complicité partagée ▽ hazel

crooked grins, sly hands and one dangerous voice

markus & hazel

Personne en vue, alors que tu entrais doucement dans ta chambre partagée. Tu avais remarqué que l'après-midi était le meilleur moment pour avoir la chambre à toi tout seul. Enfin, "seul" ne serait pas exactement le mot recherché, car tes doigts étaient entrelacés à d'autres dans ton dos. Lorsque tu refermes la porte, tu la verrouilles histoire d'être certain de ne pas vous faire prendre. Même si toi et Hazel aviez tenté de sortir ensembles, la relation s'était soldée par un échec, trop peu confiant quant à l'amour et vous étiez plus compatibles physiquement qu'autre chose. Vous êtes restés en bons termes, toutefois. Amis, ou ce qui s'en rapproche le plus, car ils vous arrivaient souvent de partager le même lit afin d'assouvir quelques envies primaires. C'était l'un de ces moments, alors que tu capturais ses lèvres des siennes et que tes mains se faisaient plus vagabondes.

▽▽▽

La tête sur l'oreiller et ;es cheveux épars sur celui-ci, tu observes le plafond avec une étrange fascination. Tu n'as pas oublié la présence de la demoiselle blottie contre toi. C'est seulement que tu ne peux las regarder en face dans la position qu'elle arbore. Vous n'êtes pas un couple - vous êtes même loin d'en être un - mais vous avez cette proximité indescriptible qui ne dérange ni à l'un ni à l'autre. Tu profites seulement de sa présence féminine agréable et douce, alors que tu sais pertinemment qu'elle en est autrement. Ensembles, il n'y a pas qu'une histoire de sexe. Non, c'est plutôt une amitié complexe et profonde. Ensembles, vous parlez un peu de tout et de rien, mais surtout de tout. Vos animosités partagées ainsi que vos passions pas si éloignées que ça. C'est une complicité que tu ne saurais expliqué concrètement et correctement.

Ton bras enroulé autour de ses épaules, alors que sa tête repose sur ton torse, tes doigts glissent doucement sur la peau de son bras alors que tu te fais pensif. Vous pourriez rester ainsi pendant des heures sans dire une seule parole qu'aucun de vous deux n'en ressentirait le moindre malaise. Les silences ne t'ont jamais dérangés à contrario de plusieurs personnes et en Hazel, tu as su trouver ce point commun. Des paroles ne valent rien, alors que les silences peuvent être remplis de beaucoup de choses.

- Au fait, y'a cet idiot, là, celui qui croit dur comme fer que je vois pas clair dans son petit jeu... C'est quoi son nom, déjà?

Un instant de silence alors que tu commençais doucement à meubler le silence par pure envie d'entendre sa voix.

- Pan.

Tu appuies sur ce simple mot d'une syllabe avec dédain.

- J'me marre bien de savoir jusqu'où il peut aller comme ça, cet enfoiré.

Puis c'est un sourire mesquin qui étire tes lèvres à cette pensée. Et puis, tu sais qu'entre la demoiselle et lui, ce n'est pas l'amour fou. Mais tu aimes lancer de l'huile sur le feu.

awful

complicité partagée.

Homme ou femme, tu ne faisais pas la différence. Peut-être parce que tu n’étais jamais vraiment tombée amoureuse, peut-être parce que tes désirs n’étaient en rien genrés. Tu appréciais les deux, sans distinction. Les étreintes étaient certes différentes, mais toujours plaisantes. Chaque ébat possédait sa propre poésie charnelle. C’était plus une question de partenaire que de sexe. Par exemple, tu associais Cassiopée à la suavité, Flyod à la brutalité et Markus à la complicité. Avec ce-dernier, les choses se faisaient avec naturel, en douceur. Votre entente se retrouvait aussi bien dans vos conversations que dans vos corps à corps. C’était simple, affectueux, tendre. Aucun de vous deux n’étiez engagés et vous ne vous êtes jamais rien promis. Chacun de vous deux trouvait son compte dans cette amitié avec bénéfice. Vous étiez sûrs l’un de l’autre et c’était quelque chose d’assez rare pour être préservé avec soin.

