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Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets

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Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Ven 27 Juil - 1:16


Cecília Youth-Wass
Prénoms et Noms— Cecília Youth-Wass
Surnom(s) — Lady Business ou elle se reconnait quand on crie pour  la répression des fraudes
Âge — 16 ans
Orientation sexuelle —Osefesexuel, sisi ça existe !  
Origine — Pure hongrienne du côté de sa môman, pure anglaise du côté de se son pôpa mais elle a grandi en croâââtie.
Sang — Sang-mêlé distillé depuis la nuit des temps, pur odeur d'inceste, vous la percevez ? (sang-mêlé, sang-pur, cracmol, né-moldu)
Particularité — Aucune
Année d'études —Sixième année
Options ou licence — Divination en BUSES donc en ASPIC et Arithmancie.
Avenir — Planter des choux et des fleurs sans vergogne avec une bonne paire de gants faits main et travailler au ministère des secrets pour savoir enfin c'est quoi le secret de Tina de la saison 3 de "Big Wizard is Watching you"
Avis sur les cracmols et moldus à Poudlard — Qui ça ? Elle ne fait pas attention à eux puis elle ne voit que des gens liés à la magie. Sinon, cramols ça fait grave nom de bouffe, elle les aime bien pour ça.
Maison — XXX
Avatar — Patchouli Knowledge - Touhou

Baguette magique — 17,5 centimètre, souple, tilleul argenté et Épine de monstre du Fleuve Blanc.
Épouvantard — Les cartons, LES CARTONS. Le bruit la dégoûte et même cette couleur sordide et ce contenant suspect.
Patronus — Une raie pour ne pas s'enraier
Reflet du miroir de Risèd — Se voir entouré de pierres précieuses brutes ou taillées pour les analyser et avec des courriers écrites par sa main pour récupérer les factures impayées.
Odeur de l'Amortentia — La Poudre de Saphir, le savon de sa nourrice et la couleur violette.
Matière favorite — Divination, même pas la peine d'expliquer pourquoi, vous devinez tout seul krkr
Bonbon favori — Les Topina...attends c'est pas un bonbon si ? Choco grenouille alors
Créature inspirante — Les coucous, ils n'ont pas besoin de connaître leur famille pour faire chier celles des autres.
Animal de compagnie —Un chat roux tigré noir , spé chat de gouttière qui s'appelle "Bô gosse"
Mental

Petite Cecilia, Fragile Cecilia

Son regard semble ailleurs,perdu entre Mars et des planètes dont elle invente le nom. Cela ne la gêne pas d'être aussi loin des autres, cela n'a jamais gêné les gens qu'elle ne leur réponde pas. Personne n'a besoin d'une lunatique qui ne peut pas rêver. Son rêve semble s'être arrêté comme une machine rouillée, car Cecilia n'a pas de rêves. Pourquoi rêver quand tout semble hors de portée ? Alors, elle délire. Elle délire sur les planètes et sur les hauts lieux que personne ne semble pouvoir décrire. Elle délire et divague sans arrêt ni repos, pourquoi s'arrêter ? Elle ne veut pas arrêter, elle ne doit pas arrêter. Si elle cesse de regarder vers les cieux et vers l'Infini, elle ne verra qu'un vide en dessous d'elle. Un vide qui commence lentement à grignoter ce qu'il y a en elle. Elle est passive, si passive devant ce qui lui arrive qu'elle ne dit rien, ses mots se bloquent dans sa bouche. Cela en sert à rien de parler dans ces moments, parce que les mots n'existent pas pour elle.

Petite Cecilia, Fragile Cecilia

Elle aime pourtant tellement de choses. Elle aime les pierres précieuses qu'elle trouvait au bord des routes, elle aime les odeurs qui se dégage à chaque fois qu'elle pose son regard sur quelque chose. A vrai dire, il y a que très peu de chose qu'elle n'aime pas et ces choses qu'elle déteste susurrent constamment à son oreille. Qui peut se vanter de connaître l'odeur de la couleur bleu ? Cecilia peut. Qui peut se vanter de savoir ce que cela fait d'entendre constamment du bruit ? Cecilia peut.  Cecilia n'est qu'amas de sens douloureux. Elle sent et entend, ce que les autres n'entendent ni ne sentent. Une corde qui ne cesse d'être sollicitée ne peut que craquer, son esprit craque. Sa voix devient indissociable des voix et tout s'arrête. Ce n'est pas extraordinaire, la douleur qu'elle ressent. Si seulement, on avait pu la comprendre à temps.

