poudlardCurtis est dans sa CINQUIEME ANNEE et a choisi les OPTIONS base du droit et commerce magique (forcé par ses parents), la botanique, les soins aux créatures magiques et une deuxième langue. A L'AVENIR ? Il sait pas vraiment mais il veut voyager, bouger, découvrir. Il n’a jamais connu la douceur de la chaire mais sachez qu’il aime la fâââââme, il est donc HETEROSEXUEL. Il méprise secrètement le monde moldu, trouvant tellement plus fascinant la magie et ce qu'elle a à offrir. Les MOLDUS sont tellement... inintéressants. Les CRACMOLS font partie du monde magique, alors il s'en fout un peu. Ce sont juste des sorciers qui ont pas eu de chance. Y'a une petite amstérismx à côté de dents. Juste à côté. Parce-qu'il a pas toutes ses dents. Il lui en manque une au fond parce-qu'il s'est battu avec un moldu de son âge quand il avait douze ans. Son père est arrivé à temps dans le champ de vision de son fils avant que ce dernier ne jette un sort - du coup, plus vraiment attentif, il s'est fait démonté la gueule par le gosse et c'est une dent définitive qui est tombée. Alors vous comprenez bien, les moldus, hein. Son ÉPOUVANTARD est un cambrioleur qui viendrait lui dérober toute sa richesse... Au-dessus de l'AMORTENCIA, il sent malgré lui des effluves de bières, mélangées à la chaleur d'un foyer et l'humidité de la campagne. Le chien viverrin est son PATRONUS. Dans le MIROIR DE RISÈD, il voit son propre reflet, un sac sur le dos, des chaussures de marche, dans un paysage bien différent des environs irlandais. Sa MATIÈRE FAVORITE est la botanique et son BONBON FAVORI est la patacitrouille. Le niffleur est la CRÉATURE QUI L’INSPIRE LE PLUS. Son ANIMAL DE COMPAGNIE est un yolland acheté sur le chemin de traverse, parfaitement contre l’avis de ses parents, qu'il a appelé Frisette parce-qu'elle est...frisée. Sa BAGUETTE est assez souple, un peu épaisse. Elle est faite en bois de Cornouiller, un bois espiègle et malicieux affilié aux sorciers pouvant les amener dans de nombreuses situations amusantes ou excitantes et est plutôt bruyante. Elle mesure 29 centimètres et on trouve, en son cœur, une plume de phoenix
Il ressemble à THEO, UN OC DE PRINCECANARY et AIDEZ MOI A TROUVER UN IRL SVP OK MRC.
histoireLes Guinness ont toujours été des gens calmes, modestes et ce, malgré leur renommée et leur fortune. Ils sont sans histoire, plutôt gentils et surtout, très généreux. Une grande partie des bénéfices de l’entreprise est reversée à des associations soutenant des causes diverses, autant dans le monde moldu que dans le monde magique. Tout cela est fait anonymement. Les Guinness, ils ne recherchent ni la gloire, ni la reconnaissance. Ce sont des personnes simples, allant même jusqu’à effacer ce nom dans l’usage public, empruntant alors un autre patronyme. Ils aiment la vie, ils aiment la bière, l’Irlande est leur lieu de naissance, leur lieu de mort, la famille est l’entreprise, l’entreprise est la famille.
Bref, tout ce qui insupporte au plus au point Curtis. Premier garçon de la nouvelle génération, c’est à lui qu’est destiné la direction de l’entreprise. Son existence est déjà toute tracée. Il ira à Poudlard, car on ne dénie pas sa nature, puis il dirigera la société, car on ne dénie pas sa famille. Comment dire. Curtis, il s’en tamponne le coquillage de Guinness. Il n’a même pas le droit de porter ce nom. Toujours dans ce soucis de modestie, et de discrétion vis-à-vis de la magie qui anime la famille, ils s’arrangent pour faire disparaître ce patronyme. Curtis est donc forcé de porter le nom de sa mère, O’Connell. L’un des noms les plus courants en Irlande ; et ça le saoule. Lui, il a envie que le monde entier sache qui il est. Mais non.
Curtis a donc grandi dans un lieu faussement modeste. Son éducation a été faite par ses parents, pour qui c’était important de la faire eux-mêmes. Des gens biens. Peut-être a-t-elle été perfectionnée par un ou deux instructeurs engagés en soutien. Il ne jouait pas beaucoup dehors et avait le devoir d’être un enfant calme. Il a appris les bonnes manières, les façons de se comporter en société, les lettres et les arts, un petit peu. On lui a enseigné le respect envers les familles pures, les familles riches ; également envers les familles un peu moins pures, un peu moins riches. Depuis son enfance, il suit son père dans différents banquets mondains, où ils ont rencontré pas mal de personnalités riches et célèbres. Il apprécie beaucoup ses soirées, où il a le loisir de se faire appeler Alaric Guinness. C’est tellement plus… clinquant. C’est dans ce genre de soirées que son intérêt pour le monde et le voyage est né.
