a legacy to protect ♕ theodosia Sam 14 Oct - 1:33 | |
| Theodosia P. Gaunt " It wouldn't be proper " Prénom(s) & Nom theodosia primrose gaunt. Surnom(s) rosie, prim, ou dosia. tu as theo en horreur. Age 17 ans. Orientation sexuelle attirée par les gens libres. Origine comme ton frère, tu as vu le jour à little hangleton. Sang sang-pur. Particularité legilimancie Année d'études 7ème année. Options ou Licence occultisme, transmutation, et base du droit et commerce magique. Avenir tu travailles avec la ferme intention de devenir chef des aurors et de rendre justice à ta lignée. Avis sur les cracmols et moldus à poudlard tu trouves leur présence à poudlard tout simplement absurde. si tu tais tes milles et unes critiques à leur encontre, tes lèvres serrées et tes regards lourds de sens dans leur direction trahissent ton opinion. Maison serpentard. Avatar original de tofuvi | |
| Baguette magique une baguette de 25 centimètres en bois de tilleul argenté. rigide sous toute sa longueur, et aussi têtue que la sorcière qui la manie. bien que son coeur en ventricule de dragon t'ait posé de nombreux problèmes, tu n'as jamais eu le coeur de t'en séparer - il n'y a, après tout, pas de mauvaises baguettes, seulement des mauvais sorciers. Épouvantard une figure au physique changeant qui s’approche en te montrant du doigt et en beuglant des reproches. il s’agit tantôt de ton grand père, de tes parents ou de ton petit frère. Odeur de l'amortencia une odeur d'hémérocalles, de sucre et de lavande. Patronus tu ne parviens pas à l'invoquer. Reflet dans le Miroir de Risèd tragiquement trouble. Matière favorite contre toute attente, soins aux créatures magiques. Bonbon favori plumes en sucre. Créature qui t’inspire le plus l'hippogriffe. vous partagez un attachement aux bonnes manières. Animal de compagnie un perroquet bleu et blanc surnommé andromeda. tu le traites avec un respect et une bienveillance qui déconcerte beaucoup. |
Caught in the undertow Can't you see that you're smothering me ? Tu es l’oiseau en cage qui fixe le monde avec envie, mais qui ne s’échappe pas quand on lui ouvre la porte. Tu es Theodosia la douce, Theodosia l’avenante, mais tu es aussi l’implacable Gaunt, l’ambitieuse, la déterminée. Une force de la nature, mais une force paisible : aux gestes gracieux et réfléchis, à la voix charmante et au ton soutenu, aux bonnes manières. Tu es calme, assurerons certains. Tu es froide, dirons les autres. Mais le constat est là - tu es un être de pragmatisme et de silence, de longues attentes. Avant d’agir, tu considères, tu tournes autour de la question, tu la prends dans ta main, la dévoile sous tous ses angles. Un esprit analytique, mais pas indécis : tu vois ce qu’il faut faire, et tu le fais - mais tu ne t’autorises pas la précipitation, l’immonde bêtise. Ce que tu veux, c’est l’excellence, le prestige - et tu l’espères, la reconnaissance qui suivra ensuite. Alors tu te dévoues à tes études, tu marches le nez dans un livre, fouillant des traités sur la magie plus ancien que toi. On te reconnaît l’intelligence - mais pas la brillance. Celle-là, on l’accorde à ton frère chez qui tout semble inné, et tu serres les poings en silence, et tu continues tes efforts. La talent qu’on t’accorde face à ta réussite, il est mûri, il est fruit d’heures passées à la lumière d’une bougie, à te perdre jusqu’aux aurores. Theodosia, tu mens - tu mens et tu joues, et tu le fais diablement bien. Jamais par malice, toujours par nécessité : mais la facilité avec laquelle tu détournes la vérité est déconcertante. Tu mens les yeux dans les yeux, terminant tes demi-vérité d’un “je le jure” si il le faut. Tu mens sans hésitation, sans réflexion, comme si il existait toujours cet autre toi prêt à sortir de l’ombre lorsqu’il est l’heure de tromper. Peut-être est-ce une conséquence de ta docilité, de ton avis changeant, jamais tout à fait tien - tu peux prétendre, n’est-ce pas toujours ce que tu fais ? Prétendre que tout va toujours bien, prétendre que tu n’as pas peur. À force, il te suffit d’un instant pour arrêter les tremblements de tes mains, pour chuchoter un “ce n’est rien”, ou acquiescer lorsque tu n’as plus l’énergie de le faire. La vérité, c’est que tu n’as pas changé : tu le prétends seulement. Ce n’est pas ton moral qui s’est endurci, ce n’est pas ton cœur qui s’est glacé, c’est ton talent pour la dissimulation qui s’est vu éprouvé, encore et encore, jusqu’à atteindre l’excellence que tu recherches en tout. - +:
surtout connue comme “rosie” puisque la longueur de son nom véritable décourage // atteinte d’une techno-phobie certaine : elle fait de son mieux pour s’adapter à la modernité, mais demeure maladroite et récalcitrante // traite les messages comme des lettres, et signe tous ses SMS avec “R.G.” pour rosie gaunt // depuis qu’un moldu l’a initié à la nintendo ds, elle s’est découverte un intérêt grandissant pour les jeux vidéos, surtout ceux en ligne // d'ailleurs très douée dans ceux-ci // elle traite cet hobby comme un secret, quelque chose dont elle devrait avoir honte // éprouve une profonde affection pour les animaux, quels qu’ils soient // résiste mal aux maladies // vue mauvaise, qui nécessite le port de lunettes pour la lecture // buveuse de thé plutôt que de café // d'une indéniable ponctualité : la seule chose qui justifie son retard, c'est de trouver un animal blessé sur la route // dans les inventions humaines dont elle reconnaît l’ingéniosité se trouve le MP3 // en revanche, les ordinateurs l’effraient toujours autant // goût terrible en film comme en roman : lorsqu’elle ne lit pas des documents académiques, elle se perd dans des livres romantiques plus clichés les uns que les autres, à la couverture franchement douteuse, comme : un amour ardent, la chaleur du désert et romance interdite // sait tout et n’importe quoi, et surtout n’importe quoi // pratiquerait la magie noire si elle n’était pas interdite : elle ne croit pas en l'existence d'une mauvaise magie, seulement en une mauvaise finalité // le jazz la calme instantanément // crève de se prouver, de rendre fier // aisément embarrassée // imprévisible // bien plus capable qu'on ne le suppose // main verte // peur du noir, de l'orage, de la solitude // dessine bien, malgré une typographie incompréhensible // saignement de nez occasionnels // frêle // n'aime pas dormir seule : elle compense avec une dizaine de peluches colorées // spécialise sa légilimancie dans la détection de mensonge // manipulatrice morale // peu tactile avec les inconnus et les simples connaissances, mais cherchent toujours le contact de ceux avec qui elle est à l'aise // yeux bleus glacials, d'une innocence aussi désarmante qu'envoûtante. son regard brûle et gèle : tous s'accordent sur combien il est difficile à supporter // lit parfois les âmes sans chercher à le faire // tendances ((auto)) destructrices // terrifiée par la violence physique et les cris : il suffit d'hausser le ton pour que ne tombent ses larmes, de lever la main trop haut pour qu'elle se protège le visage
Like memories in cold decay and we break and we make our mistakes Tu n’aimes pas ton nom. C’est laid, Gaunt. C’est trop court, c’est cassant, la langue se bloque : ça ne va à aucun de vous. Même au plus illustre de votre lignée, l’estimé Ramsay Gaunt, c’est une syllabe étrangère, intruse, austère. C’est comme une porte qui se ferme, ou le cri de douleur qui succède aux coups. Tu n’aimes pas ton nom. Et pourtant, tu le respectes. Car ce n’est pas qu’un son : C’est aussi un héritage. C’est d’interminables réunions de famille, assis autour d’une table opulente, tout en longueur et c’est toi, enfant docile qui n’ose pas quitter tes parents. C’est le regard critique de ton grand père, et tu connais ses pensées, et tu connais ses reproches - tu connais ta faiblesse. D’une timidité maladive, peinant à aligner deux mots, détournant sans cesse les yeux des autres, comme si cela suffirait à te cacher. C’est tes oui qui s’enchaînent, tes hochements de tête avenants et mesurés : tu n’étais pas une enfant rebelle, Theodosia, seulement fragile. Tes mains tremblaient lorsqu’on te tendait plus lourd qu’un vase. Un sortilège unique, et te voilà obligée de t’asseoir, les jambes balançant doucement entre ton siège et le sol. arrêtes ça, c’est agaçant, te disait tes parents, et tu arrêtais, et tu t’excusais. Les je suis désolée, tu les as répété un millier de fois, à toute les intonations - et pourtant, tes excuses n’ont jamais perdu