Waiting too long for you || Hina E. Entwhistle Mer 4 Oct - 18:12 | |
| Hina E. Entwhistle " I am good, but not an angel. I do sin, but I am not the devil. I am just a small girl in a big world trying to find someone to love. " Prénom(s) & Nom Hina Elisabeth Entwhistle. Surnom(s) Mes élèves m'appellent Mademoiselle et c'est parfaitement suffisant. Age J'ai presque vingt ans... Depuis un certain temps déjà. Orientation sexuelle C'est une question très... Intime, mais je pourrais dire hétérosexuelle. Origine Je suis née à Londre où j'ai vécu, où j'ai grandi et où je suis décédée. SangMa famille est très... Mêlée. Je dirais donc que mon sang l'est aussi. Particularité Je suis une fantôme. Je pense qu'on ne peut que difficilement faire plus particulier, n'est-ce pas ? Métier exercé Avant j'étais infirmière, mais aujourd'hui, je suis enseignante d'économie. Depuis quand ? Depuis... Longtemps. J'ai vu l'arrivée du frère et de la sœur à Poudlard, si c'est ça que vous voulez savoir. Dans quelle maison étiez vous à Poudlard ? J'étais à Poufsouffle. C'est pour ça que je reste souvent proche des cuisines. Cet endroit me rappelle beaucoup de souvenirs. Que vouliez vous faire jeune ? Je n'avais pas trop d'idées. Je voulais aider les gens, à l'époque, c'était tout ce qu'une femme pouvait obtenir. Aujourd'hui les horizons sont bien plus ouverts, c'est si noble de voir une femme enfin avoir sa place dans la société machiste. Avis sur les cracmols et moldus à Poudlard Je dois avouer ma confusion lorsque les élèves moldus sont arrivés dans mes cours. Cependant ils regorgent de connaissances si différentes des nôtres et l'économie est une matière qui trouve sa place dans les deux mondes, alors pour moi, je ne les différencie pas vraiment des autres élèves. Avatar On me dit souvent ressembler à l'américaine Marylin Monroe... | |
| Baguette Elle a été brisée après mon décès malheureusement... C'était une belle baguette sculptée sur le manche comme une colonne grecque, du beau bois de charme avec à l'intérieur un crin de licorne. Elle était ma fidèle compagne et m'obéissait parfaitement. Patronus C'était une licorne. Une magnifique pouliche au pelage clair et qui gambadait joyeusement à chacune de ses apparitions. Odeur de l'amortencia C'est plus complexe à décrire que l'on ne le croit... C'est un mélange étrange de terre humide, comme après la pluie, une odeur de musc qui, si mes souvenirs ne me trompent pas, était celle que portait éternellement Ramsay et l'odeur simple de la poudre des craies. Épouvantard Aujourd'hui, je ne saurais pas dire ce qu'il serait... Je ne me suis pas confrontée à lui depuis un moment déjà et je crains ne pas être capable de me défendre, alors je ne tenterais guère de découvrir quelle forme peut-il bien avoir. Reflet dans le miroir de Risèd Je pense que la réponse est évidente ici... Trop évidente pour être énoncée. Les vieilles blessures se rouvrent facilement. Matiere favorite quand il était à Poudlard J'aimais apprendre alors toutes les matières me passionnaient même si je n'étais pas la meilleure des élèves. Créature qui t’inspire le plus Peut-être les détraqueurs... Désormais ne les craignant plus, je me rends compte qu'ils sont des êtres fascinants qui méritent qu'on s'intéresse de plus près à eux. |
Mental " Quelque part, ça me rend heureuse d’être en retard. On m’attend. On est impatient de me voir. Ça me rappelle toutes ces années où on se fichait que je sois là ou non. " Douceur. Tu as toujours été perçue comme une personne douce, Hina, bien que tu te considérais plutôt comme sensible. Les gens de ton entourage, tes parents, ton frère, Ramsay - ils considéraient tous ta présence comme bénéfique, apaisante. Ce n'était pas lié à ta beauté, bien que celle-ci était d'une pureté angélique, mais plutôt à ton caractère, calme, posé. Tu étais comme la délicate journée de printemps, où les fleurs éclosent, où le soleil remplit le monde refroidi par l'hiver d'une chaleur bienveillante. Tu apaisais âmes et cœurs, apportant une lumière là où tu allais. Une part de toi qui après ta funeste mort s'est transformée, devenant plus contradictoire. Tu n'apportais que froid, maintenant, un froid morbide et incohérent avec ta nature parfaitement opposée à cet état spectral.
