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Pâteuse, coups bas et mesquineries — Pan

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Pâteuse, coups bas et mesquineries — Pan Ven 26 Oct - 2:38

Le livre de l'infâmie

Le corps abandonné dans la douceur molletonnée des couvertures, Uther avait la sensation de dériver, livré aux lois de l’apesanteur. La tête rejetée en arrière sur ce qui ressemblait fortement à une robe de sorcier sale, il s’escrimait à tirer de sous les draps l’objet pointu qui lui meurtrissait dans le dos. Une –bien trop courte- nuit passée à esquiver les coups de butoirs de cet objet non identifié l’avait laissé dans un état veille hasardeux. Le weekend touchait à sa fin et, maussade, il lui semblait déjà entrevoir la pile criante des devoirs inachevés. Il y avait quelque chose de déprimant à subir l’autorité du corps enseignant passé dix-sept ans.

Dans une ultime contorsion, il extirpa l’objet de son tourment. C’était un livre et, il lui resta dans la main. D’abord, Uther le considéra d’un air un peu hagard, parce qu’il ne voyait pas très bien pour quelle raison il aurait laissé un livre traîner dans sa literie. Il se montrait toujours soigneux avec ses affaires d’habitude, à plus forte raison quand il s’agissait de manuels empruntés à la bibliothèque. Sauf si… comment avait-il pu oublier ?

La débauche de la veille l’avait laissé exténué sur le premier lit vide qu’il avait trouvé à sa disposition. Il s’était endormi dans le dortoir des neuvièmes années.

L’aménagement de la pièce était presque similaire à celle où lui-même avait l’habitude de dormir. Il était aisé de se tromper en pleine nuit, encore plus lorsque l’on avait bu. Autour de lui, un chaos serein roulait sa bosse : quelques étudiants endormis, ou salement amochés par une gueule de bois des familles. Plus rare : de-ci de-là, deux ou trois étudiantes, qui semblaient avoir profité de l’occasion pour enfreindre un certain nombre de règlements. Il se gratta la tête, un peu perdu dans ce tableau inhabituel.

Au moins avait-il conservé tous ses vêtements lui.

Se redressant, il baissa à nouveau les yeux sur le livre. Il avait d’abord cru qu’il s’agissait d’un livre de bibliothèque, mais quelque chose attira son attention. Celui-ci était parfaitement enveloppé dans une couverture de cuir, cornée aux entours et patinée par les ans. Sur la tranche, une cotation en runes, énigmatique, commençait à s’effacer. Mais ce qui retint l’attention d’Uther, ce fut la couleur des pages. D’un blanc immaculé et propre qui respirait le livre tout neuf. Piqué par la curiosité, il l’ouvrit à la première page. Vierge. La seconde page. Toute aussi blanche.

Il en fit défiler quelques-unes, intrigué. Qui pouvait bien conserver un livre de cette taille, entièrement vide, dans son lit ? Il ne trouva la réponse à sa question qu’en arrivant à la vingt-et-unième page du volume. Elle s’ouvrit royalement dans un bruit mat, sur une collection de morceaux de parchemins et de post-its fourrés à la va-vite, coincés dans la reliure. Il lut alors.

@Ruben Damon
Les gryffs devraient avoir honte d’avoir un ancient ptit gros en capitaine de quidditch. Qu’il est con comme ses pieds ! S’il finit sportif, quand il aura fini a carrière plus personne ne se rappellera de lui de toute manière donc ça sert à rien de rester amis éternellement.

Voilà qui était pour le moins inattendu. Intérieurement, il se demanda qui était Ruben Damon. Manifestement un poids mort pour l’auteur du mot. Il poursuivit.

@Soleil A. Nilsson
Elle aura beau se faire ramoner par les plus grands, elle ne pourra jamais être quelqu’un.

La pauvre fille avait dû éconduire un prétendant un peu trop accroché. Ça respirait le seum. Uther constata que l’écriture variait : il devait être deux, voire trois dans le coup. Sans doute s’agissait-il d’un jeu entre serpents comme lui-même avait pu en pratiquer étant plus jeune. Mais il fut vite détrompé en reconnaissant un nom familier.

@Hazel E. Avery
Elle a aucun avenir […] elle vie aux dépends de sa famille […] m’étonnerait pas qu’elle se fasse son propre oncle.

Un ricanement lui échappa : ça, c’était méchant, perfide, et sacrément piquant. Lui n’aurait pas voulu, pour tous les gallions du monde, dormir avec pareil torchon sous son lit. Si cela tombait entre les mains d’Hazel, il y avait fort à parier qu’elle mènerait l’enquête avec tous les moyens dont elle disposait. Ce serait un pugilat. Prenant la direction du couloir, il souleva l'un des post-its pour lire les mentions cachées. Le florilège de critiques, toujours plus virulentes, semblait pouvoir se renouveler à l'infini.

