entre elles.

« Mamie, mamie ! Regarde mon dessin ! »


Son rire éclatant emplit la maison trop vide. Elle court un peu vite dans le couloir, pressée de montrer son œuvre à sa grand-mère adorée.

« Alors là tu vois c'est papa et là c'est maman, ça c'est toi et ça c'est moi ! Lààà c'est ma maison et puis là il y a le soleil qui brille très fort. Et puis là y'a James, il joue à la console et là y'a William, il lit un livre ! Et on est dans le salon et on joue toi et moi pendant que papa et maman préparent le repas ! »


« Ton dessin est très joli ma chérie. J'espère qu'il va se réaliser bientôt. »


« Oui, moi aussi ! »


« D'ailleurs je vais commencer à préparer le dîner. Tu veux m'aider ? »


« Oh oui, mamie ! Comment je peux t'aider ? »


« Tiens, tu peux laver les légumes. Ils doivent être tout propres, sans terre dessus ! »


Et elle dispose un petit marche-pied devant l'évier pour qu'elle puisse l'atteindre et laver carottes et pommes de terre. Ce soir encore, elle garde sa petite-fille parce que sa fille et son mari travaillent trop dur pour avoir le temps de préparer un vrai repas à partager en famille. Les garçons, eux, sont de sortie chez des amis à eux. Elle comprend les parents, ils veulent protéger leurs petits de tout problème financier mais ils abusent tout de même. Enfin, cela lui permet de passer du temps avec Alice donc elle ne s'en plaint pas et profite de chaque précieux instant avec elle.

« Mamie, mamie ! J'aimerais troooop un paquet de marshmallows ! »


« Hahaha d'accord ma chérie mais dans ce cas tu vas devoir goûter mes bonbons préférés à moi. »


« D'accord ! C'est quoi ? »


« Ceux-là. Tu en as déjà mangé ? »


« De la réglisse ? Non, je ne crois pas. Papa et maman ne m'achètent pas beaucoup de bonbons et les enfants à l'école ne veulent pas partager leurs bonbons avec moi parce qu'ils disent que je n'en apporte jamais pour eux... »


« Mhm et si on prenait aussi cette grosse boîte ? Tu pourras la partager avec tes petits copains à l'école comme ça. »


« Waaaah trop bien ! T'es la meilleure, mamie ! »


Les bonbons plaisent, elle devient la plus cool de la cour de récré pendant quelques temps. Déjà qu'elle impressionnait tout le monde parce qu'elle courait plus vite que le plus rapide des garçons, tout le monde connaît son prénom à présent. Elle est invitée aux fêtes d'anniversaire, à faire du vélo dans le quartier. Tous les enfants l'apprécient mais les parents et instituteurs un peu moins. Elle monte aux arbres et ignore un peu trop facilement le règlement de l'école à leur goût. Malgré les punitions, elle n'arrête pas. Ses parents n'arrivent pas à la contenir et se reposent sur la grand-mère pour s'occuper d'elle.

« Maman, je peux aller voir mamie aujourd'hui ? »


« Tu as fini tes devoirs ? »


« Oui. »


« Très bien, montre-moi. »


Ça l'énerve. Ils ne lui font pas confiance alors qu'elle est tout à fait capable de s'appliquer pour bien réussir les exercices à faire pour le lendemain. Il faut de longues minutes pour que sa mère vérifie le contenu des devoirs et lui accorde finalement l'autorisation d'aller voir sa grand-mère. Alice enfourche alors son vélo et pédale le plus vite possible parce qu'elle a hâte de la voir. Elle sonne, personne ne répond. Mais c'est pourtant bizarre, les volets sont ouverts et mamie les ferme toujours quand elle n'est pas là. Elle ouvre alors la porte et rentre dans la maison.

