spin lies into fairy dust,

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spin lies into fairy dust, Sam 3 Mar - 22:19

hyacinthe
rolthmeir;
prénom.s & nom —— hyacinthe rolthmeir, orphelin adopté par un couple de françaises aux sourires charmants
surnoms —— aucun, ou du moins rien qui sorte du lot; si ce n'est le bonhomme qui casse, gracieuseté des fans d'incassable
âge —— 17 ans, 30 août à coups de date auréolée de hasard; peut-être est-il plus vieux, ou plus jeune encore
orientation sexuelle —— indécis, à mi-chemin entre l'asexualité et la demisexualité
origines —— asiatiques, sans qu'il en sache plus
sang —— inconnu, l'adoption par deux adorables moldus annihilant ses chances de connaître ses parents biologiques
particularité —— legilimens, il comble sa surdité en se nourrissant de vos pensées
année d'études —— 5ème, des complications médicales l'ont poussé à redoubler cette-même année
options ou licence —— alchimie et arts magiques
avenir —— inconnu, pour la simple et bonne raison qu'il n'a pas eu l'occasion d'y penser
avis sur les cracmols & moldus à poudlard —— fondamentalement il les soutient
maison —— hihi jsp
avatar —— phosphophyllite (hnk) & jihoon lee (irl)
Sous ses airs de poupée fragile, au détour d’un sourire gracile, Hyacinthe n’est pas ce qu’on pourrait croire. Dans les craquements de ses os, la passion se fraie un chemin et envahit son cœur avec la hardiesse d’une conquérante ; lui devient la dorure d’un univers aux couleurs si éclatantes qu’elles l’en effraieraient. Des abords de ses muscles secs aux fleuves de ses veines palpitantes, c’est d’amour qu’il déborde, plus que de rancœur. Ses grimaces ont toujours suinté d’une tendresse écœurante, non sans que la peur n’enserre sa gorge et drape ses épaules d’inquiétudes et d’insécurités multiples – l’enfant se blâme de tous les malheurs du monde, réussit à se trouver un part de responsabilité dans tout ce qui échoue.

Aucun son n’a l’audace de passer la barrière de ses tympans esseulés, la fragilité de ses os s’accompagnant d’une surdité qu’il voudrait rassurante, le silence constant graciant son myocarde délicat de trop d’émoi. Hélas, souvent s’est-il surpris à envier les étincelles dans les regards des autres, réactifs aux murmures langoureux d’un être cher ou épris d’une mélodie qui ne saurait se tailler une route jusque dans les hémisphères de son crâne docile. Hyacinthe est cette fleur aux pores gorgés d’un espoir irraisonnable, épitomé de la délicatesse et ourlé d’une joie de vivre si pure qu’elle en devient dangereuse.

Cent fois les rêveries l’ont poussé à se voir dans le ciel, plusieurs kilomètres en l’air, à tutoyer le ciel et à se nourrir de poussière d’étoiles ; il s’imagine retourner dans l’espace, douloureusement conscient qu’il en vient. Et c’est bien là la seule certitude qui agite son corps fébrile, entouré de non-dits et de mystères à s’en damner – parfois son regard se perd sur les lèvres peinturlurées de quelques demoiselles à l’élégance indéniable et, plutôt que de ricaner à l’instar de ses comparses, Hyacinthe se surprend à envier leur grâce, à vouloir voir ses propres hanches serrées dans une jupe plissée, à se hisser sur des talons qui lui permettraient caresser la couche d’ozone. Et certains jours il se permet un écart, offre ses jambes imberbes à la vue de tous, rehausse son regard de mascara étincelant – ses ongles toujours adoucis en ovales adorables, recouverts de vernis et décorés de quelques fantaisies.

