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[FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle

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[FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Jeu 16 Aoû - 0:38

« Oh, oulah oui la température est bien différente ici... hahaha... » tu te réchauffes les mains, accompagné d'un rire nerveux. mais fort heureusement vous vous y êtes déjà préparé. Enfin... on en a pas réellement l'impression, quand on vous observe de vos longues vestes qui ne réchauffent plus rien sous les moins deux degré. Et ici, il faisait beaucoup beaucoup moins que moins deux degrés. mais la classe passe avant tout. tu baisses les yeux et constate que tes jambes comme celles d'Aristotle sont bien enfoncées sous la neige. « Tu sais, je ne suis pas habitué à autant de neige, mais on a une première fois à tout, c'est l'occasion. » tu hausses les épaules. visiblement tu n'as pas l'air très inquiet, ce qui peut être particulièrement... étonnant. en réalité, tu es même déterminé et excité. Ce reportage d'un homme qui part en Russie pour deux mois, sans ne rien y connaitre, et se rendant chez les habitants qui t'as simplement rendu admiratif - et éveillé une partie de toi que tu ignorais : l'esprit aventurier. Socrate, aventurier ? On pourrait penser à une blague. Mais ce qu'on ne pouvait pas nier cependant, c'est la folie, et les envies soudaines - parfois, sorties bien de nulles part - qui pouvait naître à tout moment chez toi. ce qui est surtout impressionnant, c'est qu'Aristotle ait accepté de te suivre dans cette folle aventure. Pour être honnête, il n'avait rien de prévu ces vacances, il en était de même pour toi. Et puisque la magie permettait aux sorciers de voyager dans le monde... (même si, en réalité tu n'étais pas spécialement rassuré de partir avec le Serpentard comme camarade, il était aussi débrouillard et aventurier que ta personne.)

bien, vous êtes en Russie, vous êtes plus perdu à la campagne que situés au plein cœur de St Petersbourg. soudain, ton corps entier se met à trembler - bien que tu essayais tant bien que mal de le contrôler. heureusement, dans ta valise magique, tu avais tout de même ramener une doudoune noire - moins esthétique certes, et à sortir seulement... en cas d'urgence. la classe avant tout. « Qu'est-ce qu'on fait maintenant Aristotle ? Est-ce qu'on fonce directement à la recherche de la ville, ou bien on s'impose- je veux dire, on demande bien gentiment aux russes s'ils veulent bien qu'on se réchauffe un petit peu chez eux ? On leur demandera des informations. Si c'est trop loin de la ville, on transplane à nouveau ça n'est pas un souci. Si ça n'est pas très loin, je veux qu'on s'y rende à dos de cheval. Ou bien, en traîneau ? Je ne sais pas, quelque chose qui sort du quotidien des voitures et de la magie. » tu rêvais beaucoup trop socrate. cesse les idées fantaisistes. ton nez devient tout rouge - et il se met à couler. et tes cheveux comme tes cils finissent presque même par geler. pour finir tu ne sentais plus tes doigts de pied : c'était comme si on les avait coupé. ils n'existaient plus.

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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Ven 17 Aoû - 20:19





mirage enneigé


 

 
Tu te rappelais sans doute encore de ces quelques nuits glaciales où le froid avec effroi semblait mordre chaque parcelle de ton corps. Mais ces souvenirs avaient des allures bien tendre face au décors enneigé auquel tu étais actuellement confronté. Et une question s'impose, comme un murmure au creux de ton oreille, a quel moment un voyage en Russie t'es apparu comme une bonne idée.

Y'avait sans doute quelques désirs fantasmagoriques, la grâce historique et quelques contes comme imaginaires. Vous vous étiez sans doute plu dans vos illusions aventurières. Aristote et Socrate à la découverte de l'univers. Mais tout ce vous aviez trouvez au final, c'était une rencontre un peu trop intime avec le froid.

Sa mère la... la ... Tu veux finir mais tu éternues. Marmonnant quelques jurons tu finis par te tourner vers Socrate qui avait alors parler sans que tu comprennes réellement, littéralement paralysé par la température bien trop basse. Qu'est-ce qu'on fait maintenant Aristotle ? Tu rapportes ton écharpe un peu plus à ta bouche, tu hausses les épaules espérant ne pas tomber amoureux de la neige (car les relations toxiques t'effraient). Il continue, Socrate, a parler comme si la situation l'enchantait pourtant dans un coin de ta tête, l'idée des traîneaux te parait plutôt censé.

Aristote, ta lucidité s'effrite alors que le vent est sur le point de te faire faillir. Vraiment, je sais pas. Je crois on devrait bouger déjà. Ou se réchauffer. et c'est dans un tremblement que tu sors ta baguette. Non je sais pas en fait,  on devrait trouver la ville d'abord. Je meurs de froid là. Les bras croisés, tu passes inconsciemment tes mains sur tes épaules, tentant de te réchauffer du mieux que tu pouvais. Attend je crois que j'ai une idée. Tu lèves ta baguette. Accio, voiture!

Et le silence. Ok. Bah nique bien sa race.



