we're not good, we're super // JASON

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we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 11:56

Jason « Gration » Earnshaw // ni surnom ni valeur // 21 printemps que l’hiver vieillit tout les 7 janvier // intérêt sexuel pour les dragons (hétéro) // papa pas là mais quand même gallois, maman si loin et géographiquement laponne // prince de sang mêlé et sang pur de titan // fier demi géant dont le sommet du crâne culmine à 2m38 du sol // 10e année de licence d’Etude des Créatures magiques // Charmeur de dragon en devenir, sans aucun doute // moldus, cracmols, sorciers, de si haut tout se confond // Ronan Lynch issu de The Raven Cycle & Yuri Pleskun pour vous vendre du rêve Chêne blanc + cheveu de vélane + 39 cm + épaisse + flexible // cauchemardesque gigantesque cadavre calciné bras tendu grognant à la mort // la pureté d’un air de la côte galloise, chargé d’iode et de bois humide, appelant à l’aventure sauvage dans les tréfonds de la nature // translucide sanglier qui tape du pied, prêt à charger // fébrile reflet d’une gigantesque main tendrement posée sur son épaule // goût prononcé pour l’étude et soins aux créatures magiques // le sucre, ça fait des caries, une pinte de bièreaubeurre, ça réchauffe le coeur // fascination incroyable pour les dragons // un corbeau moins quelques plumes, croassant agressivement sur l’épaule, répondant parfois au nom de Jerk the curse ruled from the underground down by the shore and their hope grew with a hunger to live unlike before « Mon père s’est tapé une géante, je peux bien me faire un dragon nan ? » — Jason vous lâchera cette phrase, un petit sourire insolent étirant ses lèvres et un air de malice dans les yeux. Puis il tournera les épaules, ses larges épaules sur lesquelles on peut s’assoir sans qu’une fesse ne dépasse dans le vide. Et il a ce pas lourd Jason, celui qui fait trembler le sol et condamne totalement toute la discrétion qu’il aurait pu avoir. Alors à la place, il se tait. Il ne l’ouvre que très rarement, préférant sourire, comme une éternelle provocation. Et nombreux sont ceux qui le croient idiot. Ce gigantesque type qui ne parle pas. Jason marche sans se presser, chacun de ses pas équivalent à deux de ceux de n’importe qui d’autre. Il fend la foule sans jamais bousculer qui que ce soit. Jason n’est pas une brute pure et dure. C’est une image qui lui colle aux semelles. Il a troqué sa cape contre sa veste en cuir bien abîmée par les excursions sauvages, a rasé son crâne de près. Et ce look de skinhead assumé lui plaît. Mais jamais pourtant, il ne lèvera son poing contre qui que ce soit. Parce qu’il a perdu toute cette colère en lui. Cette colère sourde d’avoir un pied dans deux mondes différents, et de ne finalement pouvoir marcher dans aucun des deux. De ne pas savoir qui il était, de ne pas assumer sa nature par peur du rejet. Mais Jason sait qui il est. Il a vu, il a compris. Il a expérimenté la peur, la vraie, celle qui blesse mais qui ne tue pas. Celle qui finit par nous relever. Et il n’a plus peur de ce monde là. C’est lui le plus grand, le plus fort. Jason hurle par dessus la foule qu’il est un demi géant. Qu’il a ça dans le sang, qu’il vaut mieux pas le chercher, parce qu’on sait jamais, ce sont des créatures violentes après tout. Jason vous pisse à la raie. Quitte à laisser du monde, beaucoup de monde. Jason n’aime que peu, Jason voit son propre chemin, pas celui des autres. Et la colère s’en est allée. À la place, dans son coeur, est née la solitude. Lui qui craignait auparavant qu’on le fuit, aime à se retrouver seul. Se battre contre lui même. Se battre pour lui même. Alors il fend la foule, naviguant seul dans la tempête, avec ce sourire insolent collé au visage. Et Jason est un excessif. Ce genre de type qui s’investi complètement dans sa passion et laisse tout tomber autour. Il veut aller jusqu’au bout de ses projets, il veut tout savoir, tout comprendre dans ce qui l’intéresse. Lui, il aime les créatures fantastiques, la nature, la mécanique aussi, les inventions moldues. La magie ne lui réussit pas, chaque sort est un désastre. Il s’en fiche. Ça fera plus de place dans ses carnets pour les choses qui l’intéressent vraiment, qu’il note avec frénésie, dessine, photographie, pour ne rien oublier. Ne rien perdre. Et quand il en a marre, il craque. Tout ce qu’il a gardé pour lui devient un tambour battant, qui fait s’accélérer son pas. Et il défonce tout sur son passage, comme un animal fou qui charge. Puis il disparaît dans la forêt, pendant quelques jours. Seul. Parce que lui seul peut vaincre les démons qui le hantent. Il s’étire. Colosse presqu’entièrement nu dans les draps blancs d’un immense lit, occupant bien la moitié de la petite chambre. Il somnole encore un peu, malgré la lumière que les vieux volets grinçants n’arrivent plus à occulter. Un timide rayon de soleil éclaire sans chauffer une partie de son dos, noir d’une encre animée et complexe. Un dragon niché dans son omoplate s’étire, crachant du feu sur une sombre forêt dont on ne pourrait exactement définir les contours. Et dans les branches s’agitent des oiseaux merveilleux, tandis que sur les sentiers courent ces créatures fabuleuses que l’on ne