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❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina

Castiel A. Kingsley
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❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Mer 3 Mai - 13:37


feat. Wilhelmina

Tu es ma maladie


Whoa I'll never give up
Whoa I'll never give in
And I just wanna be, wanna be loved.


3h du matin. Impossible de dormir. Tu avais passé toute la soirée à occuper cette salle, avec Cain, Mephisto et Faust. Vous vous étiez mis des films d’horreur jusqu’à deux heures du matin. Des élèves curieux étaient venu s’incruster durant la soirée, puis étaient repartis. Tu avais discuté avec Caïn pendant encore une heure, puis ce fût lui qui céda à l’appel de la fatigue en premier. Tu puais l’alcool.. Les bouteilles en verre jonchaient tel des cadavres de votre décadence, sous les fauteuils de cuir rougeâtres. Étalé sur plusieurs sièges à la fois, la tête coincée sur un accoudoir, tu fixais ton téléphone et envoyait des messages approximatifs à tout ton répertoire.

Ton état mental était un mélange de folie, de somnambulisme précoce et d’envie de tout détruire. Ton corps dormait à moitié, mais ton esprit demeurait éveillé, alimenté par une insomnie. Stimulé par l’alcool qui était monté à ton cerveau et les horreurs dévorées toute la soirée sur le grand écran. Tu ne pouvais pas t’endormir. Mais c’était pourtant sûrement ce que tu t’apprêtais à faire avant que quelqu’un ne décide de revenir dans la pièce.  

“Caïn, c’est toi vieux ?”
Tes paupières lourdes avaient du mal à se rouvrir, mais la silhouette que tu apercevais au loin ne ressemblait en rien à ton meilleur ami. Les synapses de tes neurones avaient du mal à se connecter entre elles. Qui pouvait bien venir dans cet endroit à maintenant… - Tu pris ton téléphone pour checker l’heure - … 3h30 de la nuit ?! Et si c’était un professeur ? Tu t’empressas d’enfoncer un peu plus les bouteilles d’alcool sous les sièges et de jeter au sol le reste de clopes du cendrier qui trônait maladroitement sur un des accoudoirs.

“Putain.. !”
Mais quand ton cerveau fit enfin la connexion, tu te rendis compte que l’intru n’était peut-être la seule personne que tu avais pas imaginé. C’était elle, ta maladie. Le cancer de tes poumons. La putréfaction de chacun de tes membres. C’était les belles métaphores qui te venaient à ton esprit malade et corrompu.

“Toi.” Tu tousses un peu, lui faisant un signe du doigt pour qu’elle approche, sachant qu’elle devrait enjamber le ramassis d’ordures qui se trouveraient sur son chemin.
“T’es pas couchée à cette heure ci ? Tu vas avoir du mal à te lever demain matin.” Tu parlais, parlais, comme si elle était là depuis des heures. “Je t’ai envoyé un message c’est ça ? Tout à l’heure ?” Apparemment tu en avais tapé plusieurs sans savoir à qui tu les envoyais. Quand tu étais complètement perché, fallait pas te demander de redescendre aussi vite.
Tu te laissas tomber en arrière encore, en riant comme si le diable t’habitait.


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Re: ❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Mer 3 Mai - 15:45

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Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides

He told me I should take it in
Listen to every word he's speaking
The wires getting older I can hear the way they're creaking
As they're holding him

Tu connaissais les règles du jeu et tu y as joué et ça me tue de savoir que tu as perdu
La nuit t'inspire, ces étoiles qui ne font que briller encore et encore dans le ciel... Comme cette nuit où il est venu. C'est la même scène sauf que tu es seule, ta baguette illumine ta feuille alors que ta plume, trempée dans une encre spéciale, trace des courbes avec précision. Habillée d'un pyjama, tu es concentrée sur ton œuvre, sur ce visage que tu reproduit fidèlement selon tes souvenirs. Une mâchoire saillante, des yeux en colère, une expression qui pourtant se veut contrôlée... Et ces cheveux qui font un peu ce qu'ils veulent. Wil', tu n'aimes pas dessiner des portraits car c'est accorder trop d'importance à quelqu'un. Suffisamment en tout cas pour le figer dans le temps. Comme une photo. Et pourtant, tu arrêtes son visage dans ton univers, tu veux le conserver dans ce moment, dans l'expression qu'il a eu avec sa cigarette tâchée.

