Un petit déjeuner au goût de révision [PV : Tobio / Emily]

C'était un jour comme les autres. Cela faisait déjà quelques mois que l'hiver était finit, et maintenant, le printemps lui même touchait à sa fin pour laisser place à l'été. Mais l'arrivé de l'été signifiait aussi l'arrivé des examens, tout comme l'arrivé du pollen pour ceux qui y était allergique. Par conséquent certains se privaient de petit déjeuner, révisant déjà dans les études, ou éternuant déjà en masse dans l'infirmerie. La grande salle, si vaste et immense étaient alors bien vide comparé à ce qu'il en était en hiver. Les quatre grandes tables des diverses maisons de l'école débordaient toutes de place.

A l’extrémité de l'une d'elle se trouvait celle dont un œil était caché. Ses cheveux sombre cachait son visage tourné vers une tasse de thé. Avec lenteur et délicatesse, elle fit tourné une simple petite cuillère, mélangeant les arômes et laissant l'odeur du thé rouge s'élever à ses narines alors que son regard se portait sur ses copies des cours de botanique poser à côté d'elle, sur la table. Mine de rien, la grande salle était, de temps à autre, plus calme que les études ces derniers temps. Trop de personne s'y rendaient, désespéré à l'idée d'échoué aux examens et par conséquent, on ne pouvait entendre que les plaintes des élèves en ces lieux à l'inverse de la grande salle qui aujourd'hui était silencieuse. Ayant finie de tourné la petite cuillère, elle la retirât de la tasse qu'elle bue avant de lâchée un soupire et de prendre une pomme dans sa main, songeant et espérant que pour les examens, il n'y aurait aucune épreuve en botanique consistant à s'occupée d'une mandragore. A vrais dire, les mandragores et l'oui sensible de Laeva était loin de faire une bonne paire et elle avait bien faillie loupée sa première année à cause de ces conneries. Elle s'ne rappelait encore, elle avait été assommée par le cris d'une de ses fichues plantes et avait donc louper certaines épreuves alors qu'elle était à l'infirmerie, il avait donc fallu tout rattraper...

-M'enfin... je ne pense pas que cela n'apparaisse dans l'examens de fin d'année... on en à pas du tout reparler durant tout le programme... marmonnât-elle en se disant qu'au pire, elle prendrait des bouchons d'oreilles en plus du casque réglementaire...

Il faisait bon dehors. Il faisait chaud. Il faisait soleil. C'était clairement le genre de temps où il était impensable pour Tobio de rester cloîtrer en intérieur. Et pourtant. Le Poufsouffle était là, pas lent, sourcils froncés d'une certaine frustration. Il semblait chercher quelque quelqu'un ou plutôt quelque chose. Son regard sombre n'avait de cesse de scruter les environs. Du sol au plafond des couloirs, ses yeux lèchaient toutes parcelles de pierres.

▬ HOY REMIE ! Ima dokoni iruno ?

Oui. Il cherchait Rémie, sa python. Sans vraiment savoir comment ni pourquoi la serpent s'était sournoisement détachée de son bras où elle roupillait habituellement pour ramper Merlin sait où. Tobio détestait quand elle faisait ça. C'était chiant et vraiment pas marrant. Relativement inquiet, pour ne pas dire stressé a se mâchouiller l’intérieure de ses joues, le japonais suivit ce qui s'apparenté a une piste pour finir dans la Grande Salle. Ah. La Grande salle. Comme son nom l'indiquait, c'était une salle, une très grande salle. Retrouver Remie dans tout ce ramassis de tables et de bancs c'était comme trouver une copine a Ruban. Mission impossible.

Mais Tobio n'était pas du genre a se décourager ! Remontant des manches imaginaires, le sorcier s’accroupit devant la première table, celle des Serdaigle. Sans qu'on ne le capte vraiment – vue le nombre impressionnant d’élèves présent ( a savoir 5 pauvres ploucs qui révisaient pour les examens de fin d'année) – le bridé se faufila sous le meuble en mode ninja. Il se glissa sans un bruit jusqu'au milieu de la table pour finalement voir au loin sa dulcinée aux yeux jaunes. Cette enfoirée de Remie. Il lui fit tout d'abord signe, parce qu’il voyait bien que cette dernière le fixait, mais elle le snoba et continua de se tortiller sur le sol avant de se prendre d'affection pour un pied de banc. Banc visiblement occupée.

