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the sound of silence || RIP

Romeo I. Pierce
Eleve sang-mêlé
Eleve sang-mêlé
Romeo I. Pierce
Messages : 61
Points : 186
En couple avec : ahahahahahaha.
the sound of silence || RIP Dim 4 Juin - 22:14


RIP
Prénom(s) et nom — Romeo Ivy Pierce
Surnom(s) —Rome, Rip
Âge —17 ans.
Orientation sexuelle — Indéfinie
Origine — Anglaise
Sang — Mêlé
Particularité — Occlumens.
Année d'études — 7ème.
Options ou licence — Elle se débarrasse de l’étude des moldus et de l’astronomie. Elle prend base du droit et commerce magique & arts magiques en option.
Avenir — Directrice de Poudlard.
Avis sur les cracmols et moldus à Poudlard —  Ils sont fous. Cinglés. Inutiles. Ils sont auto-destructeurs et nous coulerons avec eux. Elle grimace dès qu’elle sent la présence de l’un d’entre eux.
Maison —Serpentard
Avatar — Basically des originaux aux cheveux bruns tbh.

Baguette magique — Bois d’Aubépine, cœur d’épine de monstre du Fleuve Blanc, 24 cm, relativement flexible, fine aux détails délicatement gravés.
Épouvantard — Sa mère, la prison, les barreaux et l’humidité qui s’incruste dans la peau pour provoquer un frisson, l’odeur de renfermé, de mort, et sa génitrice qui hurle à la folie. Puis elle cligne des yeux et la voix est à présent la sienne, les menottes sont autour de ses chevilles à elle et c’est elle qui est à la place de sa mère.
Patronus — Jaguar
Reflet du miroir de Risèd — C’est probablement le seul miroir près duquel elle passerait sans jeter un coup d’œil.
Odeur de l'Amortentia — C’est une odeur époustouflante, épatante, qui brûle les poumons comme une lave qui coule le long de la trachée et ronge la chair ; une odeur de pluie, de fleurs séchées, avec un léger ton âcre, métallique.
Matière favorite — Toutes
Bonbon favori — Le café.
Créature inspirante — Le sombral qu’elle a le malheur – ou l’honneur de pouvoir voir.
Animal de compagnie — Dante, un siamois
Mental
resume:

random facts:

Un frisson, un frémissement, une vague de froid qui vient te glacer sur place, une simple caresse de la tempête qui réside en elle et qui la détruit de l’intérieur. Glaciale, inexpressive, le corps n’est source d’aucune chaleur. L’aura semble le même que celui de Medusa, l’âme est un flocon de neige dont le regard étincelant brille d’une lueur ensorcelante, une lueur stable, contrôlée à la perfection. Un million de cristaux brisés qui arrachent la peau lorsqu’elle bat lentement les yeux tandis que tu lui parles. Les cils frôlent les pommettes dans un mouvement hypnotique, l’air endormi, l’air ennuyé, l’air à peine intéressé. Mais sa façade ne disparaît jamais pour révéler l’esprit toujours éveillé,  qui retient chaque information, chaque détail, chaque pièce du puzzle que tu constitues. C’est cet esprit là que les êtres les plus perspicaces arrivent à déceler pour voir qui elle est. Parce que tout être a des pièces qui le forme et elle détermine chacune d’entre elle pour trouver la seule qui l’intéresse vraiment : le point faible. Le point douloureux, caché, enfermé, enterré. Mais elle observe, cherche, casse le verrou, déterre, retourne la carte et l’étincelle manipulatrice ne s’allume que lorsqu’elle a tout ce dont elle a besoin pour abattre. Parce que tout à ses yeux n’est question que de pouvoir. Ce pouvoir qui va lui permettre d’obtenir ce qu’elle veut sans user de trop d’énergie, cette simple pression psychologique qui va lui permettre de répondre à ses désirs. Et elle désire trop.

