Elli est une personne surprenante, et qui ne plaît pas à grand monde. Assez excentrique dans sa façon d'être, il est loin d'être du genre à se faire des amis. Mais ce n'est pas comme si cela le dérangeait outre mesure. Cynique, il aime se moquer des choses absurdes qui peuvent lui arriver, et surtout, de ce qui l'entoure. Il peut parfois sembler méchant, et davantage, insensible, parce qu'il tourne en dérision tous les événements qui peuvent survenir. En même temps, comment ne pas rire de certaines choses ? Comme par exemple, le fait de naître cracmol dans une famille de sang-pur ? Cela vaut toutes les blagues du monde. Vous ne le verrez alors jamais s'apitoyer sur son sort. A quoi bon ? C'est une perte de temps et d'énergie considérable et il n'a pas de temps pour ça. Il doit nourrir ses 10 chats, et se préparer son café ainsi que laisser des répliques cinglantes sur les copies des élèves.
Ah ça non, vous n'aimerez pas Elli, nous pouvons vous le garantir. Et vous savez quoi ? Il ne vous aime pas non plus. Il n'est pas forcément très à l'aise avec les gens. Loin d'être associable, il peut parfois être un peu trop critique avec les gens qui l'entourent. Il semble parfois trop chercher la petite bête, et n'apprécier que ceux qui savent être à la hauteur à ses yeux. Et surtout, supporter ses manies et ses sarcasmes. Et cela, il faut beaucoup de courage et de patience. Elli n'aime pas non plus quand les choses vont trop vite. Les piles électriques, il les tase pour les court-circuiter, et est le dernier à appeler pour faire quelque chose. Il préfère largement se rouler en boule dans un plaid et regarder des films toute la journée. Tout en évitant les griffes de ses chats parfois un peu trop taciturnes. Il est assez nonchalant, parfois (souvent) en retard, il n'est pas du genre à se presser. Il sait aussi se montrer impartial. Très juste, ce n'est pas celui qu'il faudra aller voir pour le soudoyer afin qu'il vous donne une bonne note. C'est quelqu'un de très objectif qui sait punir en conséquence, mais aussi récompenser quand c'est nécessaire.
Comme vous avez dû le voir, Elli se balade avec un taser, et c'est interdit à Poudlard. Mais le règlement, il s'en sert de papier toilette. Autant dire qu'il n'en a rien à faire et ne voit pas pourquoi il ne pourrait se balader avec un tel objet, quand des professeurs parcourent les couloirs avec une baguette capable de torturer, de tuer ou de manipuler les esprits. Et puis, il faut avouer que ça l'amuse car... Elli est assez provocateur. Bien qu'aimant le monde magique, de par son éducation, il ne peut s'empêcher de préférer le monde moldu et de trouver plusieurs défauts au monde magiques. Déjà, il ne peut s'empêcher de se moquer des robes de sorcier, ou des sorts qu'il utilise souvent sortit de leur contexte. Il est indéniable qu'il aime Poudlard, qu'il aime énormément de choses qui constituent le monde de la magie. Seulement... Beaucoup de choses le font rire et il ne se gênera jamais pour s'en moquer.
Certains y voient une certaine jalousie de la part de Elli, de ne pas pouvoir se servir de la magie et qu'il se venge. D'autres pensent juste que c'est un connard, qui ne vaut rien. Il est vrai que pendant longtemps, lorsqu'il était adolescent, Elli a peiné à avaler la pilule. Ne pas pouvoir se servir de la magie, voir ses trois soeurs s'en servir et s'amuser avec l'a beaucoup agacé. C'est notamment pour cette raison qu'il est devenu bien plus amer concernant la magie et a choisi de s'en moquer après en avoir pleuré. Enfin, l'autre arme de Elli, c'est sa franchise. Il n'a pas peur de dire la vérité. Quand un élève échoue, il ne lui cache pas et pire quand il n'a pas travaillé et a préféré se tourner les pouces. Mais ne croyez pas qu'il ne fait cela que pour les cancres et qu'il cherche nécessairement à les descendre.
