t'as un truc pour le timing de merde toi - M.Jernigan qui t'attrape une corne de brume à gaz à la main alors que tu te diriges vers le bureau de M.Meadows est un exemple entre autre. Pour ta défense, le professeur d'études de moldus aurait surement adoré ton prank. Vous auriez surement continué ça avec des dadjokes sur le mot gaz et toutes les possibilités que vous offrent le vocabulaire entre vos mains, aurais-tu réussi à passer ses portes. mais non, il a fallu que le prof d'études de sorcier te voie. t'as souri le long de son passage de savon - ce petit sourire poli et défaitiste, silencieux. celle d'après c'est la baguette pointée sur le visage de Beckett. ce qu'il a fait ? regarder edea trop longtemps ou exister. tu sais plus, bref. l'as-tu menacé ? oui. allais-tu lui faire quoi que ce soit ? ...un glittertchoum peut-être. peut-être. bref ça a mal fini.
tu venais à la salle de cinéma après un cours fastidieux de dév magique du magicnet. beaucoup de code, ou plutôt d'écriture, pas brute sur la machine mais à la baguette, beaucoup de sorts pour communiquer ce qu'on souhaite aux ordinateurs... approche d'algorithmes et mise en application de cette logique dans le magicnet. ça marche au trial & error, aimer ça rend le tout moins chiant, mais la quantité de travail est là toujours tu travaillais le soir quand attention n'était pas dissidente, mais le peu de sommeil a des effets sur toi notoires. et là, owain t'avais besoin d'un break.
((séries sont plus accessibles sur sites de streaming et netflix, expliquant le peu de personne dans la salle de cinéma. ça ou... le peu de renouvellement des films y passant en boucle et avec, à son avis pas de gout. ou aussi qu'ils se soient recemment mis à diffuser des séries auxquelles personne n'a jamais entendu parler. le serpentard venait alors, la tête pleine à l'idée de découvrir - et evidemment en oubliant de regarder les horaires. il avait tremblé de dégout en mettant un pied dans la salle, reconnaissant un générique des
braises idylliques série à l'eau de rose très vieille et ayant mal vieilli avec ça.))
drôle à dire pour quelqu'un qui aime des films des années 90, peut-être. t'as l'oeil sur l'écran au loin, d'un oeil désapprobateur. le travail du cadrage, des plans, de l’enchaînement de ses derniers n'a rien de spectaculaire - au vu du genre, on s'y attend. quant au scénario, ew. blond, tu descends les marches tranquillement quand lui vint un bruit sourd d'étouffement, en sanglots exactement. arrêt sur image, et toi tu te tournes en sa direction.
▬
"Monsieur Baxter... Vous êtes toujours là au pire moment... Mais on va dire que vous n'avez rien vu, d'accord ?"ça joue à ça ? ok.
▬ "
Monsieur Jern-" ton descend, les yeux aussi, sur les larmes comme pour dire que c'est maintenant que tu les vois vraiment. owain qui regarde autour d'eux - mais surtout de lui reprend : "
...avec tout le respect que je te dois, pleurer devant un film cul-cul c'est tellement cliché - tu descends dans mon estime."
tes mains derrière toi owain, lançant de ton pinneaple de quoi enregistrer la conversation.
▬"
On achète pas mon silence si facilement, j'ferme les yeux sur ça et tu me laisses lorsque tu me vois dans les couloirs. y'a moyen qu'on s'arrange, n'est-ce pas ?"
l'enregistrement c'est qu'un moyen de pression s'il se dédouane de ses promesses, si quelqu'un d'autre que le professeur ou lui l'entendait, il seraient tout deux vendus.