Sinon où serait le fun.

Voulant continuer a se la jouer sneaky shinobi, Tobio poursuivit son crapahutage au sol jusqu’à se retrouver devant une paire de pieds. Rémie s'en était allée en grimpant jusqu’à l'élève, langue frétillante sur sa robe de sorcier. Elle devait être sur le banc, toute proche. Sans savoir où il mettrait ses pattes, le Poufsouffle tenta de récupérer son serpent en tâtonnant à l'aveugle. Au touché, c'était bizarre. Comme si Rémie était devenue plus chaude et...molle ? Elle muée peut-être... ou alors... ce n'était juste pas Rémie sur quoi Tobio avait posé sa patoune.

Le soleil. La matinée. L'éclat des fenêtres de la tour de Serdaigle rendu incandescent par la fin de la nuit. Je plissai les yeux, mon regard quelque peu "au bout de ma vie", comme on dit. Sur mon lit, mon gros chartreux se prélassait allègrement sur mes draps, encore bien droits et lisses, trahissant ma nuit blanche. Moi qui ne voulait étudier qu'un peu, j'avais fini par rester éveillée trop longtemps et je risquais de dérégler mon cycle de sommeil en allant me coucher à cette heure. Je n'avais pas le choix, j'allais devoir vivre avec et attendre le soir suivant pour aller dormir. Pourvu que cela ne me nuise pas trop lorsque viendrait le moment fatidique de passer les examens. Enfin, il ne servait à rien de me faire du mauvais sang là-dessus. Pour l'heure, j'allai plutôt me rafraîchir, faire un brin de toilette et enfiler un uniforme de rechange avant de rattacher mes cheveux dans leur éternelle queue de cheval. Ces préparatifs accomplis, je réveillai le chat par esprit de vengeance et quittai ensuite les lieux pour gagner la Grande Salle. Manger un peu me ferait du bien, surtout si je pouvais mettre la main sur une tasse de café pour accompagner le tout.

J'allais m'asseoir en diagonale d'une autre élève qui semblait concentrée sur ses propres études. C'était une bonne chose, mais ça ne me concernait pas non plus. Je préférai plutôt partir à la chasse aux tartines, me servant également ma tant attendue tasse de café avant d'emprunter un exemplaire de la Gazette du Sorcier qui traînait sur la table. Sans doute avait-il été abandonné par un autre Serdaigle, parti étudier. Ça m'arrangeait bien pour le coup et je pu entreprendre de me détendre un peu. J'avais beau être une folle de la révision, même moi je connaissais la nécessité de prendre des pauses pour laisser le cerveau se détendre.

J'ignore combien de temps s'était écoulé, mais la lumière ambiante et le bon goût de la nourriture parvenaient à me rendre un peu d'énergie. Bien, j'allais pouvoir tenir une bonne partie de la journée comme ça, c'est surtout en après-midi que les choses se corseraient, mais je n'en étais pas encore rendue là. Perdue dans mes réflexions diverses, c'est sans y réfléchir que je croisai mon autre jambe, rencontrant un obstacle inusité au passage. Je levai la tête de ma lecture, surprise, avant de répéter mon mouvement. Ainsi, je donnais quelques petits coup de pieds curieux avant de réaliser qu'il y avait quelque chose sous la table qui n'aurait, en théorie, pas du y être. Oh non... Ne me dites pas que quelqu'un avait eu l'idée de regarder sous les jupes des filles ?! Fronçant les sourcils et bien déterminée à éclaircir cette affaire, je fis glisser le banc vers l'arrière pour mieux me pencher sur le côté et regarder sous la table. Qui était donc l'identité du chelou mystère ?