Tremblant d’affection il se laisse souvent bercer d’illusions, prêt à offrir l’essence-même de sa personne si, en échange, on offre à ses lippes une poignée de baisers. Aucun désir ne semble brûler par-delà celui des étreintes assez tendres – de celles qui n’abîme pas le moindre de ses os, oxymores des violences qu’il a souvent su – et dû – affronter dans sa courte vie. Habitué à être classifié précieux, Hyacinthe a mille fois savouré la douceur de ses mères et autres proches, se nourrissant de tout ce qu’ils sauraient lui donner. Il y a, dans ses artères, une faim insatiable, une soif intarissable d’être aimé et d’aimer ; et toute sa force physique s’est mutée en sentiments futiles, enfant d’Amour en quête d’attention inconditionnelle.

Artiste à ses heures perdues, il y a leurs noms encrés dans la marge de ses parchemins, les courbes de leurs hanches dans les impressions éclatées à l’aquarelle dans les coins pâles des murs de sa chambre. Il s’offre tout entier à la première occasion et chacun garde un éclat de sa personne, jusqu’à ce qu’il n’ait plus rien à donner, jusqu’à ce que la source qu’il imagine infinie de son amour ne finisse par s’épuiser – et ce jour-là, il n’y entrevoit que la fin. Il imagine déjà le soleil se lever à l’ouest au prochain équinoxe, et le ciel d’été se couvrir d’une tempête de neige à l’orée de l’Europe.
D’ici-là, il fait l’apologie du romantisme, au travers d’alexandrins passionnés et de regards amoureux.

Par-delà ses émotions démesurées, Hyacinthe a la mauvaise manie de se faufiler là où il ne le devrait ; curieux à en risquer sa propre survie, c’est son entêtement qui l’a poussé plusieurs fois à se perdre dans des esprits dangereux, à caresser des songes cauchemardesques et à assister à des scènes terribles. Orphelinat aux relents d’enfants traumatisés, c’est via les pauvres âmes à ses côtés qu’il en est sorti scarifié, l’âme en lambeaux et les joues constamment rougies de traînées sèches. Derrière ses dents réside toujours un arrière-goût salé, sans qu’il sache s’il s’agit de sa langueur pour la mer et ses horizons insaisissable ou de son trop-plein de sensibilité aux poches lacrymales trop régulièrement vidées. Il en faut si peu pour que Hyacinthe fonde en larmes, pour qu’il vole en éclat avec plus de violence encore que son ossature délicate – autant qu’il est aisé de lui arracher des rires contagieux, chaque sentiment multiplié à la lisière de ses veines bouillantes.