Tu t'arrêtes en entendant des élèves rentrer au dortoir et tu te tournes pour les regarder. Ils se figent en te voyant, ils parlent rapidement d'une petite séance dans la salle de cinéma avec de l'alcool et des Serpentards. Tu te redresses, tu soupires alors que tu refermes ton carnet et tu les toises avant finalement de leur dire de partir. Il est quoi... 3h du matin ? Tu ne dors pas encore mais apparemment tu n'es pas la seule. Tu peux sentir tes cernes pourtant, semi-vampire ou pas. Tu grognes, tu n'as pas envie de sortir dans l'école mais... tu dois vérifier ce qu'il se passe dans cette salle de cinéma. Sens du devoir quand tu nous tiens. Tu enfiles ta cape de sorcière et tu t'en vas de cette tour, tu descends ces marches qui n'en finissent plus avant de filer à travers les couloirs du sixième étage. Heureusement que ce n'est pas loin.

Wil', tu plisses le nez en arrivant devant la porte. Cette odeur est trop présente, elle te donne presque le tournis. L'alcool. La salle est éclairée mais tu ne vois pas de tête qui dépasse. Juste une voix qui déraille dans une question. Caïn ? … Tu approches, l'air surprise et c'est un juron que tu entends ensuite. C'est... C'est bien lui. Dans un état déplorable d'ailleurs. Tu remarques à son air une fatigue évidente, et cette odeur n'arrange rien. « … Il y a eu une fête ici ou quoi ? Bordel ça pue l'alcool ! » Tu recules, tu plisses le nez avant de le fixer. Il est bourré. Par Merlin il est complètement torché. Il succombe à la drogue ou bien ? Tu n'avances pas alors qu'il te fait signe du contraire, tu secoues la tête avant de soupirer. Tu regardes ton téléphone quand il parle de message et effectivement, tu en as reçue deux. Tu restes muette. Nom d'une licorne.

Ce genre de comportement te dépasse. Tu bois de temps en temps, mais une simple bièraubeurre, le week end avec Caïn, tranquillement. Mais lui a complètement... abusé. Toutes ces bouteilles... Oui, tu le juges Wilhelmina. Tu le regardes encore lui et son corps qui semble à peine tenir debout, son air et son sourire étrange, ses yeux rougis par la fatigue... Quelle scène. Tu n'aurais jamais pensée voir ça un jour. Tu ne l'aurais pas voulue d'ailleurs. « Mais dans quel état tu es... » Tu n'as jamais été face à cette situation et pourtant, tu sens ton sang bouillir en le voyant ainsi, presque cadavérique. Un drogué à la cigarette et à l'alcool. « Putain mais... Tu ressembles à un cadavre ambulant ! Pourquoi t'as fait ? Mais... mais bordel de merde ! » Tu lui en veux. Parce que tu as eu raison sur un point et ce, dès votre rencontre.

Il s'auto-détruit. Et ça te tue de le constater à cet instant, de contempler ce qu'il devient, ce qu'il se fait subir. Tu es triste, en colère, inquiète. Tu ne comprends pas. Tu ne le comprends pas.

Et ça te fait peur.
L'idée qu'il puisse en crever un jour de ces conneries.
Ça te donne un frisson.
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Re: ❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Mer 3 Mai - 16:59

Tu es ma maladie


Oui. C’est bien elle. Tes yeux malades la fustigent. Elle s’approche, sa voix résonne dans sa tête. Plus elle était prête de toi, et moins tu la voyais nette. Tu sentais juste son parfum à outrance, enivrant, énervant. Evidemment, elle a crié. Elle est indignée de ton comportement, comme toujours. Toi aussi tu te dégoûterais si tu avais conscience de ce que tu étais. Tu es répugnant, un déchet social qui se réfugie dans l’insouciance et l’inconscience des jeux d’alcools. ça te procure du plaisir, une évasion. Tu t’en fous de tout Castiel. Il n’y a que le Quidditch et tes potes dans ta vie. Ton père n’est rien, ta mère n’est rien. Ta soeur.. peut-être qu’elle a encore sa place dans ton coeur.

Ta voix déréglée, enrayée répond d’un ton enjoliveur.
“Fait quoi ? J’ai rien fait moi. Et toi ? Tu viens pour quoi ?”

Tu attrapes ses poignets pour la tirer vers toi avec un grand sourire. Il est si tard que tu as l’impression que le temps s’est arrêté. L’alcool te fait oublier les conséquences. Wilh n’est plus qu’un corps, c’est une fragrance qui te déchaine. Tu ne réponds pas à ses cris, tu as juste envie de la faire taire. Car sa voix fluette te donne mal à la tête. Tu ne sais plus qui tu es, ou tu es, tu as juste envie d’elle, envie de lui faire mal, qu’elle te fasse du bien.