@Trésor Van Eck
Putain, faut apprendre à prononcer correctement les syllabes avant d’ouvrir sa bouche. Impertinent […] en a plus d’un qui le claquerait bien !

Une mou peu convaincue: les auteurs l'avaient habitué à plus trash. Il fit une halte dans les escaliers pour porter le texte à la lumière. Il devenait plus brouillon, plus difficile à lire.

@L. Andy Ollivander
C’est une écervelée […] devenue préfète en chef sous prétexte qu’il fallait respecter un quota de cracmols.

Il y avait de l'idée, mais il était secrètement satisfait de savoir qu'il n'était pas le seul à avoir remarqué cette discrimination "positive". En tournant la page, une inscription à la plume noire, grossièrement griffonnée sur le papier, attira son attention.

@Fenry D. Williams

Pâteuse, coups bas et mesquineries — Pan 1540511051-grognasse

Alors qu'il s'employait à déchiffrer le gribouillage colérique, il percuta quelque chose de plein fouet.


Dernière édition par Uther Windsey le Jeu 1 Nov - 23:11, édité 1 fois
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Re: Pâteuse, coups bas et mesquineries — Pan Ven 26 Oct - 3:42

moi j'aurais voulu l'hiver venu que les ardeurs se tassent s'effacent sans efforts
pan avait fini par s'échouer chez les serdaigles, trouver un apaisement dans des draps inoccupés ; les fins de fête émeraude finissaient souvent en un capharnaüm désœuvré et il n'était question de se passer du sommeil. ils n'avaient rien à envier aux gryffondors.
il ne sait pas par quelle force il avait grimpé mais il l'avait fait et il s'était glissé sereinement jusqu'à la chambre de selene qui l'accueillait toujours s'il était question d'attraper des étoiles inexistantes. il n'y'avait jamais rien eu de controversé entre eux et on devinait la simplicité de leur tendresse dans ces instants : uniquement deux êtres qui cohabitaient pour l'histoire de quelques instants, dans une symbiose quiète.
pan n'avait pas bu car il n'était pas de ces grandes humeurs, il préférait contempler les astres briller et s'entrechoquer ; prévoir leur destruction aussi sûrement.

le voilà à son aube bien tranquille, sans grimace parce qu'il n'y'a aucune douleur à se lever et surtout rien à affronter : que des chamailleries de grands enfants aux côtés d'une personne chère en prévision.

pourtant il doit s'éteindre de chez les bleus. après tout il fuit les sanctions comme la jeunesse patibulaire et il mérite une bonne douche chez les serpentards. il ne fallait pas trop tarder et regagner les dortoirs avant que les âmes en peine s'éveillent peu à peu et qu'il faille affronter des silhouettes encore endormies et lentes.
ses pas sont prestes et il met un peu ses cheveux en place pour avoir bonne prestance, renfile sa robe de sorcier froissée en s'assurant de ne pas avoir oublié sa baguette et le revoilà parti. il s'esquisse dans les couloirs et descend les marches deux à deux, l'esprit ailleurs.

avec une violence inattendue, au détour d'un lieu encore silencieux, le malin tangue quelque peu pour se reprendre sur ses appuis, les prunelles écarquillées.
il ne s'excuse jamais.
il a pourtant un rire solaire car pan brille en toutes circonstances et qu'il faut bien faire semblant ; il connaît ton visage car personne n'y'est indifférent.

ah, windsey de si bon matin !

il s'étend dans un sourire de plastique pendant que ses yeux descendent peu à peu dans l'épais ouvrage familier.
trop familier.
il s'approche d'un pas, pendant que son souffle tremble, te fixe dans les yeux sans douter un instant, la poitrine battant en s'écriant faussement.
tu as trouvé ça où ? ça ne devrait pas être entre tes mains, c'est des conneries pour rire.
d'un mouvement qui se veut rapide bien qu'il n'a jamais été bon lutteur, il tente d'y apposer ses mains pour te l'arracher, les doigts fébriles des émotions.

c'est un secret à plusieurs. c'est surtout lui l'auteur, mais c'est avec des camarades de classe oui ; il dicte et ils écrivent. il s'amuse petit soleil de cracher tout bas, pour coucher sur papier. il ne se souvient même pas de chaque lettre gravée.

on ne prononce pas ce qu'il y'a dedans, des mots à oublier, des conneries de mauvaises langues et surtout qu'il ressente le besoin de préciser la nature du sujet prouve bien sa culpabilité. sa risette est belle mais ses sourcils froncés sont laids, c'est l'apothéose de son hypocrisie.
il sort ses dernières armes pour tenter de te voler les tiennes.
BY MITZI
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Re: Pâteuse, coups bas et mesquineries — Pan Dim 28 Oct - 3:03

Le livre de l'infâmie

Dé-li-cieux. Déambuler, perdu dans la lecture d’un chef-d’œuvre de littérature et, être percuté de plein fouet au petit matin. Comment peut-on ne pas devenir misanthrope après cette mise en bouche ? Pour sa part, Uther n’eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait : il se sentit projeté en arrière et, heurta durement le mur de pierre. Fort heureusement, il n’avait pas été bousculé dans le sens de la descente, la chute n’en aurait été que plus douloureuse.
Il fronça les sourcils et tâcha de reprendre une contenance, considérant avec agacement la personne qui l’avait si grossièrement tiré de ses réflexions.