Tu avais l’habitude de t’endormir après l’amour. C’est une caresse délicate sur ton bras qui te fit cligner des yeux. Tu battis des paupières, encore toute ensommeillée. Ta tête reposait sur le torse glabre de Markus. Tu frissonnas un peu, tu avais toujours froid au réveil. Tu cherchas un peu plus son contact et tu remontas les draps sur tes épaules. Tu restas un long moment le nez niché dans son cou, calant ta respiration à la sienne. Tu aurais presque pu te rendormir si sa voix grave n’avait pas retenti dans la pièce, t’obligeant ainsi à ouvrir les yeux.

Il te fallut plusieurs minutes avant de comprendre de quoi il parlait. Tu te serais bien passée de parler de Pan sur l’oreiller. Ce n’était en rien un sujet agréable. Tu le pinças légèrement.

« Je suis nue à tes côtés et la seule chose qui te vient à l’esprit c’est ce traître de Pan Rhee ? » Tu levais les yeux vers lui, moqueuse. « Je préférais t’inspirer d’autres choses » ajoutes tu lascivement, taquine.

Cette fois ci bien réveillée, tu t’écartas un peu de lui, t’étirant. Markus contemplait le plafond, un sourire amusé aux lèvres. Tu roules sur le ventre, rejoignant tes mains pour y mettre en coupe ton visage.

« L’enfoiré dont tu parles est parvenu à se mettre tout le monde à dos. » Tu fronces les sourcils, songeuse. « Il n’a aucune idée de ce qu’il risque à force de jouer comme il le fait. »

En s’attaquant ainsi à tout le monde sans distinction, la langue de vipère que Pan était, risquait de s’attirer des foudres dont il ne soupçonnait même pas l’existence et qui le laisseraient au sol sans moyen de se relever jamais. Il n'avait aucune idée du pouvoir qui était entre tes mains à toi ou encore celles d'Uther. Se rendait-il seulement compte qu'il se court-circuitait lui même ? Tu haussas les épaules à cette pensée.

« Tu comptes jouer les ignorants encore longtemps ? » Te concernant, tu te serais déjà lassée.

JARONART

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markus & hazel

C'est un pincement un peu tardif qui te confirma que Hazel était maintenant bel et bien réveillée. Toujours le sourire aux lèvres, tu écoutes ce qu'elle te dit et même si tu comprends son point de vue, tu ne peux t'empêcher d'y songer constamment avec amusement. Tu as toujours aimé ceux qui te détestent; tu ne peux simplement pas t'en empêcher. Ils te fascinent presque, mais tu t'en délectes plus qu'autre chose. De voir jusqu'où les hostilités peuvent aller. Tu la sens s'écarter pour s'étirer, mais tu ne bouges pas vraiment, continuant de fixer le plafond inlassablement. Du coin de l'oeil, pourtant, tu perçois son mouvement. Tu la laisses s'installer sans un mot. Ses paroles te font sourire de plus belle. Elle dit vrai, la petite, mais toi, tu t'en fous. Parce que tu ne le portes pas dans ton coeur, mais aussi, parce que tu trouves ça drôle. Tu rêves presque du jour où tout se retournera contre lui. Que le karma fera les choses. Puis sa question te fait à peine réfléchir.

- Le temps qu'il faut pour voir où tout ça mène, oui. Je ne m'en lasses pas, tu sais.

