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Sandro Clemenza | Fucking fairytale.

Sandro Clemenza
Eleve né-moldu
Eleve né-moldu
Sandro Clemenza
Messages : 162
Points : 442
En couple avec : Dorothy Martin.
Sandro Clemenza | Fucking fairytale. Jeu 28 Mar - 13:18


Sandro Clemenza
Prénom(s) et nom — Sandro Clemenza.
Surnom(s) — Pour l’emmerder, certains l’appellent Sandy. Ça marche. Mais ne vous y essayez pas, c’est un conseil.
Âge — 20 ans.
Orientation sexuelle — Jusqu’à présent convaincu d’être hétéro.
Origine — Italienne (sicilienne).
Sang — Né-moldu.
Particularité — Aucune.
Année d'études — 9ème année.
Options ou licence — Bi-Licence de Défense magique et Occultisme & Droit et Politique magique.
Avenir — Il souhaite travailler au sein du Département des accidents et catastrophes magiques, en tant qu'Oubliator ou parmi le Comité des inventions d'excuses à l'usage des Moldus. Qu’ils oublient et retournent à leur vie d’avant. Leur vie normale.
Avis sur les cracmols et moldus à Poudlard — Les Cracmols, il comprend. Ils ont grandi dans le monde sorcier, ils ne connaissent que ça, pourquoi les mettre de côté alors qu’ils ont sans doute beaucoup à offrir et à faire dans cette société magique ? Pour les Moldus… non. Il est contre. Clairement, ils ont le choix, pourquoi s’infliger ça ? Il a envie de leur dire de fuir, que la vie de l’autre côté est bien mieux, plus sereine et mérite d’être pleinement vécue avec toutes les possibilités qu’elle offre. Pourquoi tout foutre en l’air ? Pourquoi renier l’éducation moldue, en vérité, simplement parce qu’un membre de votre famille a le malheur d’être sorcier ? C’est de la folie.
Maison — Serpentard
Avatar — Original trouvé sur Pinterest, je ne pense pas me prendre un personnage fixe.

Baguette magique — 27,5 centimètres, plutôt rigide, elle est en bois d’aubépine et contient un corail.
Épouvantard — Un être immense et difforme dont le corps est constitué d’une multitude de caractéristiques de ces créatures magiques qu’il pensait n’être que des mythes, enfant, des trucs pour faire peur. Maintenant qu’il a découvert le monde de la magie, il a réalisé que tout cela était bien réel : des vampires aux loups-garous, des créatures de l’eau aux géants et autres harpies, dragons, centaures et que sais-je encore. Plus il se tétanise face à l’Epouvantard, plus celui-ci se métamorphose en ces choses dialogiques et d’un coup, une voix retentit, celle de son frère aîné, qui le traite de monstre à son tour et le bannit de sa vie.
Patronus — Merle noir.
Reflet du miroir de Risèd — Il voit sa famille, tout simplement. Ses parents, ses grands-parents maternels, son grand-père paternel, son frère habillé en tenue de foot avec le maillot de l’équipe d’Italie, il se voit lui-même, en tenue nationale également, pour l’équipe de volley-ball. C’est tout. Au-delà de cette vision, c’est toute une immersion dans son passé lointain : un dimanche midi, dans le jardin des grands-parents, à l’ombre de l’énorme ficus, et le regard tourné vers le terrain verdoyant et les allées d’orangers et de citronniers. Rien de particulier. D’une banalité effarante. Et rien, absolument rien de magique.
Odeur de l'Amortentia — Un mélange incertain qui lui rappelle la Sicile : une touche de souffre (il a connu enfant une éruption de l’Etna qui l’a grandement marqué) et de nicotine et un mix d’odeurs d’olive, d’amande et d’orange. En arrière-plan, la senteur de la pluie qui s’annonce.
Matière favorite — Défense contre les Forces du mal. Il n’y excelle pas et chaque évaluation le stresse au plus haut point, mais c’est un bon stress, un stress nécessaire. Car il a besoin de réussir dans cette matière. Il veut se protéger et protéger les autres, de tout « ça ».
Bonbon favori — Il n’aime pas les bonbons sorciers. Il n’a pas confiance, il comprend pas le délire. Il leur préfère mille fois un Carambar goût Nougat.
Créature inspirante — Corneille. Il y en a toujours beaucoup qui viennent se poser dans le jardin de son oncle, et il faut les faire fuir pour qu’elles n’abîment pas les fleurs. Très souvent, il lui arrive de les observer par la fenêtre. Elles le fascinent sans qu’il sache dire pourquoi. Leur plumage noir, leur façon très méticuleuse de creuser la terre ou de se poser et de regarder partout, avec l’impression de railler le monde. Oui, il aime les corneilles.
Animal de compagnie — Cosmo, un rat blanc qu’il transporte parfois niché sur son épaule ou au creux de son cou, entre les cours. Pour le transport du courrier, il a également Ezio, un hibou petit-duc de couleur gris perle qu'il possède depuis trois ans, cadeau de son oncle.