+ tagsocrate apóstolos

+ noteskusnov comme on dit j'espère ça ira


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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Jeu 30 Aoû - 22:53

Juste derrière lui, tu croises les bras. Visiblement, il avait un semblant d'idée. Accio voiture ? C'est une blague ? Et qu'est-ce que tu venais tout juste de dire ? pas de voyage en magie ni en voiture. tu roules des yeux. « Aristotle chéri, tu es mignon mais, tu écoutes ce que je raconte parfois ? Regarde autour de toi, toute cette neige, on en a pas autant chez nous. Qui dit Russie, dis que je veux me déplacer différemment. Avec originalité quoi. » tu débites ça comme si c'était la chose la plus évidente, tiens. « C'est à dire avec des chiens de traîneaux ou je ne sais pas moi, des cerfs ? des ours ? Quelque chose qui sort du lot quoi, moi si je voyage c'est pour rêver, hein. Alors ta bagnole tu peux la- » non. il avait raison. tu gelais sur place, une minute de plus et tu finiras transformer en Mr Freeze. « Je n'ai rien dit. » et puis, un long silence s'en suit. vous êtes bien patient sous ce froid terrible. et toujours rien, aucune voiture en vue. tu t'avances. « Alors ? Qu'est-ce qu'il se passe ? Tu rates tes sorts maintenant ? » rictus d'enflure. mais tu ne voudrais pas trop irriter ton camarade d'aventure, il semblait déjà bien l'être seul sans ton aide. tu passes ton bras sous le sien, et en avant. « Laisse moi gérer tu veux bien ? Non pas que je doute en tes capacités. » un puis deux et trois pas et ta jambe se retrouve littéralement englouti sous la neige - tu chutes, et fais un plat tête en avant. Tu trembles. Le froid te fait trembler, il te glace le sang. Autant avouer qu'avoir la tête enfoncée sous cette masse de neige bah... c'est comme perdre son visage. Mais à quoi tu t'attendais, Socrate ? Heureusement que tu n'as pas entraîné l'autre aventurier dans ta chute. Tu voudrais hurler, t'énerver mais à quoi cela servirait-il ? Cette idée de "génie" provient de toi. Tu te redresses. « Je savais que je n'aurais jamais du mettre mon plus beau manteau. Toi aussi d'ailleurs. Je crois qu'on a fait une grave erreur. Je crois aussi que les aventuriers que j'ai regardé à la télévision ne mettaient pas leur plus beaux vêtements. Enfin, qui a dit qu'on voulait les imiter, hein ? On est là pour... découvrir la Russie. ah tiens, plus le même discours. OH REGARDE CA ARI, UN BONHOMME DE NEIGE AU LOIN ! Socrate ça n'est pas le mom- Ce qui veut dire qu'il y a des gens pas très loin. Quel sens de l'observation, je m'épate moi-même dis donc. tu inspires. Bon il faut avancer maintenant. Enfin... Oh mais dis moi Aristotle, tu n'aurais pas pris en muscle ? ...Non je ne sais pas j'ai l'impression, woah, c'est chouette... tu dois être tellement fort maintenant. Tu voudrais pas me porter sur ton dos ? » belle tentative Socrate.


Dernière édition par Socrate Apóstolos le Mer 5 Sep - 19:38, édité 1 fois
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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Sam 1 Sep - 15:15





mirage enneigé


 

 
C'était décidé Aristote, tu détestais la Russie. C'est un tremblement alors que Socrate te fait la morale, comme si en bon saint, la réponse résidait au creux de ses mains. Je t'ai pas demandé ton avis. Tu lâches sans même qu'il puisse t'entendre, t'attardant de nouveau sur les nuées de votre désert enneigé. Et il te parle de traîneaux, comme si vous aviez fait tout ce voyage pour faire des cosplay du Père Noël, t'allais répliqué sévèrement mais il se coupe tout seul.

Et la voiture n'arrive toujours pas, ça Socrate te le fait bien remarquer. J'ai réussi mon sort du con, tu grognes mais il tient absolument à vouloir prendre les choses en main. Et le karma danse, alors qu'il se ramasse sur le sol.

Tu voulais rire, vraiment, mais te contentant de faire face au silence alors qu'il se relève difficilement, tu grimaces à la vue désastreuse de son manteau, ça c'était t'avoir remis en question. Il est hors de question que je me pointe ici comme un clochard, on a peut-être l'air con a être perdu mais on aurait l'air encore plus si on était mal fringué. Tu fais une pause, éternuant à nouveau. Et oui, on est là ... pour découvrir la Russie. Pointe amer dans ta voix alors qu'il s'extasie sur un bonhomme de neige.

Cependant l'idée de présence humaine ne te parait pas totalement stupide. De quoi tu parl- j'crois t'es mieux sous la neige en fait Socrate. Tu lui présente calmement un doigt d'honneur avant de reprendre ta route en direction du fameux bonhomme de neige, tu t'arrêtes, faisant demi-tour vers l'autre serpentard. T'as froid je suppose ? Calmement, tu commences à sortir de nouveau ta baguette, j'crois que j'ai un moyen pour te réchauffer. N'attendant pas de réaction de sa part tu déclares haut et fort : Incendio ! Les flammes jaillissent de ta baguette dangereusement alors que l'air autour de vous se réchauffe manquant de peu de brûler vos deux manteaux. Le sort s'arrête alors que tu affiches une expression fermé, réalisant ta connerie.

Ecoute, moi ça m'a réchauffé. Tu prends une pause, le fixant sans rien dire, tu reprends ta route. Dis un mot et j'te frappe Socrate j'déconne pas. T'étais plus con qu'à l'habitude Aristote. Tu déteste la Russie.



