i believe in annoyed at first sight
prénom
chase
nom
fowley
âge
vingt ans
date de naissance
vingt-et-un novembre
signe astrologique
le temple
origine
écossaise
statut de sang
né-moldu
année d'études
neuvième année
licences
défense magique + sacm
avenir
vivre loin de toute civilisation
avatar
andrew minyard (tfc) // freddie fox (irl)
baguette
ayant perdu ta précédente baguette, la nouvelle est maintenant en chêne blanc et son coeur constitué d'un crin de licorne. elle est plus rigide qu'avant, mais plutôt fine.
épouvantard
depuis peu, ce n'est plus un certain serpentard qui te terrifie, mais une étendue d'eau sombre dont les vagues t'empêchent de discerner le fond.
patronus
chat sauvage d'écosse
miroir du risèd
toi-même, entouré de visages souriants que tu n'as pas vu depuis des années ; accepté pour ce que tu es.
amortentia
pétrichor, gingembre & tilleul
animal de compagnie
perceval, un chat croisé fléreur au tempérament plutôt indépendant.
matières préférées
sacm & botanique
bonbon favori
les baguettes magiques à la réglisse ; personne n'aime la liquorice, ça en fait plus pour toi.
créature inspirante
le fléreur ; comme ce serait simple d'être capable de détecter le plus habile des mensonges, la plus grande des déceptions. ça t'aurais éviter bien des problèmes.
tu pratiques la boxe anglaise depuis quelques années maintenant ; à la base c'était pour te défendre et extérioriser ta colère, maintenant c'est plutôt par amour du sport ; même si tu tapes encore dans le sac de sable quand tu es frustré ; les brassards qui couvrent tes avant-bras ne sont pas seulement là pour faire joli et tu ne corriges pas les rumeurs à leur sujet ; tu ne portes tes lunettes que dans la salle commune ; les friandises ultra sucrées sont ton pêché mignon et le fléau de tes dents ; les sortilèges concernant la mémoire t'intéressent particulièrement, tu songes même devenir oubliator ; tu as déjà tenté le processus pour devenir animagus deux fois. la feuille de mandragore ne reste jamais bien longtemps dans ta bouche, tu es trop occupé à envoyer chier autrui et tu finis par la cracher par accident ; tu es du genre à imiter sarcastiquement le bruit d'erreur d'un ordinateur. ou une porte qui grince quand t'essais d'être subtil. ou juste les gens en général quand ils t'agacent (tout le temps) ; tu préfères les cours offerts par ta seconde licence, la nature t'apparaissants plus agréable que les malédictions et l'études des mages noirs.
loyal ; cynique ; recherche autant le contact humain qu'il le fuit ; brutal ; persévérant ; très à cheval sur les règles ; colérique ; attentionné ; méfiant ; sincère ; humble ; assidu ; étonnamment sensible ; n'a pas de problème avec l'autorité
tu as troqué ton sourire innocent pour une grimace agacée, ta main tendue dans l'espoir de venir en aide aux autres pour des poings serrés, ton optimisme pour le cynisme. t'étais trop gentil, trop aimable, trop serviable, trop naïf, trop bon. on en a profité, on t'as brisé. tu t'es reconstruit, t'as remis les morceaux en place du mieux que tu pouvais, pastiche de l'oeuvre d'origine. la deuxième fois, tu as abandonné, transformant la toile d'espoir en tableau sombre. plus de place pour l'insouciance de jeunesse, t'as grandi et tu vois bien que l'humanité n'est motivée que par l'appât du gain, centrée sur sa propre personne au détriment d'autrui. écraser la concurrence pour s'élever, ça t'écoeure.
pourtant, malgré toute ta rancoeur, tes remarques acides et ta tendance à user de tes poings pour t'exprimer, tu restes infiniment toi. tu es toujours attentionné, de façon un peu trop brutale, tu ne mâches pas tes mots en temps normal et ne le fait pas non plus pour rassurer quelqu'un. il y a toujours cette facette que tu n'as jamais vraiment réussi à étouffer, seulement la dissimuler sous une couche d'indifférence. tu te soucies des autres et ça te bouffe. de t'inquiéter pour cette poignée de personne qui ont sues se frayer un chemin jusqu'à toi alors que tu repousses systématiquement tout le reste.
d'une sincérité abrupte et d'une loyauté sans faille, tu t'accroches à ceux que tu considères près de toi tout en étant distant. tu te dévoiles un peu trop, prend peur des responsabilités que ça implique, préférant fuir avant de recommencer le cycle. tu abhorres les relations humaines autant que tu les recherches. terrifié à l'idée d'être seul, terrifié à l'idée de te faire blesser de nouveau, tu ne sais pas sur quel pied danser. il n'y a plus cet air candide sur ton visage, ces étoiles dans tes yeux quand tu vas vers autrui. tu es désagréable, avec ta voix traînante, ton sourire railleur et ton sarcasme, sans être complètement imbuvable.