voit que dans les livres. Doucement, il roule de côté, enfonçant son crâne rasé dans l’oreiller, les yeux obstinément fermés. La fenêtre est entrouverte, et il ressent l’appel du dehors. Le bruit lointain des vagues qui s’éclatent contre les rochers, le piaillement des oiseaux, le vent dans les arbres. Et l’odeur, ho cette air chargé d’iode et de bois humide. Cet univers si pur, si enchanteur, isolé quelque part sur la côte galloise. Il ouvre les yeux. Comme tout les matins d’été, il redécouvre sa chambre. Qui n’a pas changé depuis des années. Sur tout les murs, soigneusement épinglées, des photos, gravures, dessins, figurant les mêmes créatures que sur son dos. Des piles de livres, parfois presque aussi hautes que sa tante Branwen. Il ne les avait pas tous lu, pas encore, mais l’ambiance qu’ils donnaient à la pièce lui plaisait. Il ne voulait pas se lever. Son père avait encore hanté ses songes, pour la cinquième nuit ce mois ci, dans un décor récurrent. Les forêts de Laponie. Il voyait encore la grotte, et d’instinct, il caressa la longue cicatrice sur son ventre. Cela devait faire trois ans qu’ils ne s’étaient pas vu, ni même écrit. Peut être que cet irresponsable chronique deviendrait un inconnu vieillissant, sur le lit duquel il pleurerait de regret. Mais lui, il avait ses tantes adorées. Celles qui avaient construit ce grand lit sur mesure, et tout cet amour autour de lui. Octavia, dans ce fauteuil qu’elle ne pouvait plus quitter, cousait patiemment ses vêtements, et Branwen avait même écrit de fausses lettres, se faisant passer pour son père, contant de fantastiques voyages, pour que jamais il ne puisse lui en vouloir. Quel choc ça avait été, quand même, quand il y repense. La première rencontre dont il se souvenait avec son père, après une année difficile à Poudlard. Il l’avait traité de mauviette. Il ricana, en se rappelant de ce drôle d’homme. Rien à voir avec les lettres, non, c’était un type bourru, couvert de cicatrices, le regard malicieux et un goût prononcé pour le danger. Dégoûté que son fils, un fier demi géant, à qui l’on avait fait croire qu’une consommation excessive de soupe pendant son enfance l’avait fait grandir trop vite, n’avait pas résisté au choc d’une première année dans un monde sans pitié. Alors il l’avait emmené s’endurcir à travers les arbres. Tout un été durant, ils ont dormi à la belle étoile, mangé des repas frugaux, et observé des créatures que Jason ne pensait jamais avoir la chance de voir. Et il était fort, à travers la silencieuse violence de la nature, si fort et si apaisé à la fois. Il se redressa, sentant sa colonne vertébrale craquer de haut en bas. C’était loin maintenant, ces années innocentes. Il avait eu tellement peur, mais la peur libérait la force de la nature sommeillant en lui. Elle la stimulait avec ferveur. Et il passait ses premières années à Poudlard dans l’attente d’un été d’aventure, d’un pays à l’autre, pour photographier et noter tout ce qu’il pouvait voir. En espérant le revoir encore et encore. Jusqu’à ce qu’ils se rendent en Laponie. Enfilant un tee shirt et un short, il ouvrait sa porte, baissant la tête pour passer dans l’encadrement. Branwen écrivait sur une vieille machine moldue sur la grande table en bois, une cigarette coincée entre ses lèvres. Il l’embrassa sans la déranger, et sortait par la baie vitrée. Octavia l’attendait, emmitouflée dans une couverture, sur la chaise à bascule que Branwen lui avait fabriqué, il y a des années de cela. Et comme tout les matins, il la prenait dans ses bras, pour l’emmener au verger. trucs en plus : il n’a rencontré son père qu’à l’âge de onze ans // son père est un explorateur // il a des carnets d’observation dans lesquels il a noté et collé tout ce qu’il sait sur les animaux fantastiques et la nature // avant, il écrivait des poèmes, mais suite à une moquerie de son père, il a tout brûlé // il lui arrive de dessiner, malgré son trait incertain // Branwen est la soeur de son père, elle est langue de plomb // Octavia, la femme de Branwen, était Auror, mais a perdu l’usage de ses jambes au cours de sa carrière // il n’a pas vu son père depuis trois ans // il n’a vu sa mère qu’une fois, et ça s’est mal passé (lire le test rp) // il en a gardé une cicatrice sur le ventre // Il traficote une vieille voiture moldue avec un.e pote pour la retaper & la rendre magique pour ses prochaines expéditions // il porte toujours des vestes en cuir // gros tatouage animé dans son dos, avec moulte créatures qui se baladent // il fume le cigare de temps à autre, les cigarettes étant trop petites dans ses grands doigts (puis le cigare c'est quand même vachement badass) I can tell from your eyes you've never been by the riverside Coucou c'est Kinga votre moldue préférée (jrigol) !! Enfin je vous sors le petit Jason, je sais je vous ai bassiné avec hihi du coup là je suis contente qu'il existe ENFIN ici mais j'ai quand même le gros gros stress de vous avoir trop teasé et du coup ça fait un flop D8 moi je l'aime comme ça j'espère juste que le code va pas buguer musique de film d'horreur et vive la nature HA ET les paroles en anglais sont issues de chansons d'Agnes Obel, The curse & Riverside si vous voulez les écouter, elles sont toutes douces omg