+ tagsocrate apóstolos

+ notesari est vraiment con dans le rp j'comprends pas ???? sinn j'espère que cv tout ça


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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Sam 8 Sep - 0:24

Il t'offre un beau petit doigt d'honneur, et lorsqu'il revient à tes côtés tu croises les bras. La baguette entre ses doigts ne te rassure pas. Toujours aucune signe de cette maudite voiture, alors, tu n'es pas vraiment serein. Enfin un accio, ça n'a jamais été compliqué alors tu ne comprends pas. « Tu ne vas pas lancer un incend- » bah si. La chaleur est présente, un peu trop même. Ça sent le griller, vos manteaux sont à deux doigts de prendre feu. Tu lances un regard presque affolé à ton ami, l'air de dire : arrête ça de suite. Heureusement les flammes disparaissent. « "Dis un mot et je te frappe" Tu es sérieux là ? Tu crois que mon manteau je l'ai payé combien ?! Aristotle, tu sais quoi ? Ne fais plus rien, ne tente plus rien. Je te l'ai dit : laisse moi faire. » tu saisis fermement son poignet et effectue de géants pas dans l'espoir de pouvoir éviter de goûter une seconde fois à la neige. « Même avec ces gants, je ne sens plus mes doigts... Je ne sens plus mes pieds. Je crois que je ne sens plus rien. Oh par contre si je m'écroule et que mon corps ne répond plus de rien, je t'autorise à me frapper. Peut-être que ça me sauvera la vie. » tes gants, ton manteau, ton bonnet... tu réalises que tout est complètement inutile. mais tu résistes, il doit bien y avoir une maison pas trop loin de... cette forêt ? campagne ? tu ne sais pas. Il y a beaucoup d'arbres et.... de neige. Au fur et à mesure, le décor devient un peu plus visible : une muraille, un pont, et si on ne fait pas attention on pourrait prendre ces quelques lampadaires pour des arbres. ton regard descend et tu sembles apercevoir des traces de pneus. Pour toi c'est évident : il doit y avoir un village à l'intérieur. Tu relâches son poignet et viens glisser ton bras sous le sien, te collant à lui comme pour vous réchauffer. « Par-là, par-là. Tu sais parler le Russe j'espère Monsieur-je-rate-mes-sorts ? Parce que moi absolument pas. Oh quoique, je sais dire dasvidániya qui veut dire merci ou au revoir, je n'en sais trop rien. De toute façon pas besoin d'avoir du vocabulaire, les aventuriers à la télévision n'en avaient pas. Et puisque que tu sembles être très sociable je te laisse gérer pour les négociations avec les habitants. » tu l'observes pour ne pas rater une miette de sa réaction. « Tu es l'homme de toutes les situations Aristotle. Tu es si fort que tu vas nous trouver des personnes très aimables, possédant une magnifique maison et de quoi bien nous remplir le ventre, n'est-ce pas ? Wouah, je le savais tu es incroyable ! » Vous traversez le pont.
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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Dim 9 Sep - 18:37





mirage enneigé


 

 
Tu l'avais ignoré avec une grâce candide. Ne cherchant pas à croiser son regard, t'attardant sur les horizons blancs à l'image des bruits insupportables de tes pensées ruminantes. Et tu demeures silencieux alors qu'il t'attrape par le poignet, te permettant une râle que tu ne penses pas, ayant trop froid pour une réelle réaction. Une nouvelle plainte jaillit des lèvres du serpentard, Pas besoin de demander, si tu oses me laisser seul dans ce merdier ne serait-ce qu'une seconde Socrate, j'te refais le portrait sans hésitation. Mais t'étais pas un crevard à ce point.

Le décor se mouve tandis qu'une forêt fait son apparition, c'est ton regard qui se perd par-delà les arbres et t'as l'impression d'appartenir à l'intemporel. La présence de vie humaine semble se manifester alors que les premières architectures tendent le bout de leur nez ; mais toi tu t'égares t'imaginant d'autres blizzard, t'en oublies presque Socrate celui-ci quittant ton poignet pour t'avoir de plus près.

Réintroduisant de nouveau la conversation, ton regard s'assombrit, si t'étais bien sûr d'une chose à l'issu de ce voyage c'était bien que Socrate n'avait aucune instinct de survie. Le fixant longuement, presque désemparé, tu te plonges dans un silence fébrile, la colère aux abords de tes envies. Ouais, non, le seul truc que je sais dire en russe c'est ti govniouk. Prenant une pause, le laissant goûter à la confusion tu reprends, et ça veut dire t'es qu'une grosse merde. Et tu plaisantais même pas.

Vous faîtes quelques pas, votre démarche étrangement stable pour deux adolescents perdus au beau milieu de la Russie. Tu crois vraiment qu'on peut- non que JE peux trouver quelqu'un comme ça ? Lâchant un soupir, tu lui jettes un regard froissé, le ton a des allures presque calme si ce n'est renfermé, je veux dire, fait pas semblant Socrate, tu te détaches son regard contemplant de nouveau l'horizon, tu crois vraiment que MOI je suis la personne pour tout ça je veux dire trouver une maiso- y'en a une. Tu te figes, serrant le serpentard contre toi, dans la stupéfaction, les yeux rivés sur la demeure gisant sur le bord de la route enneigé.

Putain Socrate, y'a une maison ? On fait quoi ??? On fait quoi ?? Paniquer n'était sans doute pas dans ta nature, mais si le froid ne te tétanisait pas tu l'aurais sans doute secouer. Faut qu'on aille sonner. T'articules dans un murmure blanc, tu jettes une oeillade au vide, effleurant la possibilité d'avoir accès à un endroit chaud avant votre retour, peut-être même de pouvoir passer un bon séjour. Faut aller frapper à la porte. Ne le lâchant pas tu l'emmènes alors face a la porte. J'te laisse faire, je porte malheur. T'avais surtout peur.



