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I want a brighter word than bright - Flynn

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I want a brighter word than bright - Flynn Mer 31 Mai - 16:45



Flynn O’Leary

“ I am rooted, but I flow „

Le choixpeau a quelques questions pour commencer...

Tu t’appelles ? — Flynn O’Leary
Donne moi ton âge jeune individu... — 16 ans
Tu viens d’où ?  — De Galway, en Irlande
Et au niveau de ton rang ici ? — Moldue
Si tu as un don précise le ici — Rien de magique, mais une très utile mémoire photographique.
T’es en quelle année ? — 6ème
Quelle option ? — Histoire des Arts magiques et Arts plastiques et Mathématiques
Tu aimerais faire quoi plus tard ? — Romancière ou poète.
Que penses-tu des élèves moldus et cracmols à Poudlard ?  — Etant moldue elle-même, elle trouve quand même qu’on aurait pu la prévenir avant qu’elle vienne de toute l’opposition à sa présence qu’elle a pu rencontrer ; elle trouve que le changement a été trop rapide et trop unilatéral (de la part de la direction) pour être complètement accepté. Mais bon, elle est contente d’être là, quand même.
Je vois je vois… tu seras donc dans la maison… (attendre la répartition)



The world is full of magic things, patiently waiting for our senses to grow sharper





Ta baguette magique — N’étant pas sorcière, elle n’a pas de baguette.
La forme de ton épouvantard — Un essaim de guêpes qui lui court après.
L’animal de ton patronus — Pas de patronus non plus. Si elle en avait un, ce serait probablement une pie.
Qu’est-ce que tu vois dans le miroir de Risèd ? — Elle n’y voit que son reflet.
Que sens-tu au dessus de la potion d’Amortencia ? — Une odeur de lilas, d’eau de mer et de parchemin.
Ta matière favorite — Etude des sorciers
Tu aimes quoi comme bonbon ? — Les patacitrouilles.
La créature qui t’inspire le plus — Les sombrals, bien qu’elle ne puisse pas les voir (peut-être, justement, parce qu’elle ne peut pas les voir)
Un animal de compagnie peut-être ? — Elle a une chouette effraie nommée Thémis.  


If you do not tell the truth about yourself you cannot tell it about other people


Peu de gens connaissent vraiment Flynn parce que peu en ont envie. Ce n’est pas grave, elle comprend, il n’y a pas grand chose à connaître - son coeur est comme un grand puit sans fond, qui paraît vide à l’oeil extérieur, mais qui menace constamment de déborder et de se déverser dans le monde qui l’entoure. Flynn est passionnée, on ne peut le lui retirer. Elle ressent tout, ses émotions comme celles des autres, avec une force qui la ferait vaciller si elle n’y était pas habituée. Dans l’état des choses, très souvent, elle en pleure - de joie, de tristesse, de colère, d’affection, de honte. On la trouve bizarre, Flynn, à être à la fois si invisible, et si présente.

On la connaît peu aussi parce qu’elle n’est pas vraiment sociable. Elle papillonne ici et là, écoute plus qu’elle ne parle, a des airs un peu bizarre et dit rarement la bonne chose au bon moment. Pourtant, elle a beaucoup de théories et des années d’observations et de recherche sur la nature humaine, Flynn, mais bizarrement ses analyses font peu de bien quand elle est devant une personne en chaire et en os. Elle comprend les gens, Flynn, mais de là à interagir avec eux, il y a un monde.

Mais ça reste une fascination, voir les autres vivre et aimer et rire et s’enticher les uns des autres et du soleil. Elle les regarde, elle est attentive, plus que la plupart des gens, elle voit les détails qui échappent aux autres, et elle comprend. Elle ne sait pas tout, bien sûr, et parfois elle comprend mal, mais il y a peu de monde qui en sait autant qu’elle sur ce qui se passe à Poudlard.

Et quand elle est assez intéressée, Flynn écrit. Il suffit de peu, une phrase en passant, la façon dont la lumière des torches révèle le visage d’une personne, et elle est inspirée. Elle écrit beaucoup, Flynn, elle écrit sur tout, mais surtout sur ceux qui l’intriguent, et quand ils deviennent ses personnages, c’est comme s’ils devenaient ses amis.