Car Elli aime son métier et a énormément d'ambitions pour ses élèves. Il veut les voir réussir, car après tout, ce sont eux qui seront à la tête du monde de demain. Ainsi, il se montre un peu dur, surtout avec les cancres, qu'il ne lâche jamais, et qu'il harcèle pour les aider à remonter la pente et à réussir. C'est sa plus grande fierté quand un élève à la traîne, fini par obtenir les meilleures notes. C'est à ce moment là, qu'il sait qu'il a réussi son travail.
« Vous voulez savoir comment a été mon enfance, c’est ça ? Je ne savais pas que des types, rencontrés à la volée, dans un bar, pourrait vous demander ça. Vous ne préférez pas plutôt aller draguer la petite serveuse, là-bas ? Elle n’arrête pas de vous reluquer…
…
Non, hein ? Vous préférez m’entendre déblatérer sur comment mon histoire est cruellement ironique ?
Très bien. J’ai assez d’alcool dans le sang pour le faire.
Je ne me suis pas toujours appelé Elli. Mon nom complet c’est Tobias Elli Jernigan. Tobias, ça me vient de mon grand-père paternel qui est mort quelques années après ma naissance, et dont la seule chose que je me souviens, c’est cet horrible regard, perçant qui lit en vous comme dans un livre ouvert. Un père encore bien plus taciturne que le mien, glacial et que l’exigence-même, trouverait trop exigent. Faut le faire, non ? Je crois que c’est pour ça que mon père devait avoir un grain, au fond. Elli, ça me vient de mon oncle. Un type bien celui-là, un peu excentrique qui est mort il n’y a pas longtemps. Toujours en vadrouille, il n’avait pas peur de rencontrer tous ceux qu’il croisait, et de passer des moments avec eux.
Un grand fan de dragon qui a fini par devenir dresseur de ces bêtes-là, et qui a fini dans leur estomac. Ironique, hein ? Mes grands-parents maternels sont morts avant ma naissance, et les sœurs de ma mère ne venaient nous voir qu’une fois dans l’année. Aussi aigries que la vieille concierge de mon immeuble, je ne les aient jamais aimées. Trop coincées à mon goût. Enfin, ils étaient tous coincés, dans cette famille. Les seules qui sauvaient à peu près les pots cassés, en plus de mon oncle, c’étaient mes trois sœurs ainées : Daphnée, Mary et Anna. La première ? Acerbe, et froide.
La seconde, plus modérée et douce. La troisième, horriblement drôle, et ouverte. Celle qui a le plus accepté ma nature. Une vraie Gryffondor dans l’âme qui a souvent pris ma défense à de très nombreuses occasions. Trop impulsive pour son bien, c’est une certitude. Durant une partie de ma vie, on m’appelait donc Tobias et bon sang que je détestais ce nom. Dès que j’en ai eu l’occasion, à 16 ans, j’ai exigé que l’on m’appelle Elli. Mes parents n’ont jamais voulu. Mes sœurs, elles, n’y ont pas vu d’inconvénients. Mes géniteurs sont donc les deux seuls irréductibles que l’envahisseur n’a pas réussi à soumettre. Au moins, cela me donne une occasion de ne pas répondre lorsqu’ils m’appellent. Judicieux, hein ?
A première vue, tout peut sembler rose dans ma famille, malgré les quelques petits défauts qu’elle se trimbale. J’étais le petit trésor de mon père à ma naissance. Après s’être coltiné trois filles, il ne rêvait plus que d’une chose : avoir un petit garçon. Alors, lorsqu’il a appris la nouvelle, il s’est juré, comme son père avant lui, de faire de moi, le digne héritier de notre famille. Jusqu’à ce qu’il découvre la jolie petite tare que je me traînais. Parce que les portes, je ne les ait jamais fait claquer lorsque je piquais une colère. Les lumières ? Elles n’ont jamais clignoté à la moindre crise. Je ne m’y connais de toute manière pas en électricité… Chose que mes trois sœurs ont vécues très tôt durant leur jeunesse.