Romeo, elle veut tout et rien, le monde et la galaxie, le pouvoir et l’anarchie. Mais elle ne peut pas les avoir, alors elle se contente de faire ce qu’il faut pour avoir les moyens de les acquérir. Romeo, elle veut beaucoup de choses. Elle veut le silence mais te demande de continuer à parler lorsque tu te tais. Parce que tu l’occupes, que la présence des autres la rassure, guérie ses plaies de fille abandonnée. Elle t’offrira un sourire et un regard flamboyant d’hypocrisie si c’est ce qu’il faut pour te garder. Mais Romeo c’est la plume qu’on cherche et qu’on n’arrive pas à attraper, celle qu’il faut manier avec délicatesse par peur de la briser mais qui est en réalité gère chaque infime élément de sa vie sans aucune difficulté grâce à une intelligence qu’elle veille à développer en permanence.  Romeo c’est l’objectivité grâce au manque d’intérêt, c’est celle qui aime ou qui déteste. C’est celle qui va faire sa propre justice au lieu de te montrer du doigt pour te foutre dans les problèmes. C’est celle qui règle ses propres histoires parce qu’elle pense n’avoir besoin de personne et que cette idée la ronge. C’est celle qui va te pousser du haut d’un pont pour rire puis te rattraper avant que tu ne perdes la vie. Juste pour te rappeler que l’existence de chacun ne tient qu’à un fil et qu’elle peut avoir un pouvoir sur la tienne. C’est l’ombre qui sera derrière toi lorsqu’elle t’aura convaincu de mener tes propres batailles. C’est la présence qui ne t’aidera pas si tu t’écroules par terre, vaincu, humilié. C’est celle qui te regardera te relever sans son aide, mais c’est également celle qui vengera ton échec.

Tu continues à lui parler mais sa voix ne se fait toujours pas entendre. Tes mots la traversent et s’impriment en elle car elle les écoute, les prends en considération mais s’en fout. Elle s’en fout de ta vie parce qu’elle en a déjà une. Elle s’en fout de tes histoires parce que la sienne est déjà compliquée. Parce qu’elle pense qu’elle est damnée. Elle se voit en poison, celui qui dégouline le long de la langue et qui glissent le long de la canine avec la même fausse sensibilité qu’elle semble arborer à cause d’un esprit qui redéfinie la décadence et qui a été formé par le vice.

Tu parles trop, ils parlent tous trop tandis qu’elle se tait. Ils parlent pour ne rien dire, alors qu’elle s’exprime pour nuire, ils se plaignent pour des broutilles et elle vise pour anéantir. Parce que c’est amusant de rabaisser pour les sentir s’écraser sous le regard qui détient la seule promesse de gentillesse, d’empathie, brouillée par une méfiance quasi-incontournable. Mais elle parle quand elle en ressent le besoin, quand la patience s’effrite et que le self contrôle s’éparpille, elle parle d’une voix autoritaire, contrôlée, calme, sur laquelle un soupçon de menace peut parfois planer, elle parle pour blesser, rabaisser, ramener à la réalité à cause d’une rationalité qui lui permet de garder les pieds sur tête et la tête froide.  

Tu allumes ta clope devant elle tandis que la sienne est déjà entre ses lèvres quand elle croise calmement les jambes. Ses gestes sont d’une grâce qui te semble sortie d’un autre monde, la patience découle de ses gênes, et seuls les sourires en coin perdus et les iris qui vibrent sont signes de vie. La flamme te brûle les doigts, ta douleur la fait hausser un sourcil et l’étirement des lèvres montre l’amusement. Le sourire, puis le rire qui enflamme les poumons et ton cœur, celui d’où coulent un charisme et un charme enterrés pour rester la plus discrète possible. Mais elle secoue la tête ; elle ne fera jamais rien pour t’aider, privée de tout empathie, jamais rien pour te secourir à moins que tu lui hurles de t’aider, la secoue pour réveiller sa conscience endormie, la ramène sur terre pour implorer cette perfide forme de clémence, parce qu’elle a toujours dû se débrouiller seule et ne comprend pas que quelqu’un réclame son aide. C’est celle qui te tournera le dos si tu la rabaisse, celle qui ne considérera même plus ton existence si tu ne signifies plus rien. Elle s’en fout tant que ça ne l’atteint pas. Mais peut-être bien que tu comptes pour elle. Malgré tout ce qui la pousse à ne jamais s’attacher à personne à cause de cette peur viscérale de l’empoisonner, la briser, la détruire, elle va t’aider. Parce qu’elle ne croit pas en la vie, ni à la mort, ni en dieu, ni en toi, ni en eux, ni à son corps ni au tiens. Elle ne croit qu’en elle, qu’au pouvoir, et qu’à la magie.
Story
« Ils l’ont trouvé. »