Elle est solitaire, Flynn. On la voit rarement accompagnée, et peut-être est-ce mieux ainsi. Elle est heureuse de sa vie, elle se contente de peu. Contente de qui elle est et sûre de ce qu’elle veut, il y a peu de choses qu’on peut lui offrir qu’elle ne trouverait superflu. Les relations humaines, c’est un effort, ou un bonus. Elle est heureuse ainsi. Sa vie intérieure est aussi tumultueuse que l’extérieure est calme. C’est une créature qui vit dans la routine, se lève tôt, se couche tôt, écrit le matin avant le lever du soleil et le soir avant de dormir, elle marche dans le parc quand il ne fait pas trop chaud et lit dans la salle commune tant qu’on ne l’y dérange pas. Elle est ailleurs, Flynn, et pourtant, elle vit parmi les autres, observatrice, sans se rendre compte qu’elle est parfois, aussi, actrice.

Flynn n’est pas froide, elle n’est pas distante, quand on lui parle elle est tout de suite là, elle comprend. On sent qu’elle comprend, que ses efforts ont tous pour but de se faire comprendre, elle. Elle a cette façon bizarre de parler, trop alambiquée, trop classique, comme un mélange de tout ce qu’elle a lu. Mais elle est là, elle veut être là, elle veut en apprendre plus pour te connaître, faire partie de ta vie, même comme simple figurant. La narratrice qui se veut personnage.

Elle est loyale, aussi, Flynn. Elle a un sens de l’honneur qu’on ne voit plus, quand elle donne sa parole elle ne la reprend jamais. Elle dira qu’elle préfèrerait mourir, d’un air sérieux qui te fera rire, mais elle le pense vraiment. Flynn se bat pour ce en quoi elle croit, pour la justice, pour la vérité, pour tous ces principes cousus sur l’envers de son coeur.

Elle lit beaucoup, Flynn, certains disent qu’elle lit trop. Et elle retient tout, elle analyse, elle va plus loin ; Flynn n’a pas de problèmes avec ses études. Elle apprend tout ce qu’elle peut sur le monde sorcier, l’étudie par les livres et par l’expérience du monde autour d’elle, pour mieux pouvoir l’utiliser comme scène pour ses écrits. Mais aussi, le monde sorcier, plus que le monde moldu, parle à son coeur ; un monde qui n’est pas dans l’immédiateté et le dynamisme, un monde plus simple, peut-être, qui t’accorde le temps d’écrire à la plume sur un vieux parchemin.



I am certain of nothing but the holiness of the Heart’s affections and the truth of the Imagination.


Flynn est née, un jour, dans une famille prête à l’aimer - on peut difficilement demander mieux.

Ses parents travaillaient beaucoup, comprenez, il fallait subvenir, ce n’est pas assez l’amour et l’eau fraîche. Ils restaient tard au bureau, revenaient à peine pour embrasser les enfants le soir, puis allaient dormir eux-mêmes.

En attendant Flynn grandissait, sous la tutelle d’Achilles, son grand frère, et de Louisa, leur nourrice, une jeune fille d’une vingtaine d’années avec les cheveux bleus et un piercing à la lèvre. Achilles prenait soin de Flynn, ne semblait jamais éprouver ni jalousie ni rancoeur à son égard, comme on peut en avoir coutume dans une fratrie. C’était comme si elle était sous sa protection, par ordre divin - et c’était presque le cas, puisque Louisa elle-même lui avait demandé de prendre soin de Flynn.

Louisa, elle était magique. Elle avait une voix douce et grave et chaude, et quand on l’écoutait, les mots des livres devenaient vivants. Elle était la gardienne des contes et Flynn comme Achilles l’écoutaient avec une fascination sans bornes, qu’elle soit en train de leur lire une histoire ou de leur demander de mettre la table.

Flynn avait 4 ans quand elle se rendit compte pour la première fois que les histoires étaient vraies. Achilles lui avait confié qu’il était magique. Il faisait voler ses petites voitures, il le jurait, promis, il ne mentait pas. Flynn le croyait, pas besoin de voir. Mais ce n’était pas ça, qui la convainquit que les contes qu’elle aimait tant avait un fond de vérité - elle n’avait, de toutes façons, jamais douté de l’existence de la magie, elle lui semblait aussi logique que la soudaineté de la pluie ou le changement de couleur des feuilles d’arbres. Non, ce qui la persuada, ce fut quand Achilles, dans la cours de l’école, défia un grand de dernière année qui embêtait Flynn. Il devait faire dix centimètres de plus que lui et avait l’air de savoir utiliser ses poings. Mais Achilles s’interposa, le poussa, et se pris un coup dans le nez dont le craquement retentit dans toute la cours de récré.