Alors forcément, au début, on ne s’inquiète pas trop. Cela arrive d’avoir un gamin en retard, ce n’est rien, ça arrivera tôt ou tard. Ah, c’est beau le dénie, hein ? Ne vous en faîtes pas, la vérité leur est arrivé en pleine face bien assez vite. Quand ma lettre pour Poudlard n’est jamais venue, en fait. Oh comme vous saviez le nombre de fois où mon père a harcelé ce pauvre directeur de l’école, persuadé que l’un de ses hiboux s’était perdu. Et sur cela, je rejoins mon père. Rien de bon n’arrive jamais lorsque l’on fait confiance à un piaf pour livrer son courrier. Oui, oui, les humains, ça fait des erreurs, parfois. C’est sûr ! Mais si vous voulez mon avis, un postier, ça ne s’est jamais pris une vitre dans la tronche, parce qu’il n’a pas fait la différence entre ouvert et fermé. Bref, je reprends ! Le piaf ne s’était pas trompé.
Il n’y avait aucune lettre pour moi. Rien, nada, niet, nothing ! Le vide complet, intersidéral. Il le fut dans son cœur et dans le mien. Parce que malgré tout, je la voulais cette lettre pour Poudlard ! Je voulais le rencontrer le vioc ! Et croyez-moi, j’ai autant été déçu que mon père. Et là, ma différence, elle m’est venue en pleine face. Et quand ça arrive au moment où vous entrez dans l’adolescence, ça ne pardonne pas.
Le rejet, je ne l’ai pas seulement vécu parmi mes camarades. Je l’ai d’abord connu au sein de ma propre famille et ça, je pense que personne ne devrait vivre ça. Surtout lorsque l’on s’avère différent. J’ai été traité comme un pariât, comme si, du jour au lendemain, j’avais contracté la peste bubonique.
Dans le regard de mon géniteur, je ne lisais que la déception, et dans celui de ma mère, la terreur. Oh non, pas celle d’une mère qui craint que son rejeton ne soit pas capable d’être accepté malgré ses différences. Non, elle avait peur que je la contamine avec ma « cracmolite ». Ridicule, hein ? Mes sœurs elles, hormis la plus vielle, m’ont accepté sans problème. L’aînée des deux autres, a eu plus de mal. Je suppose qu’il était trop tard pour elle… Endoctrinée depuis trop longtemps au sein des valeurs arriérées de ma famille. Mais ce n’est pas pour autant que j’ai été enfermé dans la plus haute tour de notre château – nous vivions plutôt dans un manoir. Cracmol ou pas, mon père voulait toujours que je représente notre digne famille, d’une façon ou d’une autre. Je serai sa déception, mais hors de question que je le sois aux yeux du reste du monde. J’ai alors eu des cours à la maison, et mon géniteur était bien plus dur avec moi que mes sœurs.
Je n’étais pas capable d’atteindre les starting blocks avec la magie, je devrai en être capable avec mon esprit. J’ai alors travaillé davantage, tout en me détachant progressivement de ma famille, qu’ils le veuillent ou non. J’ai commencé à sortir en douce, à défier l’autorité de mes parents. Étonnamment, ils ont été bien plus fermes avec moi, qu’ils ne l’ont été avec mes sœurs. Je suppose que la nouvelle de ma « maladie », leur ont donné envie de me contrôler davantage. Me voir sortir leur faisait peur, ils craignaient que je détruise la réputation de la famille. Et je crois que cela a commencé lorsque je me suis fait des amis parmi les moldus. Je me sentais bien plus proche d’eux, et à l’adolescence, je ne pouvais plus voir le monde des sorciers en peinture.
