socrate (solal)

Solal (Amarante Campbell) est le nom que tes créateurs (parents) t'ont (gracieusement) donné à la naissance, pourtant on te surnomme bien souvent l'excentrique ou roi soleil. Âgé de vingt ans et originaire d'écosse, tu es un sang-mêlé, de père moldu et de mère sorcière (c'est le cas de le dire). Ta sexualité est très gay, mais tu continues de dire que l'amour n'a pas de genre. Maintenant en neuvième année, en licence des arts magiques. Tu rêverais de devenir herboriste et de travailler avec les plantes, tu t'imagines planter des tournesols à moins de découper des gens pour peindre avec du sang (mauvaise influence) (sombres pensées) (des idées soudaines) (des envies étranges). Tu dois avouer avoir parfois des idées sordides. Tu aimerais aussi, que Poudlard s'intéresse un peu plus aux plantes, magiques ou non. Les cracmols et les moldus ne te dérangent pas, en vérité, tu te fiches bien du type de personnes qui t'entourent si celles-ci sont intéressantes. Ta maison à Pourdlard est Poufsouffle.

Baguette en bois de pin avec un coeur en plume de phénix, faisant 29,9 centimètres plutôt flexible et d'épaisseur moyenne. Ton épouvantard est les rideaux en feu tandis que ton patronus est un grizzly (absolument cute). Dans le miroir de risèd, tu te vois dans une serre de tournesols & ton odeur d'amortentia est un mélange de thé aux effluves d'épices et d'agrumes, de tournesols et de litchi. La matière que tu aimes le plus est le tatouage magique (bien que tu aimes terriblement la peinture) et le bonbon de ton coeur est la sucette aux fruits. Tu aimes beaucoup les félins et tu as comme animal de compagnie un gros chat obèse.

Tu es illustré par todoroki shoto de boku no hero academia.

+ adorateur des fleurs et des plantes
+ buveur intensif de thé
+ est ami avec un tournesol d'environ quatre mètres répondant au nom de Van Gogh, c’est un tournesol particulier qui suit la personne qui est la plus proche de lui
+ son chat s'appelle Sherlock
+ possède un tournesol miniature qu’il garde dans sa chambre et qu'il appelle Socrate, celui-ci parle, un peu comme Groot
+ ne comprend pas pourquoi Aatari déteste autant Socrate
+ il ne s’approche jamais des rideaux en présence d’Aatari
+ adore observer et étudier les plantes, il regrette d'ailleurs qu'il n'y ait pas de licence en herbologie
+ Socrate mord
+ n’aime pas le sport, il préfère le calme d’une serre
+ se pose dans un coin et observe un point fixe ou quelqu’un, au point d’en devenir effrayant
+ obsédé des plantes, il a déjà fixé un jeune homme pendant trois heures sans rien ne faire d’autre car il avait une petite rose noire dans la main, depuis, ce même garçon le fuit comme la peste
+ tripote la première personne venue "pour évacuer le stress", alors qu'il veut seulement faire des diagnostiques douteux
+ prend des notes de la vie en société au côté de son ami (même s'il tente encore et toujours d'assassiner Socrate) + fait peur aux premières années avec ses plantes et ses manies douteuses
+ est silencieux mais parle avec ses fleurs (surtout Socrate)
+ porte des kilts quand il fait trop chaud (ou par simple plaisir écossais)
+ quand il s’énerve, il a un fort accent écossais
+ joue de la cornemuse à la fenêtre de sa chambre (Socrate adore ça)
+ quand il ne trouve pas de réponse satisfaisante, il marche en parlant à voix basse et en faisant des gestes étranges pour réfléchir à une solution
+ porte souvent des lunettes de soleil (même quand il n’y en a pas) sans réelle raison
+ aime les animaux
+ s’incruste toujours dans le cours de Botanique de Médicomagie d’Aatari (pour satisfaire ses frustrations)
+ ne sait pas sourire (ça lui donne un air flippant ou ridicule selon la situation)
+ collectionne un peu de tout, sans raison
+ passe des heures à faire des recherches sans queues ni têtes
+ aime la propreté, légèrement maniaque, déteste la crasse

Calme, passionné ou même obsédé, excentrique, n’écoute que ce qui l’intéresse (mais fait parfois quelques efforts), silencieux, stoïque, maniéré, a des tocs, ambitieux, fier, obstiné, perfectionniste, déteste ne pas réussir, s’intéresse facilement à d’autres domaines que les plantes pour accroitre sa connaissance (curieux), étrange, bon élève sans être exceptionnel, n’est pas vraiment associable, juste désintéressé, gourmand, inventif (pas pour le bien de tous)



Petit, tu te souviens, tu étais fasciné par la taille du jardin (qui est immense, bien sûr), peut-être est-ce de là que tu tiens cet amour pour la flore. Souvent, tu allais dans la serre où se trouvait de nombreuses plantes ainsi que Van Gogh, un tournesol géant que ton père avait planté, ce qui t’amusait, c’était de trouver un angle pour qu’il ne se tourne pas vers toi, ce qui n’a jamais été possible, à vrai dire.

