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les promesses sans visage (achille) — fin

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les promesses sans visage (achille) — fin Dim 8 Avr - 22:58





les plaintes d'un icare


 

 
Bord du gouffre. Les livres souffrent ; éclatées les pages déchirées semblent pleurer, implorer la guérison. Mais c'est ton cœur qui se déchire à la vue du papier détruit. Tu te sens tomber dans le vide et la colère te maintient immobile. Tu respires. Vous avez la haine donc vous déchirez des livres ? Vous faites pitiés. Et c'est au bibliothécaire qu'ils vont devoir s'expliquer ; y'a quelques murmures, un juron peut-être. Et ton poing dans une morsure mélodieuse vient heurter le visage du type en face de toi. Y'a un craquement et tu souris, tu veux pouvoir s'abattre sur ses os, les arracher comme les pages de ton livre. Et tout se fait vide.

Et tu le fracasse, tabasse, avant que deux bras ne te retienne. Face au peuple de lâche, le roi est découronné. Un coup sur ta joue et tu vois les étoiles. Tu crois rire alors que d'autre heurts s'abattent, tu tentes de te relever mes ta cheville semble d'avoir abandonner. Y'a quelques rires qui parsèment de sang tes lèvres entre-découpées. Baiser d'amour ; t'aimerais les tuer mais tu peines à chercher ta baguette alors t'attends que ça s'arrête.




+ tagachille e. kaspárov

+ notesen espérant que tout aille bb


BY MITZI




Dernière édition par S. Aristotle Darling le Sam 20 Oct - 15:14, édité 1 fois
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Re: les promesses sans visage (achille) — fin Mer 25 Avr - 16:33









Sa nervosité filtrée entre ses cheveux, de la pointe de ses doigts cueillant l'agilité éphémère de quelque mèches, quémandant la souplesse du vent. L'azur de ses pupilles inondèrent la surface de son écran épousant le creux de sa paume. Summer. Le seul nom qu'il souhaitait effleurer du regard. Summer. Il ferma son téléphone. Summer. Il ouvrit son téléphone. Summer. Il peut faire sans. Pense-t-il. Summer.

La fraîcheur teinta ses joues, la lumière ses lèvres et le silence, le repos. Paupières affaiblies, l'appuie robuste de l'écorce s'imprégna contre son bras. L'éveil d'une souffrance captura un froncement de sourcils, puis ses sens. Il tâta les environs poussiéreux de mouvements nonchalants, indulgents des échos de violence. Achille le vu. Cheveux de sable sous l'ombre maintenu, enlacé par les griffes de Cerbère au rire dévoué à l'enfer, au croc dévoué à le dévorer. L'éclat d'un poing contre la pointe de sa mâchoire, puis un autre – puis un autre. Puis Achille. « Mais vous faites quoi ?!. » Les jointures colorées du sang du garçon, ancrées dans sa main – Achille. Fermement tenu, fermement tiré, le regard – fermement. Il affranchi sa colère contre le sol, plaquant le corps du garçon au poing élevé, d'une grâce effarouchée. Il se releva pour tirer délicatement celui dont il n'y avait que la respiration saccadée et le clignement de ses yeux pour donner signe de vie. Achille enlaça la fragilité de ses bras autour de son cou et agrippa ses jambes pour le glisser sur son dos. Il récupéra les quelques pages s'aventurant sur la pelouse et ses livres retrouvant le même état que son propriétaire. « Sérieusement quoi, mais sérieusement vous avez rien mieux à faire ? Évitez de vous approchez de lui ou de n'importe qui si c'est pour lever les poings. » Il laissa les visages blêmes de ces garçons, rebroussant chemin vers le château en direction de l'infirmerie.

« Tu t'es ramassé dans une sale affaire dis-moi. T'en fais pas je te ramène à l'infirmerie tout ira bien. » Le pas rapide, il jeta quelques coups d'oeil pour vérifier l'état du blondin. Les traits apaisés, il découvrit une trace de sang, épousant le coin de sa lèvre. De sa main libre, il essuya les larmes de son corps, abattu par la désinvolte de ces inconnus. « On a encore un petit bout à faire, tente de rester réveillé. Dis-moi ton nom, ce que tu lisais et d'où tu viens tiens! » De bonnes intentions dans l'incertitude de ses questions, Achille veilla sur lui.