Progressivement, j’ai ressentis un fort attrait pour leur monde et je les trouvais bien plus fascinants que ceux de mon univers. Pouvais-je encore considérer le monde des sorciers, comme une partie de moi, de toute manière ? Je crois que c’est cette éducation trop ferme, trop stéréotypée qui m’a donné ce sarcasme. Aussi à cause du rejet que j’ai vécu. Mes parents avaient beau serrer la vis, exiger que j’ai une éducation correcte… Leur regard pour moi n’a plus jamais été le même. Plus je sortais et plus j’analysais le monde, j’y trouvais mes marques et me construisait une personnalité. Cynique, provocateur, rebelle.
J’ai donné beaucoup de fil à retordre à mes géniteurs et j’éprouvais un malin plaisir à détruire toutes leurs espérances à mon égard. En dépit des choix de mes parents, je ne me destinais absolument pas à un métier au sein des sorciers. Je fuyais plutôt leur monde comme la peste. Durant plusieurs années, j’ai même coupé les ponts avec ma famille, lorsque j’eus atteint la vingtaine. Je préférais me mêler aux moldus, plutôt que de me retrouver coincé dans un univers où être cracmol est une tare. Je voulais être policier… Étonnant, hein ? Oui, ça a étonné mes sœurs. Mais bon, j’ai toujours eu le goût de la justice dans le sang, et d’aider les gens. Surtout ceux en perdition. On m’a laissé me perdre, faire des conneries, dont je ne suis pas forcément fier.
Et l’idée de famille au sein de la police me plaisait. Mais…. J’ai complètement foiré l’examen d’entrée. Trop sarcastique, trop grande gueule, aussi. Et puis, il y avait ma condition physique. Asthmatique, ça ne pardonne pas… Encore une maladie que seul un cracmol peut attraper, ouais je sais ! Je ne sais d’ailleurs pas ce qui m’a pris de penser que j’avais, ne serait-ce, qu’une chance de passer au-dessus de cette erreur de fabrication. Ce refus m’a déprimé, et j’ai dû boire pas mal avant de me rendre à l’évidence : il me fallait un boulot, et vite. Alors j’ai accepté le premier job qui me passait sous le nez et qui ne nécessitait pas de devoir agiter un vulgaire bout de bois. Le boulot d’archiviste au sein du ministère de la magie. J’aurais pu demander à mon père, mais plutôt mourir que de retourner la queue entre les jambes. Et puis, je ne dérogerai pas à ma promesse, le jour où j’ai enfin pu quitter le cocon familial : ne pas renouer contact avec eux.
C’est un ami sorcier qui m’a parlé de ce boulot. J’ai forcément dû accepter parce que les finances n’étaient pas au beau fixe. J’ai fait ce boulot, bien moins ennuyant qu’il n’y paraissait durant tellement d’années, que j’ai l’impression d’y être resté une éternité. C’est au sein de ces lieux, et de l’équipe que j’ai pu retrouver un certain goût pour le monde de la magie. Je continuais aussi à voir régulièrement mes deux grandes sœurs… L’une aurore, et la plus petite, joueuse professionnelle de Quidditch. Elle, elle a aussi été la petite déception de mes parents. Nous nous sommes donc retrouvés dans ce point commun, tandis que la plus vieille restait toujours fidèle à ces deux rabat-joie. Au fil des années, j’ai découvert un équilibre.