C'est à ce moment que tu roules sur le côté afin de faire face à la demoiselle, ta tête allant s'appuyer contre ta main. Tu repousses légèrement les couvertures afin de pouvoir faire doucement glisser tes doigts sur la peau douce de son dos. Tu apprécies la pâleur de son épiderme tout comme la douceur exquise sous tes doigts. Ça aurait pu fonctionner avec elle si tu avais eu plus confiance en l'amour, mais depuis la trahison que tu as subi, tu es incapable d'aimer sincèrement. Au moins, votre relation t'est bénéfique sur plusieurs autres plans.

- Ne me gâches pas ce plaisir.

Tu lui voles un baiser avant de souffler quelques paroles supplémentaires.

- En échange, je ne t'en parles plus, promis.

Ou en tout cas, tu essaierais. Parce que c'est de loin l'un de tes sujets préférés.

awful

complicité partagée.

Markus se délectait de la situation. Ce qui se passait avec Pan était pour lui un bon divertissement. Il l’observait vivre avec amusement et ne se lassait pas du spectacle.
Tu ne pouvais pas en dire autant. A tes yeux, tu avais fait le tour de la question et ton camarade Serpentard ne tarderait pas à être relégué aux oubliettes. La fin était proche et tu n’avais même pas eu besoin de lever la main pour que le vent de vengeance se lève. Pan jouait avec le feu ; il ignorait encore l’ampleur de l’incendie qu’il avait allumé. Il était parvenu à se mettre à dos toutes les figures importantes qui étaient susceptibles de lui être utiles. Il n’était pas aussi bon stratège qu’il pensait l’être.

Markus te fit face, un sourire presque carnassier aux lèvres. Tu sentis ses doigts caresser la peau de ton dos. Le geste était léger, agréable. Il te vola un baiser furtif. Attendrie et amusée, tu rétorquas :

« Je suis l’essence même du plaisir » dis-tu mutine. « Il m’est impossible de le gâcher » crois-tu bon d’ajouter non sans malice.

Tu posas de nouveau les yeux sur ton compagnon d’une nuit. Tes partenaires se succédaient, sans se ressembler, te quittant avec ton accord, revenant selon tes désirs. Tu n’avais encore jamais connu l’exclusivité amoureuse. Ce qui avait pu se rapprocher le plus du sentiment amoureux était sans aucun doute ta relation avec Atlas. Mais à dire vrai, jamais encore ton cœur ne s’était envolé pour qui que ce soit. Même Markus avait plus vécu que toi dans ce domaine là, ayant expérimenté la trahison. De ton côté, tu poursuivais ton règne, seule, indépendante, avec très peu d’attaches. La fin de ta scolarité approchait et tu te surprenais à envier les histoires adolescentes. Tu mettais cela sur le compte d’une certaine nostalgie, ton séjour à Poudlard s’achevant bientôt.

« Pour ma dernière année, je n’ai pas envie de perdre mon temps avec tous ces enfantillages » confies-tu à ton ami. « Vois-tu, je suis partagée entre l’envie qu’il se passe quelque chose d’extraordinaire et celle que tout se finisse au plus vite. »

Tu fis la moue, songeuse. Que ne donnerais tu pas pour échapper à ce désenchantement si caractéristique ! Il te semblait ne faire que tourner en rond dans une éternelle gigue se répétant sans cesse.

JARONART

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markus & hazel

La sensualité de Hazel assombrissait ton regard d'un désir que tu ne cachais pas. La belle demoiselle te faisait ressentir des sentiments contradictoires. Tu n'allais pas te plaindre, au contraire, tu aimais la dualité de vos caractères, mais aussi leurs ressemblances. Tu aurais pu faire partie des serpentards si tu n'avais pas eu le sang chaud et une colère plus souvent brûlante que glaciale. En y pensant, plusieurs points de ton caractère te rapprochaient beaucoup plus de la maison à laquelle tu appartiens. Tu étais peut-être un peu enfantin, à te délecter d'une situation telle que celle que tu vivais avec Pan, mais en vrai, tu t'en fiches bien. Tu vis ta vie comme tu l'entends en t'amusant de tout et de rien. Peut-être es-tu un peu trop désinvolte? Jusqu'à maintenant, pourtant, ça ne t'avait pas fait trop de tord.