de leur poids, de leur pesante vérité. * * * Tu n’aimes pas ton nom. Tu en partages le poids avec ton frère Esteban. Pourtant, vous n’êtes pas proches, à croire que la seule chose qui justifie vos interactions, c’est cette triste syllabe. Tu le fixes et tu le jalouses : lui à qui tout semble simple. Lui aux inexplicables lubies qui ne dérangent personne là où le moindre écart se terminait en réprimandes sévères lorsque tu étais concernée. Comme si tu n’étais qu’un essai destiné à l’usure de vos parents, pour que la pilule passe mieux avec le fils. Pour cela, tu le détesteras avec cordialité. Tu ne seras pas violente, tu ne seras pas critique, tu seras seulement froide, et c’est peut-être pire que tout. À force, tu le protégeras parce qu’il est un Gaunt plutôt que parce qu’il est ton frère. * * * Tu n’aimes pas ton nom. On t’offre de t’en débarrasser en te fiançant. D’abord, tu n’es pas surprise, tu es même résignée. L’amour n’est pas quelque chose que vous pouviez vous permettre. Alors ce n’était jamais question de “si”, seulement de “quand”, de “qui”. La réponse, c’est Arcturus Blackwell. Ironiquement, c’est ce nom qui t’effraie le plus, plus encore que la perspective d’un mariage. C’est ce nom qui t’agite, qui dessine l’ombre d’une rébellion silencieuse chez toi, d’une incertitude. À l’habituel, tes parents te montraient une destination, et tu pliais tes valises. Cette fois tu demeures près d’eux, cherchant des prétextes pour retarder ton départ. Ce n’est pas que tu ne l’aimes pas - seulement que tu l’aimes trop. Arcturus, c’est ton meilleur ami, et l’un des rares à oser t’approcher. Scolarisée à la maison comme ton frère, tu as du mal avec ceux qui n’ont pas cette ressemblance, cet air de famille. L’esprit agile, intellectuel. Les yeux fatigués d’en avoir trop vu. Le cœur en morceaux. Ce n’est pas un anonyme dont tu te moques du bonheur, quelqu’un que supplantera ton sens du devoir. C’est ton ami, tu répètes et tu soulignes à tes parents, portant même cette déclaration jusqu’aux oreilles de ton grand père, tremblant plus de peur que de colère. Mais personne ne veut rien entendre, alors tu mets un masque. Tu prétends t’être faite à l’idée pour contenter ceux qui partagent ton nom, et à ton cher fiancé, tu prétends que ça ne te dérange pas, pour ne pas qu’il se voit comme un problème. La vérité c’est que rien ne va jamais. C’est seulement une question de grave et de pire. * * * Theodosia Blackwell. Tu y penses dans ton lit - la question de ton nom futur te garde éveillée de longues heures. Tu te promets de t’y habituer, mais tes promesses sont comme toutes les autres choses avec vous : Vides. Sans importance. Tuées dans l’œuf. Tout de même, tu remarques en te tournant sous la couverture, avant de plonger dans un sommeil bienvenu, ça sonne mieux que Gaunt.* * * Les fiançailles sont annulées. * * * Les fiançailles sont annulées. Je ne donnerais pas ma fille à un monstre - c’est un écho qui maudit ton esprit. Tu entendras la voix de ton père prononcer ces mots à chaque fois que tu poseras les yeux sur Arcturus. Et à force, tu ne le regarderas plus. Que vous soyez promis l’un à l’autre avait secoué votre amitié - qu’il suffit d’un soupir de vos parents pour tout balayer, c’est le dernier clou sur le cercueil. Désormais, c’est dedans que repose la moindre camaraderie. Après cela, ce n’est plus l’idée de Theodosia Blackwell qui te volera ton sommeil, mais une question : faut-il que ta famille ruine tout de cette injuste façon ? Ton nom, tu le détestes. * * * Tu veux les rendre fiers, et tu veux leur faire regretter. Que Theodosia la faible, Theodosia la fragile, s’attire le respect et la gratitude, qu’on lui tende les excuses plutôt qu’elle ne les donne. Alors tu réfléchis longuement à ton futur, fouillant les livres, poursuivant la gloire entre deux pages. Les aurors - tes doigts glissent sur le gros titre en lettrines noires. Et tes yeux descendent vers le corps du texte, qui commence ainsi : “Un Auror est un membre d'une élite spéciale,” Tu arrêterais presque ta lecture. L’élite, c’est une belle chose à être. Player | vega m’a fait du démarchage au téléphone et me voilà ): |
|
Dernière édition par Theodosia P. Gaunt le Dim 15 Oct - 15:13, édité 8 fois |