« Tobio ?! »

Encore heureux, pour lui, que ce ne soit pas moi qui ait eu à subir sa main baladeuse.

"Encore heureux, pour lui, que ce ne soit pas moi qui ait eu à subir sa main baladeuse."

Est-ce vraiment de la chance ?

Laeva, plongée dans ses révisions n'était pas prête à ce qui allait pourtant se produire à l'instant. Elle sentait quelque chose la dérangée, la tâté au niveau de sa jambe et remonter. Son visage se figeât alors, palissant et fronçant les sourcils. Elle ne comprenait pas et regardât sa voisine en face d'elle regardant sous la table.

-Qu'est ce.... que...

En raison de son cache oeil sur la gauche qui lui réduisait son champ de vision de ce côté-ci. Laeva 'napperçue point le serpent, et se penchant sur la gauche pour voir ce qui se passait sous la table en un sursaut quand les tatonnements devinrent, un peu plus gênant. Elle apperçue alors un élève au main un peu trop baladeuse.

-Hey ! Retirez vos mains de là je.... s'il vous plait... puis c'est la table des ser....

Sssssssssssssss...
Elle c'était penchée sur la gauche oui, totalement inconsciente de la présence de l'animal enrouler et remontant le pied gauche du banc sur le-quelle elle était assise. C'était là d'un désavantage de ne pas voir de ce côté là, on y voyait tout simplement absolument rien et elle était donc facile à surprendre de ce côté si. Par ailleurs c'était sa faiblesse lors des duels en magie mais revenons à ce... serpent... Entendant se sifflement si propre à la langue fourchue d'un serpent, le cœur de la serdaigle fit un bon, et son corps aussi d'ailleurs. Elle serait douée en course si elle était aussi rapide que maintenant. En moins de quelque secondes elle se retrouvait debout, sur le banc effrayée, en hurlant à plein poumon "serpent". Dire que son visage était passé si près. Elle tâtait partout sur elle, son torse son cou et son dos voir si l'animal n'était pas sur elle tellement qu'elle était effrayée à l'idée de se faire mordre ou quoique ce sois. Elle n'avait pas du tout l'heure habituée à se genre d'animal, tout comme il y a six ans, sa mère avait littéralement la phobie des reptiles.

-C'est pas drôle !! C'EST PAS DROLE !!!

Tobio avait été doux. Vous savez, le genre de douceur qu'on ne resserve qu'aux êtres qu'on aime. Rémie méritait toutes les caresses les plus douces et les plus sensuelles du monde. Normal. C'est qu'elle était parfaite Rémie. C'était un peu la princesse du jap', la toute mignonne et adorable python de son kokoro de dracophile. Mais de toute évidence, ce n'était pas des écailles dont le Poufsouffle s'était saisis. Plus une gambette ma foi pas désagréable. Toute joliette quoi qu'un peu maigrichonne. Ça manquait de forme tout ça. Hm.

Tandis qu'un sourire bien trop étiré s’éternisait sur sa frimousse, une pointe de pied vint se planter dans le bas de son dos. Tobio retint un sursaut. Il devait se la jouer discret. Il n'était plus humain. Il était pied de table ! Dur et droit. Solide comme un roc. Mais trop concentré dans sa connerie, le deuxième soulier a le toucher le fit sursauter. Un gros « bang » explosa dans la salle, la rendant plus silencieuse encore – si seulement cela était seulement possible. Grillé ? Grillé.

▬ ITAÏ ! Rugit Tobio venant se frotter le haut du crâne, explosé par sa surprise. Une larme se créa à la plissure de ses yeux et d'un coup sec retira sa main de la jambe de la Serdaigle. Forcement, le Poufsouffle s'était ensuite retourné pour capter le regard rond d'Emily. Ah. Est-ce qu'il avait besoin de se justifier ? Non. Mais est-ce qu'il allait le faire ? Oué. Carrément.

▬ Je cherche Rémie ! Petite larme qui coule. Owh.

