[EVENT #2] Cabine n°4 — Ashley, Agnès, Fallen

Ashley, Agnès, Fallen

Introduction

C'est la rentrée. Le Poudlard Express est déjà parti depuis au moins trois bonnes heures, et il commence à s'enfoncer au travers des épaisses couches de brume. Parfois le soleil s'invite lors d'éclaircies timides mais le temps est maussade. Vous êtes avec vos amis, votre copain ou votre copine, ou peut-être êtes vous monté à bord en retard et avez décidé de rentrer dans une cabine au hasard, avec des gens que vous ne connaissez que de non.
Le monsieur qui apporte les friandises et le déjeuner est déjà passé, et sûrement vous régalez-vous. (Sauf si vos parents vous ont forcé à vous cantonnez à cet ignoble sandwich thon/mélasse).
Les préfets ont terminés leur réunion dans le wagon qui leur est réservé et reviennent tout juste de leur petite surveillance des couloirs. Tous le monde est à sa place. Quand soudain... Le train s'arrête violemment, perdu aux milieux des champs verdoyants de l'Ecosse. Les wagons remuent dans un choc violent, il semble que des personnes montent dans le train. Des têtes seulement sortent des cabines pour voir curieusement et courageusement essayer de voir ce qu'il se passe. L'atmosphère devient lourde, pesante et les vitres se couvrent de glace.
Des hommes habillés de costumes noirs, ressemblant fortement à ceux du ministère parcourent le train. Un détraqueur flotte lentement derrière eux à leur passage. Ils remontent le devant du train et se séparent. Le détraqueur reste au bout du train sans bouger, résistant inhumainement à la faim tandis que les hommes se séparent pour accéder aux cabines.

Instructions

→ Comme pour le premier event, pas de minimum de mots mais privilégiez des réponses courtes et dynamiques pour ne pas bloquer vos partenaires. (Ne vous privez pas non plus de détails si vous êtes inspirés)
→ Nous allons intervenir dans le RP avec le compte PNJ entre chaque tour. Explications :
Vous êtes quatre. A la fin de vos quatre réponses, le PNJ interviendra et vous répondrez et ainsi de suite. Cet event ne dépendra pas principalement de vous mais vos réactions par contre dépendront du PNJ. (vous l'aurez compris, nous jouerons les hommes en noir, comme un maitre du jeu lors d'un jeu de rôle).
→ Comme le premier event, vous aurez le droit de changer de cabine. Précisez juste à la fin de votre dernier post un lien de redirection pour indiquer aux lecteurs ou vos personnages se trouvent. Pareil, si vous décidez de revenir dans votre sujet principal veuillez préciser le lien d'où vous venez.
→ Amusez vous bien et s'il y a des questions, MP le staff ou RDV sur la ChatBox. :)

(maissuisunebigleusej'avaispasvudslduretard<3)

Voilà, le retour à Poudlard. Ashley sautait partout, ses cheveux roux au vent, on aurait pu croire un film, sauf qu'elle était loin d'être classe. Elle avait été tellement pressée d'y retourner, les vacances en famille c'était top mais... un peu lourd. Ash, armée de son appareil photo, car il était toujours à porter de main, on ne sait jamais ce qu'il pouvait se passer, monta dans le train.

Soupire. En tout cas, s'il y avait bien une chose qui ne lui avait quand même pas manqué c'était le monde qu'il y avait. Se bousculer, s'écraser dessus. Ash était bruyante, très, trop bruyante, donc elle n'hésitait pas à se faire entendre quand quelqu'un la poussait, sauf que ça partait dans le vent, trop de monde, pas assez de temps. heureusement, elle trouva rapidement une cabine, lâcha un gros soupire avant de saluer les personnes qu'il y avait dedans. demander si elle gênait ? non, pas du tout, elle n'avait même pas fait attention à qui pouvait être là, elle en avait trop marre de batailler le long. de plus, le départ allait se faire.