Pour tout le monde, ce n’était qu’anecdotique, une querelle de gamins. Pour Flynn, c’était l’incarnation de Perceval, le chevalier sans peur et sans reproche dont Louisa leur lisait les aventures, dans la personne de son frère. Tout le monde pouvait devenir un personnage. Il suffisait de leur trouver des histoires où briller.

Achilles avait demandé à Flynn de garder le secret de ses pouvoirs magiques, et Flynn était d’accord. On ne disait pas ce genre de choses à ses parents, en tous cas, pas à leurs parents à eux. Ils étaient tellement à l’aise dans leur vie très carrée et très matérialiste, dans ce monde complètement distant de leur monde d’enfant, que ça n’aurait eu aucun sens, ils ne se seraient jamais compris. La seule autre personne qui savait, c’était Louisa. On ne lui cachait rien, à Louisa.

C’est justement Louisa qui donna à Flynn son pouvoir magique à elle. Désintéressée par les jardins d’enfant, pendant qu’Achilles jouait au cochon pendu sur les portiques, Louisa sortait un livre, et lui apprenait la lecture. C’était comme si un déclic se faisait, une porte qui s’ouvre sur un monde de merveilles et de trésors dans la petite tête de Flynn. Pour son anniversaire, Flynn recevait de Louisa un carnet et un stylo. Le soir même, elle devenait romancière.

Après ça, Flynn en s’ennuya jamais vraiment. Il y avait dans sa tête un bourdonnement constant d’idées, d’images, de rêveries qu’elle gardait parfois pour elle ou parfois transformait en histoires enfantines qui n’avaient pas grand sens, mais que Louisa encourageait toujours.

Lorsqu’Achilles eut 11 ans se produit la première déchirure de la vie de Flynn. Son secret, qui avait été le leur, rien qu’à eux, fut révélé à la famille entière, et Achilles dut partir à Poudlard, pour vivre sa vie de sorcier. Flynn se préparait à pleurer et tempêter autant qu’elle pourrait pour qu’on la laisse venir avec lui, mais à sa grande surprise, l’envoyé du ministère leur expliqua qu’à partir de ses onze ans, elle aussi pourrait rejoindre le monde sorcier. Derrière ses larmes de bonheur, elle ne s’apperçut pas de l’air hagard de ses parents, qui apprenaient tout ça d’un coup, comme si on leur apprenait que tout ce qu’ils croyaient savoir de leurs enfants était un mensonge, et qu’on les leur retirait au même moment.

Achilles partit, après une étreinte désespérée de Flynn, qui lui promit de lui écrire tous les jours - promesse qu’elle tint. Tous les jours, même si c’était juste une ou deux lignes, elle écrivait à son frère, et lui envoyait ses lettres avec la chouette que ses parents avaient accepté de lui acheter.

Pendant les quatre ans qui la séparaient de son entrée à Poudlard, Flynn dut apprendre à être heureuse seule, sans son frère. Elle découvri le bonheur calme de la solitude, vivant surtout dans sa tête et dans les moments qu’elle passait après l’école avec Louisa. Elles parlaient différemment de quand il y avait Achilles, maintenant, il y avait une complicité entre elles qui ne peut naître que d’un amour commun pour les histoires bien faites.

Quand enfin elle rentra à Poudlard, elle se rendit compte que la relation fusionnelle qu’elle avait eue avec Achilles ne lui serait jamais rendue. Il avait grandit, et, sans Louisa, ne s’intéressait plus que vaguement aux histoires qui avaient fait leur bonheur dans l’enfance. Il jouait au Quidditch et il en jouait bien, il jouissait d’une certaine popularité ; il n’était plus son chevalier à elle seule. Il faudrait apprendre à le partager.