Mental
S’il y a une certitude, c’est que Sandro est devenu un être amer. Cette vie, il ne l’a jamais souhaitée, il ne l’a jamais demandée. Il était très bien, à Palerme, à profiter de sa jeunesse et du soleil de la Sicile, à vivre de sport et de rêve, à s’imaginer grand vainqueur du championnat national de volley-ball, à jouer au foot avec son frère dans le jardin des grands-parents et à piquer des oranges dans le verger. Devenir sorcier, il l’a vécu comme une malédiction. Du jour au lendemain, tout a changé : le regard de ses parents et son frère, il s’est retrouvé à vivre chez sa tante, à Conwy au Pays de Galles, dans un endroit dont il ne connaissait rien, avec une langue à apprendre. Tout s’est écroulé. Il en a perdu ses amis, ses habitudes… tout.

La grande majorité des nés-moldus voient la découverte de leurs pouvoirs comme une chance et l’arrivée à Poudlard comme un rêve qui se réalise. Lui, il était à la fois terrorisé et dégoûté. Il ne voulait pas être « ça ». Il voulait être normal. Se réveiller et se retrouver à nouveau à Palerme, à attendre la rentrée des classes dans le collège du quartier. Rien de plus. Mais non. Il était loin de tout ses véritables repères, et son oncle par alliance, Idris, avait beau être enjoué et encourageant… cela n’y changeait rien. Depuis, et malgré les huit années déjà passées au sein de l’établissement magique, Sandro ne se sent pas spécialement à sa place. Ni ici, ni dans le monde moldu, quand il a la possibilité d’y retourner.

Ce sentiment est clairement exacerbé par le fait que ses parents ne veulent plus le voir. Chez les Clemenza, on n’est pas bien tolérant. On croit en un Dieu tout puissant qui a déterminé comment on devait vivre et ils adaptent à leur quotidien les préceptes de la Bible, comme ça les arrange. Pourtant, dans sa famille, on est convaincus que les homosexuels sont des personnes malades qu’il faut soigner, les trans et autres genres indéterminés sont des dégénérés et les étrangers n’inspirent pas confiance. Jamais. Autant vous dire qu’apprendre qu’un des leurs est un sorcier… ça n’est pas bien passé. Même pas du tout. Il les a parfois au téléphone, ils lui envoient des messages mais… ce n’est plus comme avant. Sans parler des ses grands-parents, ultra-traditionnels, dont il a très peu de nouvelles mais qui sont « déçus ». Déçus. Bordel, mais pourquoi ? S’il pouvait faire en sorte de redevenir comme avant, il le ferait ! Oui, il le ferait ! Plus d’une fois, d’ailleurs, il s’est auto-mutilé, dans ses premières années. Comme s’il pouvait faire sortir ce don, cette « magie » de son corps, par ce biais. Mais un autre élève l’a vu faire et est allé cafter à un prof… résultat des courses, il a du révéler ses scarifications et a droit à un « suivi » de son état psychologique. Comme quoi il n’est pas le seul. C’est rare, mais des moldus qui rejettent leur condition magique, il y en a d’autres. Comme des cracmols qui refusent leur état, à situation inverse. Chez les moldus, il est anormal. Chez les sorciers, il l’est tout autant.

Heureusement, son frère aîné Tiago Clemenza, joueur de football professionnel actuellement à la Juventus de Turin continue à lui parler, à l'appeler. Autant vous dire que Sandro, il a besoin de ça. Tiago, c'est son modèle. Ça l'a toujours été. Ils ont six ans d'écart et gamin, Sandro était toujours dans les pattes du plus grand. Très souvent ils jouaient au foot ou au volley ensemble et Sandro n'avait de cesse de vouloir être bien vu par son frère. Il aurait aimé que cela continue... mais avec son « état » et le déménagement, les choses sont différentes, maintenant. Ils se parlent autant qu’ils le peuvent, mais ils n’ont plus l’alchimie qu’ils avaient, avant.

Désormais, il sait qu’aucun retour en arrière n’est possible. Qu’il doit faire avec sa condition, essayer d’en tirer profit, de rechercher le positif dedans… c’est difficile. Très difficile. Globalement, il a une nette tendance au pessimisme et à la nostalgie. Il est nostalgique de sa vie d’avant. Quand il avait dix ans et qu’il était loin, très loin de tout cela. Maintenant, il n’est pas rare qu’il s’agace et se crispe dès que quelqu’un va évoquer les moldus. Il sait qu’il y a une volonté « d’ouverture », vers la société moldue, avec l’intégration de frère et sœur d’élèves sorciers… il ne comprend pas. Pourquoi faire ça ? Pourquoi faire comme si tout cela pouvait cohabiter ? C’est faux, clairement faux. Les moldus ne sont pas préparés à ça. Ils vivent très bien sans savoir, ils ont réussi à développer maintes inventions fantastiques qui ne nécessitent aucune magie et pourtant vont plus loin, plus haut, plus fort que des concoctions et autres sortilèges. Au fond de lui, Sandro est extrêmement fier de sa condition de né-moldu, et il ne saisit pas pourquoi des moldus en viendraient volontairement à se mêler à ce monde incongru et fou. Et ce qui le fait sortir de ses gonds, se sont les petits commentaires incessants, presque normaux, qui réduisent les moldus à des êtres simplets, faibles et idiots. Autant dire que lorsque quelque chose le crispe, il le fait savoir. Il peut paraître taciturne, mais quand il parle, il ne mâche pas ses mots. Jamais. Il est cash et sans détour, et fait éclater le fond de sa pensée sans filtre. Il est tranchant et acide, souvent vulgaire, aussi, il faut le reconnaître.