Tu te redresses et la pousse contre l’un des fauteuils, plaquant ses poignets d’une main au dessus de sa tête et tu commences à l’embrasser, à l’embrasser comme si tu aspirais son âme. Tu descends tes lèvres brûlantes sur son cou et attrape une mèche de ses cheveux pour maintenir sa tête.

“Mords-moi. Mords-moi..” Tu recules ta tête et tires sur ses cheveux pour la forcer à approcher sa bouche de ton propre cou. La forcer à entendre le sang pomper dans ta jugulaire. Tu veux souffrir, tu veux qu’elle arrête cette douleur en toi, en en provoquant une autre. Tes yeux reflètent la folie. Tu mordilles ses poignets. On aurait dit un sauvage. Et ta main libre partait déjà explorer la peau indécente et piquante qui se cachait sous sa jupe. Qu’elle te stoppe, maintenant. Qu’elle te stoppe avant qu’il ne soit trop tard. Avant que tu le regrettes. Avant que tu te réveilles.


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Re: ❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Mer 3 Mai - 17:56

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Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides

He told me I should take it in
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Tu connaissais les règles du jeu et tu y as joué et ça me tue de savoir que tu as perdu
Il n'est clairement pas dans son état naturel. Il te plaque sur un fauteuil et t'embrasse dans un rythme frénétique, son haleine si lourde te donne le tournis alors que tu essais de lutter pour te libérer. Tu dois te libérer, tu ne sais pas de quoi il est capable. Il t'effraie car tu ne veux pas lui faire de mal. « Arrête... Castiel arrête... » Mais il continue, il descend sur la peau de ton cou et ça te rends un peu folle, déstabilisée. Tu ne sais pas comment réagir, tu es en colère, tu as envie de le frapper pour ce qu'il fait, ce qu'il a osé se faire.

Et pourtant il en demande de la souffrance, il approche ta bouche de sa jugulaire et tu fermes les yeux. Non... Non... En temps normal il aurait pas voulu... Si ? Depuis quand tu te soucis de son avis ? Et pourtant, tu as envie. Par colère, parce qu'il s'est bourré la gueule, parce qu'il est mal. Tu veux lui faire regretter de te rendre inquiète.

Tes yeux deviennent écarlates, tes crocs s'agrandissent. Il va avoir mal. Il va se réveiller, et ne plus recommencer. Dans ton agacement, tu ne penses même pas au goût qu'il pourrait avoir à cause de tout cet alcool qu'il a consommé. Tu sens sa main se balader sous ta jupe, c'est trop tard.

Sans ménagement, tu lui mords le cou. Tu as attendue ce moment depuis le début mais tu ne pensais pas que tu le ferais dans ce genre de condition. Tu sens toute l'impureté de la boisson qui coule dans son hémoglobine, c'est trop sucré, trop... vertigineux. Et pourtant, tu ne t'arrêtes pas, tu continues à aspirer son essence vital, à le faire saigner pendant quelques instant avant finalement de reculer. Le goût... N'est pas satisfaisant. Tu fronces les sourcils, tu le pousses avec tes jambes pour te libérer. « Tu... Lâche moi Castiel. » Tu as des frissons, son sang est... Pas bon. Non, tu secoues la tête avant de forcer sur tes coudes pour qu'il lâche son emprise. Tu serres les dents, tu as l'impression d'avoir un peu la tête qui tourne. Tu le repousse avant de sortir du fauteuil, tu t'écartes, tu manques de chavirer sur une bouteille et tu te reprends de justesse. « Bordel... Mais t'as bu combien de bouteilles ?! T'es malade d'avoir tout ça dans le sang ?! » Tu t'appuies sur un dossier. Tu ne sais pas pourquoi tu ressens ça si vite. Peut-être parce que c'est du sang ?... Tu as l'impression d'avoir bu trois verres de firewhisky. Sans le feu dans la bouche. « Ah bon sang... Ma tête... »

Tes prunelles n'ont pas perdu cette couleur rubis et tu le fixes, envieuse et un peu paumée. « … Je te jure que tu vas regretter d'avoir consommé ce genre de truc mon chou. » Tu n'a jamais bu de sang alcoolisée, et tu ne sais pas si c'est bien d'avoir remarquée que finalement, ce n'était pas une bonne idée.
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Re: ❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Jeu 4 Mai - 23:55

Tu es ma maladie


Enfin. C’était tout ce que ton corps meurtri réclamait. De la douleur pour apaiser la douleur. Ses crocs plantés dans ta gorge, comme deux seringues plongées dans tes cordes.
Sanguines. Tu t’accroches à elle en secouant ses épaules. La souffrance physique semble effacer, annihiler lentement le chaos mental de ton âme. Ses gémissements, ses “non” qui te suppliaient de continuer… Ta peau violemment percée, le sang qui coulait le long de ton cou. Ses cris de protestation, dissimulant une inquiétude gênante.