« Mamie ? »


« Alice ! Je suis là, viens m'aider ! »


Elle accourt, découvre que sa mamie est tombée et n'a pas réussi à se relever. Le monde s'effondre. Elle l'aide à se redresser tant bien que mal et appelle ses parents à l'aide via le téléphone fixe de mamie. Vite, ils accourent à leur tour. Si la grand-mère affirme que tout va bien, sa fille insiste pour qu'elle passe des examens. Ceux-ci ne révèlent rien de particulier, mis à part qu'elle devrait faire plus attention quand elle se lève à ne pas le faire trop rapidement. Alice lui dit de faire très attention parce que, même si elle n'a pas tout compris, elle ne voudrait pas que sa mamie se blesse.

Le thé est excellent. Elle sirote sa tasse, désespérée par le talent de sa grand-mère pour le préparer. Elle n'arrivera jamais à faire aussi bien. Depuis l'incident, elle s'arrange pour être le plus possible avec sa mamie, au cas où elle chute à nouveau. Comme tous les samedis après-midi, sa grand-mère, ses deux frères et Alice dégustent des gâteaux autour de la table de la salle à manger. Tous parlent de la semaine, échangent des banalités. Les parents sont aux courses, comme régulièrement le samedi après-midi. Ils ramèneront sans doute des bonbons pour la benjamine, des t-shirts pour le cadet et des livres pour l'aîné. Ils compensent en quelque sorte leur présence par des cadeaux. On sonne à la porte.

« Je vais ouvrir. »


William s'exécute.

« Bonjour ? »


« Bonjour, est-ce qu'Alice Lewis habite bien ici ? »


Il arque un sourcil, examine cet homme qui est venu voir sa petite sœur. Il hésite quelques instants à mentir, pour la protéger, mais il semble déceler dans son regard que la question était rhétorique.

« Oui. Vous désirez ? »


« Eh bien voyez-vous jeune homme, j'ai là une lettre de la plus haute d'importance pour la petite Alice. »


N'ayant pu s'empêcher d'entendre, elle saute de sa chaise et apparaît derrière l'aîné de la fratrie.

« Une lettre ? Pour moi ? »


Il la laisse passer devant lui. L'inconnu sort une lettre de sa sacoche.

« Et oui mademoiselle ! Je viens porter une nouvelle des plus réjouissantes : vous possédez des pouvoirs magiques et êtes attendue pour la rentrée prochaine à Poudlard, l'école de magie. »


Elle ouvre grand ses yeux. Son frère, lui, regarde le messager d'un air sceptique.

« Des pouvoirs magiques ? Pouvez-vous développer ? Comprenez qu'il m'est difficile de croire une histoire aussi fantaisiste. »


« Oh bien sûr mais pourrions-nous faire une démonstration à l'intérieur ? Je ne voudrais pas attirer l'attention de tout le quartier. »


Méfiant, il accepte toutefois. L'homme entre alors, explique la raison de sa venue à la grand-mère et à James. Tous deux sont aussi sceptiques que William. Visiblement, le visiteur s'attendait à la réaction et il sort un bout de bois de sa sacoche. Il l'agite un peu, dit deux mots et la chaise de William se met à flotter.

« Waaaaw c'est trop bien ! Comment vous faites ça ? »


Il sourit à l'enfant.

« J'ai étudié ce sort dans ma jeunesse, à Poudlard, l'école dans laquelle vous passerez le reste de votre scolarité. »


« Donc la magie existe et vous pensez que ma petite soeur possède des pouvoirs. »


Le calme de l'aîné est impressionnant. Alors que la grand-mère reste sans voix et que ses cadets observent la chaise sous toutes les coutures pour tenter de déceler un truc qui n'existe pas, il tente de résumer la situation et de poser des mots dessus pour mieux l'assimiler. Nier les preuves ne lui servirait à rien.