Directement assise, Ashley s'empara de son appareil photo et commença à faire un tri dû aux vacances d'été. Fallait faire un renouveau pour son année à Poudlard!! Le temps défile, perdue dans ses pensées. Et boum. Elle relève la tête aussitôt « qu'est-ce qui se passe ??? » c'est là qu'elle fait attention à qui elle a devant elle. Elle connaissait déjà la Gryffondor, mais aussi la Poufsouffle qui est dans l'équipe de Quidditch, paparazzi ~~pas forcément apprécié~~ oblige, malaise dit donc. Pis finalement, Ashley, elle a pas peur, elle a pas froid aux yeux. c'est pour ça qu'elle se met parfois les gens à dos. Donc en général de les joueurs des équipes mais l'heure n'est pas à ça, surtout quand elle voit le givre qui commence. que des bruits résonnent. « on devrait aller voir ce qu'il se passe ? » sa voix est assurée. mais en même temps, elle se voit pas sortir d'un coup de la cabine, laissant ses camardes ici. du coup, elle proposait, tout en sachant que si les deux jeunes filles se décidaient pas très vite, de toute manière, elle irait.

Dans le TrainFeat. @S.A Fallen Blackwell & @Ashley O'Brien

Précipitation brusque et épaisse fumée. Cris de rage vaine, des pleurs sourds, des bousculades inutiles et des aurevoirs déchirants. Tu avances difficilement dans la masse humaine, déjà vêtue de façon réglementaire, parce qu'il faut toujours faire une bonne première impression, c'est important, ça laisse des marques positives dans les mémoires à long terme et ça permet une meilleure intégration parmi les élèves, cela permet de disparaître dans leur tout, et de devenir personne, faire disparaître son individualité. Tes coudes moulinent lorsque tu avances vivement, ne t'excusant aucunement pour les futurs bleus que tu causes certainement, défiant de ton regard pâle le peu de personnes osant jurer suite à ton passage. Un peu de tenue, voyons.
Le train est superbe, magnifique, tout en longueur et dans un esprit vintage difficile à nier, peint d'un rouge vif et brillant, la fumée blanche l'enveloppant comme dans un rêve, flou et indistinct. Tes yeux l'embrasent, voyant en lui une promesse de changement bienveillant, de renouveau reposant, de découvertes incroyables et de rencontres inoubliables. Peut-être que tu pourras trouver dans cette école inconnue à ce jour, ce que tu n'as jamais su que tu cherchais.
Une fois dans le couloir bondé, la foule se fait encore plus dense, plus épaisse. Un garçon crie car sa grenouille s'est échappée, un autre appelle un camarade perdu parmi les têtes, toutes différentes et uniques. Ton regard se glisse dans les compartiments décorés à l'ancienne jusqu'à ce que tu trouves celui presque vide, où seule une jeune fille brune est assise contre la fenêtre, par laquelle on voit la gare agitée et remplie.
Face à elle, tu te détends enfin, tu te poses et te calmes, tu lui envoies un sourire radieux. Elle est bien habillée, très bien même, et tu te rends soudainement compte que tu fais face à une noble, une Sang-Pure, et ton sourire s'efface un peu, gêné, alors que ton regard se pose sur l'anneau familial qu'elle porte au doigt.
Finalement, la porte s'ouvre encore, une adolescente rousse et vive entre, se pose, dans son monde, sa bulle, silencieuse mais pourtant agitée, un peu comme toi mais sans le cacher. Tu l'observes quelques instants, quand elle se plonge dans son appareil photo, avant de détourner les yeux, lorsque le train part enfin, et tu laisses ton regard vagabonder sur des plaines vertes et brumeuses que tu ne connais pas et qui semblent si peu familières comparées aux reliefs des montagnes, aux vallées et aux bois sauvages qui envahissent la belle France.
Tout comme la belle brune en face de toi, tu te serais endormie, si seulement le train n'avait pas émis un son d'agonie en s'arrêtant, au milieu de nulle part, sans aucune raison ni logique. Les champs verdoyants d'Écosse sont visibles par la fenêtre et tu te lèves lentement, inquiète de cet arrêt soudain et guère rassurant. Lentement, le givre commence à recouvrir le verre et tes yeux s'écarquillent, de surprise et de crainte, car jamais encore tu n'as eu à être confrontée à ce phénomène, l'ayant étudié, certes, mais jamais approfondi.
La jeune fille rousse demande à voix haute s'il faut sortir, la voix sûre de soi voir même enjouée, mais tu te trouves plus responsable qu'elle, plus âgée, et tu ouvres la porte doucement avant de jeter un coup d'œil dans le couloir. Des hommes, en costumes, se déplacent parmi les wagons, et l'objet de ton inquiétude, un détraqueur immobile au fond du train, semble prêt à se jeter sur les individus présents ici si seulement on lui en donne l'ordre. Mais pourquoi y aurait-il besoin d'un détraqueur ? Y aurait-il un réchappé d'Azkaban dans le train pour qu'ils aient besoin d'une telle force brute et horripilante ?
Ne bouge surtout pas. Vaut mieux attendre ici.
Ton accent français transparaît dans ta voix, stressée et tendue, alors que tu fermes doucement la porte en te tournant vers la femme endormie. Les hommes semblaient chercher quelqu'un et il vaudrait mieux pour tout le monde d'être bien éveillé. Tu t'approches donc, t'accroupis devant elle sans oser la toucher, consciente de la noblesse des Sang-Purs et de leur horreur des contacts physiques, essayant de la réveiller à mots doux.
Belle au bois dormant, il faut se réveiller maintenant.
Mais seul un grognement est émis par ses lippes roses alors ta main se pose timidement sur son genou pour la secouer légèrement. Au pire des cas, tu te prendras une baffe monumentale et inoubliable, mais au moins, Aurore sera réveillée et peut-être capable de vous dire ce qui arrive. En espérant qu'elle soit au courant, au vu de son statut unique et puissant qui est censé lui donner accès à toutes les magouilles les plus obscures. Censé.