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Re: les promesses sans visage (achille) — fin Jeu 26 Avr - 0:54





les plaintes d'un icare


 

 
Aux abords de l'inconscience, tes sens chavirent et t'essaies de contempler les visages sans mêmes les retenir. A tomber amoureux des violences, tu te sens partir. Des mains pour ôter la vie ? Tu trouves ça cruellement stupide. C'est ta respiration qui se saccade, au rythme de miracles, comme sur un air de musique, tu te sens suffoquer et les poings sur ton abdomens t'empêcher de réciter tes plus beaux poèmes. Tu veux rire, du long de tes lippes quelques roses vermeilles, tu veux séduire.


Escapade prodigieuse, du bout des tes phalanges abîmés, tu crois entendre des bribes de paroles et c'est des papillons à l’affût de tes regards qui s'éprennent de nouveau. Et tu n'entends plus que lui, tu ne vois plus que lui, à l'instant même ton monde se réduit à sa simple présence. Héros ensoleillé charmant tes muses de soupirs muets, détaché de toute réalité tu te crois ivre de tes propres songes.


Le carnage t’apparaît comme utopiste et tu voudrais lui dire à quel point tu ; tes pensées meurent  dans une jérémiade. Il fait renaître les mythes du creux de ses poings et l'idée de devoir affronter, maintenant inévitable, capture tes vocables. Tu veux t'enfuir. Tu veux l'oublier ne plus jamais avoir à lui céder tes passions, tu veux l'effacer de tes souvenirs, tu veux pas avoir à souffrir. Et la simplicité du moment te paraît alors tragique. Ses mains sur les tiennes et tes desseins deviennent morbides. Pétales de fleur le long de tes bras, caresses alors que tes blessures elles aussi s'abandonnent à des amours imaginaires. Évitez de vous approchez de lui. Tu veux disparaître, tu fermes les yeux cherchant un recoin d'inconscience.


Tu t'es ramassé dans une sale affaire dis-moi. T'en fais pas je te ramène à l'infirmerie tout ira bien. Voix de soie qui effleure tes malheurs, ses paroles, du poison qui du bout des lèvres réclament quelques baisers. Tu baisses la tête, cherchant à rompre tes cordes vocales, tu veux te faire face au silence pour le restant de tes jours car ton courage n'est que des moindres face à lui. Une main sur ton visage et tu te sens de nouveau mourir. Des mains pour ôter la vie ? T'en rirais face à l'éternel. La tendresse de ses gestes tant bien que fictives éparpillées de poussières d'étoiles, son regard illuminés à l'abris de tes pensées lugubres, tu te sentirais presque brillé. Et tu veux lui ressembler, être un peu plus lui pour pouvoir l'approcher. Aristotle.. Tu articules lentement comme pour l'encré dans sa mémoire, dans l'espoir qu'à jamais il ne l'oubliera. Et tu laisses glisser tes mains le long de son dos, voulant marcher par toi-même. Ca ira t'esquives son regard, merci. Laisse moi juste marcher un peu. Et alors que tu tentes quelques pas, impuissant, tu manques de trébucher t'accrochant par réflexe à ses épaules. Tu lèves un regard, visage trop proche, immobilisé tu t'éloignes du mieux que tu peux. Désolé, tu balbuties, paralysé, tu n'oses bouger. Après un silence tu déclares. Merde... Ta cheville te lance et t'es sur le point de flanché.