Et Hyacinthe se plaît à s’égarer dans les vestibules brumeux des esprits à sa portée, le sien se déconnectant avec ferveur de la réalité ; il use de ses capacités pour déchiffrer quelque intention qui lui échappait, mais jamais un seul des secrets qu’il a trouvés n’a passé la barrière de ses lippes rosées. Egoïste dans son indiscrétion, il conserve dans un coin de ses souvenirs les non-dits des âmes qu’il a embrassé et n’a jamais volontairement nuit à qui que ce soit, entiché de sa neutralité et honteux de sa lâcheté lascive.
sugar;
hyacinthe a souvent rêvé de pouvoir s'énerver, être violent, pour étancher tout ce qui le ronge —— passif agressif jusqu'au bout des ongles, il est incapable de dire non ou de s'opposer —— atteint d'ostéogenèse imparfaite, au stade III; ses os se brisent très facilement, il est beaucoup plus petit que la moyenne et victime de surdité —— plus jeune, il voulait devenir astronaute, ou pilote de chasse —— aujourd'hui, il rêve d'être entier —— perdu jusque dans les tréfonds de son âme, incapable de se dire garçon ou fille —— répond aux pronoms masculins de par sa naissance, par souci de déranger ses interlocuteurs —— lit sur les lèvres avec aisance, mais les conversations de groupe le laisse impuissant —— rêve de partir au bout du monde, de découvrir à quoi ressemble l'autre côté de la planète —— surprotégé à cause de sa maladie, il a l'habitude qu'on prenne soin de lui et est incapable de se débrouiller seul —— plus chien que chat, il ne peut cependant que côtoyer les seconds à cause du tempérament souvent hyperactif des premiers —— artiste dans l'âme, il griffonne un million de pensées sur des bouts de papier mais n'a jamais songé à écrire quelque chose de concret —— romantique désespéré, il tombe amoureux si vite que son coeur se casse aussi souvent que ses os —— terrifié par énormément de choses, mais en particulier les clowns et le noir —— l'abandon lui cause des crises d'angoisse —— il dort beaucoup, au moins dix heures par nuit —— passe la majeure partie de sa vie en béquilles —— a trop d'énergie pour son corps trop fragile —— adopté par deux françaises homosexuelles, il a toujours été plus à l'aise autour des femmes —— très mal à l'aise face à sa sexualité, et tout ce qui la concerne de près ou de loin —— maîtrise le langage des signes, mais peut aussi parler de vive voix.
On raconte que la première respiration de Hyacinthe s’est faite sous le regard attristé d’un millier d’étoiles scintillantes, toutes agonisantes face à la douleur de sa naissance ; que la lune elle-même s’était assombrie ce soir-là, prête à faire le deuil de tous les rêves que la petite chose gémissante allait avoir, et devrait abandonner tôt ou tard. Que, pour défier les cieux, sa mère l’avait appelé en hommage aux fleurs de son jardin et de tout l’espoir qu’elle implantait à-même son esprit, dans une étreinte si tendre que même les supposées multiples fractures de l’enfant n’avaient su l’empêcher d’en savourer la chaleur maternelle.
On raconte aussi que Hyacinthe était né dans les entrailles de la belle capitale française, avant d’être négligemment jeté au pas d’un orphelinat crasseux, et que la gérante avait pris pitié du nourrisson, le nommant ainsi pour, à son tour, contredire le peu de foi qu’en lui, ses parents avaient.

Nombre de mystères ont toujours entourés l’enfant muet, enfoncé dans un fauteuil roulant qui l’avalait tant il était gros – hématomes qui fleurissent par milliers sur son petit corps de porcelaine, ostéogenèse imparfaite diagnostiquée par le premier docteur ayant eu la délicatesse de se déplacer pour l’ausculter. A un stade où une simple chute aurait eu des conséquences désastreuses, il a naturellement été mis de côté, condamné à vivre en retrait des autres turbulents orphelins.

Mais, au-dessus des interdictions de leurs sévères nourrices, une poignée d’enfants se sont, plusieurs fois, risqués à approcher l’inconnu sujet à de nombreuses rumeurs entre les résidents, du fils de mafieux abandonné à l’âme d’un démon enfermée dans un corps trop fragile. Les téméraires, quant à eux, n’ont aidé à alimenter les racontars que pour s’assurer que personne de trop maladroit ne poserait ses doigts boudinés sur leur nouveau protégé.

C’est sur cette dynamique d’ores et déjà esseulée que Hyacinthe a grandi quelques années, à mi-chemin entre l’isolement pur et dur et les amitiés secrètes – sa condition de malade le drapant d’impossibles. Il passait ses journées à rêver d’ailleurs, le regard suspendu à la fenêtre et le cœur sur les lèvres ; mais seule la fraîcheur impersonnelle de ses petits quartiers lui était accessible, ses difficultés à apprendre à marcher le menaçant de se blesser plus facilement encore. Et l’hôpital coûtait cher à l’orphelinat, aussi aimants étaient-ils.

La première fois que Hyacinthe tombe amoureux, ça gorge ses pores d’une tendresse inexplicable, du besoin impérieux et viscéral de prendre soin de l’autre – et elle est belle, l’autre. Des cheveux bruns exsudant une odeur de caramel, des lèvres si fines qu’elles en deviennent chimériques, que leur existence seule est remise en question ; une taille de guêpe malgré leur jeune âge, les accrocs de la malnutrition et d’un passif qui lui a laissé les joues creusées, la peau tirée. Pourtant, ce qui traîne Hyacinthe à la lisière de l’amour, c’est ce regard, si particulier, qu’elle a toujours eu l’habitude de lui lancer. Cette impression d’importance dans laquelle elle l’a baigné, le laissant pantelant de leurs courtes entrevues – pommettes rosies d’appréhension et d’impatience, l’envie incompréhensible de la prendre dans ses bras graciles et de la serrer, au risque d’en finir brisé.