+ tagsocrate apóstolos

+ notesj'ai pas la force de faire un commentaire mais j'espère que ça t'ira


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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Jeu 20 Sep - 16:41

et ça veut dire t'es qu'une grosse merde. tu cesses le pas et le regarde d'un air blasé. qu'essaies-tu de faire passer comme message exactement, Darling ? bon, visiblement aucun de vous ne sait parler couramment le russe. Mais ça n'est pas si grave, les mots sont utiles pour communiquer mais la communication avec la gestuelle, elle, est universelle. Tu ne fais plus trop attention au décor lorsqu'il te parle, mais il se stoppe visiblement perturbé ou intrigué par quelque chose. Tu lèves les yeux, oh, une maison. Tu te serres encore plus contre lui comme une princesse envers son prince, une pincée de sarcasme accompagne tes paroles. « Woah je te l'avais dit Ari, tu es si fort ! » mais visiblement, le froid venait de lui congeler tous ses neurones. Comment ça, on fait quoi ? Vous allez gratter un peu beaucoup de l'hospitalité de ces moldus bien sûr. Ton cher ami propose d'aller toquer à la porte, en voilà une bonne idée. Pourtant, il te traîne jusqu'à l'entrée de la maison : le serpentard souhaite visiblement te laisser faire. Pardon ? Il oubliait déjà tes paroles ? C'était lui l'homme de la situation, pas toi. « Pourquoi tu me fais ça Aristotle ? Moi qui pensais que tu étais un prince charmant, tu me déçois. Bon très bien. » tu affrontes son regard en plissant les yeux, tout en montant les marches lentement dos à la porte. enfin, tu te retournes.  « Je vais peut-être me sacrifier. Je vais toquer Ari. » une seconde, puis deux... puis vingt. Une minute passe. puis deux. « Bientôt. » en réalité, tu n'as aucune idée de la mentalité Russe. Tu appréhendes énormément. Mais il faut se lancer. Toc toc toc.
silence.

tu déglutis et lance un regard à ton camarade d'aventure, l'air légèrement inquiet. La porte s'ouvre dans un grincement terrible qui viole littéralement vos oreilles, et surpris, tu frôles presque la crise cardiaque.
Oh une petite mamie. « C'est une mamie toute mignonne Aristotle tout va bien ! Approche ! » cependant, la porte reste légèrement entre ouverte et la vieille dame ne se laisse pas entièrement voir, elle semble plutôt même se méfier de votre présence. Pas étonnant. Tu te racles la gorge et essaie de te faire comprendre avec des gestes. « Dasvidániya ! On peut miam miam et dormir ici ? On peut brrr se réchauffer ? Très froid. » Premièrement, tu viens de prendre congé, ensuite, quel est l'intérêt d'utiliser le langage de maître Yoda ? Pourtant, à votre plus grande surprise la vieille dame ouvre grand la porte, vous invitant à l'intérieur. « C'est incroyable, j'aurais donc des talents cachés ? Prends en de la graine, mon darling. Le charisme. » tu franchis le hall, retirant ton bonnet et ton manteau car il fait extrêmement chaud ici. c'en est limite étouffant. Tu suis la petite dame qui vous guider jusque dans la pièce principale. Tout est en bois, il y a une jolie petite cheminée et tout semble confortable. Et puis, une présence t'angoisse. Un vieil homme fort peu rassurant bien assis sur son fauteuil, vous dévisage comme par possible. Tu recules de quelques pas pour rester auprès d'Ari. « Dasvidániya monsieur ! » Socrate nom d'un hippogriffe, arrête. Tu murmures à l'oreille d'Ari, sans aucune discrétion - et comme si les hôtes pouvaient vous comprendre...« Je crois que pépé nous aime pas trop. »

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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Dim 23 Sep - 17:42





mirage enneigé


 

 
Pourquoi tu me fais ça Aristotle ? Moi qui pensais que tu étais un prince charmant, tu me déçois. Bon très bien. C'est la bataille de vos deux regards qui introduit en toi un vigoureux sentiment de lassitude, tu semblais bien décider à ne pas vouloir sonner à a cette porte. A ta grande satisfaction, ton plan marche à merveille alors que Socrate se déclare comme sacrifice.

La porte s'ouvre laissant entrapparaître le visage suranné et ambiguë d'une dame. Ou une mamie toute mignonne, comme l'avait appelé Socrate. Tu grimaces, t'approchant tangiblement de ton ami ; t'oses à peine dévisageant cette vieille femme, imaginant d'autre horizon bien plus macabre que ne l'était déjà son visage. Les sorciers existent, les fantômes aussi, tu te voyais déjà dans le nouveau Conjuring. Et pourtant, Socrate aux anges pénètre les lieux sans l'ombre d'une hésitation, tu le suis, la chaleur des lieux t'étouffant alors que le serpentard vente son charisme. C'est un  ouais, ouais... accompagné d'une œillade incertaine et d'un cruel malaise.

Éventuellement, Socrate n'avait pas prit le soin de remarquer la décoration quelque peu inquiétante du hall d'entrée, les poupées de cires, le regard rivé sur toi,  discernant chacune de tes respirations ; les peintures morbides sur les murs. Tu n'osais plus rien voir Aristote et c'est déglutissant que tu te rapproches de Socrate qui alors guidée par cette même dame, rejoint le salon où un homme siégeait dans le plus grand des silences, il semblait déjà mort.

Je crois que pépé nous aime pas trop... Il murmure à ton oreille et tu bénis Sherlock dans un élan de nervosité. Tu te tournes alors vers la dame, qui paraissait avoir laisser le souvenir de ses facultés motrices dans un passé indécis. St Pétersbourg ? Ou ? Elle marmonne quelques mots de russes avant de faire quelques mouvement de main, tu penches à ton tour ta tête près de l'oreille putain Socrate on doit se casser d'ici, j'le sens vraiment pas. Elle adresse cette fois-ci quelques paroles au vieil homme jusque là alors silencieux, il rit de façon inquiétante et tu ne peux t'empêcher de t'accrocher au bras de Socrate.

Je pense qu'on va- tu ne finis pas ta phrase, le bruit assourdissant prenant le plaisir de t’interrompre, les murs tremblent et le bruit de verre brisé te rend particulièrement nostalgique d'une époque tant haït. Les bouteilles qui éclate à la manière du vieillard imbu d'une soudaine colère, tu fixes un regard vers la fenêtre. Défoncée et la tu la vois.