Petite Cecilia, Fragile Cecilia

Dans ce monde où tout change, il y a une chose qui reste primordiale pour elle. L'argent, elle aime ça. Ce n'est pas magique, cela ne peut pas se métamorphoser ou subir un sortilège. L'argent reste l'argent, personne ne peut changer la valeur d'un gallion et personne ne peut changer la réalité qu'elle a en touchant une pièce de monnaie. Il n'y a pas de honte pour elle à aimer cela, il n'y a pas de secret à vouloir l'entasser et le protéger. Tout le monde respecte ceux qui ont de l'argent, tout le monde aime ceux qui ont de l'argent. Ceux qui disent l'inverse sont les plus riches, ceux qui se refusent à cette valeur pure se débattent avec la vérité. L'argent est implacable, et Cecilia aime ça. Personne ne peut lui reprocher d'être avare car elle prête, elle prête avec intérêt sans désintérêt. Méfiez-vous de son air perdue et de ses étourderies, car elle est redoutable avec les mauvais payeurs.  Elle a pour l'argent, une contemplation un peu ingénue, comme si, l'avoir permettait de résoudre les tourments qui serrent son cœur. Oui, l'argent fait définitivement son bonheur tant il lui permet parfois d'exister furtivement.

Petite Cecilia, Fragile Cecilia

Elle est douce, la petite métisse. Cela est donc sa plus grande qualité. Douce, douce comme le coton. Un coton enivrant qui s'enroule lentement autour de vos poignets pour ne plus lâcher, pour ne jamais lâcher prise. Douce prison qu'est son amitié, doux sortilège qu'est son amour. Elle est toxique par sa douceur, son impression de lâcher prise à chaque reproche comme si elle ne supportait pas le poids du monde. Elle inspire des choses et d'autres, un besoin de la protéger dont elle joue. Elle ne veut pas être seule, alors elle se pare de ces atouts. De ses yeux trop gros à sa mine fatiguée, elle sait qu'elle est digne d'être admirée alors elle bourdonne de sa candeur exagérée. Elle ne veut plus entendre ces voix qui lui disent qu'elle ne vaut rien, elle veut entendre celle qui disent qu'elle vaut tout. Alors tout les jours, comme un combat longtemps perdu d'avance, elle s'avance avec le même sourire et la même petite salutation qui revient inlassablement. Ils n'ont pas besoin de savoir combien de fois, elle hurle pour avoir autre chose que des amis sans vie prisonnier de son coton vicieux.

Petite Cecilia, Fragile Cecilia

Elle hurle parfois, Cecilia. Elle a ses crises d'humeur, sa thymie qui s'affole. Des irritabilités agaçantes, des pleurs sans sens et des grandes passions qui s'éteignent dans son ventre pour renaître en crachat dans sa bouche. Ses humeurs sont imprévisibles, d'une violence inouïe que personne ne peut contrôle et encore moins elle. Elle souffre encore de ses crises, car elle se détache d'elle-même. Sensation de piqûres dans son corps, tension électrique dans ses membres. Elle pourrait devenir folle donc elle avale sa douleur. Elle mord un tissus puis crie sans un bruit. Pour ne pas faire peur, pour ne pas être seule. Elle ne veut pas être vue quand elle est en colère, quand elle est dans le négatif. Elle avale compulsivement ses médicaments pour flotter si loin de ce corps traître. Personne n'a besoin de le savoir, personne n'a besoin de le voir.

Petite Cecilia, Fragile Cecilia

Sa curiosité est sans limite, ni bornes. Personne n'arrive à l'arrêter quand elle veut savoir quelque chose, son travail n'arrive pas à être limité à la lecture des livres. Elle lit, dévore, analyse, discute et traque la moindre trace d'un sujet qui l'intéresse. Obsessive pulsion qui la force à assouvir toutes les traces d'un sujet avant de passer l'éponge et découvrir un nouveau cobaye. Elle ne se vante jamais de ce savoir, elle ne le dit jamais qu'elle sait comment les centaures font pour pêcher avec leurs sabots. Son sujet favori reste le Futur, sous toutes ces formes. La divination et l'arithmancie en un premier lieu. Tout le monde veut se vanter de connaître le futur, de pouvoir l'apprivoiser et le dresser dans la direction qu'il désire. Cecilia se contente de l'apprendre, de connaître les moindres signes d'un futur imminent. Tout a un sens désormais pour elle, superstition maladive ou bon sens avisée ? Elle ne sait pas et elle ne veut pas savoir. Cela la rassure de voir que les oiseaux volent de droite à gauche, qu'au fond de sa tasse apparaît une petite biche et, qu'elle ne marche jamais sur les lignes. Douce folie, douce et lente folie qui semble inhérente à son existence.

Délurée Cecilia, qui rit pour un rien et qui donne un sens à des choses ordinaires.
Lasse Cecilia, qui n'arrive pas à suivre le mouvement, qui se lasse trop vite des choses heureuses.
Froide Cecilia, personne ne semble l'atteindre dans sa chambre fait de verrous et de serrures.

Bonne et heureuse nuit Cecilia, qu'elle se réveille quand elle le pourra.