Et c’est bien brisé que Hyacinthe est ressorti de cette histoire futile, la belle n’ayant rapidement d’yeux que pour un garçon plus masculin, plus vibrant, plus entier. Et voilà que le sans-nom retombe dans une routine aux bords écorchés, sur un premier cœur éclaté ; la belle aux cheveux sucrés reste à jamais gravé dans la moelle de ses os, perdue entre plusieurs et si qui couvent les nuits de l’enfant.

Un an plus tard, à l’orée de ses neuf ans, Hyacinthe a déjà abandonné tout espoir de faire un jour parti d’une famille, se contentant tant bien que mal de l’attention dont ses responsables le nourrissent. Quelques questions les poussent à couvrir ses joues de baisers réconfortants – sans qu’aucune réponse ne vienne lever le voile de ses incertitudes. Il apprend à parler avec force patience et acharnement, le volume de sa voix si incontrôlé qu’il oscille entre les cris et les murmures. Syllabes minutieusement détachées, les « r » français éraillés sur le bout de sa langue, et ses doigts qui s’agitent pour illustrer ses propos ; langage des signes acquis infiniment plus vite, et Hyacinthe qui passe un temps fou, entre deux cours, à constater le rachitisme de ses mains.
Toujours est-il qu’un an plus tard, alors-même qu’il abandonne enfin le fauteuil roulant pour une paire abjecte de béquilles et s’essaye à évoluer autour des autres sans noms de son âge, on l’arrache à son petit cocon miteux, pour le glisser dans deux paires de bras si chaleureux qu’il n’a pas eu la présence d’esprit d’avoir peur.

Rolthmeir coupé au couteau dans son âme, le myocarde emballé à l’idée de découvrir l’extérieur ; il ne l’avait, jusqu’à présent, que contemplé depuis sa fenêtre sale, à rêver de la caresse du vent et de l’odeur piquante des cyprès fraîchement taillés. Maintenant qu’il est porté, avec la délicatesse seyant à son statut de poupée précieuse, jusque dans une voiture débordante de toute la richesse du monde, il a à peine le temps de prendre une inspiration.

Nouvel environnement dans lequel il évolue pendant deux douces années jusqu’à ce que, alors-même qu’il s’apprête à fêter son onzième anniversaire, le destin fait s’écrouler les remparts de son quotidien et Hyacinthe se voit expédier à Poudlard. Si l’une de ses douces mères chantait constamment les louanges de la belle capitale française, c’est bien le métier de l’autre qui les a poussées, douze mois après l’arrivée de l’enfant dans leur vie, à déménager dans les entrailles de la Londres – majestueuse, à son humble avis.

De fait pris par surprise – d’autant plus en apprenant que son anglaise de maternelle avait dû dévoiler ses propres origines magiques, et se retenir de surcroît d’écraser l’infirme entre ses bras solides – et envoyé, dès la rentrée, dans les contrées étrangères du monde de la magie et des sorciers, Hyacinthe n’a eu d’autre choix que de subir les nouvelles affres de la vie. Habitué à la scolarisation par correspondance et pourtant condamné à survivre, seul, au milieu d’une foule dense de tous âges, Hyacinthe a d’abord vécu le transfert comme une punition, une façon comme une autre de le faire payer pour des péchés dont il n’avait aucun souvenir.

C’est au travers de l’enseignement d’un professeur, bonne âme qui, sur la fin de sa première année chaotique, s’était épris du petit élève curieux, que Hyacinthe a pu trouver une réelle utilité à ses capacités toutes nouvelles. Cours supplémentaires et intensifs pour maîtriser la légilimancie, il lui aura fallu une longue année et demie pour enfin se glisser dans les tréfonds et les pensées les plus secrètes de ses interlocuteurs – curiosité nourrie d’une part, communication allégée d’une autre.