Alors que tu tombais violemment par terre, au milieu de la rangée, une main pressée sur ta nuque pour en arrêter le saignement, tu lui répondis, encore un peu sonné :
“Ta gueule, on est pas mariés à ce que je sache.” Tu roules sur le sol comme un déchet humain. Écartant lentement tes doigts de la morsure, la vue du sang sur ceux-là provoqua un rire nerveux. Fou. Plié en deux de démence, tu avais du mal à contenir cette euphorie sortie de nul part. C’était sûrement la fin de cuite, provoquée par le fait qu’elle avait aspiré de ton sang.

Une fois la crise terminée et les fous rires retombés, tu te redresses lentement, mais sans quitter le sol, ton habitat naturel. Sarcasme. Tes yeux la fixent d’un air glacial et tu répliques avec le peu de férocité qu’il te restait.
“Me faire regretter ? Tu vas faire quoi de pire ? Me trancher les veines ?”
Tu lui tends ton poignet, provocateur. Tu l’as provoqué. Mais le connard en toi veut la faire culpabiliser, ramper pour ton pardon. Qu’elle se déteste de t’avoir fait saigner, et d’avoir envie de recommencer. Tu as besoin de lui faire naître cette dépendance.
“Ptain..”

T’as aucune putain d’idée de quoi tu parles. Tu tends le bras pour choper ton paquet de clopes avant de te rendre compte que t’avais oublié qu’il était vide. Couinant bizarrement de rage ou de frustration, tu finis par déclarer avec nonchalance.
“Je me vide de mon sang.. Si je meurs je veux que tout mes biens reviennent à Caïn. Et n’en profite pas pour aller le sucer après.” Tu es à deux doigts de vomir. A cause de cette image, ou de l’alcool ? Ou de l’hémorragie. “Le sang je parle..” Un haut le corps te soulève.


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Re: ❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Ven 5 Mai - 15:54

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Tu connaissais les règles du jeu et tu y as joué et ça me tue de savoir que tu as perdu
Tu te renfermes, tu serres les dents en le voyant ainsi tomber sur le sol, en l'entendant dire des choses pas très agréable. Tu n'as pas l'habitude de te soucier ainsi d'une personne, alors si en plus cette même personne t'envoie chier... Non, ça ne te plaît pas. Pas du tout. « … Je m'inquiètes pour ta santé et tu oses encore m'envoyer chier ? » Tu es amère Wil', tu secoues la tête d'un air réprobateur. Bordel, mais pourquoi il a fallu que tu descendes pour assister à un tel spectacle ?

Son rire te donne un frisson, tu as envie de le faire taire. Tu te sens humiliée, mal à l'aise. Tu as envie de le laisser ici, au milieu de ses bouteilles comme s'il était un vieux moldu alcoolique. Gâchis. Mais quel gâchis. « Heureusement qu'on est pas mariés, je supporterais pas d'avoir un mari comme toi. Les alcooliques c'est pas mon délire. » Tu veux qu'il comprenne que ça te débecte, que tu es tellement dégoûtée que son sang te donne envie de fuir. Il est rempli d'alcool, ça te donne encore le tournis rien que d'y penser. Tu es froide, distante. Tu recules pour finalement plisser les yeux. Tu te tiens encore sur le dossier d'un siège, l'effet n'étant pas totalement partit.

Le faire regretter oui. Tu as envie de lui faire payer ce qu'il fait, ce qu'il a fait. Mais comment au juste ? Est-ce que seulement tu l'atteins dans tes paroles ? Après tout, il l'a dit lui même. Vous n'êtes pas mariés. Et pourtant quand il se remet à parler, tu as une idée. Une idée pour le blesser. Lui faire mal. Comme lui le fait en t'ignorant, en ne t'écoutant pas. Un sourire mauvais apparaît sur ton faciès, tu croises les bras et le fixes. « Je fais ce que je veux Castiel. On est pas mariés, n'est-ce pas ? Donc si j'ai envie d'aller voir Caïn et d'aller lui sucer le sang... Ou même autre chose, j'ai le droit de le faire. » Un silence, une provocation.