« Elle possède des pouvoirs, oui. Voyez-vous, à Poudlard, nous avons un livre qui indique les identités de tous les sorciers ainsi que des frères et sœurs de sorciers nés parmi vous, les moldus. Ce sont les personnes qui n'ont jamais eu aucune connexion avec la magie. Ainsi, nous pouvons vous contacter. »


« Comment se fait-ce qu'on ne vous ait pas vu plus tôt alors, pour l'admission de mon frère et moi-même à cette école ? »


« Eh bien nous sommes venus mais vos parents n'étaient pas aussi à l'écoute que vous. Aussi, comme il n'y avait aucune obligation, nous avons lâché l'affaire. Le problème avec Alice est qu'elle va développer des pouvoirs, ou a éventuellement déjà commencé à les développer, et qu'il faut absolument lui apprendre à les canaliser pour éviter que n'arrivent de petits... incidents. Il existe assez de films qui incluent des effets de pouvoirs magiques pour que vous imaginiez aisément qu'il vaut mieux apprendre à maîtriser un tel don. »


« Oui, je suis tout à fait d'accord. J'ai juste peur que nos parents ne soient pas du même avis et puis tout cela est si soudain. »


« Pour vous, oui. On dirait qu'ils ne vous ont pas parlé de notre précédente visite. Je doute qu'ils acceptent aisément de laisser leur fille faire la suite de sa scolarité dans une école pour magiciens dont ils n'ont pas voulu entendre il y a des années de ça. »


« Voudriez-vous boire une tasse de thé ? J'aimerais que l'on puisse en parler avec eux. »


« Volontiers. »


Les cadets posent tout un tas de question au messager qui leur répond patiemment. La grand-mère semble comme en état de choc. Le grand frère, quant à lui, se contente de boire son thé en surveillant l'heure, imperturbable. Alice ne comprend pas pourquoi il ne s'enthousiasme pas à propos de ce nouveau monde qu'ils ne connaissaient pas et qui vient de frapper à leur porte. Elle pose des questions sur le fonctionnement de Poudlard, la magie, si ses parents pourront venir la voir à l'école, si elle aussi elle aura sa propre baguette pour lancer des sortilèges comme celui qu'il leur a montré ah et comment faire ledit sort ? Peut-elle elle aussi là maintenant ? Et quand est-ce qu'elle va l'étudier ? Et James de rebondir en demandant s'il pourra lui aussi venir à cette école, même s'il a déjà quinze ans. Assailli par les questions, le sorcier garde son calme et répond méthodiquement à chacune d'entre elles, au plus grand bonheur des enfants.

Les parents entrent, déposent quelques sacs de courses dans l'entrée et se figent quand ils aperçoivent un inconnu, assis à leur table, et partageant du thé avec leurs enfants.

« Qui est-ce ? »


Un silence s'installe. Alice n'ose rien dire, le regard réprobateur de ses parents l'en dissuade. Seul William décide de se lever et d'aller à la rencontre des parents pour leur expliquer la situation et qui est cet inconnu qui buvait du thé avec eux dans le salon.

« Alors ils sont revenus ? Pour emporter notre fille ? »


« Emporter est un bien grand mot madame. Nous allons l'aider à apprivoiser les capacités magiques qu'elle possède pour s'assurer qu'elles ne s'expriment pas de manière malencontreuse. Vous imaginez bien qu'un enfant en capacité de faire s'envoler des objets mais ne sachant pas maîtriser ce pouvoir peut s'avérer être un problème au sein de la société. »


« Vous racontez n'importe quoi, notre fille ne possède pas ces "pouvoirs magiques". Elle est normale, comme toutes les autres petites filles, et ira à une école normale, comme toutes les autres petites filles. »


« Hélas madame, votre fille possède bel et bien des pouvoirs magiques et il est dommage de refuser qu'elle aille à une école qui lui apprendra à s'en servir. Nous vous accompagnerons dans toutes les démarches, que ça soit pour les fournitures à acheter ou le voyage vers Poudlard. Vous pourrez même lui rendre visite de temps en temps, si vous avez peur pour elle et elle aura un téléphone et pourra vous contacter aussi souvent qu'elle le souhaitera. »