S’il commençât par haïr Poudlard et le surplus presque insultant d’escaliers et d’embûches en tous genres sur son chemin hasardeux, il a rapidement su faire ses marques, trouver des endroits dans lesquels se réfugier pour feuilleter quelque livre inconnu, griffonner quelque poème des plus personnels ou encore, à l’aide d’un bout de charbon, décorer quelque feuille pâle de croquis difformes, impressions pures de ses souvenirs à moitié emmêlés.

Maintenant enfant d’une mère veuve, lui-même meurtri par la perte précipitée mais pourtant prévisible de l’une de ses sauveuses, il essaie tant bien que mal d’endurcir les contours encore frêles de son myocarde saturé d’émotions démesurées.
freak;
too much
to dream;
baguette magique —— tilleul argenté, épine de monstre du fleuve blanc. plutôt flexible, de taille normale.
épouvantard —— un clown
patronus —— une loutre
reflet du miroir de rised —— lui, sans sa maladie
odeur de l'amortencia —— pétrichor, avec un brin de rosée et de caramel légèrement brûlé
matière favorite —— étude des moldus
bonbon favori —— seraphina :/
créature inspirante —— le phoenix
animal de compagnie —— antarès, une chauve-souris adorable ok


Dernière édition par Hyacinthe Rolthmeir le Lun 12 Mar - 18:11, édité 13 fois
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Re: spin lies into fairy dust, Sam 3 Mar - 22:23

AAAAAAAAAAAAAAA
OU EST LA SUITE
JTM
hug hug
LE CODAGE DE CETTE FICHE EST SI BEAU et tout est beau de toute façon
pls pls
méga hâte de rp avec ce babe je me meurs aled
je fond
hel
p

aa
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Re: spin lies into fairy dust, Sam 3 Mar - 23:03

waw waw waw waw waw

j' a d o r e
hn.
Béring Leszczynski
Not your princess, tocard
Not your princess, tocard
Béring Leszczynski
Messages : 456
Points : 844
En couple avec : Personne - donc pas avec un tocard. (Hennessy is watching you)
Re: spin lies into fairy dust, Sam 3 Mar - 23:06

JE TE DETESTE POURQUOI TU ME FAIS TOMBER AMOUREUSE DE TON PERSO COMME CA LA cry ??
Ta fiche est de toute beauté dépêche toi de la finir je veux lire et je te need dans ma vie rub
L. Andy Ollivander
Cracmolle-en-chef et propriété de Felix
Cracmolle-en-chef et propriété de Felix
L. Andy Ollivander
Messages : 1879
Points : 1792
Re: spin lies into fairy dust, Sam 3 Mar - 23:25

pls

c'est tellement beau j'en peux plus cro
pourquoi tu me brises le coeur comme ça ? cro
en plus en 5e année :'(
need a lien avec nessie jpp.

Je t'aime hug
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Re: spin lies into fairy dust, Dim 4 Mar - 0:04

bon je debarque avec des musiques de cassos mais tmtc
2010 so fresh



BABY DONT WORRY
U R MY ONLY
U WONT BE LONELY
BBY R U DOWN DOWN DOWN
+++ shawty's like a melody in my head pcq why the fuck not :)))
bref tu sais ce que je pense de hya il est so fab so fluffy et sweet comme toi (coincidence??? i think not bitch) ily ily hate de voir le reste love love love
je suis le cuddlebug a ton honeypuff 4ever
finis ca vite mon amr
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Re: spin lies into fairy dust, Dim 4 Mar - 9:59