Une manière de se protéger, en vérité. Comme un peu tout ce qu’il fait. Se protéger de toutes ces choses qui ne comprend pas, qu'il a longuement refusé d'admettre et qui lui font peur parce qu'elles lui paraissent insensées, terrifiantes, improbables, irrationnelles. La magie met à mal ce qu'il a cru être. S’il est agressif et violent, s’il balance ses quatre vérités et clame son dégoût au nez des sorciers de grande lignée qui se vantent de leur sang et de leur magie, c’est qu’il ne sait pas réellement quoi faire d’autre. Il s’en sort correctement dans les sortilèges défensifs et la dissimulation, ses potions foirent souvent et plus d’une fois, il oublie tout bonnement sa baguette dans son dortoir. Parce que ce n’est pas sa priorité, ce n’est pas ce qui le définit… pour lui, ce n’est pas ce qu’il est. Mais qu’est-il, alors ? Il n’en sait rien.

Story

Ce sont des petits morceaux d'peur
Un peu partout éparpillés,
Des débris, des tessons de terreur
Qui t'incitent à ne pas changer ;
Rien que des petits morceaux d'peur
Qui paralysent la pensée,
Des éclats, des débris de frayeur
Qui effacent une identité.


Les WrigglesPetit bonhomme


17 janvier 2009, naissance à Palerme (Sicile – Italie).
2009 – 2019, enfance ensoleillée et joyeuse.


Deuxième fils de Lorena et Matteo Clemenza. Comme tous les membres de la famille Clemenza, il a les cheveux d’un noir puissant et les yeux bleus. Il était un enfant curieux et dynamique qui, très vite, voua une admiration pour son grand-frère de six ans son aîné, Tiago. La famille Clemenza est une famille aisée du Sud de Palerme. Les grands-parents sont des propriétaires terriens et Matteo Clemenza a repris l’entreprise familiale de production d’huile d’olive et d’agrumes.

Sandro n’a jamais connu son père autrement qu’occupé. Occupé, oui, mais sans jamais délaisser son rôle de père et sa famille. Ah ça, la famille, c’est important chez les Clemenza. Le dimanche était un jour Saint dans leur tradition catholique, et autant que possible on se réunissait toujours pour manger ensemble et passer de longues heures à discuter. Le mieux c’était de le faire en terrasse, à profiter du soleil de la Sicile et des grands jardins. Que ce soit chez les grands-parents maternels, chez « nonno » (papi) Clemenza ou à la maison, Sandro se souvient parfaitement des grands plats de pâtes (souvent des spaghettis bolognaise) que sa mère et sa grand-mère préparaient pour l’occasion.

Une enfance heureuse, en garçon choyé et un train de vie aisé. Il n’a manqué de rien et de son papi, il a gardé une espèce de glorification du sport, propre aux Clemenza. Le grand-père avait remporté des prix d’équitation et en parlait souvent… aussi, Tiago s’était naturellement mis en tête de faire du foot-ball, il était doué pour ça. Il avait rapidement rejoint un club local, et du haut de ses cinq ans, Sandro l’enviait. Ils jouaient souvent, ensemble, jusqu’à ce qu’un jour il vit un match de volley, à la télévision. A partir de là, le plus jeune des deux s’est dit que ce sera ça, son sport. Parce que même du haut de ses six ans, il a compris qu’ils ne pourraient pas être deux à faire du foot-ball. Alors il fit du volley, dans un club lui aussi, comme le font les enfants. Des mouvements limités, un filet pas bien haut, mais une intention qui était bien là, à apprendre à servir, à renvoyer de l’autre côté et à récupérer par des manchettes maladroites. Il s’imaginait déjà dans le championnat national. Il aimait le volley, sincèrement.

Aux cages de foot qui trônaient dans le jardin familial, on ajouta un filet de volley. Les frères alternaient sans mal de l’un à l’autre, et progressivement le jeune Sandro se fit des amis dans son club, un en particulier, Lino, un voisin.

Un après-midi, Sandro avait huit ans et demi, il était dans les cages tandis que Lino, Tiago et des amis de son frère s’affrontaient au foot. Il faisait chaud, il s’en souvient encore. Le soleil tapait directement sur son front et plus d’une fois il s’essuyait au mieux pour contenir la sueur. Le terrain était légèrement en pente et par-delà des jeunes joueurs qui tentaient au mieux de freiner la progression de Tiago, on pouvait deviner les orangers du jardin. Il rêvassait et il n’avait pas vu venir le tir, le ballon arriva droit sur son visage et il eut un mouvement vain de protection, il se tourna légèrement pour se protéger, que ça n’arrive pas droit sur son nez mais sa joue, éventuellement.

