J'ai cru entendre je t'aime

Épouvantard — le cadavre de son petit frère
Patronus — une loutre
Reflet du miroir de Risèd — lui avec une boite dans les mains. Celle de Pandore de toute évidence.
Odeur de l'Amortentia — une tarte aux myrtilles sauvages tiède, la pâte sucrée avec une légère pointe de cannelle et un peu de vanille mélanger aux fruits, accompagnée d'un chai latte maison
Matière favorite — Potion
Bonbon favori — ceux au miel
Créature inspirante — les félins, tout les félins. Leur ruse, grâce, agilité, esprit, l'essence même de ce qui fait d'eux des félins.
Animaux de compagnie — un fléreur du doux nom de Sweet, un chat rubigineux du nom adorable de Love et une chouette chevêche du nom sucré de Honey

fusionnel avec son chat et son fléreur
adore dessiné, même s’il n’est pas ultra doué
chante sous la douche
produit de la musique avec des verres remplit d’eau
gaga de son frère
ne fume pas
ne bois pas d’alcool
adore jouer à cap ou pas cap
action ou vérité aussi
a des chaussettes arc-en-ciel porte-bonheur pour les grandes occasions
n’est jamais arrivé à conclure
ressemble à un poulpe quand on tente de le décrocher d’une personne qu’il câline
coupe régulièrement la parole si ce que dit l’autre le fait chier
adore concocter des mélanges étranges de boisson juste pour voir le résultat sur les gens
note toujours les recettes qu’il crée
pleure devant des films romantiques et drama à souhait
fixe les gens quand ils dorment
adore les félins
tag les portes en couleur pour leur apporter de la vie
a le sommeil super lourd
maître pokemon
bordélique
Tuathal signifie dirigeant du peuple
la danse c’est une passion
écoute de la musique indienne
sourit presque tout le temps
très bonne mémoire

Nuala McGarden et Declan Ginty devaient être une sorte de couple kikoo de leur temps. Ce genre de couple remplis de clichés, opposés à leur extrême dont personne, surtout leur entourage proche, ne comprends ce qui les a poussé dans les bras l’un de l’autre.

A croire qu’ils ont tout fait, jusqu’au moindre détail pour ne jamais être d’accord sur rien. Même si les opposer s’attire, à ce point-là c’était partir au casse-pipe de base sans même avoir besoin d’aller au premier lecteur dans les entrailles pour le prédire.

Elle était team chat, lui chien. Il buvait seulement du café, elle ne jurait que par le thé. Elle aurait pu être un l’incarnation d’un rayon de soleil, quand lui tenait plus du vampire. Il vouait un culte sans nom au salé et aux épices, alors qu’elle ne pouvait voir le monde sans sucre et amertume. Elle écoutait à longueur de temps de la musique classique, tandis que lui se gorgeait de rock. Il était en joie pur devant un une romance des plus cliché dans les films, pendant que de son côté elle ne pouvait apprécier un film sans frisson et sang garantit. Elle était éleveur d’animaux magique par passion et lui comptable par obligation. Il supportait le rugby, elle le foot. Elle buvait vin, il n’aurait pu prendre autre chose que de la bière. Lui aurait voulu faire toute les positions du kamasoutra, elle se contentait du missionnaire. Ainsi de suite.

Vraiment rien en commun et pourtant ils s'aimaient. S'aiment encore, désolé pour le spoiler, il n'y a pas de divorce fracassant, même si parfois leurs enfants l'auraient souhaité très fort au vus de la tension qui tremble entre eux si souvent. Tout est beaucoup trop intense entre eux. Rien ne les prédisposaient à fonder une famille ensemble, même pas d'avoir des amis en commun pour se rencontrer. Même à Poudlard il avait été dans deux maisons différente. Elle Poufsouffle, lui Serdaigle. Leur rencontre arriva après leur études, dans un magasin moldu.

