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(flashback) sex money feelings die -- trésoyd

Trésor Van Eck
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Trésor Van Eck
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(flashback) sex money feelings die -- trésoyd Mer 29 Aoû - 22:54

floyd
sex money feelings die, baby don't you cry
et tu déboules sur l'balcon dans un éclat d'rire bien trop fort pour l'heure qu'il est. t'as galéré pour grimper les escaliers, alternant entre porter floyd et t'faire porter. t'sais plus combien d'verres t'as avalé d'un coup, combien d'bâtons d'fumée t'as tiré ; probablement trop pour tes poumons et ton foie qui crient à l'aide. tu t'prends les pieds sur du vide et tu t'ramasses avant d'te relever - toujours l'sourire débile collé sur l'visage. t'pensais qu'vous finiriez comme ça c'soir, pas dans c't'état, pas avec floyd. pas avec l'mec qu'tu voulais embrasser chaque fois qu'tu croisais son putain d'regard qui t'fais frissonner. merde. faut qu'tu t'calmes. tu titubes jusqu'au banc l'plus proche et t'invites floyd avec v'nir s'asseoir à côté d'toi. et là t'lèves la tête, et t'mates les étoiles en silence, comme si t'attendais qu'l'euphorie d'la soirée disparaisse sous l'ciel bleu nuit. la tête qui tourne, les mains qui tremblent, t'attrapes une clope qu't'allumes dans un bruit d'briquet ; une flamme rapide, une flamme vive, elle s'reflète dans tes iris quelqu'secondes avant d'disparaître.

putain qu'on est bien là.

c'que tu dis n'a qu'très peu d'intérêt, et dieu sait qu't'aimes pas parler pour rien dire ; t'feras exception c'soir, t'as pas les neurones assez clairs pour méditer c'que tu racontes. espèce d'con, dans quel état t'vas être encore, demain? ça s'ra un problème pour plus tard, c'qui compte c'est l'instant. faut croire qu't'es deep quand t'es pas clair, trésor. t'laisses glisser ta main sur l'banc, l'regard ailleurs, comme si t'faisais rien, mais t'sais c'que tu veux, et t'comptes bien l'obtenir. t'veux son attention, t'veux qu'il te voit, qu'il t'dévore du r'gard, qu'il t'morde la lèvres et qu'tu lui mordes la sienne.

mec j'suis arraché. t'es beau.
c'pas vraiment l'association d'idées qu'tu voulais faire au début ; t'sais plus vraiment c'que tu cherchais à dire de plus, p'têt que c'était exactement ça.
bordel.

il est où l'bad boy ténébreux, trésor? enterré sous les effluves d'alcool et les feuilles d'canabis, probablement. t'jettes ta clope après t'être posé au bord du balcon. l'vent t'balayes les ch'veux, et ton visage s'referme d'un coup. les différentes phases d'la beuverie, c'est c'que tu t'dis, pour t'convaincre qu'y a rien d'autre ; mais quand tu t'retournes vers floyd t'sais qu'y a quelque chose.
y a lui. y a sa putain d'tête à quelques mètres d'toi.

t'es trop loin. viens là.
MONTY


Dernière édition par Trésor Van Eck le Lun 15 Oct - 13:09, édité 1 fois
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Re: (flashback) sex money feelings die -- trésoyd Jeu 30 Aoû - 21:06

Ça pulse dans les veines et ça fait éclater les vaisseaux sanguins – gangrène propagée jusque dans le cartilage, la gorge raclée dans un mollard disgracieux. Floyd n’a jamais fait dans la délicatesse et la retenue, gosse de riches roturier et indésiré ; alors forcément, quand il s’agrippe à la porte du balcon c’est dans un rire gras, le genre qu’on lâche qu’avec les meilleurs. Le genre qui résonne dans la poitrine, et frémit dans la colonne.