Need help to be human

HAVE YOU SEEN THE TEARS ? HAVE YOU SEEN THE SADNESS ? SEE HOW I DO, I STEPPED ON THAT PAIN AND STOOD UP AGAIN AT THE MOMENT I FELT IT WAS THE END

Colère furibonde d’un cœur battant la chamade, avide, qui la ronge un peu plus chaque jour, à chaque putain de seconde qui s’écoule et son sang se fige. Elle scrute la foule d’un vert incertain, cherchant les yeux gris, l’or et l'ébène, avide du moment où elle la trouverait et où tout s’effacerait. Les nuits d’insomnie, les heures d’attente à contempler le paysage, épluchant lentement la peau de ses mains, gravant de striures ses poignets laiteux. Mais la désillusion la marque et réveille les vieilles douleurs de son dos. Le train va partir d’un instant à l’autre mais Venus n’est pas là et son absence la déchire encore et toujours. Et Fallen grimpe dans le train sans sourciller, le cœur au bord des lèvres. Elle n’a envie de voir personne, alors que sa déchéance est totale et Fallen n’est rien qu’une ombre insignifiante, possédée par une naïveté abrutissante et elle se dégoûte de sa sottise d’avoir espéré, de s'être battue en partie pour rien, parce qu’il restait toujours tous les autres.

Elle s’était engouffrée dans un wagon, l’esprit vaporeux de sa déconvenue douloureuse, s'abandonnant à un sommeil qu’elle a longtemps fuit. C’est une main sur sa jambe qui la réveillent et ses yeux verts s’ouvrent, furibonds, sur des cheveux gorgés de soleil.

«C’est bon. »

Elle grogne plus qu’elle ne parle, s’accommodant de ce trop plein d’informations, quand elle le sent. Ce froid insidieux qui s’infiltre et cette impression qu’elle ne sera plus jamais heureuse. Ça la frappe, ça l'achève presque ce malheur malvenu qui s’abat et Fallen frissonne, saisissant sa baguette.

«Détraqueur… qu’est-ce qui se passe… »

Et Fallen se relève, déplie ses jambes et secoue sa longue crinière avant d’agiter sa baguette.

«Spero patronum. »

Ce ne sont que de simples filets argentés qui s'échappent, mais la chaleur revient et les ombres morbides s'éloignent.