« Non. Sortez de chez moi. Ma fille n'ira nulle part tant que je n'en aurai pas décidé ainsi. Si j'ai sommé le messager de la dernière fois de ne pas revenir, c'est pour une bonne raison. Je ne veux pas entendre parler de votre "magie". »


« Très bien. Au revoir, madame. »


Alice regarde l'homme disparaître, ainsi que toutes ses chances d'aborder ce monde nouveau auquel elle a déjà l'impression d'appartenir. Elle pleure, très fort, explique à papa et maman qu'elle voudrait y aller et ne comprend pas pourquoi ils ne veulent pas. Et eux répètent que la magie n'existe pas, que tout n'était qu'artifice et qu'ils voudraient qu'elle reste près d'eux parce qu'ils l'aiment. William et James défendent leur sœur, s'opposent à leurs parents. La grand-mère ne prononce toujours pas un mot. Les cris fusent dans la maison. Les courses ne sont même pas rangées. Des jours durant, une véritable guerre semble s'être installée entre les parents qui nient l'existence de la magie et les frères qui ne comprennent pas qu'on puisse être buté au point de nier l'évidence. Tout le monde fuit la maison plus que d'habitude. Les adultes travaillent davantage, les garçons passent des soirées chez leurs amis pour s'assurer de ne pas les voir et Alice reste chez sa grand-mère. Elle pleure à chaudes larmes dans les bras de sa chère mamie.

« Voyons ma chérie, ne pleure pas. On va trouver une solution et tu vas pouvoir aller apprendre la magie. »


« C'est vrai ? »


« Bien sûr. Tes frères sont d'accord pour m'aider. Je prendrai toute la responsabilité et eux t'aideront pour les courses de fournitures, pour faire tes bagages et t'y emmener. Je viendrai aussi bien sûr. On va s'occuper de tout, tu vas voir. Tu veux vraiment aller dans cette école ? »


« Oui. »


« Même si papa et maman ne sont pas d'accord ? »


« Oui. »


« Alors nous allons faire en sorte que ça arrive mais il ne faudra rien dire à tes parents. »


« Merci mamie, tu es vraiment la meilleure. »


Tout s'organise autour d'elle, même si elle n'en sait pas grand-chose. Sa grand-mère est vite approchée par un sorcier de Poudlard, qui lui explique que la démarche est peu conventionnelle mais vu que les parents sont vraiment butés et la petite motivée, ce serait dommage de laisser passer cette opportunité. Alors elle remplit les papiers, signe comme quoi elle accepte l'entière responsabilité de sa petite-fille lors de sa scolarité à Poudlard, même si elle sait bien qu'il n'y aura jamais de problèmes. Ses frères apprennent l'existence du chemin de traverse, accompagnent leur sœur acheter sa première baguette, sa robe de sorcier qu'elle adore déjà.

« Mamie, je voudrais qu'on adopte toutes les deux un chat. Comme ça on ne se sentira pas seule même si l'autre est loin ! Tu en penses quoi ? »


« C'est une merveilleuse idée Alice. Tu voudrais un chat comment ? »


« J'en voudrais un noir ! Et je l'appellerai Réglisse ! »


« Haha dans ce cas j'en prendrai un blanc et je l'appellerai Marshmallow. »


Elles s'échangent un sourire entendu. Les deux chats sont rapidement adoptés, ce qui permet à Alice de cocher la dernière chose dont elle avait besoin pour ce nouveau départ. En attendant qu'elle parte pour la gare, Réglisse reste chez sa mamie, de même que la plupart de ses affaires de sorcier pour s'assurer que ses parents ne découvriront pas le pot-aux-roses trop tôt.

