Kôsuke Wyatt

Kôsuke est né en Angleterre. Sa mère, femme japonaise était une historienne. Quant à son père, il était un coach sportif. Tout deux avaient toujours eu des journées chargées. Malgré cela, Kôsuke avait toujours la présence de l'un de ses parents avec lui. Son père, simple moldu entraînait essentiellement les femmes afin qu'elle puisse perdre du poids ou retrouver la forme. Sa mère, une cracmol, était une historienne qui relatait des infos d'après des faits que des personnes semblaient lui rapporter.

Kôsuke pu vivre une enfance pour le moins assez banale. Hormis le fait que la maison de ses parents étaient de type orientale. Sa mère avait tenu à ce qu'elle le soit. Et son époux, adorant aussi le Japon n'y avait pas vu d'objection à ce que ce soit le cas. Ses parents lui inculquaient les bases. Soit à sa voir lire, écrire et marcher. Mais aussi à parler en anglais et japonais. Sa mère avait beaucoup insisté sur ce dernier point. Comme si cela était important.

Vers ses dix ans, Kôsuke s'était fait des amis. Des gens de son âge avec qui il s'amusait énormément en jouant au foot avec eux. Hélas, un soir, Kôsuke était rentré tard. Il avait joué un peu trop longtemps avec ses amis et bien qu'il avait souhaité la bienvenue en rentrant, personne n'était venu le voir. Toutefois, il entendait des cris venant de la salle à manger. S'avançant en voyant une légère lueur, Kôsuke posa sa main sur le mur avant de pencher sa tête sur le côté. Il regardait alors d'un oeil ce qu'il se passait.

Son père était en train de poignarder sa femme avec un couteau de cuisine tout en lui criant après. "Saleté de sorcière. Tu n'es pas humaine. Meurs. Meurs! Meurs!!!" Puis, alors qu'il disait cela, il remarquait Kôsuke. Il allait vers lui en marchant avec un sourire sadique sur le visage. Kôsuke était terrifié, apeuré même. A tel point qu'il utilisa sans le savoir de la magie. Cela avait eu pour effet d'amplifier les flammes sous la casserole et mettre le feu à la cuisine annexé au salon. Petit à petit, le feu prit place alors que Kôsuke s'enfuit dans sa chambre pour s'enfermer. Son père, avec le couteau charcutait la porte et alors qu'il passait au travers de la porte, une explosion de gaz surgit. Le souffle de flamme provoquer par l'explosion souffla son père qui s'écroulait de douleur. Kôsuke s'effondra par manque d'oxygène, mais fut sauver par les pompiers. Mais ses parents, périrent sous l'incident. Tout du moins, d'après les pompiers.

Kôsuke put sortir de l'hôpital après quelques jours seulement, mais il était seul. L'endroit où il vivait avait été brûlé et il n'avait pas de parents proches. Personne pour s'occuper de lui. Et ses amis ne s'approchaient plus de lui. Il était rejeté, devenu un paria de la société moldu et ne savait plus où il en était. Pourtant, bien qu'il n'en avait conscience. Il avait toujours de la famille. Du côté de sa mère. Cependant, ayant dénigré la mère de Kôsuke, il ne préférait pas interagir directement avec sa descendance.

Pendant plusieurs mois, Kôsuke était livré à lui-même au sein de Londres. A travailler pour survivre, que ce soit comme livreur de journaux, cireur de chaussures ou autre petits boulots. Tout du moins, jusqu'au jour où il reçu une lettre. Un hibou était venu lui apporter son admission pour une école de sorcellerie. Ne comprenant pas trop, il lisait tout plusieurs fois. Et trouvant cela plus sympa que de faire des petits boulots, il choisit de s'y rendre après plusieurs jours de réflexion. Ce qu'il l'a décidé ? Une autre lettre reçu d'une personne anonyme. Elle lui faisait mention  du chaudron baveur, d'un chemin où il y a des boutiques et d'une banque. Il y avait eu aussi une clef à l'intérieur.

Kôsuke comprit une fois sur les lieux qu'il s'agissait des magasins pour acheter le nécessaire demander pour l'école. Et la clef était celle donnant à un coffre où il y avait de l'argent. Il n'y avait pas grand chose juste le double du nécessaire pour les achats. Mais il ne prenait que l'argent nécessaire pour faire les achats de l'école.

Une fois qu'il avait fait ses achats, il retournait à sa vie de tout les jours jusqu'au moment il devait se rendre à POudlard en montant dans le poudlard express. Et sa première année à POudlard changeait radicalement sa vision de la vie qu'il avait. Si bien qu'il se donnait à fond dans ses études tout en s'amusant.

Il était ravi d'être dans la maison où il se trouvait et cherchait toujours s'améliorer au fil des années qui s'écoulaient. Toutefois, chaque vacances, il reçevait une lettre lui parlant un peu plus de sa famille au japon. C'est ainsi qu'il apprit qu'il avait encore de la famille et que s'était eux qui lui avait payé une petite maison en campagne à la condition qu'il se débrouille par lui-même. Kôsuke continuait à travailler dans le monde moldu, mais avec une grande réticence. Bien qu'il ne veuille plus sans souvenir. Parfois, il se souvient de cette nuit avec son père et son couteau, ce qui l'effrayait encore.

Les années s'écoulaient et il montrait de plus en plus une passion pour les balais et le quidditch. Cependant, il n'a jamais voulu faire partie d'une équipe. Il adorait plus observer et voir les différentes stratégies qu'offraient les différentes équipes. Kôsuke faisait toujours de longues analyse en ayant prenant un parchemin et une plume pour chaque match.

Kôsuke montrait une grande envie d'apprendre, mais surtout une grande envie de travailler pour aider les autres plus tard et étendre ses connaissances sur certains sujets. Notamment en rapport à la réparation et création de balais et sur le quidditch. S'était ses sujets de recherches favoris.

Mais ne voulant pas terminer de suite ses études, il entame deux licences. Une en arts magiques et l'autre dans les sports magiques. Ce sera s'en doute assez dur, mais il a confiance en son acharnement. Et puis, pour ce qu'il souhaite faire, il n'avait pas l'intention de se relâcher.

Une année s'était alors écoulé et aujourd'hui, à 19 ans, il se trouvait être dans sa seconde année pour ses licences. Le seul hic, s'était que sa famille au japon souhaitait qu'il puisse trouver une petite-amie à emmener avec lui pour les prochaines vacances à la fin de ses études pour qu'elle puisse leur être présenter. Une tâche bien compliquée pour lui.