Gentillesse. C'est ce qu'on t'accorde aussi, d'être ouverte, de t'offrir, toi qui n'a plus rien excepté tes connaissances et tes paroles. Et tu es comme un fantôme de la famille Gaunt, un fantôme de la tienne, tu veilles sur tous ceux que tu arrives à distinguer malgré ce temps qui s'échappe, qui s'écoule sans que tu n'aies d'emprise dessus. Jamais tes mots ne blesseront car tu ne veux pas faire de mal, jamais tes actes ne trahiront car tu crois à la loyauté. Malgré tes mains désormais parfaitement inutiles tu désires pouvoir offrir une aide, un soutien à ceux qui n'entendent que rarement des encouragements, des compliments.
Maternité. Tu n'as jamais eu d'enfants, Hina, c'est une des choses que tu regrettes le plus. Tu n'y avais jamais même réfléchi, il était trop tôt, trop tôt pour beaucoup de choses. Mais tu restes une femme et tu es protectrices de tes élèves, des membres de ta famille, de celle de Ramsay. Malgré ses actes tu désires veiller sur lui, de loin, ange gardienne, funeste réminiscence d'un passé qu'il a certainement dû oublier au fil des années. Mais tu vois bien quels usages sont passés de père en fils, quelles horreurs se perpétuent dans l'ombre de l'héritage Gaunt et tu essaies d'apaiser les blessures d'une façon ou d'une autre.
Calme. Jamais tu n'as eue à lever ta voix, Hina. Les gens te respectaient de part ta beauté du temps de ta vie qu'au-delà. C'était sûrement dû à ton charisme exceptionnel, que tu savais unique, qui te permettait de calmer les personnes révoltées rien qu'en les regardant, immobile. Une capacité héritée de ta mère, qui d'un calme olympien, faisait taire tous les babillages de ton frère pourtant bruyant et agité.
Curiosité. On dit que c'est un vilain défaut, d'être aussi curieux. Mais tu l'as toujours été Hina et être ce que tu es, spectre indétectable et insoupçonnable n'a fait que renforcer cette qualité. De toute façon, quelle autre occupation pour quelqu'un qui ne dort pas la nuit ? Tu ne te sens absolument pas responsable de tous les secrets que tu as entendus, murmurés dans la nuit sombre en dehors de la zone sécurisée des dortoirs. On dit que tu es le fantôme de Poufsouffle, et ce n'est pas sans tord - les discussions les plus intéressantes s'avèrent être dans les coins chaleureux des cuisines, où tout le monde se croit à l'abri et est apaisé par les effluves de nourriture entreposée là.
Passion. Tu as toujours été passionnée, un peu trop peut-être. L'économie n'était pas la seule chose à laquelle tu t'intéressais. L'art t'inspirait des monologues que tu rédigeais pour pas les perdre des heures durant, toute nouvelle information devait être reprise, repensée, reconsidérée. Lorsque tu parvenais à tomber sur quelqu'un d'aussi intense que toi, la conversation ne s'arrêtait plus. C'était ça, avec Ramsay. Vous pouviez parler, sans cesse, obstinés à épuiser le sujet même si la fin n'arrivait pas. Vos conversations te manquaient comme rien d'autre. Il te manquait comme personne d'autre.
Solitude. Toujours à l'écart, tu aimais le silence plus que des conversations de bas niveau. Jeune fille, tu ne discutais qu'avec d'autres filles et cela t'avait rendue malade alors tu t'en étais écartée. Rares étaient les personnes qui suscitaient ton intérêt au point que tu veuilles te joindre à elles pour plus de temps que socialement nécessaire. Puis, il faut se l'avouer, tu n'étais pas très appréciée parmi les autres élèves féminines. Tu étais trop jalousée voire même méprisée pour t'entendre avec elles et cela s'était étendu comme une plague jusqu'à ce que ce soit normal de t'apercevoir esseulée. Depuis tu avais grandi, juste assez, pour savoir que la solitude ne t'allait pas autant que tu le pensais. Mais ça, c'était trop tard pour le changer.