« Maman, papa, je voudrais vraiment aller à Poudlard. »


« Non. »


« Mais pourquoi ? »


« Nous en avons bien assez parlé et nous t'avons déjà expliqué des centaines de fois pourquoi. Tu feras ta rentrée avec les autres enfants du quartier, au même endroit. Maintenant cesse d'insister, tu n'iras pas à cette école fallacieuse. »


En colère, elle monte dans sa chambre. Ils ne savent pas que tout est déjà prêt, qu'elle ira à la rentrée. Elle espérait qu'ils accepteraient finalement de l'entendre. Ce n'est pas grave, cela ne l'empêchera pas d'y aller. Elle pleure quand même de rage dans son oreiller, cherche du réconfort auprès de ses aînés. Demain, elle partira loin d'eux et ils lui manqueront beaucoup. Bien sûr, ils vont l'accompagner jusqu'au train mais à partir de ce moment-là, elle sera vouée à elle-même et être toute seule lui fait tellement peur. Elle leur demande de beaucoup rester avec mamie pendant qu'elle ne sera pas là parce qu'elle a peur pour elle et ils l'assurent qu'ils feront tout ce qu'ils peuvent.

« N'oublie pas de nous téléphoner quand tu seras arrivée. Je t'ai mis nos numéros de téléphone à tous les trois dans ta valise, dans le cahier vert. Il y a aussi celui de papa et maman mais je pense qu'ils vont avoir du mal à digérer ton départ. Bon voyage petite soeur. »


« T'inquiète, je te rejoindrai dès qu'on aura réussi à convaincre papa et maman ! Tu seras pas toute seule et puis appelle quand tu veux, d'accord ? »


« Prends bien soin de toi ma chérie. Je vais faire attention à moi. J'ai hâte que tu me racontes ta rentrée. »


En larmes, elle n'arrive pas à répondre aux paroles bienveillantes de ses frères et de sa grand-mère. Elle se contente de les enlacer tour à tour et de déposer un bisou sur leurs joues. Malgré ses larmes, elle affiche un sourire et agite la main, pour leur dire au revoir. Et puis elle entre dans le train avec toutes ses affaires. Autour d'elle, personne ne semble triste alors qu'elle se sent déjà seule. On lui demande déjà comment elle s'appelle, d'où elle vient et elle fait de son mieux pour tenir une conversation mais le coeur n'est juste pas là. Elle part pour un monde inconnu, toute seule. Elle serre fort contre elle la cage de Réglisse et regarde toutes ces personnes issues de cet autre monde. Elle inspire profondément et se joint réellement à la conversation. Elle raconte comme elle a hâte d'y être, comme ça a l'air chouette. Rapidement, elle rit comme les autres enfants.

Elle fait partie d'une maison, tout comme tous les autres. Le sentiment d'appartenance la frappe si fort quand elle regarde cette cravate toute nouvelle avec le joli écusson. Elle a bien sûr tout raconté à ses frères et à sa grand-mère qui sont très contents pour elle. Ses parents sont vraiment en colère qu'elle soit partie sans leur accord mais ce n'est pas grave, ça ne la dérange pas. Ils ne peuvent pas l'empêcher de partir pour une aventure. Elle s'habitue peu à peu au château, à la magie, aux autres. Réglisse semble apprécier l'endroit lui aussi. Elle découvre les balais, s'entiche du Quidditch. Elle travaille dur, pour faire au moins aussi bien que tous les autres enfants. Personne ne sait que ses parents ne sont pas d'accord pour qu'elle soit là, qu'elle a en quelque sorte fugué. Elle ne crie pas non plus sur les toits qu'elle n'est qu'une intruse dans cet univers magique. Oh, elle réussit les sorts et les potions, elle possède définitivement les pouvoirs annoncés mais elle a du mal à se sentir à sa place.

Les vacances approchent. Elle va rentrer mais a tellement peur de ce qu'ils pourront bien dire, de ce qu'ils pourront bien faire. La dernière qu'elle les a eus au téléphone, ils avaient l'air furieux. Pourvu que tout se passe bien, qu'ils passent un joli Noël en famille et sans problèmes. Très nerveuse, elle franchit la porte avec ses frères.