Bien sûr, tu ne le feras jamais Wil'. Caïn est un ami proche et rien d'autre. Mais tu te voulais convaincante. « Ton sang est immonde en ce moment. Il n'a même plus de goût tellement tu as bu. Si t'essaie de m'atteindre avec ça, t'es mal barré mon chou. » Habituellement ça t'aurais mis dans un drôle d'état d'en voir ainsi, mais tu as encore cet arôme trop sucré dans la bouche. C'est alléchant mais ça te donne envie de fuir. Un poison.

C'est une bonne comparaison. Son sang est un poison en ce moment, et tu n'y toucheras pas. Parce que s'il ne se soucie pas de ce qu'il ingère, ce n'est pas ton cas.

Et de toute façon, il t'agace trop pour que tu cèdes aussi facilement. « T'es beau à voir tiens... Tsss. » Tu lèves une main pour la mettre sur ton front, sentant encore des vertiges. Bordel... « … Je ferais mieux de rentrer à mon dortoir. De toute façon ma présence ici est inutile, tu n'écoutes même pas ce que je te dis. »
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Re: ❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Ven 5 Mai - 20:26

Tu es ma maladie


La haine. Le mépris. Tu as envie de lui hurler dessus, de lui décocher des gifles dans la figure. De la voir souffrir, pleurer, scander pardon. Elle ne comprend toujours rien. Et toi non plus. Elle est là, à te juger des ses yeux qui n’ont jamais vu la souffrance devant eux. Elle te regarde sans te voir. Elle te juge sans te comprendre. Oh non, elle ne comprend pas. Toujours pas. Pourtant ce n’est pas la première fois que vous vous retrouvez face à face, en confrontation. Tu lui avais déjà expliqué les règles. Ton mode de fonctionnement. Ce que tu accepterais ou non. Alors qu’elle continue de te provoquer pour te faire réagir, la seule chose qui t’apparaissait comme la félicité, c’est.. qu’elle te faisait chier.

“Et bien BARRE TOI alors ! Je vais te jeter les bouteilles à la figure si tu continues de me casser les couilles avec tes reproches là !”

Tu inspires lentement. Ta tête tourne. Tu relâches ta respiration. Il faut que tu te calmes. C’est l’allusion à Caïn qui t’a fait exploser. Tu essayes de relever, t’aggripant aux sièges du cinéma, les tâchant de tes doigts ensanglantés.

“Est-ce qu’un jour tu vas ouvrir les yeux et te regarder dans le miroir ? Je suis déjà au courant que je suis un connard. Mais, et toi Miss Préfète, irréprochable peut-être ?” Ta phrase se perd, mes tes yeux ont trouvés destination dans les siens. Froids. Méprisants. Tu veux lui transmettre toute la haine qu’elle te fait ressentir. Qu’elle en crache ses tripes comme t’en craches ton sang. “Quand comprendras- tu que tu n’es qu’une odieuse peste insupportable et qu’on a juste envie de te faire morfler le sol ?”

Tu ne contrôles plus ta rage. Jamais encore tu n’avais descendu aussi bas quelqu’un. Mais ton âme était trop perchée. Et ta conscience s'était égarée. Et tes remords n’étaient pas encore arrivés.
“Je ne sais même pas pourquoi je me suis intéressé à toi. Les meufs comme toi, c’est pas pour moi.”
Tu la pousses pour partir de toi même, mais tu glisses sur des bouteilles au sol, et te rattrape de justesse à une des fauteuils. Cette nuit, ça n’allait vraiment pas. Alors à moitié affalé au sol, tu te retournes pour regarder dans quel état tu allais la laisser.


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Re: ❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Ven 5 Mai - 20:53

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Tu connaissais les règles du jeu et tu y as joué et ça me tue de savoir que tu as perdu
Tes yeux s'écarquillent. Tu ne pensais pas qu'il allait te jeter autant de haine dans la figure mais. Tu l'as méritée n'est-ce pas ? Regarde-toi, à toujours penser qu'à ta personne sans te soucier de ce que lui a dans la tête. Il attendait des choses que tu n'as pas su lui donner.

