Prénom(s) et nom — Lyria Sophie Forster Surnom(s) — Tout un tas selon les gens Âge — 19 ans Orientation sexuelle — Panromantique - Asexuelle Origine — Anglaise Sang — Sang-mêlé Particularité — Aucune Année d'études — 9ème Options ou licence — Licence de Médicomagie Avenir — Plusieurs idées se battent encore dans son esprit. Mais elle s'imaginerait bien avec un poste important dans le monde de la médecine. Avis sur les cracmols et moldus à Poudlard — Elle se montre plutôt neutre sur le sujet. Cependant, elle aurait plutôt tendance à penser qu'ils n'ont pas leur place ici. Maison — info ici (attendre la répartition) Avatar — Namine - Kingdom Hearts | |
| Baguette magique — 26cm, bois de saule, cœur en plume de Phénix, peu épaisse et rigide Épouvantard — Une vieille poupée, le genre qu'on pourrait trouver chez ses grands parents Patronus — Un cygne Reflet du miroir de Risèd — Elle, entourée d'une famille unie Odeur de l'Amortentia — Un subtil mélange entre deux odeurs nostalgiques. Celle de la vieille bibliothèque chez elle. Et celle des pancakes chaud préparés par son frère au petit déjeuner Matière favorite — Le choix se ferait entre botanique et potions Bonbon favori — Assez peu portée sur les sucreries, elle ne résiste cependant pas à la guimauve Créature inspirante — Tout animal élégant et assuré Animal de compagnie — Un lapin blanc et gris nommé Rusty & un petit chaton femelle nommée Furfur, offerte par Wendy |
Mental
Tu manques cruellement de confiance en toi. Sans cesse tu te compares aux autres. Sans cesse ton esprit te rabaisse. Alors tu compenses. Tu compenses ce que tu ressens par ton attitude. Tu ne veux pas que ça se voit ou que ça se sache.
Tu lances des piques, tu rabaisses, tu joues des mauvais tours. Tu es cette petite peste qui regarde de haut et qui fait la fière. Celle qui réussit malgré tout à avoir un peu de popularité. Être une peste, mais tout en finesse. Tu t'entoures de personne pour gonfler ton égo, te sentir importante. Des personnes qui ne sont là que pour chanter tes louanges. Et se moquer de tes victimes avec toi. Bien entendu, aucune réelle amitié là-dedans. Du moins, pas pour toi. Tu t'attaches peu aux gens. Par peur de te blesser peut-être ? Quelque soit la raison, tu t'en tiens le plus souvent à des relations superficielles. Des relations où tu as le sentiment d'avoir le contrôle. Puisque le contrôle, c'est une chose dont tu as constamment besoin. Tu ne supportes pas l'imprévu. Tout doit être planifié, calculé, pour aller comme tu le veux. Être désemparée te fait paniquer.
Constamment tu as besoin d'être la meilleure. Tu es une travailleuse acharnée, qui cherche sans cesse à s'améliorer. Rien n'est jamais assez bien. Il n'est pas rare que tu te pousses trop à bout. Santé et bien-être passent au second plan pour toi. Rares sont les moments où tu relâches. Parce que les meilleurs ne s'arrêtent jamais. Tu es intelligente, cultivée, mais on pourrait te reprocher d'être bornée. Enfermée dans tes idées, tu n'es pas très ouverte à ce qu'on te contredise ou te propose de nouvelles idées.
Au fond, tout au fond de toi, tu n'aimes pas ton attitude. Tu n'aimes pas être mauvaise avec les autres. C'est la seule défense que tu as trouvé pour pallier à ton manque de confiance. Pourtant, chaque fois que tu vois une personne blessée par tes soins, tu regrettes. Tu t'en veux. Avec tes très rares proches, tu as une part plus douce. Plus gentille. Tout en gardant ce côté piquant. Comme si tu ne pouvais pas totalement t'en débarrasser.
Lyria dessine depuis des années. Mais c'est une chose qu'elle n'assume pas, parce qu'elle trouve que ça ne colle pas avec son image à l'école. Alors elle fait ça discrètement. Elle en offre parfois, mais sans qu'on sache que ça vient d'elle – Voir des fratries qui s'entendent bien la rend envieuse, et elle a tendance à être encore plus mauvaise avec ces personnes – Paradoxalement, elle aime bien quand on lui tient vraiment tête et qu'elle peut avoir un duel de piques – Amoureuse de musique classique - Son lapin c'est son précieux, personne y touche
Story
Petite tu gribouillais sur les murs.
Aujourd'hui tu noircis les pages d'un carnet.
Petite tu dessinais des formes sans aucune sens.
Aujourd'hui tu dessines de silhouettes familières.
Une famille aisée et aimante. Tu avais tout pour réussir. Tu n'as jamais manqué de rien. Tes parents t'ont comblée d'amour. Sans oublier ton grand frère. Aaah, Romeo. Si doux, si gentil, si attentionné. En un mot : parfait. Trop parfait. Oh, qu'on ne s'y trompe pas, tu l'adores. Tu l'aimes autant qu'une petite sœur peut aimer son aîné. Seulement, tu as toujours senti son ombre planer sur toi. L'ombre de ce garçon si charmant, si bon élève, si prometteur. Depuis toute petite, tu as cette jalousie envers lui. Cette peur de ne pas être à sa hauteur. Arriver après le grand frère parfait, tu n'as jamais pu le supporter.
Et pourtant, tu t'en veux. Tu t'en veux d'éprouver ça envers lui. Alors qu'il a toujours prit soin de toi. Chaque petite attention à ton égard te faisait l'effet d'un coup de poing. Les pancakes chauds tous les matins. Les livres dont tu rêvais qui apparaissaient comme par miracle sur ta table de nuit. Tout ça renforçait ton sentiment de culpabilité. Et tu le détestais, parce ça te faisait souffrir. Et tu te détestais, dans cette dualité d'amour et de haine.
A ton entrée à Poudlard, tu pensais pouvoir souffler. T'éloigner de lui, de son ombre. Et ça a fonctionné un temps. Tu avais des amis, tu suivais les cours, sans penser à lui. Pendant un temps, tu as réussi à reprendre confiance en toi. Puis grand frère parfait est venu s'enquérir de comment se déroulait ta scolarité. Il est venu apporter son aide dans les matières dont tu avais besoin. Te rappeler qu'il reste encore et toujours meilleur que toi. Et que tu dois faire encore mieux si tu veux être à sa hauteur. Le dépasser.
Frustrée de lui, frustrée de toi, tu as commencé à changer. A reporter toute ta colère sur les autres. Parce que jamais, jamais tu n'aurais voulu blesser ton frère en lui disant. A la place tu blesses les autres. Pourtant un jour, il y a eu la goutte de trop. L'année dernière, pendant les grandes vacances. Il y a eu une cassure, vous vous êtes disputés. Et dans l'élan, tu as tout lâché. Toute cette jalousie, toute cette colère contre lui. Jamais tu n'oubliera les émotions dans son regard. De la tristesse, de la déception. Depuis ce jour, c'est à peine si vous arrivez à vous parler. Mais il y a cette chose que tu aimerais avoir le courage de lui dire.
« Pardon de ne pas pouvoir être la petite sœur parfaite que tu mérites. »
Derrière l'écran
| Mitwi / Ellen / etc — cc c jouasse le retour |