Sauf… qu’il ne sentit rien. Absolument rien. Il rouvrit un œil timide et constata que le ballon était en suspension dans l’air, comme figé. Le temps qu’il le réalise, l’objet tomba brusquement au sol, et il vit les regards curieux des autres joueurs. Celui de son frère, surtout, les sourcils froncés.

- Euuuh… il s’est passé quoi, là ?

Question évidente des autres présents. Tiago, pourtant, prit les choses en main. Sandro sentit bien son étonnement, tout comme lui, qui ne comprenait pas. L’aîné récupéra le ballon et le remit au centre du terrain.

- Rien. On reprend.

Et le match suivit son cour. Jusqu’à plus tard, dans la soirée, quand les autres garçons furent partis. Là, Tiago se tourna vers son frère :

- C’était quoi, le truc bizarre avec le ballon ?
- Euh… bah je sais pas. J’ai pas compris non plus.
- T’es sûr que t’as rien fait ? On aurait dit… on aurait dit une protection, ou je sais pas.
- Non, j’ai rien fait. J’te jure !
- … Ok. T’en parles à personne.
- Non, non bien sûr.

Ils n’en ont pas parlé. Seulement… d’autres événements curieux se sont accumulés. Comme une fenêtre qui se brisa sous l’effet de la colère et d’une punition que Sandro considérait comme injuste. (Elle ne l’était pas tant que ça…) Plus tard, un ballon de volley coincé dans un arbre qui… miraculeusement, se retrouva soufflé par une bourrasque de vent afin de retomber au sol. Des événements qui se mirent à terrifier le jeune Clemenza. Il cherchait des raisons rationnelles : la vitre devait être abîmée, le vent soufflait déjà fort…

Jusqu’à ce que ça ne suffît plus.



24 mars 2019, la révélation.

Il s’en souvient et s’en souviendra certainement toute sa vie. C’était un dimanche, comme souvent beaucoup de choses se passaient le dimanche. Un repas en famille, exceptionnellement sa tante Gloria et son mari, Idris, étaient présents. Aux dernières nouvelles, ce dernier travaillait dans les énergies renouvelables et a été muté au Pays-de-Galles, à Conwy, lorsque son entreprise a ouvert une autre filiale. Il y avait aussi l’oncle Toni, tatie Lina et leurs jumeaux de cinq ans, Angelo et Asia. Bref, il y avait du monde et il faisait beau. Il fait souvent beau, en Sicile, quand le soleil et là, le temps devient sec et chaud. On était en mars et on mangeait dehors.

Le repas s’éternisait et les conversations tout autant. Ça parlait actualité, réchauffement climatique, immigration et ça grinçait des dents. Idris avait du mal avec l’étroitesse d’esprit de Matteo et Toni. Il prenait des pincettes et essayait de leur faire comprendre, il ne parviendra pas à les changer… mais bon. Les adultes parlaient et les enfants s’impatientaient. Sandro donnait des coups de pied à Tiago, sous la table, celui-ci lèvait les yeux au ciel puis reprenait le fil de sa conversation, sur le smartphone qu’il avait eu à son anniversaire. Plus loin, les grands-parents et les femmes discutaient autour d’un vieil album photos. Parfois, ils sortaient une photo pour la regarder de plus près. Sandro ne savait pas de quoi il était question. Il s’ennuyait. Il observait autour de lui et remarqua les jumeaux qui s’agitaient, à côté de leur mère. Elle-même était penchée sur l’une des photos que tenait Lina dans ses mains.

D’un coup, tout partit en vrille. De là où il était, Sandro remarqua le petit Angelo qui remuait les bras et faisait des grimaces à sa sœur. Brusquement, la main du jeune garçon vint cogner une bouteille de vin encore ouverte qui tomba pile en direction de l’album photos et déversa goulûment son contenu. Tout le monde sursauta et cria. Sandro le premier, il avait vu la scène se dérouler sous ses yeux. Alors que les autres réalisaient à peine, lui, il eut le temps de faire un geste débile, tendant la main dans la direction de la bouteille. Certes, il était trop loin pour l’atteindre. Cela ne l’empêcha pas d’essayer. Néanmoins, d’une façon qui rappelait le coup du ballon de foot, ce fut comme si le temps c’était figé. Le liquide bordeaux était suspendu à quelques millimètres au-dessus de la nappe, il n’y avait qu’une goutte qui avait touché l’album. Tout le monde observait, incrédule. Les hommes mirent du temps avant de réaliser la scène, les autres ne comprenaient pas. Seul papi Celio eut la présence d’esprit de récupérer l’album entre ses mains.

Sentant les yeux sur lui, Sandro eut un hoquet effrayé, le rouge aux joues et laissa retomber sa main. Avec son geste, le vin sembla reprendre vie et se répandit normalement sur la nappe.

- … Je… je…

Il sentit les larmes lui monter aux yeux, et bégaya :

- C’est… c’est p-pas m-moi.

Avant de courir se cacher dans le jardin. Il ne sut pas combien de temps il y était resté. Toujours est-il qu’au bout d’un moment il entendit des bruits de pas, et des voix. Celles de Tiago et son oncle, Idris.

- C’est par là-bas.
- Très bien, je vais le voir, retourne avec les autres.