Tu es une odieuse peste qu'on a envie de faire morfler le sol. Tu te répètes ces mots alors que ses yeux te foudroient dans l'orage qu'ils contiennent, c'est un mélange de haine et de colère qui est destinée à ta petite personne, et uniquement à toi. Tu ouvres la bouche pour répliquer, mais aucun son ne sort. Tu le regarde, un peu perdue face à ce qu'il te balance, et tu te figes ensuite à sa dernière phrase.

Les meufs comme toi, c'est pas pour lui. Ça te pulvérise en une seconde, tu sens une douleur naissante dans ta poitrine, elle monte encore pour te serrer la gorge avant finalement de te picoter les yeux. Il passe à côté de toi, manque de chavirer avant de s'arrêter un instant. Tu sens son regard sur toi, sur ton dos mais tu n'oses plus bouger. Tu as une sensation douloureuse qui te traverse entièrement et tu te tiens avec plus de force sur le siège pour ne pas faire céder tes jambes qui tremblent. Il vient de te briser comme personne ne l'avait jamais fait. Et il a suffit d'une phrase pour que tes émotions passent sur ton visage tellement impassible habituellement.

Es-tu si horrible Wilhelmina ? Est-ce que tu mérites vraiment d'être seule ? D'être le genre de personne à être écrasée au sol pour se faire lyncher ? Ta bouche s'ouvre une nouvelle fois et tu te retournes enfin pour soutenir son regard. Le tien est embué et tu sens des larmes couler sur tes joues qui sont rouges de par tes émotions. Tes épaules tremblent, tes pensées sont dispersées par le choc et tu détournes tes prunelles. Oui, tu es horrible. Tu ne penses qu'à toi, tu ne dis rien, tu n'apportes rien qui puisses te mettre dans une position de faiblesse. Que ce soit des compliments, des mots tendres ou même faire des concessions... Non, tout ça t'es inconnu. Et ce n'est pas bien. Tu sens ce poids se faire de plus en plus lourd et finalement tu craques.

Tu laisses faire ce flot débordant d'émotions, tu n'as plus le contrôle que tu gardes habituellement et tu t'approches avant de le prendre dans tes bras. Tu as faillie glisser sur la même bouteille que lui mais tu t'en fiches. Tu sanglotes, tu fermes les yeux en secouant la tête, tu serres sa chemise entre tes pauvres doigts fragile. Ton être entier est fragile à cet instant. Cassable. Tu l'as toujours été finalement. « Pardon... Pardon Castiel... » Tu as été avertie pourtant, tu n'as pas écoutée, tu t'es enfermée dans ta fierté et ta manière de faire. Et maintenant, tu risques de perdre une personne à laquelle tu tiens. Tu te surprends même à te dire que tu t'es plus attachée à lui en si peu de temps qu'à n'importe qui. « S'il te plaît... Je... Je suis désolée... » Désolée d'être toi même, une sale peste égoïste. Tu le tiens un peu plus fort. Est-ce que tu mérites seulement qu'il te pardonne Wil' ? Non, tu le sais pertinemment. Il devrait te laisser ici, croupir dans ton égocentrisme et tes regrets.

Pourquoi est-ce que ça te fait si mal ? Pourquoi ton cœur donne l'impression d'être arraché ? « Je... Je ferais des efforts. J-Je te le promet... Ne me laisse pas... » Depuis quand est-ce que tu dis de telles choses ?

Peut-être parce que finalement tu ne peux pas te passer de lui. De son caractère impulsif, de son surnom qu'il te donne, de ses provocations, de sa personne, de son sourire étrange. Bon sang... Il a plus de pouvoir sur toi que tu ne le pensais. La preuve encore à cet instant. Tu mouilles sa chemise avec tes larmes alors même qu'il t'a rejeté. Tu feras des efforts ? Oui. Tu changeras.

Tes idées ne sont pas claires, mais c'est une certitude. Tu ne veux pas le décevoir.
Tu ne veux plus le décevoir plutôt.
Parce que finalement, tu dépends bien de lui, n'est-ce pas ?
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Re: ❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Sam 6 Mai - 12:12

Tu es ma maladie


La douleur te tient éveillée. Elle est présente à chaque extrémité de ton corps. A la tête, comme si tu voulais te la fracasser contre n’importe quoi ; à tes chevilles, qui ne peuvent plus te porter et à tes poignets, qui ne supportent plus de frapper.
Tu pensais fortement que c’était fini entre vous, qu’elle t’enjamberait et qu’elle partirait, elle et sa fierté mal placée. Mais sa réaction fut encore plus violente. Tu ne savais pas comment gérer ça. Une crise de larmes peut-être sincère mais inattendu.