Ashley, Agnès, Fallen

Tour #1

Arthur Rosebury, chef des aurors, slalomait efficacement entre les cabines, rassurant les enfants et adolescents, récoltant les informations et menant à bien sa mission.
Ses collègues, à priori inquiets de sa possible attitude lors de l'intervention étaient rassurés. Leur chef n'avait pas changé, il ne s'était pas laissé chavirer par les émotions, restant droit et équilibré face à toutes les têtes inquiètes et pour certaines apeurées.

Il ouvre une cabine, apercevant un filet argenté s'échapper de la baguette d'une des trois filles qui se trouvait là. Elles étaient toutes différentes, se distinguant par leur chevelure. L'une rousse, celle qui avait prononcé le sort, brune et la dernière à la crinière aussi blonde que celle de sa propre fille.

Il étire un sourire, elles doivent avoir son âge, peut-être même que l'une d'elle est amie avec Valentyne. Il soupire d'un air las et, tenant toujours son calpin usé entre ses doigts. Celui-ci regorgeait de prénoms et autre informations, c'était à leur tour désormais.

— « Bonjour les filles. Je me présente, je m'appelle Arthur Rosebury. Je suis auror, et je tiens à vous rassurer au premier abord. Rien ne va vous arriver, et j'ai besoin d'une totale coopération pour que nous puissions repartir au plus vite. Nous ne voulons pas retarder votre arrivée à l'école. »

Il ne sourit plus, il est dur mais dégage quelque chose de confiant et rassurant. On sent qu'il dit la vérité, qu'il pense vraiment ce qu'il dit, que ce n'est pas simplement une phrase de procédure.

— « Nous avons besoin de votre nom, prénom, âge, nationalité et statut de sang. Si vous ne comprenez pas, cela signifie : êtes-vous de sang-mêlé, de sang-pur, êtes vous né moldu ou bien hybride ? »

Indication : L’homme s’adresse à tous le monde. Il ne vise personne en particulier pour en finir rapidement.

Dans le TrainFeat. @S.A Fallen Blackwell & @Ashley O'Brien

Colère rayonnante dans des iris émeraudes qui te paraissent familiers mais qui échappent à ta conscience. Grognements de mécontentement, et tu te recules, un bond en arrière, une retombée gracieuse sur ton siège, car elle tire sa baguette et au vu de ses gestes encore ensommeillés, la trajectoire ne promet rien de bon. Elle se relève, ses cheveux sont secoués, agités par les mouvements onduleux de sa tête et elle semble lentement s'éveiller, marmonnant ce que tout le monde sait déjà. Détraqueur. Une sensation désagréable se creuse au creux de ton estomac, en a voyant ainsi désemparée. Si elle n'est pas au courant, qu'est-il entrain d'arriver ?
Une lumière, sphère lumineuse, bleu éclatant de sa clarté, s'échappe comme un morceau de brume déchiré de son arme qu'elle pointe dans le vide, chaleur revenant suite à ces simples mots prononcés. Car qui attend un protecteur, en trouvera toujours un.
Bruit surprenant de la porte qui s'ouvre et les yeux curieux se dirigent vers la silhouette massive qui apparaît à l'entrée du compartiment. L'homme sourit, un calepin entre ses doigts fins et forts. Ses paroles semblent sincères, mais tes yeux se froncent, trop chaleureux, trop rassurant. Tu n'avais jamais vu un auror aussi doux et ça te semblait contradictoire avec sa nature, dépravé de sa fonction. Méfiance qui s'accroit, qui ne fait qu'augmenter progressivement, et tes doigts fébriles se resserrent autour de la baguette.
Agnès de Pontmercy. Dix-huit ans, française, je viens de Beaux-Bâtons. Je suis sang-mêlée. Puis-je savoir à quoi ces informations privées vont-elles servir au Ministère britannique ? Est-ce une procédure habituelle ?
Ton menton se lève, tes yeux se rivent sur le visage du dénommé Arthur. Une détermination y brûle, flamme incessante d'une forte personnalité inévitable.
Tu comptes bien obtenir les réponses à tes questions.

