[EVENT#6] Table des Serdaigle (réactions)

Event#6 Serdaigle

Contexte

Un soir comme les autres. A l’approche de Noël, Poudlard était décoré de mille lumières, de hauts sapins dressés dans les coins de la grande salle et d’un géant dans le hall d’entrée. Les décorations brillaient et étincelaient de plusieurs couleurs. Des bougies immortelles réchauffaient le ciel artificiel, en lévitation, et des flocons s’évaporaient juste au dessus des innombrables têtes bavardes.
Les plats s'enchaînent dans la bonne humeur. La peur de la nuit de septembre s’est presque envolée avec l’ambiance des fêtes et de la nouvelle année qui approche.

Orphan et Aileen étaient tous les deux enclins dans une conversation avec leur voisin de table. Des doigts invisibles jouaient de la harpe et du piano à droite de la table des professeurs. Mais le brouhaha joyeux de la grande salle ne se rendit pas compte quand ils ont cessé de jouer. Quand les assiettes se mirent à trembler et que l’orage se mit à tonner. Les bougies s’éteignent dans un souffle de vent frisquet et la grande salle redevint silencieuse. Une colonne de lumière semblable à celles s’étant formées la nuit du 15 revint hanter la grande salle, à la naissance des marches de l’estrade où se trouvait la table du personnel. Centré juste devant l’oratoire des directeurs se forma une sorte de globe lumineux, comme un portail dont on ne pouvait distinguer la destination… et la provenance.

Car alors que les yeux se rivèrent en silence vers ce qui venait d’interrompre le repas. Un rugissement se fait entendre et un guépard traversa le portail, comme s’il était apparu de nul part. Dans un bondissement presque divin, il atterrit entre les naissances des tables serpentard et serdaigle. Ce fut ensuite le tour d’un chacal et d’un magnifique jabiru (qui se posa sur la table des gryffondor) de traverser le portail.

Orphan se lève, bousculant sa chaise qui s’effondra derrière lui. Il sortit sa baguette mais dans un doute qui ne le quittait pas, comme un pressentiment, il n’agit pas, attendant de voir ce qui allait se passer par la suite. Et il fit signe à ses collègues de ne pas agir, d’un mouvement de son bras droit.
Aileen s’empressa de faire le tour de la table pour s’approcher et recula tout de même d’un pas lorsque le guépard se retourna vers elle pour rugir.
Ce qui était le plus troublant, c’est que les trois animaux semblaient surtout désorientés et paniqués. Qui sait qui d’autre pourrait surgir ?

Instructions

→ Ici se passera toutes les interventions de l'event (écrite par le staff et postées sous le choixpeau ou Orphan.).
→ Vous ne pouvez répondre sur ce sujet que si vous êtes un Serdaigle inscrit.
→ Merci de faire des réponses courtes, rapides et dynamiques car nous sommes beaucoup à RP et cela facilite la lecture de tous les posts.
→ Merci également d'éviter de faire des interventions incohérentes ou de parler en meme temps que tous le monde, tous le monde doit réussir à réagir sans trop étouffer le rp ou que ça soit le bordel.
→ Le staff a conscience que cela sera un RP rapide en huit-clos avec l'école entière rassemblée en une seule pièce. Tous le monde ne peut pas se lever et faire n'importe quoi. Mais une chose est sûre : tout vos persos sont témoins.
→ Rappel : Vous pouvez décrire vite fait vos autres persos non inscrits en spoiler.
→ Les interventions de la table du Personel : www
→ Les réactions de la table Gryffondor : www
→ Les réactions de la table Serpentard : www
→ Les réactions de la table Poufsouffle : www

and everybody is acting like

et tu clignes des yeux sous l'effet de la lumière qui t'aveugle pendant quelques secondes, ces yeux que tu avais déjà plissés pour essayer de comprendre la situation qui se déroulait autour de toi, sans vraiment connaître de grand succès. ouais, non, honnêtement, tu piges rien à ce qu'il se passe. tu regardes rapidement les animaux qui sont sortis du portail, y compris le guépard qui est tout proche de vous et surtout de toi à vrai dire, pas très loin du bout de la table.

alors tu t'apprêtais à te lever, toucher cet animal, mais comme on vous dit de rester assis, tu te contentes de murmurer, à la personne à côté de toi dans la direction de l'animal, qui était donc plus proche de lui que toi, ces quelques mots sympathiques.