Extrêmement maladroite x ne supporte pas la chaleur x à un fétiche sur les gens qui porte des lunettes x s'est toujours demandée comment les Moldus font pour ne pas se rendre compte que la magie est partout dans le monde x croit pas en la science et fait absolument confiance à tout ce qui touche l'ésotérisme x est techniquement chrétienne car baptisée pendant sa petite enfance x déteste les grandes villes x est probablement agoraphobe x souffre d'un petit problème de reins qui fait qu'elle a souvent des infections urinaires à son grand dam x est née le 1 avril ce qui l'agace au plus haut point x est une grande fanatique des émissions de télé-réalité dont elle croit sincèrement que rien n'est scénarisé x est sans doute très naïve x a dû mal avec le concept de « Satisfait ou remboursé ».


Story
Violet

Couleur mystérieuse, ce n'est pas pour rien qu'elle habille les filles de joie et les pécheresses. Violet, ça a une odeur musquée et froide, comme un couteau sous la gorge. Des mensonges qu'on ressasse sans vraiment chercher à savoir le sens. La couleur du mensonge est le violet, l'odeur du violet est une odeur si ténue que personne ne la sent venir. Violet est la première couleur qui a lié l'existence de Cecilia.

Mère était d'un violet délicat, une couleur qui s'évapore par toutes ses pores maquillées et apprêtées.  Mère était si subtile quand elle faisait courir son doigt sur la tranchée de ses ennemis, quand elle frottait son index sur la nuque de ses chouchous. Elle avait été appelé fille de joie, elle répliquait fille heureuse. Mère était noble, comtesse moldue même. Pourtant, ça l'a pas empêchée d'avoir une ascendance sorcière et se retrouver fourrée dans une école de magie pas très reconnue pour sa blancheur autre que la blancheur de peau de ses étudiants. Mère était le plus beau cristal dedans, petite gamine hongroise qui avait déjà une poitrine plus ample que ses rêves. Mère a finit par être diplômée, un peu à l'arrache comme son habitude. Elle s'en fichait, elle s'en fichait de tout. Pourquoi se battre alors que son avenir était déjà cuit ? Que sa fortune était déjà dans ses poches ? Absolument aucune, alors Mère a voulu jouer un peu. Elle a fait l'artiste, elle a peint pour créer des existences sur des toiles. Elle n'était pas douée, elle n'a jamais été douée en rien Mère. Mais ses tableaux se vendaient bien, les filles qui dansaient amoureusement dessus plaisaient assez à une certaine partie de la population. Qui pourrait les blâmer ? Personne, tout le monde a eu le péché de la chair dans sa vie et ceux qui mentent sont ceux qui sont les plus coupables. Puis un jour, le hasard a toqué chez Mère. Elle a voulu voir un peu du pays, parce que l'Hongrie l'ennuyait au plus haut point avec ces mêmes faces grisâtres et ses gens renfermés sur des petits monceaux de terres. Elle a fuit et elle a vu. La crasse de la France, le snobisme de l'Angleterre, la décadence des Etats-Unis et soudain, comme un souffle d'air, elle a vu une simple terre. Un simple reliquat d'un empire détruit, la Croatie. Tout était simple, les gens, les mœurs, les lieux. Tout était pur, les paysages et les espoirs. Elle s'est installée ici, sans rien d'attendre de plus que vivre une vie d'artiste stupide avec la présence des vagues. Peut-être un enfant, qu'elle aurai comme on attrape un rhume, par accident. Cela lui allait bien d'imaginer cela, tandis qu'elle peignait tranquillement les femmes qui se baignaient. Elle s'était même liée d'une amitié étrange avec un centaure passant de longues heures à simplement regarder le monde extérieur. Il n'a jamais voulu donner son nom, alors Mère l'a appelé Couard. Tout est dans le nom.