+ tagachille e. kaspárov

+ notesc de la merde jpp


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Re: les promesses sans visage (achille) — fin Lun 7 Mai - 5:17








Aristotle. Voix chromée, élucidé par une grâce échouée contre Achille – contre-courant. Achille, vaillant, Achille grand, au regard de velours, caressant la maladresse de ses pas – Aristotle. Il récupéra son souffle, titubant à l’abîme de toute volonté, Achille capturant la fébrilité de son poignet, rattrapant cette proximité égarée. L’incertitude n’avait quitté les traits d’Aristotle, crispé entre ses lèvres, Achille allongea son regard contre le sien. L’index et le majeur d’Achille, se précipitant contre le front d’Ari, éclaircissant le silence de ses mouvements. « Tout va bien je te tiens t’en fais pas ! » Il l’escalada à nouveau sur la rigidité de son dos, laissant la tiédeur de ses mots, rassurées Aristotle. « T’sais Ari…Enfin j’peux t’appeler Ari ? soufflait-il timidement, continu a-t-il tout pour autant. J’crois sérieusement qu’ils auraient dû ne jamais lever le doigt sur toi. Tu as l’air si...si…Je sais pas ! Poétique dans ta démarche ? Tu m’fais penser un peu au grain de sable qu’on pile dessus et qui a rien demandé…T’vois c’que j’veux dire…? Enfin, écoute, j’vais te ramener pour te soigner les blessures et après ces mecs payeront. » Il finissait sur une note robuste.

Ses pas trainèrent un silence évasif, les souliers craquants la souplesse de l’herbe. Il longea les couloirs, persécutant les espaces vides entre les élèves pour se rendre jusqu’à l’infirmerie – vide. Achille le déposa sur une chaise, garnissant d’interrogation l’absence de l’infirmier. Longueurs après longueurs dans la pièce, il finit par dévorer sa subtilité, substituer par une impatience dominante. La main droite sur l’alcool à friction, la main gauche sur des bandages, il déposa le tout sur le sol comme s’il venait de dévaler le dépanneur du coin. « T’en fais pas j’ai l’habitude de régler les bobos d’ma sœur qui n’arrêtait jamais de grimper aux arbres et de tomber. » Il concentra ses années d’expériences dans la minutie de ses mouvements qu’il exécuta. Des jours et nuits sous une lumière tamisée à récupérer le sang séché sur des lingettes humides et les larmes refoulées de Matilda sous quelques mouchoirs. « Ça devrait le faire pour le moment, il faudra changer tes bandages le soir, mais t’as l’air prêt pour courir un marathon !...Mais j’veux dire faut pas hein, tu serais pas capable, ENFIN tu serais capable mais mieux vaut pas pour le moment. » Il pressa le haut de son corps contre ses jambes pour se propulser debout, la silhouette découpée par les rayons du soleil. « Laisse-moi t’accompagner pour le moment, j’préfère m’assurer qu’ils reviennent pas t’embêter. » Et il lui tendit la main.


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Re: les promesses sans visage (achille) — fin Jeu 30 Aoû - 16:13





les plaintes d'un icare


 

 
A ce moment précis, t'as souhaité le détester, t'as chercher quelques morceaux de haines dispersés dans son regard, des reproches fictifs mais ses sourires paraissent danser et tes sentiments se déconcertent. C'était une mauvaise idées. Pourtant t'espères un peu, peut-être, car c'est le contact de doigt sur ton front qui t'égares, des paroles rassurantes et d'autres esquisses sur son visage.

Il te murmures quelques mots, t'aimerais que ça s'arrête, car le contact s'éternise tandis que tu ne sembles pas vouloir bouger. T'aimerais rire, t'aimerais lui dire, que s'il est poétique c'était sans doute juste pour lui. Demain, tu renaîtras grain de sable, tu penses dans un silence mensongers ; parce que le reste hurle et tu crains d'être entendu. Ca sert à rien. Tu finis par lui avouer, car les vengeances ont des allures romantiques. Ils en valent pas la peine. Au fond, t'aimerais les remercier, car t'as pu contempler les merveilles d'autres univers.

T'as pu un instant cesser de t'encombrer d'illusions, t'as cessé d'enlacer tes écrits en espérant qu'ils soient un peu plus véridique. Un instant, l'idée de contes ne t'est plus apparu comme une idiotie. Tout va bien, il avait dit. Tu fermes les yeux dans un sourire, priant pour qu'il ne discerne rien de plus dans ton mutisme.