« Alice, tu es enfin rentrée ! Si tu savais comme on s'est inquiétés pour toi. »


Ses deux parents semblent réellement émus de la revoir et elle ne comprend pas. Elle s'attendait à des cris, des colères qui frappent les murs mais ils la prennent dans leurs bras.

« Je suis désolée. »


« Moi aussi. »


Et elle n'arrive à rien dire, encore baillonnée par l'émotion. Elle pose ses affaires dans sa chambre, montre timidement sa cravate à ses parents et leur explique les maisons et particulièrement les valeurs de la sienne. Elle leur parle aussi du Quidditch, des sortilèges, des potions, de ses notes. Elle décide même de leur montrer le premier sort qu'elle a appris. Elle éteint la lumière, s'assure qu'il fait assez sombre et prononce le mot magique. Sa baguette illumine la pièce. Ils ne rejettent rien, hochent la tête comme s'ils étaient fiers. Pourquoi ce revirement de situation ? Elle n'arrive pas à comprendre mais a trop peur de demander. Sa grand-mère est là aussi, Réglisse et Marshmallow se retrouvent.

Elle se prépare à aller dormir, toujours perturbée par l'accueil chaleureux de ses parents. Elle regarde les rayures, pense à la maison qui l'attend là-bas et à ses nouveaux amis.

« Alice, je peux rentrer ? »


« Oui, bien sûr. »


Sa mère entre, s'assied sur le lit. Elle a quelque chose à lui dire.

« Je suis sûre que tu demandes ce qui nous a fait changer d'avis. Tu sais, ta grand-mère ne voulait pas que j'épouse ton père. Il ne lui plaisait pas, il n'était pas le genre de garçon qu'elle me voyait épouser. Et je lui ai dit que j'allais l'épouser, parce que c'était l'homme que j'aimais et avec qui je voulais passer ma vie. Elle a très longtemps été très en colère pour ça. Elle ne voulait pas le voir, n'acceptait pas qu'on mange ensemble, tous les trois. J'ai fini par craquer et je lui ai dit qu'elle allait devoir faire un choix : l'accepter ou ne plus me revoir. Et comme je suis sa fille, qu'elle est ma mère et qu'elle m'aime comme une mère aime sa fille, elle a décidé de faire un effort pour accueillir ton père comme faisant partie de la famille. Pendant que tu n'étais pas là, nous nous sommes beaucoup disputés avec tes frères et ta grand-mère parce qu'ils t'avaient encouragé dans cette voie malgré notre désaccord. Et ta grand-mère m'a rappelé que j'avais fait la même chose que toi, il y a une vingtaine d'années. Et j'ai réalisé que je ne pouvais pas vous imposer ma vision de votre vie, comme ma mère l'avait fait. Parce que je vous aime. Parce que je t'aime. Je voudrais juste que tu sois heureuse et si tu as envie d'essayer de maîtriser ces pouvoirs magiques, je devrais t'encourager et non t'en empêcher. Je suis tellement désolée ma chérie, j'espère que tu me pardonneras. Si tes frères et ta grand-mère n'avaient pas été là, tu n'aurais pas pu aller là-bas où tu as l'air de te sentir si bien. Je l'ai vu dans tes yeux, quand tu nous parlais des cours, des autres, des maisons, du euh... Couiditche ? Le sport qui se pratique sur balai dont tu nous as parlé. »


« Quidditch, maman. »


« Oui, voilà. Je m'en veux tellement ma chérie. J'aurais dû les écouter, j'aurais dû comprendre que tu voulais vraiment et que ce n'était pas qu'un caprice, j'aurais dû comprendre que ça t'aurait rendu heureuse, j'aurais dû comprendre- »


La petite enlace sa mère si fort qu'elle lui coupe la parole.

« Je te pardonne, maman. Je t'aime. »


« Moi aussi, je t'aime ma chérie. »


Et elles pleurent ensemble, enlacées.