— t'inquiètes pas si tu t'fais bouffer je me rappellerai de ton sacrifice.

et tu prends une gorgée, avec un regard inquisiteur sur les autres animaux. super soirée.

christmas is all they love

love, libby

Est-ce bien nécessaire de décrire ma surprise. Mes doigts se ressèrent sur ma baguette prêt à agir si l’un d’entre eux s’approche d’un élève. Je suis tendu, immobile sous l’ordre du directeur et des professeurs. Mais avec tout mon respect, qu’est-ce qu’ils attendent pour agir ?!

D’accord c’est plus malin d’essayer de comprendre, d’investiguer d’abord seul petit problème monsieur le directeur : vous avez une centaine de mineurs qui peuvent servir de pâtée pour fauves en moins de deux minutes. A quoi ça sert d’être en défense et occultisme si on ne peut même pas tester nos talents pour nous défendre ? De plus ils ne devraient pas s’inquiéter de la présence d’un portail dimensionnel au sein de l’école où on ne peut même pas transplaner ? Allô ? Monsieur le Directeur ? C’est bien de poser des questions avant et de caster des sorts après mais quand même mais c'est plutôt le moment d'être alarmé.

Sans détacher le regard des animaux et à voix basse, je réponds avec flegme et sarcasme à ma camarade :

Trop aimable.

Les animaux semblent curieux, reniflent mes camarades. Mon regard balaie les tables, tout le monde est tendu ou effrayé mais sains et saufs pour l'instant. Tiens y en a pas un qui voudrait manger Rhee ? Non aller je ne suis pas si cruel. Mais juste petit coup de griffe pour le faire couiner, j’avoue que ça me ferait vraiment plaisir.

Je ne bouge pas mais si l’un d’entre eux s’approche de Soleil...

DEV NERD GIRL

merry christmas

bitches

Feat le monde & Do

« Je déteste les surprises », ça aurait pu être l’intitulé de cette soirée. Face aux animaux qui venaient de sortir de l’étrange portail, Dorothy ne put que rester… Étrangement muette. Il lui fallut quelques secondes pour comprendre pour… Accepter que des bêtes fussent sorties d’une boule lumineuse pendant qu’elle mangeait. Quelques secondes pour laisser ses pensées ironiques glisser dans son esprit. Quelques secondes, enfin, pour s’assurer que tout cela n’était pas une blague.

Son regard glissa vers la table des professeurs, vers Luke. Elle espérait voir dans son regard une once de réponse, mais… Que pouic. Visiblement, le corps enseignant était autant sur le cul qu’elle ou totalement inconscient. Pour être honnête (pour une fois), Dorothy ne savait pas trop vers quel scénario se pencher. Une chose était sûre mieux valait éviter les gestes impulsifs et inconsidérés. La seule chose que Dorothy fut capable de faire, c’est de se tourner vers sa camarade et amie.

- « Tien, Ceres, en voilà des modèles vivants à dessiner. »

@Ceres Rhee

awful

Plongé dans ses pensées, Edwyn était si préoccupé par son problème actuel - à savoir la compréhension des détails de l'évènement survenu plus tôt cette année - que ce fut avec un flegme presque ennuyé qu'il regarda les fauves débarquer.

Décidément, tout le monde et son chat devient capable de transplaner ici. Les choses se perdent...

A propos de gros minou... Le rouquin observa la table, se contenta d'attraper un plat rempli de boulettes de viandes (oublieux des protestations de ceux qui désiraient se servir) et de le déposer à proximité du chat disproportionné que certains de membres de son fanclub à quatre pattes regardaient d'un sale air. Il leur adressa un bref commentaire pour les rassurer.