Vous faîtes alors face au tumulte des couloirs, avant que l'infirmerie ne s'offre à vous. Tu crois alors voir la fin et tu regrettes déjà. Pourtant le néant fut plus accueillant, habituellement t'aurais laisser quelques insultes couler mais la présence d'Achille, toujours aussi pesante, semblait vouloir bloquer la moindre de tes réactions, de peur de trop en montrer. Il ne devait pas savoir. T'abandonnant à une chaise, tu contemplas le vide à défaut de ne pas vouloir croiser son regard, te concentrant sur tes rages et ta cheville lancinante. Sans surprise, ce fut impossible.

Un battement de cil plus tard, tu vis le gryffondor s'attarder sur de quoi soigner. Ne sachant comment réagir tu le laissas de nouveau parler, il évoquait sa sœur et tu songeas machinalement à Summer. Merci, il fallait pas j'aurais pu attendre. Tu finis par dire alors qu'il te donnes ses dernières ses instructions. Tu t'apprêtes à te relever, t'enfuir dans ta chambre et passer des heures à rêvasser mais Achille te tends la main, pour se rassurer, pour te rassurer ?

Ton regard croise alors le sien et t'y discernes tant de choses et tu voudrais qu'il promette qu'il ne t'oublierait pas. Tes pensées se sondent, alors que ta raison souhaite quitter la pièce et que tes aberrations veulent se jeter dans ses bras. Ok.

Et t'attrapes sa main, te relevant à ton tour, laissant de nouveau l'infirmerie vide, le silence pesant une nouvelle fois sur vous deux. Merci encore, je t'avoue j'ai pas trop l'habitude d'avoir de l'aide. T'étais ridicule Aristote, tu le savais. Puis bon, quand ça arrive c'est ma soeur qui m'aide en général, pour les blessures quand je peux pas m'en charger. Tu souris inconsciemment. Elle est à Gryffondor, peut-être que tu l'as connais. Tu jettes un regard à Achille, l'ayant un peu oublié alors que tu penses à Summer, qu'il te faudra la sûrement la contacter. C'est ma jumelle, elle s'appelle Summer.





+ tagachille e. kaspárov

+ notesj'sais pas comment j'fais pr que ça soit encore plus pourri à chque fois dsl t'mérites pas ça


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Re: les promesses sans visage (achille) — fin Jeu 11 Oct - 3:55








La fragilité de ses gestes le rattrapa. Sa silhouette se découpa au vif dans l’espace d’un mouvement. Il lui dit merci. Sa voix avait cette transparence lumineuse, cette facilité à faire naître l’immensité à travers le vide des vitraux. Il y avait quelque chose de pur et d’unique lorsqu’Ari déposa ses paroles aussi anodines. Achille les avait entendus. Ce ton lent, cette voix profonde, ses yeux suppliants, ces notes aiguës. Ari défrichait l’inconnu de ces terres à la pelle d’un simple merci. Achille, le souffle court, les lèvres n’ayant que pour réponse la souplesse d’un sourire, miroitant en l’instant d’un silence sur les gestes d’Aristotle. Il combla l’espace qu’avaient laissé ses mots en dévoilant un nom à un visage qui lui était si réconfortant. Summer.

C’était son cœur qui battait, ses lèvres qui tremblaient, son regard qui tombait. « Summer. » Soupirait-il sans avoir souvenir du printemps, sans connaître l’odeur de l’automne, sans se lasser de voir la neige fondre. Il étendit sur chaque lettre de son nom ses désirs sans contours, qu’il traçait dans son esprit. Il hocha son regard en laissant ses grains d’espoirs lui chatouiller les songes.

« Summer, oui. Je veux dire…oui je la connais ! Qui ne la remarquerait pas après tout hein haha ? Pas que…non te fais pas d’idées, j’veux dire…c’est Summer hein, elle est magnifique. Mais j’dis ça avec le plus grand respect vraiment ! » Sa langue claqua l’incertitude contre son palet.