Mais, cette passion provient de ton père et de ce grand jardin que tu visitais chaque jour, les goûts se forgent dans l’enfance et c’est durant cette période que tu es devenu amoureux des plantes et plus particulièrement des tournesols. Après tout, tu n’étais pas le plus sociable de tous, et plutôt que de te faire des amis, tu restais chez toi pour t’occuper de la serre.


C’était une habitude, pour vous, de rester ensemble qu’importe le lieu. Alors durant les vacances, il n’était pas rare pour vous d’être chez l’autre (quand bien même Aatari refusait sans cesse de retourner dans la serre voir Van Gogh). Alors, que tu sois dans sa chambre en sa compagnie n’avait rien d’étonnant, ni même le fait que peu de mots n’étaient dit, c’était un moment de calme (bien rare en compagnie d’Aatari), et ce calme n’était en réalité pas un bon présage.

Car si Aatari ne pipait mot, il avait dans son regard, tu le sais, une idée qui germait doucement (mais sûrement), et selon ton instinct, celle-ci n’était pas de cueillir des pâquerettes dans les champs voisins. Oh non, ça sentait une odeur bien plus particulière, celle qui te disait « peut-être est-il temps de rentrer » mais au fond de toi tu avais ce désir de savoir ce qu’il se tramait dans sa tête.

Et seigneur, tu savais que tu aurais dû partir quand il se leva, un sourire effrayant sur les lèvres (même si ta mère trouvait qu’il avait un sourire terriblement attachant, ce que tu ne comprenais pas) et qu’il porta sa baguette en direction de sa fenêtre.

Oh dieu, tu ne pensais pas qu’il fût aussi étrange (ou même con) mais pourtant, tu ne pouvais que t’avouer vaincu par sa stupidité évidente. Qui aurait ce genre d’idée, si ce n’est lui ? Non, même toi, tu ne penses pas faire ce genre de chose. Tu ne sais quelle mouche l’a piqué, et tu te demandes quel genre de toxine elle pouvait bien contenir.

Il avait mis le feu aux rideaux de sa chambre, son regard porté sur toi, comme dans une analyse. Tu savais qu’il cherchait à comprendre ce que tu ressentais, mais ton visage restait stoïque, si ce n’est blasé par l’idiotie de ton ami. Et son regard frustré t’amusait, au point d’oublier quelques secondes les flammes qui gagnaient en place, avant de soupirer, agacé, sortant de la chambre d’un pas calme (surtout car tu ne veux pas brûler vif à cause de ses bêtises) pour finalement rejoindre ton domicile et Socrate.


Le pas assuré, tu sortais d’un cours de botanique (que tu avais littéralement squatté grâce à Aatari), afin de rejoindre les dortoirs, alors ta quête était menacée par un jeune garçon, un petit de première année, qui était assit sur un banc. Jusqu’ici, rien de bien dangereux, il ne faisait rien de bien méchant. Pourtant, alors que tu passais non loin de lui, ton regard avait dérivé vers sa main droite, et dieu du ciel, tu n’aurais pas dû faire une telle chose.

Une petite rose noire.

Elle était si belle, ses courbes bien dessinées, un charme envoutant. Ton cœur ratait un battement, alors que tu ne bougeais plus, restant dans un coin, dans l’ombre, le dos contre un mur et le regard fixe vers la nymphe qui attirait ton regard. Elle était sublime avec son petit ornement doré, et dieu sait que tu aurais aimé la prendre avec toi, la cajoler et faire d’elle ta reine du moment.

De cette manière, trois heures étaient passés, sans que tu ne le remarques. Un sourire (flippant) ornait tes lippes ce qui fit fuir le jeune et ta dulcinée.

Au revoir petite rose.


Suite à une nouvelle tentative de meurtre d’Aatari, Socrate avait mordu son ami afin de se protéger de l’herbicide. Alors, tu avais discuté plusieurs heures avec ton tournesol mécontent d’être la cible d’attaque morbide.

« Tu sais, Socrate, Aatari est simplement un peu étrange, il n’est en rien bien méchant. Quand je l’ai rencontré, il était venu dans la serre, à la maison, il a rencontré Van Gogh, et il s’est figé pendant au moins dix minutes ! Je sais que pour l’instant tu es tout petit, mais si tu grandissais un peu, tu pourrais être en sécurité. Prends-en de la graine mon petit Socrate, tu verras, Aatari ne supporte pas Van Gogh, un jour, tu seras aussi effrayant à ses yeux et tu auras gagné. »

Socrate pensait alors grandir plus vite.

kohe, 18, j'aime le jaune, le riz, et je ne sais pas pourquoi mais solal aime les tournesols.