Story " Citation qui dit qu'il faut manger des nouilles " Hina. Tu sais avec tant d'exactitude ce que ce nom signifie. Une princesse très ancienne, qui, dans la légende évidemment, est née de la rencontre entre le soleil et la lune. Ta mère correspondait parfaitement à la lune, si belle, si radieuse, si... exceptionnelle. Tant de rumeurs circulaient sur son sujet. Tant de rumeurs courent toujours sur ce nom de famille que tu portes. Mais ta famille a toujours eu un faible pour la beauté, pour l'exceptionnel, le différent, l'unique. Un amour si mal vu par le reste de la société, comme une honte, quelque chose d'aberrant et d'hérétique. En vérité, tu soupçonnais que ce n'était que jalousie, impolie et froide. Comment peut-on détester un être juste parce que sa nature diverge de la nôtre ? Tu avais trouvé très vite la réponse. Les vampires étaient plus forts, plus libres, moins liés à la terre que les sorciers. Les loups... Ah, les loups-garous étaient sauvages, ils étaient totalement dépourvus de toutes ces chaines de conventions sociales. Certes, la transformation avait ses désavantages, mais qui n'avait jamais rêvé de se retrouver une nuit dans la peau d'une bête ? Les moldus, ces êtres si peu complexes, auraient appelés ça le dionysiaque - ce côté de l'humain totalement sauvage, animal, qui devait de temps en temps être libéré pour ne pas exploser. Tu aimais cette idée Hina, cette idée d'un trop-plein qui au bout d'un moment devait être libéré. Mais les moldus, eux, ignoraient le reste des belles créatures peuplant leur monde mais hors de portée de leurs yeux aveugles à la beauté de la quintessence, de la magie. Ils ignoraient tout des vélanes, qu'ils pourraient vulgairement comparer à des sirènes, ils ne connaissaient pas les détraqueurs, la peur incarnée dans une enveloppe d'obscurité d'un noir de jais. Tu trouvais le monde auquel tu appartenais si beau, si étrange, si... sensationnel, que tu en perdais les mots. Tu avais été comme ça depuis toute petite. Passionnée. Tu pouvais passer des heures et des heures assise devant la fenêtre à contempler la pluie. Ton frère te comprenait sans partager ton amour du monde. Il préférait jouer, s'amuser, profiter, pendant que toi tu le contemplais. Parfois tu allais même panser ses blessures lorsqu'il chutait. Mais tout avait changé lorsque tu étais allée à Poudlard. Cette école t'avait fascinée, y aller t'avait emplie de fierté. Les gens étaient tous si particuliers, si passionnants, que tu en perdais les mots. Bien que tu restais un peu à l'écart, cela ne te gênait pas. Tu aimais les voir vivre, les observer. L'époque était encline au bonheur, et bien que la culture moldue n'ai pas eu un grand impact, les sorciers essayaient de se réjouir de la vie. À cette époque, le directeur de Poudlard était Dumbledore, et les nés-moldus prenaient de plus en plus leur place dans le monde magique. C'est alors que, curieuse, tu t'étais intéressée aux notions d'économie, de finances, d'échanges d'argent. Il y avait quelque chose de reposant dans l'idée des choix que les individus faisaient de façon intemporelle et constante afin de se maintenir sur le marché. Il n'y a rien qui est en abondance et ça, tu trouvais cela adéquat. Quels étaient les moyens afin de parvenir à des fins voulues ? Comment évoluait cette science anthropocentrique, où les individus échangeaient argent limité contre ressources limitées ? Quels contrats étaient effectués dans ton monde, monde où la magie pouvait tout sceller et le rendre inviolable ? C'est aussi à cette époque que tu avais rencontré Ramsay. C'était un Gaunt, enfant issu une famille noble et pure. Tu savais pertinemment que vous ne jouiez pas dans la même cour. Qu'aucun avenir ne vous était destiné. Mais tu avais naïvement cru que pour toi, il ferait tout. Lorsqu'il te regardait, tu savais qu'il t'aimait, et pas d'un amour superficiel. Il était charismatique, fier, intelligent. C'était le fils parfait que tout le monde contemplait avec jalousie. Mais tu avais aperçu les fissures, les craquelures, la glace brisée derrière la noblesse. Il y avait quelque chose qui le rendait aussi effrayé qu'un enfant, même lorsqu'il était un homme. C'est peut-être bien pour ça qu'une fois adulte, tu es devenue infirmière dans l'école qui vous avait réunie. Tu voulais le protéger, tu voulais l'aimer, tu voulais tout lui offrir. Seulement, rien de ce que tu n'avais n'était bénéfique à celui que tu aimais. Naïvement, tu avais cru que pour toi il ferait tout, mais pour sa famille, il était prêt à plus encore. Alors il t'a tuée. Player | C'est encore moi |
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Re: Waiting too long for you || Hina E. Entwhistle Ven 6 Oct - 15:29 | |
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