Ces mots ont lacéré sa chair avec autant de précisons qu’une lame qui tranche sa jugulaire.  Elle reste de marbre, assise sur le canapé de son oncle tandis que le monde semble s’écrouler, s’effondrer de toute part. Elle peut même le sentir s’effriter à chaque seconde passée.  Elle y reste pendant des heures, des jours et des nuits, perdue dans le néant de son esprit. Abîmée, déboussolée, éreintée ; elle repensait au destin de sa mère condamnée. Elle s’était évanouie dans la nature comme un pétale qu’on arrache et qui se perd dans les airs, et Romeo en sait trop. Le penchant pour la magie noire, le sort jeté qui a condamné mère et fille au purgatoire. Et c’est assise, les jambes croisées, le regard voilé, l’esprit dérangé, que Romeo repensait aux derniers moments passés avec sa mère. Une étreinte, un sourire, une caresse, un livre remis, des sortilèges d’appris, un secret de transmis et une vie de finie.

Mais Romeo n’a jamais espéré. Romeo n’a jamais douté. Romeo sait que sa mère est damnée. Alors quand l’annonce tombe, la réalité s’impose, et c’est sans aucune larme que Romeo l’accepte. Elle l’accepte parce qu’elle n’a pas le choix. L’accepte parce que malgré la position plus que confortable de son oncle au ministère, la libération de sa mère est une douce illusion inaccessible,  inconcevable et inenvisageable à cause d’un sortilège inexcusable. Alors elle pense, elle imagine, elle a l’impression d’entendre sa mère implorer, sa mère hurler, sa mère souffrir et rire à cause de ses idées critiquées, prohibées, et à présent condamnées. Et la seule conviction qu’à Romeo est qu’aucun individu n’a assez de pouvoir pour faire libérer sa mère. Parce que tout est question de pouvoir, de puissance, de suffisance, de capacité à éreinter et à se faire acclamer par les foules aux esprits avariés.

Mais le canapé dépéri, l’âme flétrie, l’éclat disparaît, et c’est sous le regard de son tuteur qu’elle se rembrunit et que cette froideur qui était jusque là inhabituelle la conquiert aussi lentement qu’un cancer qui ronge la chair.  Alors quand elle entend son oncle prononcé le terme « vacances », elle ne voit que les conséquences de sa propre décadence qui vont mener à être sous surveillance en permanence.  Elle ne voit que ce besoin irrépressible de s’échapper pour réapprendre à vivre et à respirer malgré une âme éplorée. Alors elle le suit sans bruit, parce qu’il croit que ça va la faire oublier, mais Romeo n’oubliera jamais ce qui lui est arrivé parce que l’histoire est restée gravée dans la pierre. Alors elle le suit sans bruit tandis qu’ils fuient. Ils fuient un passé déshonorant, infamant, pour se retrouver face à un présent monstrueux et scandaleux, hideux mais prodigieux. Alors ils arrivent et posent leurs valises en pleine guerre civile entre deux camps qui se déchirent.

L’instinct annonce les hostilités dès qu’elle arrive et pose pied sur la terre damnée que l’oncle pense appartenir à une colonie de sorciers éloignés. Et le pressentiment s’affirme à chaque minute écoulée dans ce lieu dépravé, conquis par des êtres égarés. L’envie de faire demi-tour pour retourner se replonger dans les vagues déchainées du passé est éprouvée, mais chaque pas en arrière est scruté, épié, sondé de milles regards qui figent et étouffent jusqu’à ce que l’oncle et la nièce ne puissent s’échapper du gouffre. Et au premier regard échangé avec l’homme censé diriger, elle sait qu’elle attitude adopter, à quelle armée se rallier et quel individu côtoyer. Yaroslav. La même balafre semble être partagée et il s’impose à leurs yeux comme l’individu à épargner tandis que les fous à lié le considère comme celui à mutiler.