Père, c'était tout le contraire. Chiant comme la pluie, le genre de sorcier qui boutonne jusqu'au dernier bouton sa chemise fraîchement repassé de la veille. Le genre à suivre aveuglément les politiques en place, qui lisait conscienceusement les termes d'un contrat pour en accepter un ou pour acheter un produit, qui achète une paire de chaussettes dans un magasin où rien ne lui plaît pour ne pas être impoli et qui n'a aucun avis sur les moldus et les cracmols tant que le Ministère ne lui en dicte pas un. Il est allé à Poudlard, où il a plus fait du lard que du poud, il est allé à Poufsouffle et sa vie était toute propre. Il allait avoir son diplôme dont le nom est inutilement long, avoir un travail dans le Ministère, peut-être même dans une forme d'économie vu que les chiffres sont plus simples que les hommes et se marier à une jeune sorcière tout à fait sage qui lui ferai des enfants aussi désespérément ordinaires que lui. Sa propre mère était moldue mais, chut personne doit le dire. Il en a un peu honte de cette mère qui venait toujours en pleurant au quais pour lui souhaiter une bonne année, le mouchoir tordue entre les mains. Il est ingrat, Père, ah, ça oui. Son propre père était un haut magistrat, le genre rigide. Il a eu un moment d’égarement entre deux cuisses, a prit le sens interdit par pur goût de contradiction et s'est retrouvé avec un petit mioche entre les mains. Soit pour ce haut monsieur, rendons le intéressant. Il a marié cette fille, puis voici l'Histoire de Père. Un péché interdit de 30 secondes, précisément. Son diplôme en poche, il s'est retrouvé pris dans une magouille stupide. Le genre qu'on voit que dans les films, il avait postulé pour le Ministère, son petit diplôme en poche. Par des savantes manipulations d'une chouette trop vieille pour savoir quand se poser, son dossier s'est retrouvé dans l'Administration étrangère. Et c'est le café en main, deux semaines plus tard qu'il a apprit qu'il allait partir pour la Croatie, pour « gérer les ressortissants sorciers anglais ». Il a pas râlé, si c'était le vœu des hautes instances, il a prit ses bagages et sa simplicité avec lui. Avant de bien sûr, vérifier où la Croatie. Pour éviter de se sentir stupide si on lui demande de pointer là où il travaille. A l'aéroport, sa mère n'était pas là. Cela faisait déjà quelques mois que le mouchoir qu'elle transportait partout reposait en paix sur une table de nuit pleine de poussière. Si Mère était violette, père était d'un rose fade et ennuyeux. Le rose que tu gardes au fond du placard, enivré par sa présence ordinaire et réconfortant. Père sent le rose, le fast-food pas bon ni mauvais. Père sue ce rose confortable et ennuyeux.


Mère et Père se rencontrèrent sur un malentendu, un malentendu dont Père avait bien profité pour lorgner sur Mère. Mère attendait un ami, plus précisément, un très petit et très passionné ami moldu. Elle s'était habillée, pour se rendre encore plus délicieusement amicale à l'aéroport. Père avait toujours beaucoup aimé les écharpes rouges, qui par chance était le code couleur de la rencontre entre Mère et cet homme. La méprise eut lieu et Mère tomba sous le charme de cet homme indolent, et à l'image de ce nouveau pays d'accueil. Bien sûr que l'abcès dû crever sur la véritable identité de cet homme qui lui avait joliment décoré son lit et, ce ne fut pas accueilli avec joie. Absolument pas, mais Père avait trouvé une façon agréable de passer le temps et il n'était pas prêt à en découdre.

Ainsi, deux ans plus tard naquit un premier enfant. Et un retour en couche plus tard, un autre. On les appelait Angelika et Milo, les deux inséparables. Ils n'étaient peut-être pas nés d'un amour pur et très attendu mais ils furent aimés et dorlotés comme tel. Mère fut prise d'angoisse à l'idée de laisser ses chers enfants près des moldus et avec les conseils avisés de Couard  l'heureuse famille, dont le nom de famille est toujours en débat entre Youth et Wass, se décida de loger au milieu d'une crique, collée contre le flan d'une dune. Mère ne fut jamais aussi contente de savoir ce sortilège pour repousser le sable. Puis, le calme plat. Les enfants grandirent, éloignés de toutes formes de civilisations. Père partait la semaine pour revenir le soir et Mère peignait ses riants enfants en faisant la causette à Couard qui voulait se faire appeler autrement mais Couard reste Couard.

Delta
Le changement, le transfert d'une situation paisible à une autre situation plus complexe et plus violente. C'était le signe de Cecilia à ses débuts, celui d'un changement inévitable et violent. Le delta a une odeur brûlante et flamboyante, une odeur qui se loge au sein des narines et qui ne s'en va jamais tant que des yeux se posent dessus. Brûlante désillusion ou amère réussite qu'est le changement, Cecilia ne fut ni l'un ni l'autre. Cecilia fut la forme la plus longue et désolante d'un échec savamment prémédité.

L'attente de Cecilia fut ponctuée de surprises, Mère qui pratiquait la contraception naturelle et père qui se fatiguait de plus en plus mais malgré tout, il semblerai que l'enfant voulait exister. Car neuf mois plus tard, apparut une petite bouille frippée et détrempée. Les ainés ne furent pas conviés à voir le spectacle que fut sa naissance, mais elle a été aimée autant qu'eux si ce n'est plus. Elle était la petite princesse, la petite dernière. On aime toujours plus les derniers enfants, on les idéalise toujours plus.

Petit à petit, on apprit à Milo et Angelika à tenir un bébé, à le langer, à lui faire des bêtises même si le bébé ne savait pas encore tenir sa tête. Ce fut une période bénie, une période aussi simple que la pluie qui s'écoule sur les tuiles. Un, deux ans passèrent sans grandes nouveautés. Des petits pas mal assurés voire à des grands rires fournit par la famille entière. Oui, tout aurai pu être ainsi. Cecilia aurai pu être aussi ordinaire que son père, mais la vie en a décidé autrement.