Ton attention revient dans le moment présent avec la charmante Hazel et un sourire fleurit sur tes lèvres. Ses paroles accentuent ce sourire en le rendant un peu espiègle sur les bords. C'étaient vraiment des enfantillages, oui, mais tu les retournais à ton avantages. Pourquoi se mettre la pression quand on peut affronter tout ça avec désinvolture? Tu observes son air songeur et passes doucement tes doigts dans ses mèches foncées.

- Je comprends, mais tu penses trop. Tu vois, c'est pour cette raison que je m'amuse de tout: parce que je ne m'attarde pas sur les détails comme tu le fais. Je prends tout à la légère et j'pense bien que certains pensent que c'est un défaut.

Un petit ricanement s'échappe d'entre tes lèvres minces. En vrai, tu t'en fiches, tu provoques et te délectes de la colère des autres. Comme avec ce masqué, Ulysse. Le premier à vraiment te confronter pour ton amusement des plus jeunes de la maison. Tu aimes sa colère vibrante à ton égard. Peut-être ne serais-tu pas comme ça, si ta vie avait été différente. Peut-être cela n'aurait rien changé, aussi. Quoi qu'il en soit, tu étais fait ainsi et on t'aimait ou on ne t'aimait pas. Tu vivais bien avec ça.

- Qu'est-ce qui pourrait arriver qui soit extraordinaire, Hazel? Une histoire d'amour? Poudlard qui explose? Une attaque de mangemorts? Tu n'aimes pas la vie ici? Parce que pour ma part, je voudrais que ma scolarité ne se termine jamais, c'est trop amusant.

Un petit sourire en coin amusé et une nouvelle caresse dans sa chevelure que tu aimais tant.

awful

complicité partagée.

Markus cultivait avec soin cette désinvolture amusée qui le caractérisait. Si toi, tu faisais semblant de ne rien prendre au sérieux, lui se révélait réellement être indifférent. Il parvenait à prendre du recul et à participer pleinement au spectacle des autres se débattant ridiculement avec la vie. Ta nature à toi voulait que tu prennes les choses trop au sérieux et que tu le caches derrière un masque de froide calculatrice. Ce sourire que tu arborais sans cesse n’était que le signe d’un des nombreux fossés qui te séparaient des autres. Tu restais dans ton coin, siégeant sur un trône de marbre, seule et figée, tandis que ne gravitait autour de toi que quelques rares personnes. Tes proches se comptaient sur les doigts d’une main et tu ignorais encore s’ils seraient encore là dans dix ans. L’approche de la fin de ta scolarité te rendait morose. Tu avais l’impression d’être passée à côté, de ne pas avoir vécue cette joyeuse adolescence qui se terminait et préparait à la vie d’adulte. Il te semblait manquer de vie et d’audace.

« Je ne sais pas ce que je veux[/color] » dis-tu en te retournant sur le dos, contemplant le plafond. « Ce que je sais par contre, c’est que j’attends quelque chose. » Tu essayais vainement de mettre des mots sur ce que tu ressentais. « Vois-tu, j’ai la sensation qu’il me manque quelque chose. »

Alors que sa main se faufile entre les mèches de tes cheveux, tu savoures la caresse, fermant les paupières. Il te paraissait évoluer dans un désagréable marasme. Même faire l’amour ne parvenait pas à te réveiller ; il te semblait végéter dans un état de semi-conscience où rien ne parvenait à te toucher, même négativement.