Alors il ne s’agit plus de séjourner mais de s’installer le temps de trouver un moyen s’échapper car l’oncle ne prend même plus en considération l’option de cohabiter. Et Romeo comprend pourquoi. Elle voit le renégat sournois, elle entend les murmures trompeurs et capte les regards accusateurs lancés au fils du prestidigitateur.  Elle s’efface entre les disciples qui suivent sans se poser de questions comme un troupeau de taureau prêt à foncer sans rien calculer, dominés par un seul être qui décide de tout pour tout le monde. Elle est comme cette tâche noire qu’on n’arrive pas à effacer au milieu d’une œuvre d’art déchainée, perdue entre les coups de pinceau irraisonnés d’une vie tourmentée. Puis la lettre arrive, et elle lui est remise par les mains de son oncle qui la regarde avec ce sourire empli de fierté qui l’informe que tout ne fait que commencer. Alors elle la prend, regarde le sceau de l’école réputée tandis que le premier sourire depuis une éternité vient étirer les lèvres anciennement figées. Et cette lettre c’est tout le pouvoir que Romeo a toujours attendu, toujours désirer, toujours convoiter, l’attestation de toutes ses capacités inexploitées.

Mais la terre tremble, et Romeo sent la monarchie commencer à faiblir. Elle sent le sol s’ouvrir et la crainte grandir. Elle sent que quelque chose se prépare tandis que les mots entre son oncle et yaroslav se multiplient, toujours plus animés, toujours plus inquiets. Elle sent la révolution commencer, le cataclysme se former, et elle n’a pas le pouvoir de l’arrêter. Encore. Le pouvoir. Toujours le pouvoir contre cette incapacité de prévoir. Puis quand elle comprend, c’est trop tard. Elle fait face aux milles corps, femmes hommes et enfants se balançant au rythme du vent. Romeo regarde l’un d’eux qui semble non loin de la porte des enfers, manipulé jusqu’au dernier tournant par un être sans aucune pitié qui, dans sa capacité à tout exterminer, avait eu le pouvoir de tous les condamner. Et au même moment que l’un d’eux expire son dernier souffle, elle inspire une bouffée d’air frais comme pour lui rappeler l’ironie de la vie. Ils s’étaient laissés dominés et s’étaient indirectement fait tuer. Ils étaient tous fous à liés et ils étaient les seuls à blâmer.

Elle regarde autour d’elle le cimetière dans les airs jusqu’à ce qu’elle ressente de nouveau la menace qui plane. La baguette du leader est pointée sur les trois cœurs tandis qu’on l’attrape par le bras pour l’éloigner de l’inévitable, mais elle reste de marbre devant le spectacle inéluctable. Et Romeo se demande alors comment un homme comme celui qui tente de les tuer peut encore être en vie. Comment il peut encore détenir le pouvoir de les massacrer. Elle se demande pourquoi son leader, à elle, ne prononce pas les mots censés mettre fin à sa douleur, à sa souffrance, parce que la bataille qui se déroule face à elle est un supplice lui rappelant sa propre incapacité à décimer elle-même la menace qui plane. Mais il n’est question que de minutes avant que les flammes vertes surgissent et qu’elle finisse par voir le corps sans vie s’éclater la gueule au sol sous les milles regards des êtres aux cœurs meurtris qui admirent la scène au dessus de sa tête, leur pieds se balançant au rythme du vent. Les mots prononcés par son propre oncle qui range sa baguette après un dernier soupire de contentement. Et elle regarde cet homme qui avait si bien remplacé le père défaillant qui lui a été attribué, cet homme qui les avait probablement sauvés d’une mort assurée.