Idris n’était pas un Clemenza, c’était le mari de tante Gloria. Il avait toujours été gentil avec lui, dans la douceur et dans l’écoute. Aussi, quand l’homme s’approcha, Sandro releva simplement la tête, les yeux rougis.

- Sandro… ne te mets pas dans cet état. Tout va bien.
- … Non. Non ça va pas.
- … Ce n’est pas la première fois, pas vrai ? Qu’il se passe des choses bizarres, autour de toi ?
- Tiago… Tiago a parlé ?
- Non. Il n’en a pas eu besoin. On a tous vu.
- Je… je suis pas normal, c’est ça ?
- … Tu es mieux encore, Sandro. Tu es un sorcier.
-
- Si, je vais te montrer.

Pendant plusieurs minutes, comme il venait de le faire avec tous les autres, l’adulte fit de son mieux pour mettre des mots sur tout cela. Il expliqua ce qu’était un sorcier. Ensuite, il sortit sa baguette et réalisa des sortilèges basiques, pour que Sandro le croit. Sandro, lui, il avait peur. Plus Idris faisait preuve de sa magie, et expliquait combien il avait de la chance, combien il allait découvrir des choses extraordinaires… plus Sandro se sentait mal.

Il a vomi.



Avril 2019 à janvier 2020.

Une période atroce. Depuis ce dimanche de mars, ses parents étaient différents avec lui… plus froids, plus distants. Progressivement, il l’ont éloigné des autres. Le club de volley, d’abord. Ils l’ont purement et simplement désinscrit, prétextant un désintérêt de sa part. Ce qui était faux, archi-faux. Quand il l’a su, il est entré dans une colère noire et a fait exploser deux ampoules par la simple puissance de sa rage. Cela n’a fait qu’envenimer les choses… son père lui a indiqué qu’il était hors de question qu’il aille chez ses amis ni même chez Lino, son meilleur ami. Inversement, ces derniers ne pouvaient plus venir à la maison et quand Tiago invitait ses propres potes Sandro devait rester cloîtré dans sa chambre.

Sa mère et sa grand-mère l’amenaient systématiquement avec elles, à la messe. Elles le poussèrent à se confesser. Disant qu’il devait être dans le pêché, que ça devait être à cause de mauvais comportements ou de mauvaises pensées. Dans le confessionnal, il s’est tétanisé, il a à peine pu parler, il ne savait pas quoi dire. Il était convaincu de n’avoir rien fait de mal, que tout ceci était faux, que c’était une erreur, qu’il n’était pas bizarre, simplement normal. Juste normal. De lui-même, il s’est mis à prier plus encore, il avait à peine dix ans, il n’était pas spécialement pieux… mais si cela pouvait l’aider. Il récitait des Ave Maria avant de se coucher.

Au quotidien, le jeune enfant faisait de son mieux pour être le plus normal possible, et parfois, lorsque quelque chose lui rappelait sa condition de « sorcier » ou son anormalité, il se retrouvait à vomir ou à se recroqueviller dans son lit, les larmes aux yeux. Il refusait d’être « ça », ce n’était pas normal.

Lors des rares occasions où la famille au grand complet se réunissait, Sandro comprit qu’Idris également été mis à l’écart. Idris et sa femme. De base, les Clemenza n’ont jamais aimé les gens « pas comme eux », aussi, réaliser le même jour qu’un de leur fils et leur beau-frère étaient apparemment des fantasques, des « sorciers »… c’était beaucoup à avaler. S’ils conviaient le couple à manger, c’était uniquement pour les anniversaires et faire plaisir aux grands-parents. Ces derniers étaient dépassés mais tenaient quand même à avoir la famille au complet. Idris paraissait peu déstabilisé par le traitement que les autres adultes lui infligeaient. La courtoisie était toute relative, ils le toléraient simplement parce qu’il était le mari de Gloria, mais ne cherchaient plus à converser avec lui. Gloria, quant à elle, ne savait pas bien sur quel pied danser et faisait de son mieux pour inclure son conjoint dans les conversations, quand c’était possible, et ne cachait rien de sa tristesse lorsque les autres l’ignoraient complètement. Sandro n’était pas à l’aise lorsqu’Idris tenait à lui parler. Lui parler de « ça », cette réalité que le jeune garçon refusait d’admettre et à laquelle il ne donnait aucun nom.

C’est Idris, d’ailleurs, qui lui expliqua qu’il allait très probablement recevoir une lettre de l’une des écoles de magie européenne. Lui-même avait fait ses études à Poudlard et en tirait une grande fierté. La perspective de devoir étudier la magie, devoir quitter la Sicile et sa famille… Sandro n’était pas prêt.



Début janvier 2020.

Le 2 janvier. C’est le 2 janvier, soit quinze jours avant ses 11 ans qu’il reçut une lettre. Pas n’importe quelle lettre, celle d’admission à Poudlard. Lorsqu’il en vit le sceau, il comprit assez vite de quoi il était question, Idris lui avait expliqué. Sandro refusa de la lire pendant une semaine, il l’avait caché sous son oreiller, il ne voulait pas savoir. Il ne voulait pas admettre.