Jpp comment tu envoies trop du rêve
Je sais pas quoi dire juste que jsp pourquoi c'est pas fini ???
Et je bug devant le -e à la fin du prénom mais osef
Ce perso va être un amouuuuur je le sens omg jpp
hug hug
Fenry D. Williams
Captain Queenie Bitch
Captain Queenie Bitch
Fenry D. Williams
Messages : 1586
Points : 1728
Re: spin lies into fairy dust, Mar 6 Mar - 12:03

J'allais demander qd on se marie mais dans mes souvenirs on est déjà mariés
J'avais mm pas vu que t'avais posté ta fiche jsavais mm pas tu faisais un dc est ce que je suis une amie indigne
Ily g hâte de la suite
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Re: spin lies into fairy dust, Mar 6 Mar - 13:24

Epouse-moi ; tu es parfait. j'adore. je te réserve des liens.
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Re: spin lies into fairy dust, Mar 6 Mar - 14:21

@croyance a. halloway elle est là la suite!!!! jpp t'es trop adorbs mon bb oreo, jte bouffe love

@marguerite france jtm cry

@béring leszczynski AIME LE STP IL A BESOIN DE BCP DAMOUR cry trop ready à faire partie de ta vie bb tkt j'addire

@l. andy ollivander archi chaude pour un lien amour, je veux ok jen ai physiquement besoin, merci jtm jtm jtmj tm

@seraphina e. vladislava mon cuddlebug hug tmtc are u down down down down down ptn tu mas fait repartir en 2010 jvais finir par te chanter STEREO ça va te calmer
ily +++++ que tt, get ready pour les softies

@ellia fitzgerald !!!! MERCI BB AIE
le e c'est pcq son nom vient du personnage de la mythologie, en fr ça sécrit comme ça cry

@fenry d. williams tkt t pas une amie indigne c moi g rien dit mdr trop secrète je suis pls viens on se remarie

@s.a fallen blackwell quand tu veux im yours, I WANT IT ALL

&&&& j'ai add le cara
rdv en 2019 pour l'histoire, si j'ai la foi
bsx
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Re: spin lies into fairy dust, Mer 7 Mar - 17:36

omg je je je la fiche le codage c'est parfait, et ce petit bébé, non il est trop chou, beaucoup trop bien écrit je suis amoureuse pls
Invité
Invité
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Re: spin lies into fairy dust, Jeu 8 Mar - 23:27

lee jihoon

c'est tout ce que j'ai à dire
(sale kboo)
(jdec oppa >///<)

jpp il est trop soft sinn

rebienvenue <3
Billy Catwright
mage level 42
mage level 42
Billy Catwright
Messages : 636
Points : 809
Re: spin lies into fairy dust, Dim 11 Mar - 17:52

La petite couronne qui tombe pile au-dessus de l'image du rang ? 10/10
L'esthétisme de la fiche ? 10/10
Et ce perso est si doux
(viens à Pouffy stp qu'on ait enfin un lien Floyd me fait trop peur)

Rebienvenue ! love
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Re: spin lies into fairy dust, Lun 12 Mar - 2:26

ITAI il wey pwafay >wwwwww<""" il fait a e s the t i cc
et putain que tu écris bien franchement quoi
écris moi un poem des mots d'amours DES MOTS DE TOUS LES JOURS pls
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Re: spin lies into fairy dust, Lun 12 Mar - 18:04

@jason earnshaw pls ok tu mas tué c moi qui suis amoureuse c bon circule je suis outragée

@constance deschenes il est plus vieux que toi donc tas intérêt à lui montrer du respect ^^ jtm

@billy catwright oui gt dead pour la couronne, c le destin tqt
merci ptn t trop sweet les larmes sont réelles love
& cry cry cry jai tjrs voulu un lien avec billy mais oui avec flo cest,,, compliqué,,, mais tqt on va rattraper ça inch'allah je serai pouffy

@"achille e. kasparov" je sais que jvais foirer ton @ pcq jai pas laccent sur le a mais ntr avec cet accent
cela dit
jtm<333 t trop mims promis je t'écris des mots doux qd tu veux pls love
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spin lies into fairy dust,
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