Mais il y avait plus urgent non ? Genre la fille qui va peut-être ECRASER REMIE ! Action, réaction. Chassant la douleur qui lui prit le front Tobio s'extirpa de sous la table pour à son tour grimper sur le banc. Sans réfléchir, il attrapa la jeune Serdaigle pour la soulever. Porté princesse. Comme ça, narmol. Debout sur un banc avec une demoiselle dans les bras. J'peux vous dire que tout les yeux curieux de la salle s'étaient posés sur eux, la pupille dubitatif.

▬ Okok. On se calme. J'pense pas que t'as envie d'écraser ma python.

Sur quoi il la mit sur son épaule en mode sac de patate. Faut pas déconner. Tobio l'avait pas envie de voir sa si précieuse Rémie se faire écrabouiller. ▬ Tu restes là, tu fermes les yeux, pendant que j'la cherche kay' ? Une caresse dans le dos, comme si c'était un gros bébé. Yoshyosh

Pivot adroit, grimpage sur la table, esquive d’équilibriste entre les petits pains et les beignets. Sans craquer biscotte, l'asiatique propose une main a Emily. ▬ Tu m'aides a retrouver Rémie ? Y'a un truc a dire dans ce genre de situation non ? Allez. Réfléchis Tobio. You can do it. ▬ Ah. S'il te plaît ? Petit sourire.

La table fut parcourue d'un tremblement fort, accompagné d'un bruit de douleur. Bien fait pour lui. Ça lui apprendrait peut-être à ne plus venir regarder sous les jupes des filles. Ou, à tout le moins, était-ce ce que je pensais initialement. Le vert empressa de démentir mes premières impressions, me laissant savoir qu'il était sans cette position simplement pour chercher Rémie, son serpent. Ceci expliquant cela. Il avait beau être... ce qu'il était, ça ne l'empêchait pas de se donner corps et âme pour la retrouver, simplement car elle comptait beaucoup pour lui. Un véritable Poufsouffle. Comment ne pas vouloir l'aider ? Mmh, comme la fille en face en fait. La pauvre avait été surprise par la main de Tobio, en plus d'être visiblement fort effrayée par les serpents. Impossible que l'affaire passe inaperçu maintenant, tout le monde regardait en notre direction et je me mordis la lèvre inférieure, ne sachant pas comment réagir. C'est que je ne savais pas réconforter les inconnus, moi, ce qui n'était heureusement pas le cas de tous ici. C'est, bien sûr, Tobio qui sorti de sous la table pour attraper la jeune femme. Pour le coup, j'ignorais si je devais sourire aux manières de Tobio ou intervenir en faveur de la demoiselle qui n'avait clairement rien demandé de tout ça. Et le voilà qui grimpe sur la table avant de me demander mon aide. D'accord, ce mec est stupidement attachant, mais pas moins déconnecté de la réalité. Pire, il me tendit la main pour m'inviter à le rejoindre.

« Je ne monte pas sur cette table et tu devrais en descendre tout de suite et poser cette pauvre fille ! Occupe toi plutôt de l'aider à se calmer, je vais trouver ta Rémie. Fais-moi confiance. Et descend de notre table et plus vite que ça !! »

Ce problème écarté, du moins je l'espérais, c'est à moi que revenait la tâche de retrouver le fameux reptile. Si seulement j'avais pu user d'un Accio pour récupérer le serpent, mais je ne m'y serais pas risquée ici, en pleine grande salle alors que tous les yeux étaient rivés sur nous. Le jour où Emily Deborah Wayne ferait perdre des points à Serdaigle était très, très loin d'être arrivé. Je me hissai sur un banc, sur les genoux seulement, pour me faire plus grande, et balayai la table de mon regard bleuté. Pas de grosse tâche verte là. Je tournai là tête pour regarder un peu partout ailleurs dans la grande salle et... bingo. Rémie était partie se chercher d'autres amis à la table des Gryffondors. Pauvres élèves qui entreprenaient de grimper sur les bancs en échangeant des regards confus, riant de la situation autant qu'ils étaient inquiets. C'est au petit trot que j'allai les rejoindre, leur adressant de brèves excuses avant de récupérer le python. Enfin, d'essayer. La bête n'était pas légère, mais je parvins à la soulever de mes deux bras et Rémie, très sympathique, décida de s'enrouler autour de l'un d'eux pour m'aider à la porter.