Les relations avec ses parents étaient extrêmement compliquées et pour noircir le tableau, Tiago, son dernier allié dans cette maison venait d’intégrer un centre de formation de footballeurs professionnels. Sandro se dégoûtait, il avait beau nier cette histoire de magie, tout le ramenait vers elle. Des petites choses du quotidien, à Idris, cette lettre, le regard de ses parents… il en devenait malade. Un soir, il vit son oreiller bouger tout seul, en le soulevant, il constata que c’était la lettre qui remuait, comme pour se faire remarquer, le forcer à lire. Il lut.

Dans l’introduction de la lettre, tout était fait pour le rassurer. Sa condition de « né-moldu » était connue, et puisqu’il avait dans son entourage proche un sorcier en la personne de son oncle par alliance lui-même passé par Poudlard, il avait semblé évident qu’il rejoigne cette école. Cela lui laissait plusieurs mois pour s’organiser, lui et sa famille. Le ton se voulait accueillant et optimiste… pour Sandro, ce fut comme une douche froide. La lettre avait un caractère matériel bien réel. Et lorsqu’il la tendit à ses parents, la détermination qu’il vit dans leurs regards le choqua.

- Bien.
- Quoi, « bien » ?
- Idris nous l’avait dit.
- Oui, l’histoire d’école ou je sais pas quoi.
- On s’est arrangé avec lui.
- Puisqu’il est… comme toi, il a dit qu’il acceptait de t’accueillir sous son toit.
- Pour te familiariser à… tout ça.
- Ce sera mieux pour tout le monde.

A vomir. Ce n’était pas l’envie qui lui manquait.

- Mieux pour tout le monde ? Mais je n’ai pas envie ! Je ne veux pas aller dans cette école, je veux pas aller chez Idris, je veux pas partir !
- … Sandro, n’en fais pas une histoire.
- Mon fils, c’est pour te protéger.

A comprendre « nous protéger ». Du haut de ses onze ans, l’adolescent n’était pas dupe.

- Je… je ne veux pas. Je veux rester ici. Ma vie est ici !
- Apparemment, tu es différent, Sandro. Je regrette.
- Il faut que tu sois dans un lieu approprié… pour les gens comme toi.
- Mais… mais je ne suis pas malade !
- C’est mieux pour toi.

Il n’avait pas son mot à dire. C’était déjà décidé pour lui.
Autant vous dire que son anniversaire, quinze jours plus tard, fut le pire de son existence.



Février 2020.

Les choses se firent rapidement. Toujours avec sourire et bienveillance, Gloria et Idris l’accueillirent chez eux. Couple sans enfant, la trentaine passée, ils occupaient un petit pavillon à Conwy, au Pays de Galles. A la maison, ils parlaient italien, mais faisaient de leur mieux pour familiariser le jeune Sandro à la langue anglaise, indispensable pour son évolution dans la société galloise moldue, mais également sorcière, ainsi qu’à Poudlard, à la rentrée.

Lorsqu’il lui montrèrent sa chambre, Sandro comprit que ça y’est, tout ce qui avait été sa vie jusque-là était terminé. Ses aspirations de joueur de volley, le soleil de la Sicile, ses amis, son frère, ses parents… la plage et les orangers. Même ses rêves absurdes de devenir astronaute, « si le volley, ça marche pas ». Au sein de cette petite maison, il apprit à connaître son oncle et sa tante. Gloria était toute en douceur et voyait du bon en tout. Elle était infirmière à l’hôpital de la ville et faisait des horaires compliqués. Idris, en vérité, travaillait chez une librairie-papeterie magique de renom, sur une zone commerçante sorcière très prisée. S’il disait travailler dans les énergies renouvelables, c’était pour ennuyer les gens et éviter qu’on lui demande de voir la librairie ou les livres qui y étaient vendus.

Petit à petit, l’homme fit de son mieux pour familiariser son neveu à l’univers de la magie autant qu’à la culture anglaise. Être un sorcier né-moldu d’origine italienne en terre galloise, ce n’était déjà pas simple à vivre… mais il n’avait pas l’air bien perturbé par sa condition. Seulement, il avait beau être positif et bienheureux, il ne parvenait pas à rassurer Sandro. Pour le jeune homme, c’était… un cauchemar. On lui avait tout pris. La soi-disant magie qu’il avait venait de foutre sa vie en l’air.

Idris le rassurait autant qu’il le pouvait. Gloria jouait les figures maternelles et faisait en sorte de faire le lien avec sa mère. Avec Tiago, ils s’appelaient. L’aîné lui parlait du centre de formation, Sandro lui parlait de Conwy, des britanniques… jamais du reste. Jamais. Tiago ne demandait pas. Comme un sujet tabou que l’on préférait éviter.


1er septembre 2020.

Le jour de la rentrée à Poudlard, sur la voie 9¾, il ne pouvait nier la réalité de tout ça. Idris l’avait préparé, lui expliquant comme c’était, Poudlard et ce qu’il y apprendrait… ça ne changeait rien. Le jeune Sandro était terrifié et dût se battre avec son envie de vomir tout le long du trajet. Il parvint à se retenir, par la simple force de sa fierté.