Tout fut de la faute d’une mamie comptant sa monnaie dans une supérette à l’heure de pointe. Bon, ok, il n’y avait pas que la mamie en cause, mais en semble de circonstance dans cette journée qui ont fait le travail, mais en attendant le jour de leur mariage elle fut tout de même retrouver et invité pour témoigné de l’improbabilité de la chose. Même la petit vieille qui avait assisté à la scène de départ avait pensé que c’était un mauvais tournage de film et pas crus une seule seconde à la réalité d’un futur pour eux.

C’est une chose qu’elle a d’ailleurs rabâché encore et encore pendant toute la cérémonie à qui voulait l’entendre. C’est-à-dire les deux grand parents de chaque côté uniquement. Ce fut un joyeux club des commérages négatifs comme il y a toujours pendant un mariage. Mais si, vous savez, ceux qui trouve que tout est moche, nul, à jeter, mais qui sont venu tout de même pour faire savoir haut et fort qu’il trouve ça nul. Bha, c’était eux.

Pour en revenir à cette journée là en question, c’était un début de soirée complétement banale. En fin de semaine. Parce que tout le monde sais que c’est à ce moment-là qu’on passe le plus rapidement quand on est pressé. Avec cette vague de monde qui semble se rappeler tous en même temps que leur placard son vide pour le début de la prochaine semaine, ceux qui ont décidé qu’il faudrait se nourrir exclusivement d’alcool et de biscuit pour éponger un peu le tout, les familles qui trouvent que la sortie au courses est forcément une activité à faire ensemble et les petits vieux qui semblent ne vouloir faire leur course là que pour bien passer devant dans les files d’attente par soi-disant droit d’ainesse ou une autre stupidité dans le genre.

Du coup, dans ce joyeux merdier qu’était le magasin ce soir-là il y avait eu eux, au milieu de la foule. Parce qu’ils ont oublié tous les deux d’aller remplir leur placard avant. Il n'y a surtout plus de papier toilette, celui de la superette moldu étant d'une infinie douceur pour leurs petites fesses. C’est là le vrai drame et une raison amplement suffisante pour affronter les magasins en fin de semaine, en pleine heure de pointe.

Cruel coup du sort. Très mauvaise gestion des stocks tout court. Dans tous les cas nos deux futurs tourtereaux, oiseaux de malheur, guimauve, moule et son rocher, le surnom merdique que vous souhaitez leur donner ira très bien, se sont retrouver à faire la queue l’un derrière l’autre. Ce que font des milliers de gens, tous les jours, sans que jamais ça ne change quoi que ce soit à leurs vies respectives.

Le problème c’est qu’ils furent dans la file d’une mamie ayant dépassé tout le monde comme si c’était la chose la plus normal du monde. Une mère de famille lui avait même donné raison quand certain commencèrent plus que visiblement à grogner contre ce fait. Personne ne se sentit apte à remettre en cause les dire d’une femme enceinte, entouré de deux enfants agité, alors qu’elle était visiblement fatiguée et énervée.

Enfin si, une personne a tenté et tout le monde à bien pensé qu’il allait y perdre un œil ou ses couilles. Alors, tout le monde se l’ai fermé et à laisser cela simplement faire et la petite vielle pris la place qu’elle lui pensait du sans rencontrer plus de remontrance oral.

Le gros problème, en plus de déjà avoir fait perdre un temps fou à tout le monde en voulant se placer non pas à la suite de la queue, mais devant, c’est que nous étions à une caisse pour payement par carte uniquement. Ça et rien d’autre. Que c’était pour ça que beaucoup l’avait choisi, plus rapidement pour le payement. Enfin, sauf si vous êtes complétement bouché et souhaitez visiblement tout de même payer votre panier plein en liquide.