Parmi ces invités de choix, il y avait quelques voyageurs, chercheurs, scientifiques, des hommes et des femmes qui débordaient d’histoires et d’anecdotes à raconter. Il a été repris de nombreuses fois par son paternel. « Alaric, laisse-les adultes tranquilles. Alaric, tiens toi bien et tais-toi, un petit peu. Alaric, les bonnes manières ! » Bla-bla-bla. A peine avait-il le dos tourné que le garçon retournait à l’attaque. Les aventuriers avaient, pour la plupart, beaucoup de bagou et une soif de partage, à son plus grand plaisir. Curtis se souvient plus particulièrement d’un homme, un sorcier. « Tu sais bonhomme, au-delà de la mer, par-dessus les montagnes, il y a d’autres mondes. Tous sur Terre mais pourtant si différents. Chacun a sa façon d’exister, son propre système, peuplé de diverses espèces. Et si tu savais tout ce qu’il reste encore à découvrir. Evidemment, pour les moldus, les perspectives de découvertes demeurent assez étroites. Ils pensent avoir déjà tout vu et acquis une connaissance parfaite de l’univers. Toi et moi savons que c’est faux, n’est-ce pas ? ». Dès cet instant, il a su ce qu’il ferait de sa vie. Il a lu, du haut de ses neuf ans, quelques uns de ses ouvrages. Alors il a pas tout compris mais il est persuadé que c’était vraiment intéressant.
Les semaines qui ont suivi son entrée à Poudlard ont fini de lui prouver que la vie au-delà de l’Irlande était faite pour lui. Apprendre toujours plus, découvrir de nouvelles choses, connaître la faune et la flore. Pour Noël, il a demandé de nouveaux livres pour assouvir sa passion. Il se rappelle qu’il était impatient de rentrer chez lui, et de raconter tout ce qu’on lui avait enseigné. Quelle déception quand, à l’ouverture d’un paquet, il s’est rendu compte que ce n’était pas un livre sur les dragons ; pire encore, quand il s’est rendu compte que c’était un livre sur l’histoire de sa famille. Il avoue avoir été vexé. Beaucoup. Mais sur le moment, il n’a rien dit. C’était Noël après tout. Il leur en parlerait plus tard.
Toujours plus tard.
Bon élève, il passe en deuxième, puis en troisième et quatrième année. C’est durant la pause estivale entre la 4ème et la 5ème qu’il se décide enfin à parler à ses parents de sa passion, qui est plus que ça. Peu importe qui il est, Curtis ou Alaric, il sait ce que sa vie sera.
« Non mais, Alaric, tu t’entends ? Quelle idée, voyons. Tu es le premier de ta génération dans notre famille, c’est à toi que reviens… tout ça. » D’un geste évasif, le paternel montre la demeure dans sa totalité, où le passif de la société se trouvait dans chaque recoin. Colère soudaine, le fils repousse son assiette, casse son verre au passage.« J’m’en fous. C’est pas ça que je veux. » Les parents se regardent, abasourdis. « Ce sont des enfantillages, une passion, Alaric. Tu ne vivras pas de tes… aventures. » Geste dédaigneux, les yeux au ciel. L’adolescent reclaque son assiette contre les débris de verres.
« Tu seras à la tête de cette entreprise, un point c’est tout. C’est ton héritage familial, lâche le père, commençant à perdre patience.
- T’es sourd ou quoi ? J’en veux pas, j’m’en fous de la famille. Moi j’veux partir. Voir le monde. J’ai aucune envie de pourrir ici, ok ?
- Alaric Guiness, écoute ton père au lieu d’agir comme un enfant et de dire de telles obscénités ! »
La mère a adopté un ton ferme mais calme, ce qui ne l’empêchait pas d’être furieuse. Ca, Curtis l’a remarqué. Il se lève, repousse sa chaise. Ne baissant pas le regard, il cherche même celui de sa mère. Le coin de ses lèvres se redresse en un sourire insolent, presque mauvais. « Comment voulez-vous que je me sente appartenir à une famille si je n’ai pas le droit d’en porter le nom ? Je n’ai rien à faire ici. » Il remarque la peine perler dans les yeux de sa maman. Un regret. Sourcils froncés. « Alaric, rassieds-toi. » Soupir. Silence. Un choix. Poings serrés.