Elle a toujours été différente, retard sur retard. Retard à marcher, retard à parler. Gestes malhabiles sur gestes avortés au dernier moment. On la traitait de paresseuse, mais la vérité était tout autre. Quand, elle eut l'âge de penser par son petit cerveau, elle se mit à l'écart de la famille. Presque par automatisme, elle ne savait pas comment agir avec eux. Elle les regardait sans comprendre quand elle les voyait courir devant la mer. Elle ne voyait pas l’intérêt de frapper dans une balle et de pousser des grands cris. Est-ce amusant ? Elle n'a jamais voulue essayée, bien trop confortable dans son monde simple et monotone. Elle était l'enfant calme par excellence, celui qui ne pleure pas et qui ne réclame rien. Toujours dans son coin, à empiler sagement des petits cubes sans rien demander et sans répondre aux demandes de jeu qui devenait de plus en plus rare avec ces refus mutiques. Parfois, elle acceptait mais c'était comme s'amuser avec une poupée désaxée, elle bougeait bien mais son visage ne se fronçait pas.

Très vite, l'étrange comportement de la cadette fut sujet à discussions au sein de la famille. Alors qu'Angelika et Milo manifestèrent des capacités magiques et s'en amusaient souvent au même âge que Cecilia, elle n'en était rien. Elle se contentait toujours de fixer le sol d'un regard vide. Est-que c'est une Cracmole ? Le terme sonnait presque une injure dans leurs bouches, tandis que les regards  inquiets se tournèrent vers l'enfant qui ne réagissait encore pas le moins du monde. C'est même si elle ne manifestait que rarement de l'appétit ou même une forme de volonté autre que s'asseoir.

Puis un soir, elle se mit à crier. Changement d'humeur aussi brutal qu'irrationnel, elle criait et hurlait des choses incompréhensibles. Percluse dans une forme de délire que personne ne comprenait, elle s'arrachait les plumes pour ne plus avoir à voler. Toujours dans ses grands cris, elle hurlait sur tout ce qui bougeait. Elle hurlait une haine féroce, comme pour se venger de toutes les fois qu'elle avait enfouis ses sentiments. Tellement sensible que personne ne voulait s'approcher, et elle a perdu pied pendant douze longues heures. Alternant avec des cris, des larmes, des longs rires vides et retentissant puis des périodes de calme comme auparavant. Pendant douze heures, la famille n'a pu que se regarder dans le blanc des yeux en attendant qu'elle passe. Se rassurant en disant qu'enfin elle semblait être capable de montrer ce qu'elle est au fond d'elle même. Et durant cette longue crise, elle  a enfin montré des signes qu'elle était bien de la famille, des petits objets qu'elle envoyait ricocher contre le mur aux déplacement soudains sur le toit.

Après ce premier basculement, tout fut différent. Elle avait des périodes, des crises soudaines et passagères. Jamais dans le demi-mesure, elle a toujours été faite de deux bois différents. Un cri pour une larme, des douleurs qu'elle ne comprenait pas dans son corps. Piqûres, brûlures, tensions électriques concentrés dans ses membres fourbus. Une torture entretenu par ses crises de colères exacerbée par cette douleur invisible. Puis des longs silences, tandis que la mer lui semblait de plus en plus attirante.

Milo et Angelika étaient perdus, jetés entre deux flots. Milo le trop doux et Angelika la surdouée, personne ne pouvait s'occuper d'eux. Mère et Père était concentrés sur cette enfant qui ne les reconnaissait pas, une enfant terriblement ingrate. Lentement, ils se sont détachés de la famille. Lentement, ils ont commencés à aller en ville, petits enfants de huit et dix ans. Ils connaissaient la magie mais l'ambiance était trop étouffante à la maison. Qui pouvait les blâmer de ne plus se sentir vivre ? Ils aimaient sincèrement leur petite sœur, mais pas au point d'effacer leurs individualité. D'un amour pur est apparu la jalousie puis la haine. Et quand Angelika fut désignée pour partir à Poudlard -ressortissante anglaise de part la naissance de leur père-, elle lui fit la promesse de revenir toutes les vacances pour le voir. Elle fut prise à Gryffondor, parmi les courageux.

Ainsi Milo et Cecilia furent laissés seul. Mère et Père n'y arrivaient plus, personne n'y arrivait. Lentement, quelque chose continua de se développer en Cecilia. Une frayeur intense, une sensation de dissonance avec le monde extérieur. Elle ne se doutait pas de ce qui se passait dehors, elle ne se doutait pas qu'un monde puisse exister en dehors de ces crises. Son nez sentait tout et voyait tout pour elle. Elle n'avait pas besoin de sortir de la maison pour vivre, mais lentement, quelque chose était là. Toujours à côté d'elle, une présence lourde. Elle pouvait l'entendre, des mots si étranges.