« Merci, jolie princesse. Je te ramène à ton preux chevalier. »

Plus qu'à retourner auprès des deux autres et constater l'ampleur des dégâts.

Cette scène était relativement ridicule quand on était spectateur à l'autre bout de la salle. A vrais dire cela ressemblait à ça : Un énorme bordel indescriptible ou une fille montait sur un banc en criant de peur, d'un mec au cheveux vert sortit de sous la table et montât à son tour sur le banc pour ensuite prendre la demoiselle à la chevelure d’ébène comme un sac à patate et se mettre debout sur la table et une troisième personne se rajoutant à se bordel et allant chercher quelque chose ou des trucs à peut près similaire ce produisait. Certains serpentards, installer à leurs tables plissaient des yeux et s'échangèrent entre eux quelques interrogations du genre. "WTF qu'est ce qu'ils ont à se faire caca dessus là bas ?" Mais comme c'est l'avis des serpentards, on s'en fou un peu car bref, ce sont que des spectateurs et point final. Recentrons nous donc sur cette scène.

Laeva et bien... elle était en quelque sorte le sac à patate de l'histoire, et se retrouver subitement sur les épaules de quelqu'un, ayant été valdingué la tête en bas n'était pas vraiment. Puis elle était en jupe aussi... et du coup... bon... certains pervers pouvaient potentiellement profité d ela situation pour se rincer l'oeil... Non... vraiment... elle en oubliait presque la python et n'avait qu'une envie, en décoller une à ce foutu poufsouffle. Elle était agitée, en fait on sentait que la position dans laquelle elle était l'énervait et voulait absolument descendre et avoir les pieds sur terre plutôt que d'avoir ses cheveux dans la gueule, son cache-oeil qui glisse, et ses fesses à l'air. Elle tapait faiblement dans le dos de son porteur pour qu'il la lâche avant de se mettre à hurler à plein poumon comme une hystérique.

-Repose moi parterre !!!! Qu'est ce qu'il se passe ?! Je veux descendre ! Nevermore !!! Plus jamais !!! Plus jamais j'irais révisée dans cette fichue grande salle ! NERVER AGAIN !

Hmm... ouai non... la tête en bas c’est pas très bon pour les nerfs. Vous la sentez cette frustration dans la voix ? Ha et aussi ce délicieux mélange dégueulasse qu'est le fait qu'elle libérait sa colère tout aussi bien en français qu'ne anglais ? Qui au final se transforme en une véritable montagne de haine. Et bien... elle avait plus d'un sac à vider fallait croire. En tout cas, une fois les pieds au sol, elle ne perdit pas de temps pour retourner vers la table et tenter de ramasser tant bien que mal tout ses documents. Elle sentait les regards de toute la salle poser sur elle. Son corps tremblait et pas qu'un peu. Ses mains tremblait tellement que malgré elle, de temps en temps, elle ramassait aussi des couverts sans faire exprès. Elle ramassait alors ses feuilles, puis de temps à autre une cuillère qu'elle rejetât en râlant dans une direction quelconque avant que ses tremblements eurent raison d'elle et qu'elle fasse renverser une théière sur les quelques feuilles de cours qui était encore sur la table et non pas parmi celles qu'elle avait jusque là ramassée dans ses mains.

-Ha non ! Non non non non non !!!!!!

Finalement, elle tombât à genoux, ses jambes aussi tremblaient de trop, puis en plus elle n'avait même pas pris le temps de prendre son souffle ou d'essayer de retrouver son calme. Elle mit ses mains sur son visage, enfouissant ce dernier entre ses doigts tremblant. Elle retroussait ses cheveux sombres en arrières, ses mains se crispait.

-Pourquoi faut-il que sa arrive quelque jours avant les examens...

[HRP : J'espère que ça te dérange pas Tobio si je suppose que tu as reposer Laeva suite à la demande de Emily, voilà bisou à vous deux !]