Alors que la caissière expliquait pour la huitième fois consécutive qu’il ne prenant pas le payement en liquide, l’ainée n’en avait visible rien à faire pendant qu’elle comptait méthodiquement ses pièces une à une pour lui donner ce qui était demande. Parce qu’avoir des billets ça se perd trop facilement avait-elle dit quand une personne lui avait dit qu’elle faisait chier avec ses pièces. Oui, ce n’était pas cela le problème, mais rien à faire.

Bloquant visiblement l’avancée de la queue, nos protagonistes ont pris chacun une décision décisive. Changer de file. Elle à droite, lui à gauche, leur manier respectif ce croisèrent et finirent à terre pour leur plus grand malheur. Certains se seraient excusé ou auraient commencé à ramassé l’ensemble au sol gêné de la chose. Eux non.

Ils se sont regardés en chien de faisances et avec toute l’énergie de leur frustration respective par rapport à la situation, à leur vie, à tout et n’importe quoi tout bêtement, ils ont commencé à s’hurler dessus. Pour savoir à qui c’était la faute entre eux. Qui ramasserait. Qui payerais les dommages. Qui avait une vie plus merdique que l’autre et méritait d’avoir de l’attention. Ce genre de dispute complétement stupide, que tout le monde regarde sans saisir le fondement.

Parce que des spectateurs ils en ont eu, beaucoup. Cela a même arrêté la mamie chiante dans son comptage de pièce. La pauvre dame, légèrement sénile suivant beaucoup d’avis, qui vient les voir pour les réprimander de faire prendre du temps à tout le monde.

Gentille personne, hein ? Tellement gentille, qu’ils se sont stoppé tous les deux dans leur dispute, lui ont fait en une très belle synchronisation un parfait doigt d’honneur avant de se dire qu’il allait continuer leur dispute ailleurs vus que visiblement ici on n’était, visiblement, pas capable de respecter les gens. Ils sont partis ensemble comme ça, finissant la nuit à jouer aux lapins en chaleur, sans avoir pris leur putain de papier toilette. Ce dernier point leur manque cruellement le lendemain matin, qui entraina une nouvelle dispute avec une fin tout aussi transpirante.

De disputes en réconciliation, ils ont commencé leurs histoires d'amour. Certain que l'autre était un simple moldu, se disant qu'un jour ça finirais bien. Leur famille respective n'avait rien contre les moldu, mais s'ils pouvaient ne pas venir faire de l'ombre à la magie dans leur sang il s'en portait mieux. Il y a eu des erreurs de parcourt, comme ils les nomment, mais éviter d'en faire en plus n'est pas un mal. Déjà que les deux vivait au milieux des moldu, il ne fallait pas pousser mamie dans les orties.

Ce fut un courrier apporter par un hiboux maladroit qui les éclaira sur leur nature à chacun. Une nouvelle dispute, suivis d'une demande en mariage. Comme quoi il en faut pour changer une relation. Une promotion changea aussi la donne. Une possibilité de poste en Inde dans la boite de Declan pour être plus exacte. Pour une fois il eu un accord total sur le sujet. Partir pour une nouvelle vie à deux après cinq ans de mariage c'est bien. Nuala trouva ça super de pouvoir faire des élevage différents et tout se passa pour le mieux.

Ils emménagèrent à Bangalore, se mire à fond pour s'intégrer sur place avec plus ou moins de difficulté et décidèrent qu'il était temp. Oui, faire une famille ici semblait être une idée de génie. Loin de leur Irlande natale, pour finir de faire une nouvelle vie, il fallait un petit être avec eux pour officialiser tout ça. Que les choix de la procréation soient avec eux.

La grossesse fut des plus éprouvants pour le couple d’ailleurs. Plus de dispute, moins de sexe. L’horreur pour eux. Surtout que les disputes tournaient presque exclusivement sur un même sujet. Le prénom du chiard. Ils auraient attendu une fille, tout aurait beaucoup plus simple. Là, ils avaient été d’accord, ça aurait été Ornóra, ils avaient tous les deux appelé une de leur précédent compagnons féminin avec ce nom. Là ça passait crème.