Dernière édition par Jason Earnshaw le Jeu 1 Fév - 23:31, édité 6 fois

Vega A. Blackwell

Le roi des damnés

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 12:17

je t'aime tu le sais ça ? JE TAIME PTN TU ES TELLEMENT PERF rebienvenue

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 12:28

j't'aime viens caresser mon dragon

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 13:04

Beaucoup trop d'amour je je (Ele me tente po comme ça )

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 13:15

J A S O N je l'aime déjà g peur de ce que ça donne quand il vomit après s'ê enfilé deux tonneaux de bièreauberre mais- nn plus sérieusement y'a pas grd-chose mais ça sent déjà le fab p u r dc bon courage pr terminer ça ( stp )

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 14:09

viens marrions nous jason tu es si beau jtm déjà T TROP PARFAIT ALREADY ALED G TROP HATE DE LIRE LA SUITE

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 14:12

frausties : faut pas être trop près merci baby je bouge mes fesses Regret : <3 <3 <3

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 15:10

Oui ~~soyons freres de coeur plz~~

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 20:10

ilysm arrêtez les persos fabs mon coeur n'en PEUT PLUS

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 21:54

jason est tellement parfait je l'aime il nous faudra absolument un lien avec rub petite merveille

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 22:43

Danil : oui jveux des liens on fleek avec les demis géants du fofo ok Selene : jtm Patrick : merci ça mtouche olala et oui jveux un lien Ruben/Jason pour qu'on roule des mécaniques together

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 22:44

Juste épouse -moi c'est perf

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 22:46

franchement jsuis chaud pour t'épouser mtn

Orphan E. Scamander

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Re: we're not good, we're super // JASON Jeu 1 Fév - 23:33

Bienvenue sur Dabberblimp ! Soit mon grand frère protecteur ok Je t'aime so much, JASON EST PARFAIT PARFAIT PARFAIT PARFAIT huge coup de coeur je sais pas quoi dire en fait ???? Amuse toi bien à nouveau parmi nous. Te voilà validé, tu peux dès à présent créer ta fiche de lien dans ce sujet, ainsi que ton téléphone portable ici (des modèles sont mis à ta disposition). Tu dois aller faire recenser ton avatar par là et tu peux aussi faire une demande de RP juste ici, ou aller sur la CB te trouver un éventuel partenaire. Tu peux aller t'inscrire dans un club de Poudlard et aussi aller zyeuter la liste des postes.