« Ils te détestent »
Elle ne comprenait pas. Qui ? Pourquoi ? Mais, elle a acceptée ses voix. Si elle parle, elles sont réelles. Personne peut les voir parce que Cecilia est différente. Ils lui disaient ça, aussi.
« Caches-toi »
Alors, elle se cachait et commençait à leur parler. Elle leur parlait comme on parlerai à un ami imaginaire. Ils étaient gentils au début puis, ils ont commencés à l'agresser. Constamment les mots méchants, aucun répit. Personne comprenait, Milo ignorait les cris de sa sœur. Personne ne voulait s'approcher de sa chambre, où elle en émergeait parfois la mine d'acceptance passive et le regard terne.

Ils étaient toujours là.
Ils étaient toujours là.
Elle les entendait même en se bouchant les oreilles.
Elle les voyait même en fermant les yeux.
Elle les sentait même en se pinçant le nez.

Ils lui faisaient mal, ils se moquaient d'elle. Ils disaient que si la famille était malheureuse, c'était sa faute. Elle pouvait les voir, dans ces crises de mutisme où plus rien ne répondait. Elle pouvait les sentir en voyant leur ombre. Et cette ombre est la pire qu'elle ne pourrait jamais sentir.

XXII

La carte du bouffon , l'inverse du mat. Celle qui enferme les possibilités au lieu de les ouvrir. Celle qui condamne plus qu'aide. Cette carte est la plus douloureuse que vous pouvez tirer, cette carte n'est jamais bon présage. Cette carte croit bien faire, mais elle ne fait rien. Elle détruit, aspire sans autre plaisir que de le faire.  Elle sent si bon, une odeur de gâteau que votre grand-mère paternel maîtrise à la perfection. Laissez-vous juste tentez et oubliez. Craquez la dernière allumette et n'y pensez plus. Le bouffon est là pour vous amuser.

Une idée émergea du cerveau des parents, l'enfant serait-il un sorcier spécial ? Milo avait bien des prémices d'un grand talent et Angelika, malgré son jeune âge brillait à Poudlard. Alors, ils se mirent à lire attentivement les rares livres que Mère avait pensé à rapporter. Traquant la moindre habilité décrite que leur enfant posséderait. Mais rien ne concluant, rien qui ne puisse aiguiller le couple. Si ce n'est, un livre. Un ancien livre qui garantissait dans les esprits influençables de la véracité du contenu. Soudain, tout prit sens. Ressentir des choses que personne ne ressent, voir des choses que personne ne voit, paroles sans sens et sensation de possession. Cecilia a un don de voyance, c'est cela la clé.

Pour eux, ce fut la révélation. Pas besoin de chercher plus loin, pourquoi chercher ? La solution était évidente.  Le soulagement fut si grand qu'ils se jetèrent dans la brèche de cette idée, encourageant Cecilia à partager ses visions et à écouter le plus possible ces voix d'un futur proche ou lointain. Pour Cécilia, ce fut une incompréhension. Ces voix sont normales, elle n'est pas extraordinaire. Elle ne comprenait pas, c'était les autres qui étaient étranges de dire qu'elle n'était pas ordinaire. Pour contenter ses parents, elle lirai ses livres. Peut-être que tout au fond, ne plus se sentir grignoter par Eux était un but suffisant pour la poursuite de ces études.

Ainsi passèrent deux ans. Milo partit lui aussi à Poudlard, joyeux de pouvoir rejoindre sa grande sœur chérie. Cecilia fut seule, perdue entre ses livres et ses tentatives désespérés de lire le futur. Elle s'était persuadée qu'elle allait pouvoir le faire. Pouvoir savoir ce que voulait les voix. Mais plus elle lisait, plus elle comprenait ce qu'impliquait réellement ce don qu'elle était censée posséder. Ils se faisaient pressants à son oreille, Ils ne la lâchaient pas. Plus aucune réalité, plus aucune mesure du temps entre deux crises. Elle en devenait plus bête que bête. Dans les rares moments de lucidité, elle ne ressentait qu'une tristesse infinie. Elle savait au fond, qu'elle était pas extraordinaire pour les bonnes raisons. Petite de huit pommes, elle en éprouvait déjà trop. Elle en pouvait plus, marre de ses couvertures dans sa bouche. Rien de stable, les parents qui la regardent comme ce qu'elle n'est pas. Pourquoi continuer, elle veut juste dormir. Dormir et ne jamais avoir à se réveiller.

Alors, elle s'est avancée le long de la crique.
Elle comprenait pas pourquoi, elle allait à la mer.
Elle a toujours eu une sainte horreur de l'eau.
Les voix l'encourageaient, ses pieds étaient humides maintenant.
Peut-être qu'elle avait réellement ce don, et qu'elle devait simplement trouver quelque chose dans l'eau.
Tête humide, elle ne sait pas nager. Elle n'a jamais su.