Vertèbres replacées dans l’ampleur de ses mouvements maladroits, l’envie de pisser gratte sous sa peau et tremble entre les guiboles – guidé par l’instinct le plus primitif, l’éhonté se soulage par-dessus la rampe, non sans s’extasier sur son propre génie. Tu débloques en solitaire, lui remonte sa fermeture éclair ; y a un fossé, jusqu’à ce qu’il s’écrase mollement sur le banc à côté de lui, déjà prêt à rouler un nouveau joint. Ça se glisse entre vous dans l’atmosphère, le revirement de situation qui dresse les poils sur sa nuque pâle – Floyd aura toujours eu un don déconcertant pour lire entre les lignes, même les plus muettes.

Roi du déni, né pour refouler ce qui ne lui apportera rien ; il laisse son dos heurter le bois gelé de votre piédestal et, d’un coup de langue mesuré, achève son énième œuvre d’art. Nature morte coincée entre l’index et le majeur, mordillée du bout des incisives – la tension cherche à l’étouffer. « Mec j’suis arraché. T’es beau. » Le naturel d’un sourire saturé d’arrogance recourbe ses lèvres, le serpent les pourlèche lascivement. « Je sais. » Plutôt que d’élaborer, il entame effrontément son bedo, non sans qu’un grognement amusé ne gratte le fond de sa trachée.

Peut-être qu’il n’attendait que ça ; que tu t’abandonnes enfin à ce qu’il pouvait t’offrir. Pourtant t’es pas son type – trop similaire, miroir craquelé de tout ce qu’il nie être. Mais quand l’ivresse chuchote ses stupres au creux de son oreille attentive, la révulsion disjoncte, la galanterie s’effile entre ses doigts. Il attend, fier et fastueux. « T’es trop loin. Viens là. » Docile et pliable, l’adolescent se fraie un chemin, enjambe le vide lourd de sens pour se percher sur toi ; solacé d’être enfin désiré, Floyd en amasse les gains avec l’entrain d’un gamin affamé. « Tu veux quoi, Trésor ? »

Y a la curiosité qui se mêle à la taquinerie sur le bout de sa langue, lui plonge au creux de l’obsidienne de tes rétines et laisse ses serres tenailler ta tendre gorge, une poignée de phalanges faufilées dans tes mèches ébènes. « J’suis assez proche ? » Murmure éraillé d’avoir trop crié, l’impertinence dégoulinante entre les phonèmes susurrés tout contre ton tendre hélix.
sex money feelings die // hrp: jte laisse top juste pcq c teen!flo ok t'excite pas
Trésor Van Eck
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Re: (flashback) sex money feelings die -- trésoyd Ven 31 Aoû - 0:46

floyd
sex money feelings die, baby don't you cry
sa main plaqué dans tes ch'veux, t'bouffes ses lèvres du r'gard alors qu'il t'susurre sa question. tes lèvres s'étirent en un sourire plein d'provoc, et t'as qu'une envie c'est d'plaquer ta bouche contre la sienne ; mais pas tout d'suite, pas maintenant, faut s'faire désirer, faut s'faire vouloir, ça peut pas aller trop vite, pas avec floyd. t'glisses lentement ta main dans son dos, t'sens au bout d'tes doigts chaque jointure d'sa colonne vertébrale, t'contournes au niveau d'la ceinture pour venir t'loger au creux d'ses hanches et t'ressers ton emprise. collé contre lui tu viens glisser ton autre main dans son cou, préparant l'terrain pour ensuite y apposer tes lèvres. t'embrasses son cou comme si chaque baiser était une pluie d'étoiles, t'prends ton temps d'bien marquer ton territoire, bien montrer qu'ce soir il est à toi.

t'es parfaitement à la bonne distance.
t'lui murmures à l'oreille, mordillant au passage l'bas d'son lobe.

combien d'nuit tu t'es assis à côté d'lui à parler d'choses sans sens à espérer pouvoir faire c'que tu f'sais maint'nant? combien d'fois t'as voulu l'plaquer contre toi et l'dévorer tel l'meilleur des repas? combien d'fois t'as pensé à arracher chaque putain d'sa ch'mise pour ballader tes mains sur sa peau nue? sûr'ment trop d'fois. putain, putain, putain, qu'es'tu branles, trésor? la main précédement sur son cou descend lentement pour s'faire une place dans sa poche arrière, et tu t'loges près d'son menton, tu l'regardes d'en bas parce qu'il est plus grand qu'toi, mais c'soir t'veux prendre le contrôle, t'veux être au dessus.