Ce soir-là, il n’a pas fini son repas. Il a blessé ses parents. Un poids a quitté ses épaules. Il ne sait toujours pas qui il est mais au moins, il sait où il va.
mentalLes relations tendues avec sa famille lui ont fait passé un mauvais été. A sa rentrée en cinquième année, il décide de ne plus rentrer chez lui, sauf à la fin de l’année évidemment. Enfant frustré par un début de vie bridée, Curtis se rebelle. Il ne fait que le contraire de ce qu’on lui dit, préférant s’amuser dans les couloirs du château, plutôt que d’aller en base du droit et commerce magique.
Curtis, c’est l’enfance qui se manifeste un peu tard. C’est un hyperactif un peu casse pieds, qui se rend pas bien compte qu’il emmerde le monde à toujours parler, toujours gigoter. C’est vrai ça, il tient pas en place. « Une chaise, ça a quatre pieds ! » Toujours un mauvais plan à proposer, souvent foireux. Parce-que pour les idées de merde, c’est un champion. Il réfléchit pas beaucoup. Une tête brûlée irresponsable, ne pensant pas à la conséquence de ses actes et encore moins à la répercussion qu’ils peuvent avoir. Genre jeter un sort chez en dehors de l’école, chez les moldus, ou vendre ce que sniffe son yolland. Et puis, quand on le connaît pas trop, qu’on l’écoute parler (lui en tout cas il s’écoute beaucoup parler), on peut facilement le trouver un poil arrogant, même orgueilleux. C’est un garçon cultivé, qui lit autant qu’il parle alors il étale un peu son savoir à qui veut l’entendre - même ceux qui veulent pas. Persuadé de comprendre tout ce qui est écrit dans les livres, quand on le reprend, il a un peu de mal. Affublé d’une cape et d’une mine ronchon, on l’appelle parfois “super mauvaise foi”. C’est simple, il veut toujours avoir raison. Si on lui dit non, il va insister. Jusqu’à ce qu’on lui dise oui. Comme un gros lourd. Il est hyper têtu, quand un truc marche pas, il s’acharne et s’énerve quand ça marche vraiment pas. Sale gosse impatient.
Au delà de ça, Curtis c’est un mec gentil. Le genre de gars qui a le coeur sur la main et qui est prêt à dépenser beaucoup pour rendre les gens heureux. Il a d’ailleurs énormément de mal à comprendre que non, tout ne s’achète pas. Comme l’amour, ou l’amitié. C’est en général un bout-en-train rigolo et bien entouré, pas conscient que le nombre n’est pas proportionnel à la qualité. Pour lui, les gens sont souvent sincères, souvent purs. Il a aucune clairvoyance à ce sujet. Les psychopathes le sont pas vraiment. Il y a des choses qui les poussent à agir ainsi mais leur fond est bon, c’est sûr. En gros, il a zéro méfiance, un petit côté candide qui risque de lui jouer des tours. Peut-être un peu trop confiant, il rêve du jour où les femmes se battront pour avoir la chance de marcher à son bras. Pour l’instant, il est plus du genre à sortir des phrases à la con, genre que ton père il a volé toutes les étoiles du ciel pour les mettre dans tes yeux, mais il comprend pas pourquoi les filles se retournent pas sur son chemin, et pourquoi il a toujours pas pécho. Enfin, il est plutôt beau gosse, nah ?
Du haut de ses quinze ans, ça reste un gamin. Il est fidèle à ses valeurs, aux conventions de la bourgeoisie et de la haute société inculquées depuis son plus jeune âge. Mais bordel, ce que c’est bon d’être à Poudlard, où tous les coups sont permis, où il peut s’épanouir en tant qu’adolescent turbulent loin de l’influence et du regard réprobateur de son père. Il passe ton temps à désobéir à ses parents et à se prouver qu’il est différent, qu’il peut être différent. Que c’est du sang dans ses veines, et pas de la bière. Bon, malgré ça, il y a des choses qu’il est obligé de respecter. C’est comme ça, c’est plus fort que lui. Contrairement à l’apparence qu’il donne parfois, c’est un très bon élève, actif en cours, jamais un retard, souvent impeccable sur soi et un langage très correct, même parfois un peu snob. En bref, il ne sait pas qui il est. Il en vient à ne même plus s’écouter penser, son but, c’est juste d’être en contradiction avec l’autorité parentale.
Curtis il aime pas trop trop les moldus et il aime pas trop trop les pauvres. Vous savez, lui il vient d'une famille riche de sorciers alors il aime bien faire savoir qu'il a de la money money et de la magie magie, vous voyez ? Et on l'empêche.
autresDC de Soleil, je vous aime