Le trajet ne fut aucunement pour lui une occasion de sociabiliser. Bien au contraire. Sa casquette enfoncée sur son crâne, assis dans un coin, à l’angle d’une fenêtre, il lut – ou fit semblant de lire – tout le long du trajet. Ses écouteurs aux oreilles furent une bonne excuse pour ne pas avoir à se présenter à qui que ce soit.

Tout le reste, et pendant ses premiers mois particulièrement, lui donna l’impression d’être un  long calvaire. Il ne voulait rien apprendre de tout cela. C’était anormal, c’était impossible, c’était terrifiant. Au fond de lui, il avait le sentiment qu’accepter la magie en lui, c’était renoncer à sa vie d’avant, à sa simple humanité.



1er septembre 2029.

Il s’y est fait. Il a compris qu’il ne pourrait plus jamais revenir en arrière. Cela ne veut pas dire pourtant qu’il l’accepte. Non, il ne l’accepte pas. Il aurait aimé avoir le choix et restait auprès de ses proches, à Palerme.

C’est un dilemme qui le caractérise et qui explique l’amertume qui ne le quitte jamais. Comme si le destin s’était acharné sur lui et lui imposait un rôle qu’il n’avait pas demandé. Comme un soldat qui se prépare à une guerre sur laquelle il n’a aucune emprise…

Il refuse d’être qu’un simple soldat. Il a bien compris que les liens avec sa famille étaient définitivement mis à mal. Du coup, il a pour projet de faire en sorte d’aider au maximum les moldus qui pourraient être « éclaboussés » par des événements magiques. Devenir Oubliator est une perspective qui lui plaît bien, afin que d’autres personnes – d’autres moldus, bon sang qu’il n’aime pas ce mot – qui n’ont rien demandé à quiconque et vivent paisiblement, n’aient pas à en subir les conséquences.


Remarques
(1) Il fume beaucoup trop. Il a commencé il y a trois ans, et à chaque vacances il trouve un moyen de refaire ses stocks (car sa marque fétiche est typiquement moldue). Il se fout de savoir si c’est bon pour la santé ou interdit par le règlement. Il fume, parce qu’il en a besoin, ça le calme un peu. (2) Il ne fume pas que de la nicotine, si vous voyez ce que je veux dire. Ses stocks de joins, il sait bien où les cacher, eux aussi. Il en fume quand nécessaire. Quand intérieurement, il craque. Quand la vie est une pute. (3) Il n’est pas rare de le voir avec une casquette sur la tête. Il en a deux, une noire, tout simple et une de la Juventus de Turin, cadeau de son frère et signé par lui, à l’intérieur. Gare à quiconque viendra critiquer son club fétiche et plus généralement ce sport. (4) Il est abonné au journal La Repubblica (quotidien italien) et à La Gazzetta dello Sport (quotidien sportif), qu’il reçoit de manière hebdomadaire au courrier du matin. (5) Il adore les agrumes : oranges et pamplemousses en particulier. Il a grandi dans les vergers d’orangers de la famille. (6) Depuis qu’il est officiellement sorcier, il n’a pas vraiment la possibilité de reprendre sérieusement le volley-ball, même s'il est possible d'y jouer dans la salle de sport. Sur les conseils d’Idris, il s’est mis à la musique et plus précisément au saxophone. Cela fait 4 ans qu’il pratique. Il en joue de façon très intime, pour lui, pour expulser sa rage et son amertume. C’est un exutoire, et ça le relaxe. Et puis, pour reprendre les mots bien clichés de son oncle « la musique n’a pas de frontière ». (7) Depuis la révélation de ses pouvoirs, il vit chez son oncle et sa tante, au Pays de Galles, il y retourne à chaque vacances. Le couple est d’une gentillesse et d’une patience extrême à son égard et l’élève comme s’il était leur fils. Il sait que ses parents leur verse une pension pour cela. Cela n’empêche pas Sandro d’avoir du mal avec tout cela, il rêve de retourner vivre à Palerme, et de cesser cette mascarade avec Idris. L’homme joue un peu trop les pères à son goût, et Sandro ne sait pas comment s’y prendre avec lui. Il ne parle pas de ses sentiments, il ne sait pas s’il doit le haïr ou l’adorer. Sans lui, il ne sait pas ce qu’aurait été sa vie.

Derrière l'écran
Truc — J’aime pô qu’on m’demande c’que j’aime. (#schtroumpfgrognon) Sinon, bah... comme une évidence, j'me retrouve toujours à vouloir m'inscrire sur un forum HP, et le vôtre est beau et actif.


Dernière édition par Sandro Clemenza le Dim 15 Sep - 0:48, édité 15 fois
Hermès Hayashi
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Hermès Hayashi
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Re: Sandro Clemenza | Fucking fairytale. Jeu 28 Mar - 18:59

omg j'ai craqué sur le feat il est grave beau
Bienvenue !! J'ai pas le temps de lire ta fiche aujourd'hui mais je le ferais sûrement + tard pcq Sandro a l'air super intéressant ! Bon courage pour la validation love
Béring Leszczynski
Not your princess, tocard
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Béring Leszczynski
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Re: Sandro Clemenza | Fucking fairytale. Jeu 28 Mar - 19:50

AAAAAAAAAAHHHHHHH BIENVENUUUUUUUUE socrate
Cette fiche est fabuleuse ! Sandro est giga cool jpp ; son rapport à sa condition et au monde sorcier sont super intéressants. halp Je vais pas tarder à débarquer avec mes persos pour des liens huhu.