Elle te tombe dessus, les yeux embués de grosses gouttelettes d’eau salée. Paniqué face à ce spectacle, tu ne sais pas comment réagir. Tu sais hurler, frapper, aimer. Mais consoler.. tu avais réussi pendant des années à fuir ce genre de situations fantasques et malaisantes.

Elle se jette contre toi, te suppliant presque de la pardonner. Elle semble enfin avoir compris qu’elle te cassait les couilles. Mais la voir dans cet état ne pouvait pas ne pas t’attendrir. Passant une main dans ses cheveux, avec une certaine tendresse maladroite, tu répondis d’une voix crispée.

“C’est rien, c’est rien. Arrête de chialer s’teuplait.”
Maintenant, elle te demandait de ne pas la laisser. Pourtant, c’est elle, qui allait partir au début. Comment pouvait-elle changer de comportement aussi rapidement ? Une boule se forma au niveau de ton estomac, alors que tu supportais le faible poids de son corps sur le tien. Tu avais tout de même du mal à la soutenir correctement, car tu avais le dos cambré au dessus du sol, te retenant par les poignets.

“Je pars pas, c’est bon. Tu me renifles dessus, c’est dégueu.”
Tu continues de lui caresser les cheveux affectueusement, même si tu es plus dégouté qu’autre chose. Alors qu’elle était aussi prêt de toi, tu pouvais enfin discerner convenablement les traits déchirés de son visage par les pleures.
Tu la trouvais vraiment belle.


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Re: ❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Sam 6 Mai - 20:31

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Tu connaissais les règles du jeu et tu y as joué et ça me tue de savoir que tu as perdu
Sa main vient caresser tes cheveux dans un geste qui se veut tendre malgré la maladresse. Tu restes contre lui sans bouger, tu profites de ce contact alors qu'il est mal à l'aise. Tu te dis qu'il ne doit pas consoler souvent au vu de sa réaction, de ses paroles pas très sûres ou même du ton qu'il emploi. Comme s'il ne contrôlait pas la situation. Elle t'échappe aussi quelque part, tu as perdu le contrôle de ton corps, de tes émotions. De ton cœur qui montre son humanité et sa souffrance subit à cause de cette solitude qui t'empoisonne jusque la moelle. Tu continues à sangloter, à trembler alors qu'il te dit que c'est un peu dégueu parce que tu renifles sur lui.

Tu hoches la tête, tu devrais t'arrêter parce qu'il ne doit pas aimer les pleurnichardes. Tu te mords les lèvres, tu sens encore son hémoglobine qui coule de son cou et finalement, tu recules légèrement la tête pour fixer sa peau ensanglantée. « … » Tu sors un mouchoir de ta poche pour le mettre sur son cou en tapotant dessus. C'est quand même un peu dur à regarder. Tu le regardes dans les yeux finalement, passant ton autre main sur ton visage pour essuyer les larmes qui coulent encore. « Désolée de... De m'être emportée. » Tu ne pleures pas souvent, en fait tu ne te souviens même plus de la dernière fois où c'est arrivé. Pauvre Wil', t'être montrée si vulnérable... Tu espères que cela ne va pas te jouer des tours. « Ça fait mal ? » Tu n'y es pas allée de main morte, tu en es consciente. Et tu sais aussi qu'il n'aime pas trop les délires avec les vampires et le sang.

Tu veux lui montrer que tu n'es pas non affectée plus que ça mais... Tu sais toi même que ça va être difficile. « Je n'aurais pas du te mordre, je sais que c'est pas trop ton délire... le sang. » Tu fais une moue, tu appuies un peu plus en essuyant son cou pour que ce soit propre. Tu te montres soucieuse mais tu ne veux plus lui faire mal. Il y a quelques instants qui passe ainsi et finalement tu retires ton mouchoir en constatant que ça s'arrête de couler. « Voilà. Ça devrait aller. » Ta voix est calme, un peu plus douce et tu le regardes.

L'odeur de l'alcool est encore présente, il est adossé certainement dans une position pas très confortable et tu le redresses un peu en prenant ses épaules dans tes mains pour le mettre face à toi. La tension est étrange, elle n'est plus hostile mais juste... Pesante. Son visage est près du tien, son souffle te caresse le visage et tu te mords les lèvres. Et finalement tu l'embrasses, le plus simplement du monde.
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Castiel A. Kingsley
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Re: ❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Lun 8 Mai - 23:21

Tu es ma maladie


Tu restes spectateur de la scène qu’elle t’offre. Comme tu as du mal à y croire de tes propres yeux.. c’est peut-être pour ça que tu agis en ayant l’impression d’observer de loin. Elle pleurait. C’était des vraies gouttes d’eau, qui ruisselaient sur ses joues. Son mascara avait coulé, ce qui lui donnait le charisme d’une prostituée panda.
Sans savoir pourquoi, ça t’avait fait rire sur le coup.