Et c’est avec un seul regard en arrière lancé au seul être qui subsiste de son passé qu’elle rentre chez elle au côté de son oncle.
L’oncle qui avait eu le pouvoir de tuer quelqu’un par de simples mots prononcés et qui mourrait avec le secret de cet acte prohibé. Telles sont les capacités qu'elle désire obtenir. Poudlard représente à présent pour Romeo le seul moyen d’acquérir le pouvoir qui, pour elle, lui revient de droit. Et elle ne reculera devant rien pour cela, parce qu’elle veut tout obtenir pour pouvoir tout contrôler, tout détenir pour pouvoir tout écraser. Car le pouvoir sans abus perd le charme.
Derrière l'écran
Reyenn — Bond, James Bond.


Dernière édition par Romeo I. Pierce le Mer 1 Aoû - 10:19, édité 13 fois
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Re: the sound of silence || RIP Dim 4 Juin - 22:19

fire fire
t bonne
j'veux en voir plus
Ruben Damon
Captain bourrin
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Ruben Damon
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Re: the sound of silence || RIP Dim 4 Juin - 22:22

rebvn
mais olalala je aled
quelle bo t
mes larmes coulent


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Re: the sound of silence || RIP Dim 4 Juin - 22:24

pk t si jeun halp
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Re: the sound of silence || RIP Dim 4 Juin - 22:25

i wanna be ur juliet aled
Castiel A. Kingsley
True Alpha & Purrfect boyfriend
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Castiel A. Kingsley
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En couple avec : Olympe Errol.
Re: the sound of silence || RIP Dim 4 Juin - 22:26

Bienvenue?????
TU AS L'AIR TROP COOL JE VEUX UN LIEN AVEC PAN !!!!!
Fenry D. Williams
Captain Queenie Bitch
Captain Queenie Bitch
Fenry D. Williams
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Points : 1728
Re: the sound of silence || RIP Lun 5 Juin - 0:29

Slt mon amour
T'es très belle
Je t'épouse quand tu veux
fire
Romeo I. Pierce
Eleve sang-mêlé
Eleve sang-mêlé
Romeo I. Pierce
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En couple avec : ahahahahahaha.
Re: the sound of silence || RIP Mar 6 Juin - 15:28

yoyo » ça arrive bg fire

ruben » sèche tes larmes ptn aled merci jotem ♥️

sergei » fmaierjhgshj jpp de toi 🤦 ptdr

sln » u already r huhu

castiel » MERCIIII! Oui un lien avec pan fire

fenry » hi fenry baby, oui soit mienne pour l'énernité! oscour

je vous aime je vais essayer de finir cette histoire rapidement qui me... brrr. je vais tenter de la finir avant la fin de la semaine komem. aled
Alaine P. Aslingt
Lil' precious girl
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Alaine P. Aslingt
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Re: the sound of silence || RIP Mar 6 Juin - 17:12

je sais que tu galères un peu pour ton histoire.
mais courage.
parce que ton personnage est perfection ♥.
amour ♥.
Orphan E. Scamander
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Orphan E. Scamander
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En couple avec : Marié à Rachel O'Sullivan Scamander.
Re: the sound of silence || RIP Mer 7 Juin - 19:31




Bienvenue sur Dabberblimp !

Ptain mais ce perso est génial ? (et elle ressemble tellement à Pan omg je viendra spammer ta fiche de liens)(ou toi la mienne :winkwink:)
J'ai adoré l'histoire, c'est trop mon genre de lecture, et puis le cara aussi c'est mon style :( Enfin j'aime trop romeo et ta fiche j'ai absolument aucun argumentaire constructif sous la main là.
Juste : tu gères.

Te voilà validé, tu peux dès à présent créer ta fiche de lien dans ce sujet, ainsi que ton téléphone portable ici (des modèles sont mis à ta disposition). Tu dois aller faire recenser ton avatar par là et tu peux aussi faire une demande de RP juste ici, ou aller sur la CB te trouver un éventuel partenaire. Tu peux aller t'inscrire dans un club de Poudlard et aussi aller zyeuter la liste des postes.
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the sound of silence || RIP
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