featuring @Agnès de Pontmercy+@Ashley O'brien

« At the End»

Froideur morbide qui s’infiltre jusqu’au creux des os. L’amertume grandit et la terreur s’amplifie, lentement comme une brume perverse. Le cœur en déroute, le regard qui se trouble lorsque la cabine s’ouvre. Les premiers mots ne sont qu’un spleen écœurant. Fallen cède et s’assoit, les filins argentés disparaissant pour ne laisser qu’une baguette éteinte. Rosebury effleure ses nerfs, et les souvenirs reviennent, celle d’une impératrice lointaine, régnant sur les caveaux de Poudlard. Fallen soupire, d’ennui et de désaccord, l’œil sombre fixant l’homme. Les lippes déversent un flot de paroles discontinues, entêtante et fatigante, alors que le poison du détraqueur se répand, achève un cœur difficilement battant.

Ses paupières se plissent, l’émeraude s’arment et les pupilles traînent sur cet homme du ministère. La connaissance est à elle de cet homme aux pouvoirs judiciaires. Déjà rencontré lors de soirée, mains serré, sourire factice que je suis ravie de vous rencontre. Les dents ouvrent la lèvre tandis qu’ils déblatèrent. Sang encore et toujours ce même thème, celui d’une pureté aujourd’hui désuète. Elle voudrait hurler, protester mais de toute manière qu’est-ce qu’elle en a à faire. Elle est persuadée qu’un jour, tout cela les mènera à une guerre.

« Sinistra Blackwell, fille d’Orion Blackwell. »

La voix tranche le silence alors qu’elle a à peine écouté la jeune fille parlée, captant son nom sans vraiment y prêter attention.

« 19 ans, Ecossaise. »

Et ses yeux se détournent vers la vitre, redécouvrant un paysage déjà mémorisé, se désintéressant de ce monde délabré, ses mains se saisissant du portable pour se rassurer.

(c) chaotic evil

Ashley, Agnès, Fallen

Tour #2

Arthur Rosebury fronce les sourcils, ces contrôles l’épuisent, mais il ne laisse rien paraitre. La confrontation avec sa fille l’a encore un peu chamboulé. Mais il n’a pas le temps, plus le temps de ressasser. Il n’y a que les ordres, qui sonnent et détonnent dans sa tête.

Deux des jeunes filles répondent, dont l’une qui est aussi blonde que sa propre fille. Il étire un petit sourire nostalgique en entendant un accent français, et, pour la rassurer, articule de son plus bel accent dans la langue de Molière.

— « Je travaille au ministère Madeuhmoizelle De Pontmercy. Je dois suivre les ordres de mon supérieur, mais il ne vous arrivera rien. Ces informations resteront confidentielles. Poudelard a refusé de donner les noms de ses élèves cette année. »

Bon, ce n’était peut-être pas parfait.
Soudain, le nom de famille de Blackwell tintille à ses oreilles et il perd son sourire, dévisageant celle qui se présentait comme la fille d’Orion Blackwell. Un grand homme, en qui Arthur Rosebury inspirait plus de confiance qu’envers Ramsay Gaunt, l’autre patriarche de sang-pur.

— « Je suis heureux de vous rencontrer enfin Sinistra, votre père m’a beaucoup parlé de vous. Elogieusement bien sûr. »

Soudain, un air grave au visage, les traits déformés par une compassion sincère.

— « Mes condoléances pour votre soeur. »

Et alors que la troisième et dernière fille lui donne son identité, il attend de voir les réactions de chacune, s’assurant que tout ira bien pour elle, avant de tourner les talons.

— « Ne ressortez pas du wagon tant que le train n’a pas repris sa marche, ce qui ne devrait pas tarder. Au revoir, madeuhmoizelle De Pontmercy, miss O’Brien, miss Blackwell. »

Indication : Après d'un mois sans réponse, le tour d'Ashley a été sauté. C'était la dernière intervention du PNJ, vous pouvez continuer entre vous. (sauf si vous le rattraper). Merci de votre participation !