Seulement, c’est un garçon qui grandit dans le ventre de Nuala. Vraiment dommage. Declan trouva ça très con qu’il est donné les gênes pour un homme. Chacun des deux souhaitait l’appeler avec le nom de leur premier animal de compagnie, elle Tuathal, lui Sirius. Ce sont des prénoms légaux, il n’y a qu’eux, leurs familles et leur entourage proche qui savent le pourquoi du choix. Les amis se frappent encore la tête contre le mur à chaque fois qu’on leur demande comment les prénoms des mômes ont été choisis. Oui, il y a un autre criard, mais c’est pour plus tard.

Revenons à nos moutons. Nos futurs parents plein de de bon sens. Du coup jusqu’au jour de l’accouchement le sujet ne fut pas tranché. Loin de là. Malheureusement pour le pauvre mari, sa femme profita du fait qu’il soit sorti fumer une cigarette quand l’infirmière passa pour prendre le nom de l’enfant pour imposer son choix. Très mature comme réaction. Celle de son aimé aussi. Il bouda et refusa catégoriquement de préparé les biberons nocturne pendant la première semaine.

Le positif, c’est que ce fut l’élément déclencheur pour le faire arrêter de fumer définitivement. Regarder le positif de la situation est un grand bien. Il fut tout de même convenue que le prochain bébé, si c’était un garçon, hériterais du prénom de Sirius. Il fut mis en route trois ans après.

L'heureuse petite famille pleine de rouquin se voyais en une parfaite famille sorcière bien intégré dans un milieu moldu. Guettant les premiers signe de magie accidentel de leur deux petits avec une certaine impatience et aussi beaucoup de prudence. Les première années passe sans la moindre inquiétude de la part du couple. Ce ne fut que lorsque Sirius commença à en montrer les premier signe alors que rien ne venais de leur ainé qu'ils commencèrent à ce dire qu'il y avait peut-être un problème.

L'annonce du fait qu'il soit cracmol fut rude. De grand interrogation sur leur part de responsabilité dans ce fait, les critiques sur leur modes de vie du reste de la famille qui pensait que ça avait influencer la chose, les accusation de tromperie à peine voilé, beaucoup de séance avec un psychomage afin de surmonter ça. Deux ans de remarque avant d'arriver à un semblant de paix. C'est une période qui malgré son jeune âge resta graver dans l'esprit de Tuathal.

Le grand avantage pour lui c'est qu'il vivait en Inde et que l'école de magie du coin avait toujours accepter les cracmols. Ce fut l'une des raison, en plus des tensions maintenant avec le reste de la famille qui firent que Nuala et Declan restèrent sur place. La vie continue il faudra se battre contre les préjugé et les discriminations. Ils allaient former au mieux leur fils pour être près à combattre le monde magique à sa façon. Potion, sport de combat et danse.

Heureusement, ce furent des sujets qui le passionnèrent très rapidement. Un peu trop peut-être même. Pour lui aérer un peu l'esprit ses parents les emmenaient voir des spectacle en tout genre. Ce fut après l'un deux qu'il rencontra une jeune fille du nom d'Amy. Une nuit entière à danser ensemble, à peine âgé de dix ans, un baiser sur la joue, un long sermon de ses parents pour avoir disparu ainsi. Un sourire fier sur ses lèvres d'avoir juste vécu son aventure.

Toute sa scolarité a Sïkhanéjādū se passa pour le mieux. Il donna tout ce qu'il avait pour être le meilleur dans ce qu'il faisait, pour surpasser les sorcier, pour prendre une revanche sur cette vie. Sur la magie elle-même. Il décida pour son DEMA de partir à Poudlard. Il a une revange avec le reste de sa famille et encore des choses à finir d'apprendre sur les potion là-bas.

Tout recommence et une nouvelle vie l'attends.