DEFI GRYFFONDOR : Abena & Nirvana - Come on !

L'ardente pétulance solaire était légèrement effritée par le fébrile manteau feuillu ombrageux culminant vos esquisses embrassées de proximité, opprimant le banc de leur présence, ton flanc conquis d'un fébrile et frissonnant blizzard, en quête de l'onctuosité de l'épiderme de la belle ayant estampillé ta mémoire. Une ineffable attirance vous avait enlisés au creux de cette fallacieuse idylle qui lui avait faite goûter à l'amertume de ce libertinage étreignant ton palpitant essoufflé de son effervescence à l'égard de mille et une existences. Une contenance incapable d'entraver ta frivole passion de cette myriade d'arabesques suintantes de secrets à exhiber. Les phalanges de la demoiselle s'entichèrent de ces bois sertissant ton crâne, cascadant le long de leur doucereux velours. Lénifiante affection exsudée qui incita les manteaux ciliaires de tes prunelles à les enrober fugacement. Ephémère ostracisme qui fut soudainement balafré de tes joyaux ambrés fleurissants qui engouffrèrent les iris d'Abena de leur incandescence. Ta gorge s'auréola de saccades teintées de complaisance, ton bras s'échouant autour de sa taille pour te galvaniser de ses courbes accolées aux tiennes.

T'es la plus canon de nous deux. Tu me blesses là dis donc, dire que je t'adore pourtant, encore et toujours ma belle.

Croissant enjolivé de plénitude qui incendia tes lippes tandis qu'une vivace palpitation anima la parure épidermique de ta prunelle gauche d'un clin d'oeil vivifié de ce charme si enjôleur. Tes lippes batifolèrent, fendant les airs pour étioler sa nuque de leur opulence mesurée. Elles l'estropièrent d'un suave baiser puis déferlèrent lascivement le long de cette exaltante courbe qui se heurta finalement à leur silencieux délaissement. Ton front s'agglutina délicatement au sien, tes iris flamboyants d'une fervente tension séductrice asservissant leurs comparses. Le creux de la paume de la lionne dévasta ton anarchique ballet capillaire cendré de ses caressants balbutiements, l'esquisse avachie le long de tes lippes s'écartelant lorsque ses palabres émoustillèrent tes tympans.

Je ne pense pas que je suis le seul à avoir été comblé par nos étreintes, nos caresses et nos baisers passés. C'est une bonne idée pourquoi pas tiens, pour fêter ma majorité quand elle débarquera. On peut même la fêter ensemble si tu veux ?

Le poing érigé de la courbure de ses phalanges crispées se fracassa contre la barrière subitement insufflée de ta paume, se lovant presque indécemment en son creux. Son poignet fut soudainement aliéné de l'étreinte de tes doigts, l'attirant à tes côtés pour mutiler tes courbes de la doucereuse collision des siennes, l'arrête de ton nez jouissant ainsi finalement de la texture du profil de son compagnon et tes lippes frôlant dangereusement les siennes, les stupéfiant d'une suave proximité.

Le bon vieux temps, quand on était encore ensemble ne te manque pas à toi ? Il y a bien des manières de bouger, surtout avec moi mais ça ce n'est plus un secret pour toi.

ABENA

Tes baisers désireux de consteller le satiné caramélisé de sa pulpe furent entravés du bout de ses phalanges tandis que les palabres exsudées d'entre ses lippes balafrèrent ton enjôleuse existence de leur refus. La belle s'éclipserait désormais des écrous insufflés de la suavité de tes dires. La sincérité de sa passion s'était essoufflée à l'égard de la tienne demeurée évanescente. Vos baisers ornementés d'une fervente attirance, vos nuits égayées au creux des draps et vos flamboyantes étreintes s'étaient mués en épars auréolés de cette nostalgie qui s'évertuait à ardemment vous entrelacer au coeur d'une abyssale amitié. Impérissable tendresse berçant vos esprits affriolés l'un de l'autre.

Dommage que la passion éphémère ne t'intéresse plus.

Une esquisse rayonnante de plénitude sertit tes lippes tandis qu'un léger fracas érigé de ses phalanges ricocha fugacement contre les rustiques excroissances agrémentant ton crâne. Accablement teinté de malice dont le heurt contre la dureté de tes ramures expia un fébrile et sourd carillon à en saccader ta gorge de tressaillements truculents d'amusement. Les désirs d'un inquisiteur affrontement engorgèrent soudainement ses pensées et corrodèrent ses gestes, sa paume opprimant brusquement ton menton. Une flagellation de sa part qui engouffra tes arabesques au coeur d'une pesante chute tandis que le creux de la tienne s'arrima à son bras pour la déchoir à tes côtés. Tes esquisses dorsales furent estropiées par l'inconfortable texture gravillonneuse enrobant l'allée exhibée au banc accueillant autrefois vos courbes. Les esquisses de la lionne assujettirent les tiennes de leur présence, leur fracas ferventement embrassé de ta musculature. La demoiselle fut aliénée par les bras et asservie d'un vivace basculement qui te revêtit de cette culminance la surplombant fièrement, un croissant opulent d'ébaudissement incendiant tes lippes.

Je ne suis pas du genre à frapper les femmes mais puisque tu m'invites avec tant de hargne, je ne vais pas refuser cette occasion de te donner une bonne raclée.

Le bras gauche de la belle fut mutilé d'une émoulue gifle de ta part. Symbolisme d'une vengeance forgée des vestiges de son impétueux affront à combler.

ABENA

La demoiselle te culmina de sa stature redressée et tu l'agrémentas à ton tour de la sienne, un croissant rayonnant de plaisance ornementant tes lippes. Elle suintait d'une véhémence qui était d'une amère fébrilité en chacune de tes courbes. Leur ardeur conquérante effritée insuffla les palabres de la lionne serties de provocation. Un désir d'affrontement amical auréolé de sériosité embrasa ses arabesques et constella sa féminine symphonie, craquelant cette esquisse incendiée de plénitude agglutinée à tes badigoinces. Ton faciès fut asservi d'une incandescente concentration, tes iris truculents d'une fleurissante véracité. Les quelques coups érigés de ses phalanges recourbées en poings qui t'accablèrent furent éclipsés de tes parements.

Tu veux que je sois sérieux hein ? Dans ce cas.

Tes arabesques fondirent en direction de la belle, vivaces d'une dévastatrice impétuosité, ta paume endurcie d'un poing batifolant violemment vers l'étendue ventrale d'Abena, s'y fracassant férocement. La musculature la forgeant s'ensevelit de cette torpeur à en écarteler tes lippes de satisfaction, le premier coup enjolivé d'une parfaite détonation.

Que le meilleur gagne Abe.

ABENA