Il s’agissait de Pan Rhee, un autre serpentard, d’un an plus âgé, qui semblait avoir eut ce matin, le mauvais goût de se mouvoir sans prêter attention à son environnement. Planté au beau milieu du couloir il lui adressait un grand sourire qui disait « sans rancune vieux » et semblait tout prêt de lui donner l’accolade pour se faire pardonner. Ils ne s’étaient jamais vraiment fréquentés. Uther le tenait pour un ancien ami d’Hazel. Et seul dieu savait à quel point les amitiés d’Hazel étaient nombreuses.

C’est pourquoi il s’employa à considérer Pan d’un air méfiant. Sa mine rayonnante, sa robe de sorcier froissée et ses cheveux en désordre : tout dans sa physionomie criait une nuit de débauche et de luxure. Il observa, non sans délice, son beau visage se décomposer en tombant sur l’ouvrage qu’il tenait sous le bras.

D’un geste preste, il maintint le livre hors de portée de son interlocuteur.

Je ne suis pas sûr de comprendre de quoi tu parles… à dire vrai, je viens à peine de l’ouvrir.

Un sourire presque imperceptible poignait au coin de sa bouche. Il n’était pas encore très sûr de comprendre la valeur de ce qu’il détenait entre ses mains, mais il saurait à coup sûr faire fructifier sa trouvaille.

Les lèvres de Pan s’étiraient en un rictus plein de tension dissimulée. Uther plongea son regard dans le sien : ce qu’il aimait par-dessus tout, c’était constater l’effet de ses paroles dans les yeux d’autrui.

À moins peut-être, que ce soit à toi que je doive le rendre ?


Dernière édition par Uther Windsey le Jeu 1 Nov - 23:13, édité 1 fois
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Re: Pâteuse, coups bas et mesquineries — Pan Mer 31 Oct - 2:13

moi j'aurais voulu l'hiver venu que les ardeurs se tassent s'effacent sans efforts
tu es lent et tu sembles en jouer, sa prise lui échappe et il trépigne de ton insolence - sale gamin, qu'il pense.
si tu es un an plus jeune tu le dépasses bien largement dans ta hauteur, le carnet lui est donc intouchable et il n'aurait pas l'audace de se coller à toi pour le récupérer.
pan a un minimum de décence pour maintenant les apparences dans sa frustration. il agite ses doigts crispés et réaffirme son sourire dans un éclat de rire informe, un rejeton de son incompréhension.

que veux-tu, windsey ; qu'il a sur les lèvres.
que veux-tu avec tes airs irrévérencieux et à jouer avec sa patience matinale ?
il rabaisse son bras et s'efforce à rester plat pour que tu n'aies rien à lui reprocher. imperturbable dans le drame qui se découle et malgré son coeur qui se serre.

oui c'est à moi, sinon je ne te le demanderai pas ! je peux savoir ce qui t'a fait penser que tu pouvais lire le contenu ?

son amertume est plus grande que sa raison et on connaît pan imprévisible, répondant parfois au gré de ses caprices.
mais il n'a pas la bonne place pour exiger qu'on réponde à ses lubies, ses petites envies princières.
c'est inconvenant toutefois de fouilles les affaires d'autrui et il ressent le besoin de le préciser hâtivement, la méchanceté lui brûlant le thorax.

et surtout de fouiller dans mes affaires ? je savais pas que t'étais un voleur.

il n'a pas assez de mots et tout lui échappe, il ne sait pas où il veut en venir mais il a une seule certitude : affirmer que faute est tienne à t'accaparer ce qui appartient à autrui. détourner l'attention du contenu sur tes erreurs pour avoir la paix et espérer que tu oublies. et si tu te montres réticent, il n'aura qu'à lever sa baguette pour que tu ne puisses te remémorer.

son plan semble infaillible.
BY MITZI
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Re: Pâteuse, coups bas et mesquineries — Pan Mar 25 Déc - 18:33

Le livre de l'infâmie

Pan, ce bel oiseau de nuit, changea de couleur. Uther se sentait pousser des ailes, il avait le sentiment d’avoir pris l’ascendant sur le jeune homme sans faire le moindre effort. Mais comme il ne fallait jamais vendre la peau du cerbère avant de l’avoir tué –conseil de son père-, il se reteint de jubiler trop ouvertement. Un sourire narquois étira les coins de sa bouche tandis qu’il descendait d’une marche.