Y a pas que la taille qui compte, vous en faites pas.

Puis, sans plus se formaliser de tout cela, il revint à sa place et sortit un bloc note pour y griffonner ses pensées.

- ajouter "défaillance des défense anti-transplanage de Poudlard.
- seulement les animaux ? les humains aussi ? seulement les animaux qui sortent d'une sorte de portail étrange ?
- creuser tout ça

Mais ça, ce serait pour quand il aurait fini sa purée.

DEV NERD GIRL

happy chrismis ! it's chrismin ! merry chrisis ! merry chrysler !

elle espérait que personne ne l'ai remarqué en train d'élégamment déglutir ses pommes de terre - sans doute que non, l'apparition de fauves était utile dans ce genre de cas.

quelque chose d'étrange se passe dans son esprit, qui cherchait sans doute une issue pour ne pas crouler face à la situation. elle songea qu'il s'agissait de sa septième année à poudlard et que la septième année était souvent décisive dans une relation. c'était une vieille superstition : les ruptures étaient faciles au bout de sept longues années de cohabitation. ceres prit l'expression littéralement et, sous l'effet de la peur, se contenta de se recroqueviller un peu par-dessus son assiette. elle songea ensuite qu'elle avait étrangement chaud, et décida de se concentrer là-dessus plutôt que sur le léopard qu'elle avait l'impression de sentir contre son dos, contre sa nuque, à piocher dans les pommes de terre dans son assiette.

la voix de dorothy la ramena à la réalité avant qu'elle ne balance le plat par-dessus bord dans un excès de panique ; ceres lui adressa un sourire un peu étrange, qui semblait tremblait sur ses lèvres et prêt à s'envoler à tout moment, pour laisser sa place à un cri.

elle voulut rire à la place mais la peur d'attirer l'attention du fauve le transforma en petit souffle cahotant - elle était complètement pâle.

- ouais, un peu trop vivants même.

finalement, ceres songea qu'elle n'aurait peut-être pas dû abandonner la défense contre les forces du mal en quatrième année - à défaut de sa baguette elle referma donc sa faible poigne sur sa fourchette, et en croisant tous les regards résolus qui lui faisait face, elle finit par songer, non sans en avoir le cœur noué, qu'elle se sentait bien stupide.

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Event 6

les fauves

Il finissait de grignoter son bout de pain, Béring. Comme un enfant, il le mange petit bout par petit bout, une fois qu'il ne reste plus rien. Une lumière, un rugissement, l'agitation, les fauves. Saloperie de bout de pain... Une main qui file se poser contre sa poitrine, l'autre qui choppe avec force le bras de l'innocent Bertram. Il s'étouffe, le con.

Il se demande si ça fait plus pitié de mourir au milieu de la grande salle tué par un fauve sorti d'un portail de jeu vidéo ou tué par un bout de pain, Béring. Et quand il croit sentir la fin approcher, la dernière heure, il survit. Le bout de pain est finalement avalé. Essoufflé comme s'il avait couru un marathon, il râle, Béring.

"Je hais ma vie, putain..."

Et avec ça, joyeuses fêtes, les tocards !

eugene n'est pas à plaindre. sa maison a la raison en devise et même quand des catastrophes arrivent ses camarades ne sont pas les premiers à se jeter dans la gueule du loup.
il aime les fêtes même si sa peau ne rougit que très peu souvent de bonheur, il aime les fêtes et les grands moments - cette année est la première où il se sent important. et peut-être au fond est cette satisfaction assouvie qui attire le malheur.

tout résonne dans un fracas inexplicable, son premier réflexe est de jeter un coup d'oeil aux adultes, prunelles écarquillées, et de revenir aux bêtes qui n'attaquent personne pour l'instant. le directeur intime le silence et eugene se lève à moitié pour faire signe à sa table, dans son rôle de préfet, de rester calmes et assis.
il envoie un regard en biais à leur directeur de maison, attendant des directives, les mains devant lui, paumes vers le bas pour inviter les derniers réticents -s'il y'en a- à ne pas céder à la panique.
son regard froid est animé d'une étrange lueur de peur.