La voiture.
Putain

Y'a un temps de réaction qui s'installe, avant que tu ne réalises. Le vieux hurle, la vieille vous fixe, sans vous lâcher une seule seconde, rencontrant la panique de tes prunelles elle finit par balancer quelques phrases qui vaut le silence éphémère de son conjoint. A son tour, il vous lance un regard pour finir par de nouveau hurler. Et tu te sens étrangement prit pour cible.

L'affolement se fait roi et tu embarques Socrate dans le hall. On se casse, ON SE CASSE. T'arrives à articuler alors que t'attrapes ses affaires d'un bras. Les connaissances avec le froid se font tout de suite plus amicale alors que l'adrénaline te retiens dans une course infernale. La scène disparaît et t'entends presque encore les hurlements de vos chers hôtes. Tu finis par t'arrêter, totalement épuisé, lâchant finalement Socrate tu lui envoie un regard alarmé on a faillit mourir. Là était ta seule excuse.



+ tagsocrate apóstolos

+ notesMDR HEIN JE SUIS DSL JCOMPRENDS PAS WHAT HAPPENED


BY MITZI


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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Mar 25 Sep - 21:01

Aristotle n'est pas serein. Et au vu de ce qu'il te murmure à son tour, tu dirais même qu'il a la trouille. Tu aimerais le lui faire remarquer mais Socrate, n'oublie pas que derrière tes sourires (hypocrites) tu te fais littéralement dessus. Le vieil homme n'a pas l'air très commode. Mamie s'adresse à papy et papy set met à rire. La barrière de la langue est terrible et le son qui s'échappe du fond de sa gorge te donne la chaire de poule. Presque instinctivement, ton ami s'accroche à ton bras. C'est fini, vous allez finir comme Hansel et Gretel voire pire, peut-être même qu'ils ne sont pas tout à fait moldus : les pires scénarios défilent alors dans ta tête. Tu paniques et celle-ci s’accentuer lorsque les murs se mettent à trembler. Il y a des tremblements de terre en Russie ? « ARI... » ta voix déraille. « Je n'aime pas ça. » Et lorsque les secousses se font plus violentes et que les verres se brisent, tu tournes le dos pour éviter toute blessure et t'accroches à l'américain comme si ta vie en dépendait.

Puis un silence. Un silence sans doute éphémère. Tu relèves la tête et ton regard est automatiquement attiré par la fenêtre : la voiture. Tu n'as pas le temps d'évaluer la réaction de vos hôtes, qu'Ari t’entraîne dans sa fuite. L'information met un peu de temps avant d'arriver à destination, mais lorsque ton cerveau t'alarme enfin tu cours aussi vite que possible. tu cours jusqu'à en perdre le souffle. C'est horrible : le froid gêne ta respiration, la neige redevient un obstacle et la légère brise pourtant si glaciale provoquent des larmes, ce qui t'empêche de voir correctement. Mais tu cours. encore une fois, comme si ta vie en dépendait - car c'était peut-être bien le cas. et lorsque tu t'arrêtes, le corps précédemment réchauffé par l'adrénaline finit par se refroidir aussitôt. Le froid te tétanise. C'est vrai, tu avais retiré ta veste et ton bonnet : fort heureusement, Ari les avait récupéré au passage. « Ari... » tes mains se posent sur ses épaules et tu le secoues dans tous les sens. « C'était... TERRIBLEMENT GENIAL !! » des éclats de rires résonnent sous le silence de la nature et tu oublies presque le froid qui te ronge. Ton pouce et ton index viennent s'appuyer sur ses joues pour lui former une bouche de poisson. « Oh oui c'est qui le petit Darling préféré de tous les Darling à son boubou c'est qui ? Tu es le parfait camarade d'aventure, je ne pouvais rêver mieux. Je t'aime. » on dirait que le froid gèle définitivement tes neurones. Tu le relâches - une seconde de plus et tu avais peut-être des chances d'apprécier la neige de plus près. « C'était dingue. J'ai tellement eu peur et j'ai vraiment cru qu'on allait y passer tous les deux mais j'étais aussi persuadé qu'on allait s'en sortir. Je me sens tout drôle. » peut-être bien car tu n'es pas tout seul à le vivre, ce danger. « C'est excitant. J'aimerais presque y retourner. » tu scrutes sa réaction. « Je rigole. » tu balances ton sac magique afin d'en sortir ta doudoune bleu foncé. Certes, elle ne sera jamais aussi classe que ton manteau mais le froid devenait de plus en plus insupportable - tu ranges cependant précieusement ce dernier - « Bien, on fait quoi maintenant ? On a enfin une voiture. Mais elle m'a l'air assez occupé chez nos deux amis... Je dois bien avouer une chose Ari, tu n'as pas raté ton sort. Il a failli nous tuer mais il a marché. Original. » dis-tu en haussant les épaules.

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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Ven 28 Sep - 22:55





mirage enneigé


 

 
Souffle erratique, pensée hérétique alors que tu te perds dans la surprise, les yeux rivés sur ton ami, comme pour voir réalisé l'absurde de la situation. Tu détestais la Russie. C'est la secousse enthousiaste de Socrate qui t'éveille et sa joie t'envahit comme la maladie. Sa poigne presque douloureuse vient déformer les traits de ton visage alors que tu ne peux que le dévisager, totalement déconcerté. Et son ressenti est idéalisé, alors que l'adrénaline redescend tu ne peux t'empêcher d'être parcouru d'un frisson au souvenir du visage macabres que de cette vieille dame. C'est excitant. J'aimerais presque y retourner. Tu le fixes toujours dans le silence, vas'y tout seul, jamais j'remettrais les pieds là-bas. Bien sûr qu'il rigole.