Elle sort un mouchoir, un simple linge pour éponger ton cou. La plaie ne semblait plus béante, cependant.

“C’est bon je t’ai dis, merci.”
La mine renfrogné et le teint fatigué, tu ne sais pas trop comment réagir à ses chouineries.
Tu la trouves mignonne à s’occuper de toi comme un soldat blessé. Mais son changement brutal de personnalité te laissait hébété. Alors que tu t’étais préparé psychologiquement à la voir s’en aller, le menton haut et les fesses bombées, elle s’était mise à pleurer.

… Des vraies larmes sortaient de ses yeux. Ce n’était pas un mirage ni une hallucination dû à l’alcool et la fatigue.
Oh, et puis merde.
Tu passes ta main dans son dos pour la ramener contre toi. C’est un instinct presque animal. Une fois pressée contre ton torse, tu tires sur ses cheveux pour pouvoir voir son visage et tu l’embrasses sauvagement. Ses lèvres ont un goût de sang, c’est étrange. C’est indécent. Mais tu ne vas pas t’en plaindre. C’est le tien. Cette saveur alcoolisé qui brûle à nouveau tes veines.
“Va pas t’imaginer des choses.”


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Re: ❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina Mer 10 Mai - 9:57

participant 1castielparticipant2ambroiseparticipant2kingsley

Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides

He told me I should take it in
Listen to every word he's speaking
The wires getting older I can hear the way they're creaking
As they're holding him

Tu connaissais les règles du jeu et tu y as joué et ça me tue de savoir que tu as perdu
Wilhelmina. Tu le sens au fond de toi ce murmure, ce chuchotement qui cache une panique réelle. Une crainte qui te donne un frisson quand tu croises son regard, qui embrouille tes sens quand il t'embrasse. Ça devrait te stopper, ça devrait suffire comme avertissement pour que tu le repousses, que tu arrêtes pendant qu'il en est encore temps. Tu n'en fais rien, tu n'écoutes plus cette voix qui proteste alors que tu te laisses aller, tu ne veux plus suivre ce qu'elle te dit alors que tu réponds à son baiser.

Ne t'imagines pas des choses, un avertissement qui ne fait qu'amplifier cet écho conservateur sur ta personne, celui qui te préserve de l'attachement malsain que l'on peut avoir qui précède une souffrance certaine. Tu souris pourtant, tu brises tes propres règles et tu satisfais ce besoin qui a envie depuis un long moment d'être considéré. « Je ne m'imagines rien Castiel. » Cette exigence d'ignorer tes lois, de simplement vivre sans la doctrine que ton père a imposé sur ta vie depuis trop longtemps.

Wilhelmina. S'il te voyait ainsi avec ton maquillage qui coule sur tes joues encore humides à cause de tes larmes, il serait certainement outré de voir sa fille ainsi. Mais tu t'en fiches, pas vrai ? Tes yeux sont accrochés aux siens, tu ne veux pas penser aux conséquences de ce que tu es en train de faire. Non, tu veux laisser ça derrière une porte de ta conscience, ça t'effraie d'avoir ça en tête, tu crains de revenir en arrière alors que le changement est en place. Le tien. « Est-ce que... » Tu marques une hésitation.

Ne t'imagines pas de choses qu'il a dit. Et pourtant, tu ne peux t'empêcher de marcher dans le noir, tu empruntes maladroitement ce chemin de l'inconnu, celui qui est sombre et pourtant si prometteur. De quoi ? Tu devras le découvrir car même si tu sais qu'il assure un changement radical de ta manière de vivre, de voir ou de comprendre ton entourage... Cela ne sera pas sans douleur. « … Qu'est-ce que tu veux faire ? » Tu n'imposes plus, tu demandes. Tu as connaissance de son importance, de sa valeur pour toi. Autant lui montrer en arrêtant de vouloir lui être supérieur et de le traiter en égal. Tu n'as pas gagnée Wilhelmina, mais tu ne t'en soucis plus.
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❝ Tu es ma maladie, ma guérison quand tu le décides | Pv. Wilhelmina
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