event #6 ★ 0 calliope
(hey ! listen)
Calliope avait toujours aimé ce genre de petite fête. Ou tous le monde faisait un petit effort vestimentaire pour sortir du lot, et que tous les yeux soient fixés sur sois. C'était son propre cas. Des cheveux bien coiffés, un regard de biche sublimé par un trait d'eye liner (qui lui a pris environ 1/4 de son temps de préparation) et une tenue des plus sobres pour laisser une chance aux autres de se démarquer. Généreuse la jeune Lovell.

C'était sans compter sur un rebondissement de taille. Un bruit sourd et une lumière aveuglante vinrent secouer la totalité des habitants de Poudlard. Ses yeux mirent quelques instants avant de pouvoir voir quelques choses, et se posèrent rapidement sur les animaux qui avait fait une entrée fracassante. « C'est quoi ce bordel encore... » Ne bougeant que très peu tout en les lâchant pas du regard, Calliope agrippa par réflexe le premier bras qui fut à sa portée comme pour si agripper. Levant doucement ses yeux elle reconnue rapidement les traits de son préfet mais n'arriva pas à desserrer son emprise. « Je. Excuse-moi. C'est un mauvais reflexe. »

t'avais pas très faim cassiopée, t'as perdu l'appétit depuis peu. et alors que tu jouais avec ta fourchette et ce qui te plaisait dans l'assiette, tu fus interrompu par ce flash de lumière pas tout à fait inconnu, pas tout à fait familier. alors que les bougies s'éteignent et que tu te frottes les yeux cassiopée, trois animaux semblent sortir de nulle part : tu commençais à légèrement te sentir plus à ta place. personne ne pouvait dire si c'était toi ou les animaux la plus perdue. après tout, tu avais déjà du gérer un bassin d'eau qui voulait t'ébouillanter et des vitraux qui venaient te mutiler depuis septembre. c'est pas comme si tu ne commençais pas à t'y faire. tu ne dis pourtant rien, ceres n'est pas loin de toi et tu ne comptes pas la laisser seule ou en danger. bertram aussi était à proximité. malgré cela, tu gardes ton calme, ta baguette bien serrée dans ton poing, ta détermination était là aussi en cas de besoin.

Intervention 1

→ Le staff a posté une intervention sur le sujet principal. (www)
→ Vous pouvez tous reposter.

and everybody is acting like

renfrognée, tu fixais les animaux jusqu'à ce qu'ils cessent d'en être. alors tes yeux glissent sur leurs faces, et tu les dévisages. tu as juste un regard noir pour ce camarade de ta maison que tu avais vu avancer du coin de l'oeil, parce que maintenant vous passez pour des abrutis. en plus, vous étiez censé être les plus intelligents ici, non ? super. les mains posées à plat sur la table, tu décides que, puisque le danger semble écarté, rien ne t'empêche de poser cette question qui te brûle les lèvres.

tu te lèves, doucement, avec précaution et tu essaies de lisser tes fringues pendant une seconde avant d'abandonner. t'étais pas très loin du bout de la table alors le chemin est vite parcouru. tu essaies d'avoir l'air sympa, mais tu peux pas t'empêcher d'être un peu sur la défensive. et c'est là que tu te rends compte que t'as beaucoup plus de questions que tu ne le pensais. alors vu que t'as pas envie d'écouter les règles de la logique, tu décides de poser la plus insignifiante et la plus débile en premier. tu te tournes vers les élèves fraîchement arrivés, et prend une voix claire.