Le calme reprend un peu de sa place et tu laisses Socrate se changer, écoutant ses paroles comme pour te recentrer. Bien sûr que mes sorts fonctionnent, Socrate. Tu me prends pour qui ? La langue qui claque, les bras qui se croisent et t'attends un miracle sur le ton de l'impatience comme si son refus te semblait impétueux. On peut pas faire demi-tour, on est même pas sûr, ça se trouve ils nous courent après ? Dans un soupir, tu t'adosses à un arbre non loin de là, dans quoi on s'est embarqué Socrate ? Tu attrapes ta baguette faisant quelques tours avec, la magie n'opérant pas de façon volontaire. Une solution ? Ça te paraissait bien compliqué.

Je suppose que t'as pas de balais ? Non, on peut pas se faire voir, mauvaise idée. Je crois si vont vraiment être sûr, la meilleure solution c'est de transplaner. Je sais pas. Tes paroles comme l'écho de tes pensées étaient plus adressé qu'à toi-même qu'à lui et le ton y était bien plus serein de ce que tu lui avais habitué. T'as des idées toi ? Tu lèves un regard vers lui, tes pas s'étant naturellement redirigé vers lui.



+ tagsocrate apóstolos

+ notesma réponse sert archi à rien mais j'espère que ça ira quand même


BY MITZI


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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Mer 10 Oct - 1:10

Aristotle a bien raison. Dans quoi est-ce que vous vous êtes embarqués ? A vrai dire tu ne sais pas, tu n'en sais rien. On ne le croit pas, mais tu es fou Socrate. Il t'arrivait d'avoir des idées, des envies. Le froid et la neige tu les aimais lorsque tu étais bien au chaud, à laisser ton regard se perdre sur le feu de cheminée, un chocolat chaud toujours présent entre tes mains. Tu ne contrôles pas toujours tes pulsions, et tu as voulu partager ta folie avec un ami - lui aussi, bien loin d'être un aventurier du monde. Perdu dans tes pensées, tu observes le jeune homme avec un sérieux déroutant. Il t'a suivi. Il t'a suivi dans tes délires. Et lorsque tu y repenses, ça t'arrache un sourire. Aristotle est un ami très cher et tu jures ne jamais lui faire de mal. « Eux, nous courir après ? Ne sois pas ridicule, ils sont littéralement en fin de vie tu crois qu'ils vont s'amuser à jouer à trappe-trappe avec des jeunes ? » ce que tu viens de dire est terrible, mais est-ce que tu t'en soucies ? non. « Par contre, ils sont peut-être en train d'appeler la police. C'est même une certitude, je mettrais mes cheveux à couper. Je pense qu'on devrait déguerpir au plus vite. » il propose de transplaner, et tu penses qu'il s'agit de la meilleure des solutions cela dit... bien que tu n'avais jamais eu d'ennui, tu ne le faisais pas aussi souvent. Tu as toujours préféré te déplacer avec ton balai. Alors, avant de lui répondre, tu observes autour de toi et réfléchis un court instant. « Bon, vu qu'on a pas vraiment le choix... J'aurais aimé explorer les environs et passer une nuit chez un habitant mais je crois qu'on risquerait de se faire attraper. » Tu ramasses tes affaires et attrape sa main. Tu fermes les yeux, la règle des trois D. Destination, détermination et décision. Saint-Petersbourg, Nevski, un quartier, un coin de rue. Tu visualises et tu devrais y arriver.

Lorsque tu ouvres les yeux, un soupir de soulagement s'échappe de tes lèvres. Puis tu te redresses droit comme un i, balayant ta chevelure d'un geste de main et levant légèrement le menton. « Tu vois Ari ? Je suis un partenaire digne de confiance. Je me demande bien dans quoi est-ce que je suis ignorant parfois. Oh, ah oui, dans le domaine de la nullité. » et quelques pas en avant. « De ce je vois, il y a moins de neige ici, mais il y a beaucoup plus de monde. Bon, tant pis pour le dodo on verra ça plus tard, moi j'ai terriblement faim. Tu me suis ? On va chercher un restaurant. Ou du moins de quoi manger pour aujourd'hui. » non pas que tu manquais d'argent pourtant mais... si tu pouvais économiser pour dépenser le tout dans des vêtements de marque... soudain, tu te mets à renifler. « Ça sent la nourriture par ici, dépêche toi ! » Tu lui attrapes la main, direction le on-ne-sait-quoi qui sent bon.

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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Mer 10 Oct - 18:13





mirage enneigé


 

 
Il évoque la police et t'as pas franchement envie d'avoir d'ennui. Tu lâches un soupir, t’accommodant au froid autant que tu veux le haïr. Et voulais partir d'ici le plus tôt que possible, Socrate semble bien te rejoindre dans ton idée, c'est sa main qui vient conforter la tienne alors qu'il s'aprète à de nouveau transplaner.

Tu danses avec les nausées alors que les décors changent, transplaner n'avait jamais été ta tasse de thé mais la maison du couple de vieillard l'était encore moins. Les fragrances se transforment, t'ouvres les yeux difficilement et la nature décédée laissait place au rues bitumées. Tu vois Ari ? Je suis un partenaire digne de confiance. Je me demande bien dans quoi est-ce que je suis ignorant parfois. Oh, ah oui, dans le domaine de la nullité. Tu lui lances un regard confus, l'ignorant, tu avances de quelques pas. La neige avait été troqué pour des passagers et le bruit t'avait sonné comme des paroles rassurantes.

...Ou du moins de quoi manger pour aujourd'hui. Tu lui accordes un regard réalisant ta propre faim. Oui manger, bonne idée. A peine eus-tu le temps de finir ta phrase que la main se Socrate se joint de nouveau à la tienne. Les parfums de la nourriture vous appelant à la tentation. Tu repères rapidement une enseigne de ce qui te semblait être une brasserie. Ici Socrate, ça parait bien, y'a du monde en plus. Comme si l'humanité était gage de sécurité, tu l'amènes plus contre toi, l'attrapant par le bras et vous pénétrez alors dans le restaurant.