Et j’ai enfin accepté ma condition de cracmol. Les sorciers n’étaient pas tous de gros cons, avec leurs baguettes de sourciers. J’en ai trouvé de très sympathiques et j’ai trouvé le juste milieu. A la fois sorcier – ou presque – et moldu. C’est pour mieux aider les moldus à s’intégrer au sein du monde des sorciers, que j’ai finalement décidé de sauter sur cette annonce. Poudlard recherchait d’urgence un nouveau professeur en étude de sorciers. Qui mieux qu’un cracmol, connaissant les deux mondes, pour enseigner cette matière ? Pouvoir créer une certaine harmonie entre les deux univers, et aider à mieux appréhender la magie. Il était temps pour les sorciers d’accepter les moldus. De plus, Poudlard décidait enfin d’accueillir cracmols et moldus au sein de l’enceinte du château. Une progression considérable qui n’a fait que de me motiver davantage à quitter mon poste d’archiviste, après des années de bons et loyaux services.
Il était temps pour moi de torturer les générations futures !
Ah, je peux vous le dire, je suis probablement le professeur le moins aimé du château. Et je crois bien que j’en fais une petite fierté. La vengeance du cracmol. Ça ferait un bon film, vous ne croyez pas ? Et ne pensez pas que je m’en prends aux enfants de sang-purs, loin de là ! Pour la plupart, je les plains. Et je ne suis pas tant un mauvais gars que ça. J’essaye de tous les aider, ces gamins. Tant sorciers, cracmols que moldus. Il va leur en falloir du courage, pour se faire une place dans ce monde où la normalité se mêle à l’extraordinaire. Et surtout… Pour ne pas avoir l’air con tout en agitant un morceau de bois. Mais ça, c’est une autre histoire. »
Anecdotes
• Elli se balade avec un taser, qui est parvenu à voler lorsqu’il est venu passer son examen pour entrer dans la police. Un objet pour se défendre, mais davantage, un petit souvenir de son passage dans les locaux. Sûrement aussi pour se venger de ne pas avoir été accepté. Il aurait bien volé aussi un badge… mais c’était trop risqué, selon lui. Il ne s’en sert quasiment jamais… C’est davantage un objet dissuasif, et une petite blague, qu’un objet de défense.
• En parlant de taser, Elli ne s’en est servi qu’une fois à l’école. C’était pour arrêter une bagarre entre deux élèves qui se jetaient des sorts à la figure. Les personnes présentent ce jour-là assurent qu’en utilisant son taser, il aurait crié « expelliarmus ». Les rumeurs comme quoi quelques étudiants auraient vu l’ombre d’un sourire sardonique sur son visage, sont à ce jour, infondées.
• L’histoire à propos de la cicatrice sous son œil droit est assez sombre. C’est suite à un combat contre trois personnes qu’il aurait écopé de cette blessure. Un coup de couteau de l’un des assaillants, l’aurait touché. Il assure que les trois hommes étaient dans un piteux état. La véritable histoire derrière cette blessure est bien moins sexy que cela. L’un de ses chats n’a pas apprécié que Elli cherche à le virer du canapé, et lui a fait savoir à coup de griffes.
• Il est extrêmement fier de sa chevelure qu’il nomme « chevelure de metalleux ». Seuls les moldus peuvent comprendre la référence.
• Elli souffre probablement d’une pathologie très rare, celle de pouvoir s’endormir n’importe où, à n’importe quel moment. Il est en effet capable de piquer du nez en plein examen, ou durant les repas. Sa meilleure arme ? Un sac de couchage extrêmement confortable.
• Il ne se sépare jamais de son foulard, offert par l’une de ses sœurs (la deuxième), avant de partir pour une mission de plusieurs mois. Il ne s’en sépare plus depuis.
• Elli a un cœur mou derrière la tonne de sarcasme qui le recouvre. Il aime la guimauve, les bonbons, le chocolat chaud – moins que le café – et regarder des films tout le dimanche, sous un plaid bien chaud.
• Les comédies romantiques sont capables de lui faire verser une larme. Mais chut.
• Elli est bilingue, il parle donc gallois en plus de l’anglais. Il lui arrivera donc de parler dans cette langue, de temps à autres, souvent quand il est contrarié et à besoin de vous insulter. Il vous promettra que ce n’est pas le cas, bien sûr.