« Je fais les choses avec automatisme et l’ennui est devenu mon compagnon le plus fidèle » confies tu à ton ami. « Je veux vibrer, même pour une seconde. » Tu plonges tes yeux sombres dans les siens et les reflets écarlates de tes pupilles s’allument pour s’éteindre tout aussi rapidement. « Au début, je pensais qu’il ne s’agissait que d’une langueur mêlée à de la lassitude, mais maintenant je réalise…C’est comme être morte à l’intérieur. »

Les mots sortaient de ta bouche sans que tu ne puisses y faire quelque chose. Tu t’en veux de ce désespoir qui s’entend dans ta voix. Tu réalises que tu es plus déprimée que tu le croyais. Il ne s’agissait plus d’un excès de mélancolie soudaine, plutôt d’une torpeur dont tu ne parvenais pas à sortir. Tu préférais tenir au loin le terme de dépression. Après tout, c’était peut-être juste un mauvais moment à passer.

« Honnêtement, si le monde venait à s’écrouler, je crois que ça parviendrait même pas à me divertir un instant. »

Markus n'avait surement pas la réponse à ton désœuvrement mais ses bras avaient au moins le mérite de t'entourer et de te procurer du réconfort. Tu poussas alors un énième soupir, cachant ton visage sous les draps.

JARONART

HRP : Désolé pour le temps de réponse. Comme signalé dans mon absence, le mois de décembre est compliqué pour moi et je bosse à temps plein. Néanmoins, je tacherais toujours de te répondre dès que possible. :)

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markus & hazel

Voilà bien une chose qui vous différencie. Elle ne sait pas ce qu'elle veut, alors que toi, tu le sais trop bien. Elle s'ennuie de tout et toi, tu t'amuses de tout. Te divertir est excessivement facile, alors que pour Hazel, c'est tout l'inverse. Tu médites sur ses paroles, mais franchement, tu n'es pas vraiment doué pour les conseils. Écouter est le mieux que tu puisses faire. D'un côté, tu pouvais la comprendre, mais d'un autre, tu ne comprenais pas pourquoi toute cette morosité l'assaillait. Ton indifférence est probablement ce qui vous différencie le plus, puisque la Avery prend tout trop au sérieux. Si tu avais pleinement profité de ta vie jusqu'à maintenant, ce n'était peut-être pas le cas de la demoiselle à tes côtés. Et elle te le confirma de vive voix. Tu ne sais pas ce qui pourrait la faire vibrer comme elle le voulait, aussi restas-tu silencieux, tes doigts glissants dans ses mèches brunes, l'air songeur. C'était difficile pour toi de tenter de trouver quelque chose alors qu'un rien t'amusait et te faisait frétiller.

Tu songes un instant qu'elle ne devait pas avoir une vie bien marrante comparé à toi, mais un mot te vint quand même à l'esprit, mais tu le repousses aussitôt. Les confessions sur l'oreiller n'étaient pas vraiment choses nouvelles pour vous, vous étiez quand même très proches, même si ça n'était pas autant que tu le voudrais. C'était probablement mieux comme ça, aussi.

- Je ne sais pas vraiment quoi te dire, Hazel. J'suis pas vraiment doué pour les conseils, tu sais.

Un léger ricanement t'échappe.

- Je n'ai aucune idée de ce qui pourrait casser cet ennui... Vu que moi, si le monde venait à s'écrouler, ça me divertirait un max.

Tes lippes sont ourlés d'un sourire légèrement carnassier, mais aussi espiègle. Oui, si le monde s'écroulait devant toi, tu t'en amuserais probablement, fidèle à toi-même. Un soupir lui échappe et tu l'observes cacher son visage sous les couvertures.

- Tu es trop sérieuse, Hazel.

Tu repousses les couvertures pour de nouveau dévoiler son visage.

- Vraiment? Tu te caches de moi?

Trouver les mots justes n'étaient pas ton point fort, néanmoins tu faisais des efforts pour éviter de l'enfoncer plus qu'elle ne l'était déjà. Tu l'attires vers toi pour l'engloutir de tes bras.

awful

HRP: T'inquiètes, y'a pas de soucis! @Hazel E. Avery