— je m'appelle envy. bienvenue à poudlard. dites, pourquoi arriver ici sous votre forme d'animagus ? enfin je veux dire... j'aimerais aussi savoir pourquoi tout court et comment mais...

tu essaies de te concentrer envy, et ferme ta bouche avant de raconter trop de bêtises. heh, ouais, on peut pas dire que tu donnes une meilleure image de ta maison que celui que tu fusillais du regard. mais tu peux pas t'en empêcher.

christmas is all they love

love, libby

Le rouquin prit le temps de corriger ses notes et fouiller les entrailles de sa mémoire en quête des mots adéquats, avant de relever la tête en direction du jeune homme contrarié et de lui répondre, avec une prononciation qui dénotait un manque de pratique certain :

Wewe ulitazama njaa, Gildas.

T’avais l’air affamé, Gildas.
C’était ça ou une affirmation désobligeante sur ses chaussettes, il n’était plus très sûr. Il n’avait plus baragouiné ce qu’il savait de cette langue (et qui touchait essentiellement au registre de la nourriture et deux ou trois bricoles sur les directions, la magie et quelques insultes courantes) depuis presque deux ans.
Et il n’avait plus de Chewing-gum polyglotte en stock. Puis, c’était tricher d’employer cette invention et on apprenait rien. Il pourrait peut-être en vendre quelques uns si les invités surprises décidaient de rester, cela dit.

Puis, il retourna à sa purée. Si l’autre ne voulait pas des délicieuses boulettes, il n’avait qu’à rapporter le plat à table et choisir autre chose. Puis, la purée, c’était important. Même s’il mourrait d’envie de pointer le portail étrange et de demander des explications à son sujet, d’autres semblaient d’humeur bavarde. Tant pis pour leur purée.

Pendant ce temps, du côté d'Adrian:

DEV NERD GIRL

merry christmas

bitches

Feat le monde & Do

C’est dans un léger sursaut que Dorothy accueillit la transformation des animagus. La rose se fit la réflexion étrange qu’elle serait curieuse de faire quelques tableaux statistiques pour voir si la proportion de bizarrerie dans l’école avait augmenté depuis la nomination du duo Scamander. Engrangement, quelque chose lui disait que oui.

Beaucoup de questions se pressaient au bord de ses lèvres sans qu'elle puisse en formuler aucune. À côté d'elle, le capitaine de l'équipe de Quidditch s'était étouffé avec un pain, le préfet fixait la scène, Ceres semblait plus ou moins au bout de sa vie…. Meh, un repas normal chez les bleus. C'est Chadwick, une camarade de classe, qui prit les devants pour obtenir le début de réponse que désirait Dorothy. Si notre naine rose n’aurait pas posé cette question en premier, elle ne pouvait que saluer le premier pas de sa camarade.

- « Moi, ce que j’aimerais savoir, c’est comment diable ils ont pu percer les protections de l’école. Ce n’est pas normal. »

C’est alors que le portail se remit à briller pour laisser en sortir un nouveau personnage. Un homme. Un adulte. Son regard noisette fut tout de suite captivé par ce curieux personnage. Si quelqu’un pouvait apporter des réponses, c’était lui

Notes

awful

Event 6

les fauves

Tous, ils nagent en pleine incompréhension. Il pourrait presque croire qu'il est plongé en plein rêve, Béring, qu'il sera bientôt l'heure de se réveiller. Ce soir, ce n'est pas son imagination qui lui joue des tours.

Mimique stressée, le blond se mordille la lèvre inférieure ; les traits de son visage ont pris un air sérieux. Les mots de sa camarade de maison aux cheveux roses tournent un instant dans sa tête. Peut-être que c'est cette fine remarque qui flirte avec l'insulte du nouveau venu, peut-être que c'est autre chose, mais...

"Visiblement, on n'est pas prêts d'en apprendre plus..."

Et si l'apparition n'est de la faute de personne, quelle option leur reste-t-il ? Il y a au fond de l'esprit de Béring une pensée qui le dérange. Peut-être qu'il y a ici quelque chose qui les dépasse tous, et qui joue avec eux comme un prédateur joue avec sa nourriture.