Serdaigle vs. Serpentard [LE MATCH]

L'herbe frémis et se fait écraser nonchalamment par Luke qui se dirige vers le centre du terrain avec la malle à balle. C'est l'avant dernier match de l'année et le stade est déjà plein à craquer, le professeur s'arrête et dépose la malle au sol. Il fait signe aux deux capitaines d'équipe de s'approcher tendis que les deux équipes adverses se positionnent de chaque côté du milieu du terrain. Luke avait été contacté à de nombreuses reprises par Leszczynski et Williams pour leur céder l'accès au terrain concernant leur entrainement. Aussi, il avait constaté la détermination des deux équipes et elle était très forte. Après tout Serdaigle était en danger dans la compétition et il était tout à fait normal de les voir vouloir se rattraper.

Luke qui se trouvait entre Leszczynski et Williams les regarda "Les capitaines serrez vous la main." Il ouvrit la malle et laissa s'échapper le deux cognards et le vif d'or. "Je vous ai à l’œil, jouez fair-play d'accord ? Bon courage à vous." Il attendit que les capitaines s'envolent sur leur balais pour lancer le souaffle haut dans les airs. Il donna le premier coup de sifflet qui signait le début du match.

Prochain posteur : @Béring Leszczynski

c'est qu'il avait été convaincu par le précédent match - remplaçant de fortune, une espèce de point noir à la toux fracassante parmi l'équipe de sportifs. pré-disposition au cancer qui ne l'empêche guère de faire face à l'équipe adverse, le visage fendu d'une risette saturée d'arrogance ; le serpentard s'agite dans le vide, bouffi d'orgueil et d'une impatience presque viscérale, aussi bien ancrée dans le manche de son balais que dans la moelle de ses os.

articulations craquées, coup de sifflet retentissant et la partie commence enfin, pour le plus grand plaisir de l'enfant-roi, fièrement installé devant les buts qu'il se doit de défendre. la première tentative fait siffler le ballon jusqu'à lui et floyd s'élance, grisé, pour l'intercepter.

GROSSE FLEMME DE METTRE EN PAGE, KISS

Béring commençait déjà les hostilités avant même que le départ soit donné, et Fenry eut un sourire narquois. Entre lui, Ruben et Connor, elle ne savait pas lequel des capitaines elle préférait narguer avant chaque début de match. C'était justement pour cette occasion qu'elle avait cousu, à la place des cactus du match précédent, des grands blasons sur leur cape à tous, où il était écrit "GREG" en grand. Elle lui serra la main, quelques paroles riant au bord de ses lèvres.

« Ne fanfaronne pas trop, ta défaite n'en sera que plus douloureuse.. »

Et déjà il s'élance, et Fenry se jette à sa suite, un sourire étirant ses lèvres en considérant le (sublime) arrêt de son (sublime) remplaçant. Et elle lui lance un regard ravi alors qu'il lui remet le souafle. En quelques secondes, elle fait des échanges avec Beckett pour parvenir de l'autre côté du terrain, et une fois qu'elle le récupère, assez proche des buts, elle tire.

Soleil éprouve un certain mépris quand elle remarque que les capes de leurs adversaires sont brodés de quatre lettres, concernant les déboires amoureux de leur capitaine... D'un côté, c'était chacun son tour (tout le monde se rappelle de la sublime pancarte prônant son couple inexistant avec Connor), mais en même temps, c'était mesquin, petit, ridicule. Elle se sentait mal pour son ami.

Fini les réflexions, Fenry s'approche, le souafle avec. L'objectif de déconcentrer les bleus fonctionne, puisque Soleil rate son premier arrêt.