Disons que la soirée a été bien animée… et ceci –il agitait le carnet avec nonchalance- m’a servi d’oreiller.

Un silence inconfortable se fit. Uther aimait laisser à son interlocuteur tout le loisir d’imaginer ce qui avait pu se produire au cours de la fête… quelles bacchanales les avaient conduit à échouer dans les draps de Pan. Il le considérait avec l’air d’un oiseau de proie contemplant son dîner. ¨Peut-être la journée ne serait-elle pas si ennuyeuse que le réveil l’avait laissé présager. Ajoutant une pierre à l’édifice de sa perfidie, le sorcier enfonça un peu plus le clou.

Mais comment pourrais-tu le savoir ? N’étais-tu pas occupé ailleurs ?

Il y avait quelque chose d’extrêmement jouissif à soumettre autrui aux pires tourments. Plus encore quand le sujet de ces persécutions était aussi réceptif que Pan Rhee. Une langue bien pendue, les yeux partout, une réputation qui n’était plus à faire, c’était précisément ce qui intéressait Uther. Le journal de l’école ne se gênait plus désormais, pour répandre des rumeurs explicites au sujet de la sexualité du jeune homme qui, à en juger par ses airs emportés et son caractère imprévisible, aurait voulu en conserver le secret. En outre, il se fichait bien de savoir si ce que l’on racontait était vrai ou non. Tout ce qui lui importait, c’était de tirer parti des craintes de ses camarades, de tisser une toile aux ramifications tentaculaires entre ces têtes bien faites pour parvenir à ses fins.

Dans un geste d’affliction feinte, il posa la main sur l’épaule du jeune sorcier. Quiconque aurait emprunté l’escalier à cet instant aurait pu penser qu’ils étaient occupés à discuter en aparté comme deux élèves d’une même maison. La plaisanterie n’en était que plus belle. Uther se pencha pour murmurer quelques mots à l’oreille de Pan.

Tu peux récupérer ton torchon. Il ne ferait même pas une bonne flambée.

La reliure du carnet entra en contact avec son abdomen, plantée dans ses cotes sans ménagement. Sans doute les menaces avaient-elles fait passer à Uther le goût de la plaisanterie. Peut-être s’agissait-il d’une ultime manœuvre –pitoyable- pour se faire respecter, mais ce qu’il dit alors n’avait plus la désinvolture de leur premier échange.

Et comme nous sommes de bons amis, je saurais me rappeler que tu me dois un service.

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Re: Pâteuse, coups bas et mesquineries — Pan Lun 14 Jan - 0:14

moi j'aurais voulu l'hiver venu que les ardeurs se tassent s'effacent sans efforts
c'est un enfant tout à fait nerveux et peu disposé à reluire grâce à de grandes phrases et de coups bien placés. tout d'un coup il n'a plus aucune arme contre toi et il sent dénudé, son horreur intime mise à l'air libre. tu le scrutes. ça le met mal à l'aise dans sa pudeur sentimentale et il sent ton sourire à la lame étrange (à la fois émoussée et tranchante - c'est indescriptible) rentrer dans son épiderme tendre et juvénile qui a connu bien pire. pan ne s'habitue pas vraiment à la douleur de la sincérité.
si c'est vrai.

ton mépris lui tire une grimace tordue et il récupère son carnet la gorge serrée, le serrant tout contre lui comme quand on rend à un enfant sa peluche fétiche. ça a le goût d'être chez soi dans sa bouche quand il retrouve la sensation du cuir usé sur le bout des doigts. il s'efforce à afficher un sourire, voilà loin la rébellion d'il y'a quelques instants. elle n'aura pas duré sous le poids de la raison. la proximité des paroles ne le dérange pas parce qu'il est maître tactile et que ses passes-passes se jouent eux-aussi dans l’intrusion et donne l'impression d'un lien très fort soudain, naturel.
je m'en suis douté. les bons amis n'ont pas de service à se rendre mais si ça te fait plaisir, tu sais où me trouver.
parce que tu connais son existence et tu as même dormi là où il passe habituellement ses nuits ; il est lié à toi par l'exigence d'un pacte à double sens. tu ne diras rien s'il exécute bien tranquillement ce qu'il demande. en réalité, pan est soulagé de la légèreté de votre accord puisqu'il n'a jamais eu l'habitude d'être un meneur et se positionne bien tranquillement en suiveur pour ne faire, aux premiers abords, de mal à personne.
il hoche doucement de la tête dans un bâillement et tente de se dérober dans un sourire crispé, allant pour te contourner et finir de descendre les escaliers.
bonne matinée je
BY MITZI
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Pâteuse, coups bas et mesquineries — Pan
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