Plus de son, elle a pu enfin dormir. Petite Cecilia eut un sourire, c'était donc ça le vrai repos…

L’œillet.
La fleur de l'espoir. Personne ne doit refuser un œillet, ça porte malheur. Une fleur qui s'épanouit dans les mains de ceux qu'on veut voir réussir, ceux qui mérite l'espoir que supporte cette fleur. L'espoir, quel mot cruel mais si délicat. L'odeur est universelle, Cecilia n'a plus besoin de la décrire, elle doit simplement la vivre.

Retour à la vie à Sainte-Mangouste. Pourquoi Sainte-Mangouste ? Mère et Père furent persuadés que c'était l’œuvre d'une malédiction, une malédiction qui voulait tuer leur petite voyante. Plongée dans un coma artificielle, sauvée in-extremis. L'histoire de Cecilia fut racontée et fut analysée. On a pu lui parler, elle a pu leur montrer. Le résultat fut tout autre, le résultat fut qu'elle était schizophrène. Cecilia était donc folle, folle de naissance et folle par défaut. C'était douloureux à avaler, surtout pour Mère et Père. Que faire ? La culpabilité leur arrachait les moindres mots de la bouche alors il fut décidé qu'elle serai prise en charge par une institution en attendant son entrée à Poudlard. Aussi simple que ça, ils ne voulaient plus la voir. Trop de culpabilité à avaler, trop de mot à dire pour exprimer leur regret. Alors, ils ne purent que faire ce qu'ils estimaient juste. Partir et faire confiance.

Peut-être que Cecilia fut triste, elle ne le sait pas. Mais lentement, elle commençait à voir le bout du tunnel. Elle commençait à apprécier les choses de la vie, les livres qu'elle lisait, l'argent qu'elle pouvait obtenir de ses parents. Et surtout sa nourrice qui venait une fois par semaine pour prendre des nouvelles et s'occuper d'elle. L'argent prit un rôle de plus en plus central dans sa courte vie, comme un fétiche dont elle ne pouvait se passer. Pouvoir tenir une pièce pendant ses crises la rassurait, comme si elle avait un morceau de réalité entre les doigts. Plus rien ne pouvait l'effrayer quand elle sentait la surface froide et lisse d'une mornille. Absolument rien. Ils étaient toujours là, mais elle savait quoi faire, quoi prendre comme traitement. C'était fini. Le cauchemar était fini.

Maintenant, Poudlard. Peut-être qu'elle reverrait les anciens êtres de sa vie ? Elle ne s'en souciait pas vraiment, elle n'avait pas besoin d'eux. Ils l'ont lâchée, elle les lâcheraient. Mais petite Cecilia, on ne soigne pas la folie, on la traite.

Edit sur la famille Youth-Wass:

Derrière l'écran
Pseudo — Coucou ! Je tenais juste à écrire que ce forum est devenu de plus en plus bô comparé à mes souvenirs de celui-çi, j'étais Nihil avant même si elle n'a jamais pu être validée à cause d'un gros problème d'ordi mais elle n'a jamais pu quitter ma mémoire et ce forum aussi donc me revoili o/


Dernière édition par Cecília Youth-Wass le Jeu 6 Sep - 14:49, édité 26 fois
Soleil A. Nilsson
Bagheera aux mille facettes
Bagheera aux mille facettes
Soleil A. Nilsson
Messages : 811
Points : 1135
Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Ven 27 Juil - 1:22

holààààà bienvenue love
très jolie ref et super bel avatar !

si je peux me permettre, je suis pas du staff ou quoi, mais niveau familles célèbres/sang-pur, tu trouveras tout ce qu'il y a à savoir ici ! et ici on choisit pas vraiment sa maison, aussi  ouin (même si J'ADORERAIS que tu sois chez serdaigle ak la meilleure maison de tous les temps soleil )

en tout cas, j'ai hâte d'en savoir plus sur elle, bon courage pour la suite de ta fiche love


Dernière édition par Soleil A. Nilsson le Ven 27 Juil - 1:27, édité 1 fois
Invité
Invité
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Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Ven 27 Juil - 1:24

Hello o/
Oh zut, ça a bien changé depuis ce que je me rappelle désolée du dérangement, je vais retirer ça et voir le lien pour les sangs pur o/

J'espère que la suite te plaira tout autant et encore zut pour la maladresse (ton avatar est tellement bô aussi !)