James annonce que lui aussi voudrait aller à Poudlard, qu'il voudrait l'intégrer à la rentrée prochaine. Il travaillera de son mieux, fera tout pour y arriver et espère sincèrement que ses parents seront d'accord. Ils ne disent ni oui, ni non, attendent ses prochains résultats scolaires. Les vacances se passent bien mieux qu'elle ne l'avait espéré. Elle reste proche de sa mamie, ne loupe pas un seul instant. Elle embrasse ses frères et tous trois jouent et courent ensemble. Vient le temps de la rentrée et un pincement au coeur, elle dit au revoir à sa famille et promet de les appeler régulièrement.

Un quotidien s'installe, entre le sport, les cours, les gens, les animes, les jeux vidéos et les milliards de choses qu'elle commence à faire pour mieux oublier que sa famille lui manque. Résolue à les rendre fiers, elle fait du mieux qu'elle peut et travaille d'arrache pied pour obtenir de bonnes notes, de bons amis et courir plus rapidement. Elle vise l'équipe de Quidditch et les meilleurs scores du club d'athlétisme pour se tenir éloignée des mauvaises pensées.

Elle ne s'y attendait pas. Il ne devait s'agir que d'un simple cours de défense contre les forces du mal, une simple mise en application de ce qu'ils avaient vu jusque-là. Elle n'a pas pris au sérieux ce que disait le professeur, sa description de ce monstre qui prend la forme des peurs les plus profondes de la personne à qui il fait face. Elle croyait n'avoir peur de rien, être trop grande, trop forte. Elle croyait que ça serait simple de le transformer en quelque chose de ridicule, avant de faire face à tous les membres de sa famille, morts. Réglisse, étalé par terre, ses yeux grands ouverts et voilés. Sa grand-mère, face contre terre, immobile. Ses deux frères, l'un sur l'autre, aussi lourds que deux énormes sacs de pommes de terre. Ses parents, une main sur le coeur, allongés, trop droits. Elle s'est mise à trembler, s'est enfuie de la classe pour aller vomir tout ce qu'elle pouvait avoir dans l'estomac. Quand il n'y avait plus rien à vomir, elle crachait tripes et boyaux, jusqu'à ce qu'elle n'arrive plus qu'à pleurer, recroquevillée sur elle-même.

Ses camarades ne la reconnaissent plus. Le bruit a déjà couru sur ce qu'elle a vu quand l'épouvantard est sorti de son armoire. Tout le monde essaie de lui remonter le moral, du mieux qu'ils le peuvent. Certains font les pitres en cours, l'invitent à faire leur jogging avec eux, friment sur ce qu'ils ont réussi à accomplir la dernière fois qu'ils sont montés sur un balai. D'autres lui offrent des bonbons, des épaules sur lesquelles pleurer et des bras qui serrent si fort qu'elle en oublie presque qu'il existait un temps où elle ne connaissait pas cette chaleur. Alors elle a décidé, pour eux, de ne plus être triste. Elle pleure encore en pensant à ce jour, où sa grand-mère mourra. Il y aura des funérailles et elle ne la verra plus jamais. Sa maison sera vide et Marshmallow, tout seul. Elle pleure encore en pensant au jour où Réglisse mourra, qu'il la laissera un peu trop seule dans ce château et ne dormira plus auprès d'elle pour ensuite lui râler après pour avoir de l'attention. Elle pleure encore en pensant à ce jour où ses parents ne pourront plus lui apporter leur soutien, plus lui sourire et lui dire "Je t'aime, ma chérie" et la féliciter d'un bête Lumos. Elle pleure encore en imaginant William ne pouvant plus faire de boxe ou ne pas se faire surprendre par des nouvelles aussi incroyables que l'existence de la magie. Elle pleure encore en se disant que James ne s'enthousiasmera plus avec elle à propos de tout et qu'ils ne pourront plus s'échanger des tuyaux sur le nouveau jeu vidéo du moment. Comme ils lui manqueraient, s'ils mourraient. Elle a beau les appeler, avoir de leurs nouvelles, elle ne pourra jamais empêcher la mort.