Un serveur vous indique rapidement une table et le réconfort bat son plein lorsqu'une fois, ton manteau retiré tu t'installes sur la chaise rembourrée. Merci enfin un peu de calme. Tu souffles, une main sur ton épaule maudissant la tension qui meurtrissait ton dos. Le serveur s'approchant de nouveau tu peines à commander quoique ce soit, tes phrases se constituants de "boisson chaudes" et "manger" la barrière de la langue était une chose. Tu laisses Socrate à son tour commander, les coudes sur la table, les mains sur le menton, t'as presque envie de bailler. Je meurs de faim maintenant que tu l'as fais remarquer. Heureusement cet endroit à l'air pas trop mal.




+ tagsocrate apóstolos

+ notesl'acte deux commence (doucement) j'espère ça t'iras en tout cas


BY MITZI


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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Dim 21 Oct - 19:40

Une brasserie ? Tu ne sais pas lire le russe, mais ça y ressemble. Pourquoi pas. A vrai dire il n'attend pas spécialement ta réponse puisqu'il te saisit à nouveau contre toi, avant de pénétrer dans les lieux. Les quelques clients vous observent, vous dévisagent visiblement ils voient bien que vous n'êtes pas du coin ? Vous devez sentir les touristes à plein nez. Et pourtant, lorsque tu observes chacune de leur tête, les regards semblent s'attarder sur ta personne. Tu te sens... jugé ? Tu n'es pas à l'aise mais tu n'oses pas partager pas ce sentiment à ton meilleur ami. Lorsque le serveur vous invite à vous installer confortable, tu te détaches d'Ari - finissant par faire abstraction de la curiosité (que tu penses malsaine) de certains. Un râle s'échappe de ta gorge. « Un peu de calme. » répètes-tu en t'affalant vulgairement sur la chaise. Tes paupières se ferment. Tu n'as pas encore retiré ta doudoune car tu étais encore mort de froid - et pour être honnête, tu savourais le fait d'avoir ton fessier enfin posé sur cette chaise. Aristotle passe une commande et viens ton tour. Tu ouvres les yeux et jette un coup d'oeil à la carte. Tu finis par commander un café et... un Koulibiac dont tu ignorais totalement de sa composition car de toute façon, tu étais capable de manger de tout et n'importe quoi à cet instant précis. Après tout le froid, le stress et les efforts creusent l'appétit. « Je ne te cache pas que je suis épuisé Ari. On a pas fait grand chose mais je suis lessivé, tu réalises que j'ai déjà envie de m'allonger sur un lit confortable et de dormir à cette heure-ci ? Il est dix huit heures, mais il fait déjà si sombre. » tu te redresses, jetant à nouveau un coup d'oeil qui se veut discret dans la salle. Lorsque tu croises le regard d'un autre, tu sursautes et te retourne en direction de ton ami. « ...Je ne sais pas Ari, tu trouves pas qu'on me regarde de travers ? Ou alors c'est toi qu'on regarde parce que tu as maintenu ta classe de A à Z et dans ce cas j'ai des problèmes de vue. Mais j'ai drôlement l'impression que j'intrigue les gens. » tu es si sérieux Socrate... un pffrtt s'échappe de tes lèvres. « Non mais de toute façon ça doit être parce qu'on parle un peu trop fort ? Ou je ne sais pas, qu'on attire l'attention sans réellement le vouloir ? Ou peut-être qu'ils veulent savoir quel genre de masque j'utilise pour mes cheveux ? Ils peuvent toujours courir. » te rassure-tu pour éviter de passer pour un paranoiaque.

Le serveur revient enfin avec les boissons dans un premier temps, et de quoi vous remplir le ventre par la suite. Mais un nouveau problème fait son apparition. Tu tapes du pied plusieurs fois et finis par te pencher vers le Serpentard. « Ari j'ai pipi. » tu recules et il allait sans doute t'offrir un regard du genre "et qu'est-ce que tu veux que ça me fasse?". Alors, tu te penches à nouveau, chuchotant. « J'ai trop peur d'aller aux toilettes tout seul ici. » tu poses le menton sur la paume de ta main, tu bats rapidement des cils, lui adressant la moue la plus adorable digne de celle d'un enfant de trois ans pour qu'il cède à ta demande. « Non écoute, on boit, on mange et tu m'accompagnes après ? » Sous ses airs de peste arrogante au quotidien, Apostolos n'est qu'une petite poule mouillée capricieuse. Tu bois ton chocolat chaud en quelques gorgées.
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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Dim 28 Oct - 19:02





mirage enneigé


 

 
Il évoque le sommeil et ton corps s'accable un peu plus de votre journée éprouvante. T'étais seulement d'humeur à l'écouter dans le silence, appréciant sans plainte la chaleur du restaurant. Ressassant les souvenirs encore récents, la course poursuite et ton cœur battant ; vacances de l'horreur alors que l'hiver faisait sa fête. T'aurais voulu en rire, peut-être au retour, avec le recul tu trouveras sans doute que l'aventure te sied assez bien.

.Je ne sais pas Ari, tu trouves pas qu'on me regarde de travers ? Tu lèves un regard vers Socrate avant de balayer brièvement la salle du regard. Ou alors c'est toi qu'on regarde parce que tu as maintenu ta classe de A à Z et dans ce cas j'ai des problèmes de vue. T'esquisses un rapide sourire dont tu as à peine conscience, le laissant dans sa tirade, à voir les expressions de son visage muer en d'autre, l'inquiétude puis la condescendance et t'aurais voulu lui dire qu'il est paranoïaque.