« Pardon, juste je la connais bien, on a l’habitude de se tenir ensemble. Je suis heureux de te rencontrer Ari ! Les conditions sont pas les meilleures…pas que je pense pas qu’on était fait pour se rencontrer, au contraire, j’pense juste que ça soit dommage que tu ailles souffert en quelque sorte de cette…rencontre. »

Ils marchèrent sans nécessairement savoir où aller. Ils discutèrent sans vraiment parler. Il y avait quelque chose de confortable à soutenir une présence si familière et si inconnue. Achille avait toujours le rythme des échanges beaucoup plus près et beaucoup plus tactile. À discuter en effleurant l’épaule, à rire en poussant délicatement l’autre, c’était une proximité douce qu’il avait pour réflexe.

« Et si on allait discuter quelque part, sous un arbre ? Je veux pas assumer que tu allais lire tes livres, mais si tu es pour les lire aussi bien les partager non ? »

Une intention sans en avoir une.



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Re: les promesses sans visage (achille) — fin Sam 20 Oct - 15:13





les plaintes d'un icare


 

 
L'ode au printemps du bout de tes lèvres alors que tes paroles te paraissent pluvieuses. L'été danse dans son regard alors que t'évoque doucement son nom, comme s'il ne fallait pas la briser. Cristal dans son regard, myriade inconnue mais tu le connais pourtant, cet éclat. C'est Summer hein, elle est magnifique. Tu sais Aristote et c'est dur de ne pas sourire, c'est la mélancolie dans un baiser qui t'apaises presque. Elle est magnifique.

Et tu te maudis pour savoir. Pardon, juste je la connais bien, on a l’habitude de se tenir ensemble. Les versets sont hâtifs tandis que tu distingues sa confusion d'un air presque infantile, pourtant ce sont tes mains qui tremblent alors que tes certitudes se précisent. T'en fais pas ... Désolé encore. Tes excuses sonnent différemment, t'avais glorifié tes blessures songeant à d'autres tournures, t'avais perçu cette rencontre  inattendue comme inespérée, l'aide d'un destin inavoué.

Mais il ne voit que le reflet de la glace. Les silences ornent tes pensées alors que tes idées s'assombrissent ; Elle est magnifique et ça tourne dans ta tête sans que ça s'arrête. C'est tout un monde qui se brise et des horizon qui se perdre, tes poèmes se lamenteraient presque car tu sais Aristote, tu sais mais rien ne cesse et tu ne veux rien admettre. Comme une pensée interdite que tu désires mépriser, les sourires s'évadent lorsque tu ne croises plus son regard. Et si on allait discuter quelque part, sous un arbre ? Y'a quelque chose de beau dans ces paroles, une pureté que tu n'oserais toucher et des esquisses qui parent tes lèvres sans que tu ne saches dissimuler tes chagrins. Je veux pas assumer que tu allais lire tes livres, mais si tu es pour les lire aussi bien les partager non ?

Paroles éphémères vouées à l'oubli qui s'échappent du bout de tes lèvres, tu le fixes dans un tremblement - elle est magnifique - tu ne pouvais pas rester plus longtemps. Oh, tu balbuties ne sachant que dire. Je.. je suis désolé Achille, mais je ne peux pas. T'aurais voulu lui dire la vérité. Je veux dire, je t'ai déjà dérangé trop longtemps et il vaut mieux que je rentre. Tu parles lentement, secouant la tête essayant de ne pas être blessant. Je veux dire, pour toi, il vaut mieux que je rentre maintenant. Ta phrase se termine dans un souffle alors que le soleil s'abat sur tes yeux te forçant un instant à baisser le regard. Mais une prochaine fois Achille, oui, promis. Quelques pas de recul, tu t'apprêtes à le quitter, tu lui accordes un dernier sourire. A une autre fois Achille, merci.

Et tu te souviens Aristote, tes promesses sont sans visage.




+ tagachille e. kaspárov

+ noteset c'est finis, j'espère que ça ira quand même, même si tu n'as pas a répondre fzheoihez


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les promesses sans visage (achille) — fin
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