Ils restaient proches, néanmoins, et il était toujours là pour elle, quand elle en avait besoin. Lui, il n’avait jamais besoin de rien - sauf parfois de traverser la Grande Salle pour la prendre dans ses bras, avant de retourner tout naturellement discuter avec ses amis. Il n’avait jamais honte d’elle. Pourtant, il aurait pu.

Flynn était moldue dans une école de sorciers, plus perdue encore que les cracmols qui au moins en partageaient la culture. Elle était sans cesse avide d’apprendre plus sur ce nouveau monde qu’elle découvrait, mais souvent ses questions naïves la mettaient face à des moqueries ou au rejet de ses camarades. On ne voulait pas d’elle ici, c’était ce qu’on semblait vouloir lui dire. Mais elle était là. Elle avait le droit d’être là, et tant pis pour le reste. La solitude ne la dérangeait pas.

Elle avait évidemment arrêté ses lettres quotidiennes à Achilles en arrivant à Poudlard, mais ce n’était que pour commencer une correspondance régulière avec Louisa. A mesure qu’elle grandissait, leur relation devenait une amitié. Louisa était probablement celle qui connaissait le mieux Flynn ; après tout, c’était à l’écrit qu’elle se livrait le mieux. C’est Louisa qui, pour la première fois, lui dit que ce n’était pas grave, si les garçons ne l’intéressaient pas. Louisa qui lui dit, que ce n’était pas grave, si elle n’était pas vraiment une fille - que ce n’était pas parce qu’on la voyait comme telle qu’elle en était une. C’était Louisa qui connaissait tout ça, tous ses secrets, et à qui elle faisait confiance pour les garder.

Et puis, à l’âge de quinze ans, la routine de Flynn fut de nouveau chamboulée. Achilles, qui aurait du rester à Poudlard un an de plus, se fit recruter par les Frelons de Wimbourne, et quitta l’école en pleine année pour commencer la saison de Quidditch. Il était temps pour Flynn d’apprendre pour de bon à ne compter que sur elle-même.

Pseudo



Qui es-tu ? — DC de Neptune Pennywinkle! Du coup je précise de nouveau que je (le joueur) suis non binaire, que mon pronom c’est iel avec les accords au masculin (comme Neptune!)
Ton âge ?
Ton film favori
Ton livre favori
Comment tu as découvert Dabberblimp ?
Des remarques pour l’améliorer ?
Personnage sur l’avatar
Une dernière… Nargole ou Joncheruine ?




Fenry D. Williams
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Re: I want a brighter word than bright - Flynn Mer 31 Mai - 16:59

BIENVENUE A CE COMPTE-CI \o/
Hâte de voir la répartition hoho et j'espère que tu vas t'amuser avec roll ♥️
Olympe N. Errol
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Points : 604
Re: I want a brighter word than bright - Flynn Mer 31 Mai - 17:29

Owwwh le DC de Neptune *^* re-coucou o/
Mon dieu, mais il est tout pipou omg !!
J'aime très beaucoup le pseudo, après j'avoue j'ai pas fini de lire, mais ça sent la jonquille ptn ♥
Orphan E. Scamander
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Re: I want a brighter word than bright - Flynn Mer 31 Mai - 18:08




Bienvenue sur Dabberblimp !

Salut !! Et rebienvenue :D
Bon alors avant de te valider j'aimerai te faire souligner que tu as rempli le formulaire destinés aux sorciers :(
Il y a normalement un modèle exprès pour les moldus/cracmols :'(((( (sans le patronus, et la question c'est pas "que pensez-vous des moldus à poudlard ?" mais "que pensez-vous des directeurs Orphan et Aileen Scamander ?")
Flynn est adorable même si lire son caractère m'a un peu déprimé ;; J'espère qu'elle se fera plein d'amis qui sauront lire dans son coeur !

Te voilà validé, tu peux dès à présent créer ta fiche de lien dans ce sujet, ainsi que ton téléphone portable ici (des modèles sont mis à ta disposition). Tu dois aller faire recenser ton avatar par là et tu peux aussi faire une demande de RP juste ici, ou aller sur la CB te trouver un éventuel partenaire. Tu peux aller t'inscrire dans un club de Poudlard et aussi aller zyeuter la liste des postes.
Contenu sponsorisé
Re: I want a brighter word than bright - Flynn

I want a brighter word than bright - Flynn
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