Aucune idée, trop l'habitude qu'on me regarde mal pour capter quoique ce soit. Tu maugrées à moitié car l'envie n'y était pas spécialement. C'était juste une vérité froide à laquelle tu ne prêtais plus attention, t'avais de plus grande ambition que de réduire ton quotidien aux autres. Le serveur arrive, déposant votre commande et tu t'acharnes presque sur la nourriture ainsi que ta boisson, ton estomac réclamant sans peine de quoi le remplir. Ari j'ai pipi tu lui jettes un regard, à la hauteur de ses attentes certainement. J'ai trop peur d'aller aux toilettes tout seul ici. Tu hausses un sourcil, t'es sér-  Non écoute, on boit, on mange et tu m'accompagnes après ? Tu le fixes dans le silence, espérant sincèrement qu'il réalise l'idiotie de ses propos.

Apóstolos, t'es une tapette. Tu bois une gorgée de ta boisson. Mais ok, t'as de la chance je suis de bonne humeur. Et tu recommences à manger avec un minimum de grâce sans doute, tu n'y prêtes pas réellement attention. En vrai on va dormir où ? Tu te demandes plus pour toi-même à vrai dire car le cheminement de tes pensées se faisait chaotique, tu profites alors du passage du serveur pour recommander de quoi boire, ta soif insatisfaite, c'est bancale, maladroit mais le serveur prend note arrivant quelques instants plus tard, un autre homme le suivant alors qu'il dépose les boissons sur la table.


Hey. L'inconnu parle et tu le dévisages, confus. Vouloir coucher ?Et son anglais est aussi bon que ton russes, interloqué tu bois la boisson - un peu trop brûlante à ton goût - jetant un regard à Socrate comme des appels à l'aide.  




+ tagsocrate apóstolos

+ noteson aime la russie


BY MITZI


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Re: [FLASHBACK] winter holidays : Russie // aristotle Sam 10 Nov - 17:08

Les paroles de ton ami te font grincer des dents. Tu n'es pas un trouillard, tu te méfies seulement des moldus d'un pays que tu ne connais pas. Et les regards un peu trop curieux n'arrangeaient pas les choses. Alors que tu dégustais ton plat, tu lèves la fourchette vers Ari en signe de menace. « Tu te fiches de moi mais s'il m'arrivait quelque chose ? Espèce d'abruti. » et tu plantes violemment le couvert dans cet espèce de pâte feuilletée géante sans lâcher ton camarade du regard. Qu'est-ce que tu voudrais qu'il t'arrive Socrate ? Tu es dans un bar restaurant. A part peut-être croiser une petite araignée sur le carrelage des toilettes. Lorsque le serveur passe non loin de vous, Ari recommande à boire et tu l'imites. Cette fois, tu prendrais quelque chose d'alcoolisé. Tu réalises rapidement ta bêtise lorsque tu dégustes ton plat : quelle idée d'avoir commandé un chocolat chaud juste avant ? D'autant plus que tu avais un drôle de goût dans la bouche maintenant : tu en viens même à en tirer une grimace. Cela dit, se réchauffer était plus important que quoi que ce soit. L'américain relève ensuite une question intéressante alors qu'un serveur revient avec les boissons. « Mangeons, nous verrons après mon chou. » et à nouveau, tu sens qu'on vous observe. Ça commence à devenir pesant, à tel point que tu manquais d'hurler pour créer un scandale.

Mais rapidement un jeune inconnu débarque à votre table - c'était peut-être lui. Il vous parle anglais - ou du moins, il essaie de communiquer dans votre langue. Tu t'attardes sur Ari qui tire une drôle de tête, visiblement perplexe et à la fois perturbé. Avait-il écouter toute votre conservation ? Tu détestes ça et tu te retiens de l'envoyer balader pour lui dire que ça ne se fait pas d'écouter les personnes. Pourtant, il s'agit de la première personne qui vous propose son aide. « Ari... Ari on va peut-être avoir un endroit où dormir. » murmures-tu. tu te tournes ensuite vers le jeune homme - plus âgé que vous cependant. Un sourire orne tes lèvres, tirant la chaise à tes côtés pour l'inviter à s'asseoir. « Oui ça ne te dérange pas ? Ça serait génial pour nous de tenter l'expérience chez quelqu'un plutôt que dormir dans un hôtel. Ça serait su-per. » Tu ne réalises pas ta bêtise, tu ne réalises pas à quel point l'inconnu comprenait tout autre chose dans tes paroles : vos attentes ne sont visiblement pas les mêmes. Son niveau d'anglais pas terrible laisse croire qu'il devait comprendre un mot sur deux. Vous êtes si naïfs. Mais comment penser à des choses particulièrement confuses dans un lieu pareil ? Plaisir grand. Avec grand plaisir ? Un rire s'échappe de tes lèvres. « Merci à toi. On... on adore la Russie vraiment incroyable personnellement je suis amoureux. C'est tout nouveau pour nous de voyager sur un coup de tête. Mais on aime aussi sortir de notre zone de confort et tester de nouvelles choses. » et tu en fais des caisses et des caisses Socrate. Mais il faut savoir parfois brosser dans le sens du poil. « Oui oui je comprendre. » alors tu enchaînes une discussion avec lui, mettant légèrement ton ami de côté. Mais tout est réfléchi, il fallait gratter pour plusieurs nuits et non pas qu'une seule : de ce fait, tu t'intéresses à lui et à son pays. Il est parfois difficile pour l'inconnu comme pour toi de vous comprendre. Tu constates néanmoins que tu réussis à lui arracher un sourire à plusieurs reprises. Il semble visiblement bien t'apprécier : voilà qui te satisfait. « Je l'ai dans la poche. » lances-tu rapidement et tout bas afin que l'autre puisse difficilement saisir. D'un coup, tu sens quelque chose toucher ton pied puis remonte pour te caresser la jambe. Tu te crispes, et lâche nerveusement : « Ari il. il est en train de me faire du pied. »

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