PS : Serdaigle for the WIN
Invité
Invité
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Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Ven 27 Juil - 2:16

holaaaaa mamzelle !

bienvenue et bon courage pour la rédaction de ta fiche ! l'avatar est kifkif, j'regardais tellement touhou à un moment mdr.

grosse bise shine
L. Andy Ollivander
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L. Andy Ollivander
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Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Ven 27 Juil - 9:14

REBIENVENUE
Oh tu étais Nihil, tu es de retour parmi nous ! En vrai ta fiche est aux archives je pouvais te la déplacer si tu voulais la reprendre ♥️

Tu ne peux malheureusement pas être sang-pur avec ce nom de famille car ici (comme l'a envoyé soleil) on ne peut appartenir qu'à des familles de sang pur crées par le forum!
Et on a jamais pu choisir sa maison, c'est juste que tu avais pris un prédéfini qui était déjà réparti dans sa maison ouin

J'ESPERE QUE TU TE PLAIRAS ICI LOVE
(oublie po le test rp pour le don de voyance winkwink)
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Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Ven 27 Juil - 13:02

"Bô gosse" ==> j'ai tellement ris ce chat à un nom beaucoup trop classe xD
Bienvenue en tout cas ♥️
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Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Ven 27 Juil - 14:32

ahhh nihil, rebienvenue parmi nous ♡
quel choix de réf dayum, patchouli doki doki

Citation :
PS : Serdaigle for the WIN
miguel le magnifaïk

courage pour ta fiche petit poussin!
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Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Ven 27 Juil - 14:54

Merci à tous <3
Zut je ne savais pas pour Nihil ! J'essayerai de la faire dès que possible j'aime beaucoup Cec maintenant >< Désolée encore pour la maison, j'ai l'impression d'accumuler les gaffes duh ><
Et j'ai rectifié pour le sang pur, je pensais que je pourrai crée une nouvelle famille vu qu'il était écrit que, j'ai dû me tromper o/

Poutou sur vous et merci pour votre accueil, vous êtes adorables !
(Touhou is Life, Touhou is love selene


Dernière édition par Cecília Youth-Wass le Ven 27 Juil - 15:45, édité 1 fois
Bertram Godfrey
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Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Ven 27 Juil - 15:42

Bienvenue sur le forum fire

Owi une serdaigle   ça serait trop cool.

Citation :
et travailler au ministère des secrets pour savoir enfin c'est quoi le secret de Tina de la saison 3 de "Big Wizard is Watching you"

Sinon, cramols ça fait grave nom de bouffe, elle les aime bien pour ça.


Tellement de trucs cool à citer déjà, ça s'annonce bien !

Elle a peur des cartons ? Ca c'est original !

J'espère que tu te plairas ici ( et surtout chez les serdaigles ) ;)
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Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Mer 1 Aoû - 9:18

Bienvenuuuuue ! love J’A-DORE ta fiche, je la trouve hyper fluide et plaisante à lire ! Ton personnage a l’air hyper intéressant, bien qu’il ne s’entendra probablement pas avec le mien ! huhu
En tout cas, bon courage pour la suite ! pompom
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Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Mer 1 Aoû - 10:22

Oooh je suis ravi de voir une ancienne revenir! Rebienvenue parmi nous, je crois me souvenir vaguelent de toi en plus huhu. Ta perso à l'air d'être haute en couleur, hâte de voir ça huehuehue...
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Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Mer 1 Aoû - 12:18

Coucou merci à tous duh why Vous êtes adorables et je suis contente que mon début de fiche plaise, ça me motive à continuer !

Bertram, quand j'ai reconnu akechi j'ai mourru à l'intérieur, dieu, je pensais jamais voir quelqu'un avec son avatar dokidoki, et les cartons c'est véritablement affreux D:

Gabriel, j'ai lu ta fiche et je confirme les voir s'entendre risque d'être un long débat, j'ai bien ris en la lisant o/

Waldemar, je suis pas techniquement une ancienne mais merci beaucoup de te rappeler de petite nihil qui n'a jamais eu le temps de naître !
Orphan E. Scamander
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Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets Sam 4 Aoû - 10:43




Bienvenue sur Dabberblimp !

Heeey ! Désolé du petit retard, j'ai pris le train hier soir donc j'étais MORTE.
Mais me voilà pour te repartir jeune pousse swag

Olalala j'ai tellement de trucs à dire sur cette fiche cesaria
ton épouvantard, ton patronus yaaa so swag, ton CARACTERE lilibel
j'aime trop ce genre d'écriture et tu le sais donc j'ai vraiment vraiment beaucoup aimé la lecture.
Cecilia est serdaigle, peut-être que les autres aigles arriveront à l'arracher à ses planètes qui sait. En fait Lila (oui je vais l'appeler comme ça now) me fait penser à une "Dark Luna Lovegood" en beaucoup plus timbrée avec un côté obscur haha.
Allez file t'amuser parmi nous Lady Business (on a que des fraudeurs sur ce forum cc @Cassiopée Vega :aubrey:)

Te voilà validé, tu peux dès à présent créer ta fiche de lien dans ce sujet, ainsi que ton téléphone portable ici (des modèles sont mis à ta disposition). Tu dois aller faire recenser ton avatar par là et tu peux aussi faire une demande de RP juste ici, ou aller sur la CB te trouver un éventuel partenaire. Tu peux aller t'inscrire dans un club de Poudlard et aussi aller zyeuter la liste des postes.
Contenu sponsorisé
Re: Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets

Immense félicité mon ami, je le lis dans le creux de tes billets
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