Elle s'envole, oublie. Elle court, ne pense plus. Elle n'arrive pas à accepter que tout a une fin, continue de pleurer quand elle pense à la fin de ses études. Et pour ne plus pleurer, elle va plus loin, plus haut et se distrait. Elle sourit trop fort, vit trop vite. Elle prend des nouvelles régulièrement, la crainte d'une mauvaise nouvelle au coeur à chaque fois que le téléphone sonne. Elle retient son souffle, décroche et finalement tout va bien. Elle savoure chaque instant, parce que ça pourrait être le dernier. Elle dit aux gens qu'elle les aime, parce qu'ils pourraient bien mourir avant qu'elle ne les revoie. Elle leur demande de faire attention à eux et espère qu'ils sont heureux, pour qu'ils ne regrettent rien. Elle refuse de vivre en conflit, parce que tout pourrait se finir sur de la colère. Elle serre ses amis fort, comme s'ils allaient disparaître d'ici demain. Elle a décidé de vivre comme ça, trop fort. Peut-être que si elle embrasse la vie avec toutes ses forces, la mort se tiendra loin d'elle et de ses proches.


Ryunos


Dernière édition par Alice Lewis le Mar 31 Juil - 9:20, édité 5 fois
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Re: Fill my heart with sunshine ☼ Alice Lun 30 Juil - 8:18

Holaaaaa mam'zelle

Bienvenue et courage pour la dernière étape qu'est la répartition ! De ce que j'ai lu, ça a l'air extra, j'essayerais de me la faire en entier quand j'aurais le temps shine

grosse bise à toi swag
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Re: Fill my heart with sunshine ☼ Alice Lun 30 Juil - 12:09

Bienvenue ♥️

Ça c'est de la fiche et de ce que j'ai lu, Alice et Shaelyn vont super bien s'entendre, nous faudra un lien =) J'ai hâte de voir la répartition du coup !
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Re: Fill my heart with sunshine ☼ Alice Lun 30 Juil - 19:27

Alice est si cute. Pleine d'énergie positive itou. On a envie de la prendre dans nos bras et de la faire tournoyer. selene
Quand tu fais une fiche, toi tu rigoles pas. Ça c'est de l'histoire. Chapeau !
À très vite sur le forum avec ta jolie miss. ;)
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Re: Fill my heart with sunshine ☼ Alice Lun 30 Juil - 22:28

ma réaction tu l'as déjà en
l i v e

but still BIENVENUE OFFICIELLEMENT !!!!!
stronger than you-
Fenry D. Williams
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Re: Fill my heart with sunshine ☼ Alice Lun 30 Juil - 22:42

Elle est super mignonne pls
Bienvenue ici ma douce rub
Orphan E. Scamander
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En couple avec : Marié à Rachel O'Sullivan Scamander.
Re: Fill my heart with sunshine ☼ Alice Mar 31 Juil - 9:15




Bienvenue sur Dabberblimp !

Salut Alice!
Désolé pour le délai de validation peu habituel mais je pense qu'on était tous HS hier.
Que dire sur cette fiche? cette longue fiche.
J'ai beaucoup hésité entre poufsouffle et gryffondor au vu du caractère car les deux sont exploitables mais Alice s'épanouira mieux à Poufsouffle, avec des camarades loyaux qui pourront la faire évoluer avec brio dans le monde des sorciers contrairement à ce que ses parents ont toujours pensé. ♥️

Te voilà validé, tu peux dès à présent créer ta fiche de lien dans ce sujet, ainsi que ton téléphone portable ici (des modèles sont mis à ta disposition). Tu dois aller faire recenser ton avatar par là et tu peux aussi faire une demande de RP juste ici, ou aller sur la CB te trouver un éventuel partenaire. Tu peux aller t'inscrire dans un club de Poudlard et aussi aller zyeuter la liste des postes.
Contenu sponsorisé
Re: Fill my heart with sunshine ☼ Alice

Fill my heart with sunshine ☼ Alice
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