softness ruined me
on a jamais compris ta fascination pour la mémoire et les sortilèges qui peuvent l’influencer. tu prétextes vouloir devenir oubliator, mais ce n'est pas ce qui te motive — tu préférerais même constituer un élevage de botrucs plutôt que de le devenir, tu souhaites seulement oublier toutes les choses qui t'ont fait du mal.
comme le regard terrifié de ton père quand tu as usé de magie pour la première fois, puis son départ, un soir, sans un mot. les pleurs de ta mère, enfermée dans sa chambre pendant des heures et son sourire triste quand elle finissait par en sortir.
les moqueries de tes camarades de classe quand tu clamais avoir fait voler des objets, leurs rires quand tu n'avais jamais pu le reproduire. tes larmes de frustration quand ils t'ont laissé tomber, trop étrange, qu'ils disaient.
ceux que tu avais considéré tes amis, lors de ta première année dans le château. à qui tu avais offert ton coeur, tes pensées et tes insécurités sans la moindre hésitation, te pliant à leurs caprices sans jamais faillir. ces gamins qui, quand tu avais fini par exprimer tes doutes quant à leur supposée amitié, n'avaient pas apprécié tes mots. tu t'étais tût, n'ajoutant rien de plus, continuant de sourire et faire comme si tout était normal.
les cris quand il s'était pointé de nouveau, sans jamais vraiment expliquer son départ. comme pour réparer ce qui ne pouvait l'être. cette fois-ci, c'étaient tes prunelles qui étaient remplies de terreur. ton inquiétude palpable quand il avait quitté votre appartement, laissant une traînée d'hématomes sur les bras et le visage de ta maman.
le garçon que ta copine était en train d'embrasser, puis la dispute qui avait suivit. où elle te reprochait de ne pas lui faire confiance, de ne pas lui laisser la chance de vraiment te connaître. tu n'avais rien dit en l'observant partir. elle t'avait prouvé pourquoi tu ne devrais pas t'ouvrir de nouveau aux autres, que c'était seulement plus douloureux de se faire trahir une autre fois.
les soirées où, quelques années plus tard et à l'image de ta génitrice, tu passais le plus clair de ton temps dans ta chambre, à contempler le plafond. ces moments où ta peau s'abîmait, à défaut de trouver un autre moyen de calmer ta douleur et personne à qui te confier.
puis, il y a ces souvenirs que tu chéris précieusement, les conservant près de ton coeur sans jamais oser les partager. ceux qui te remontent le moral quand tu ne sais plus vers quoi te tourner, quand même les bouquins ne suffisent plus à t'occuper l'esprit.
ta joie, quand tu as reçu ta lettre, trépignant dans le salon. ton passage au chemin de traverse qui a duré plus longtemps que prévu tellement tu étais intenable et fasciné par tous les objets étranges sur lesquels tes yeux se posaient.
l'exaltation ressentie lorsque tu étais entré dans le château pour la première fois et ta frayeur en voyant les fantômes traverser les murs. cette fameuse journée où tu avais été réparti dans ta maison, joignant tes nouveaux confrères pour le repas. ce sentiment d'appartenance que tu ressens encore aujourd'hui.
tes premiers cours, tes premiers sortilèges et les yeux brillants de ta mère quand tu parlais de tes nouvelles connaissances lorsque tu retournais chez toi pour les vacances. même si elle ne comprenait pas tout, même si elle était fatiguée avec son boulot, elle te soutenait.
ces moments que tu partageais avec une poignée d'amis. de véritables amis. ceux avec qui tu te permettais de t'ouvrir un peu, pas beaucoup, mais juste assez pour leur permettre d'entrevoir un vrai sourire, un vrai rire. ceux qui ne te demandent rien de plus que ce que tu leur offres.
tu avais essayé, en sixième année, d'user d'un sort d'oubliette. pour effacer de ton esprit les remarques acerbes d'un élève qui avait su taper là où ça faisait mal. pour une première fois, tu ne t'en étais pas trop mal sorti. t'aurais pu oublier jusqu'à ton nom, si le sortilège était mal exécuté, mais tu t'en es tiré avec une semaine manquante. comme si elle n'avait jamais existé.
tu n'as pas réitéré l'expérience depuis. ça n'avait pas été suffisamment précis, c'était trop dangereux. tu risquais d'en perdre plus que ce que tu ne le désirais et c'est pour cela que tu attends. de maîtriser suffisamment la matière avant d'oublier. de laisser tes mauvais souvenirs derrière toi et d'avancer, de ne plus les revoir chaque fois que tu fermes les yeux, chaque fois que tu te retrouves seul avec toi-même.
cc c'est hennessy/aubrey. en espérant juste que le edgelord vous plaise
en prime, j'vous file même l'aes
www(also je vais faire mon relou, mais je veux juste pas un autre gryffondor svp)