J'espère que tu te sentiras bien parmi nous ! hug
Dorothy Martin
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Dorothy Martin
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Re: Sandro Clemenza | Fucking fairytale. Jeu 28 Mar - 20:00

Il est fabuleux je l'aime putain !!! *w* Je rejoins totalement Bering mais quel homme, j'suis archi fan de ce que tu fais de ton perso, j'irais probablement te harceler de lien jpp

BIENVENUE ❤

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R. C. Camille Gaunt
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R. C. Camille Gaunt
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Re: Sandro Clemenza | Fucking fairytale. Jeu 28 Mar - 21:33

Bienvenuuuuue !! hug
J'ai vraiment pas tout lu parce que je préfère prendre le temps de me concentrer correctement sur ta fiche (plutôtquedestresserettoutoublier) mais j'ai vu, ou j'ai cru comprendre qu'il avait peur des créatures magiques -et des vampires haha. Il a l'air vachement intéressant quand même (et ce feat de pinterest et juste perf love) du coup je viendrais te demander des liens avec mon vampire ! (oui, du coup mdr)

Bonne validation rub
L. Andy Ollivander
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L. Andy Ollivander
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Re: Sandro Clemenza | Fucking fairytale. Ven 29 Mar - 0:09

BIENVENUE JE TE VALIDE AU PLUS VITE ON A EU CETTE HISTOIRE DE BACK UP DSL
Salem Avery
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Salem Avery
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Points : 115
Re: Sandro Clemenza | Fucking fairytale. Ven 29 Mar - 4:25

J'AIME BEAUCOUP SANDRO lilibel
Je suis très très fan
voilà
(oui je me suis dépêché de poster ça avant qu'Orphan passe te valider, yakoi)
Sandro Clemenza
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Re: Sandro Clemenza | Fucking fairytale. Ven 29 Mar - 11:23

Merci à tous pour ce bel accueil :) ! Ça fait longtemps que je n'ai pas écrit une fiche aussi facilement, donc je suis contente si le personnage vous plait. Au plaisir de vous croiser inRP !
Orphan E. Scamander
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Re: Sandro Clemenza | Fucking fairytale. Ven 29 Mar - 18:25




Bienvenue sur Dabberblimp !

OK ALORS. j'ai pas pu te souhaiter convenablement bienvenue sur ta fiche avec toute cette histoire de back up grrr. Désolée du retard, mais me voici enfin!!
Je trouve que ta fiche se démarque de par son originalité et par les détails de son histoire... Moi qui (déteste) les histoires longues à lire et généralement je fais peu de commentaire dessus pour éviter d'être hypocrite, là ça m'a submergé ? Tu as un talent monstre pour qu'on s'implique dans ton écriture et Sandro m'a un peu bouleversé. J'adore ton personnage, j'ai envie de tellement de liens avec lui ! Seul bémol qui m'a un peu frustré c'est le manque du détail de son caractère qui m'a fait tourner en bourrique pour le répartir pls La partie caractère est plus rédigé en mode explication de son histoire et de ce qu'il a vécu mais on en a apprend pas bcq sur son comportement et interractions avec les autres ouin. Bon j'ai choisi serpentard car il est plutôt solitaire et je le voyais pas trop trop à Serdaigle... il a l'air assez déterminé dans son avenir et le coté pessimiste aurait sans doute plus à Serpentard. J'ai hâte hâte hâte d'avoir des liens voir un rp avec toi (notice me kya) et j'espère de tout coeur que tu te plairas sur ce forum HP love BIENVENUE DANS LA MIFA


Te voilà validé, tu peux dès à présent créer ta fiche de lien dans ce sujet, ainsi que ton téléphone portable ici (des modèles sont mis à ta disposition). Tu dois aller faire recenser ton avatar par là et tu peux aussi faire une demande de RP juste ici, ou aller sur la CB te trouver un éventuel partenaire. Tu peux aller t'inscrire dans un club de Poudlard et aussi aller zyeuter la liste des postes.
Sandro Clemenza
Eleve né-moldu
Eleve né-moldu
Sandro Clemenza
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En couple avec : Dorothy Martin.
Re: Sandro Clemenza | Fucking fairytale. Ven 29 Mar - 22:45

Roooh, merci pour la Répartition et les commentaires sur ma présentation han ! C'est vrai que j'aurais pu approfondir un peu plus le caractère à proprement parler, mais promis, je me rattraperais dans ma fiche de liens. Quant au choix de la maison, je pense que j'aurais eu du mal à choisir également, et je sens que ça va être très drôle de le voir réparti avec certains qui risquent d'être "pureté du sang" ou fiers d'être sorciers. Merci encore, je file zieuter les différents topics haha !
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Re: Sandro Clemenza | Fucking fairytale.

Sandro Clemenza | Fucking fairytale.
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