t'as bu combien d'verres? j'ai arrêté d'compter à partir du premier.
t'laisses ton rire toucher son oreille puis t'attend pas et tu l'tires vers toi jusqu'à c'que tes lèvres s'collent aux siennes, et t'passes un moment comme ça, et partir et rev'nir et à laisser ta langue explorer des contrées inconnues encore ; le palais d'son roi.

tu l'entraines jusqu'au banc où tu l'pousses dessus, et t'passes une jambe de chaque côté d'lui avant d't'asseoir sur ses jambes.
ton sourire narquois revêtu,
tes mains tendues,
ta chemise tâchée,
le diable de la débauche s'éprend d'son reflet dans l'miroir.
floyd.
la silhouette courbée, l'désir au plus haut.
t'lui voles le cierge de drogue qu'il tient encore entre deux doigts, tu tires une taffe, puis deux, t'vois les formes danser d'vant tes iris. un bouton d'sa chemise qui saute entre tes ongles. une caresse trop brève sur le haut du corps.

c'que j'veux tu m'as demandé? toi.
MONTY


Dernière édition par Trésor Van Eck le Lun 15 Oct - 13:11, édité 1 fois
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Re: (flashback) sex money feelings die -- trésoyd Dim 16 Sep - 22:04

ça pulse dans ses veines et il se sent un peu étourdi, pas super dégourdi -- comme bambi, dans la manière maladroite qu’il a de s’installer sur tes genoux, de presser ses mains sur tes épaules dans l’espoir invraisemblable d’acquérir un minimum d’équilibre. ça se glisse entre ses os et sa chair, ça griffe sa moelle et mord dans son derme et brûle dans ses artères. ah qu’il pense quand tu chuchotes dans son oreille et fait vibrer sa colonne vertébrale d’une morsure.

t’as bu combien d’verres? j’ai arrêté d’compter à partir du premier.” “plus que toi. t’es en train d’abuser d’un mineur, trésor. cela dit, t’es mineur aussi. ça compte?” il murmure contre ta nuque et mordille entre quelques mots, juste avant que tu prennes le dessus et que ses crocs se referment sur ta lèvre inférieure. c’est pas très tendre, presque violent quelque part et y a plus de dents qu’autre chose mais ça le dérange pas, ça lui va.

sauf qu’il a pas le temps de savourer, parce que monsieur est pressé et qu’il se retrouve sur le dos l’instant d’après et y a plus assez d’air dans ses poumons quand il rigole, quand il lève les yeux vers toi. “frère, t’as l’air d’une grosse salope.” ça glisse le long de sa langue comme un compliment alors qu’il le voulait acéré, juste assez coupant pour fendre la peau.

c’que j’veux tu m’as demandé? toi.” un nouveau rire jaillit et sa main s’empresse de faire sauter les boutons de ta chemise à toi, un peu trop insistant sur les carrés de peau dévoilés. y a des griffures qui se perdent et le sang qui lui monte au cerveau ; les hanches relevées dans la sécheresse d’un roulement impitoyable et le cadet se redresse pour rechopper la pulpe déjà meurtrie de ta lippe, pour la piéger entre ses mâchoires fiévreuses et l’apaiser du bout de sa langue scandaleusement taquine.

baisers en papillons ardents déployés sur toute la longueur lascive de ta gorge exposée, il y aspire quelques centimètres de derme et ponctue ses succions de morsures borderline moqueuses, la hâte le poussant à t’arracher le tissu pâle et délavé. “tu réalises qu’on est sur un balcon? genre, dehors?” et ça empêche pas ses doigts de glisser sous la ceinture, d’explorer dans la curiosité du mec pas puceau mais pas non plus trop expérimenté ; c’est encore gêné et emphasé par tout ce qui court dans les détroits déjà putréfiés de ses artères.

mais si c’est c’que tu veux, tes désirs sont des ordres.” la fausse assurance brisée par les gestes incertains, la braguette coincée dans le coton du caleçon et les jurons bousculés sur ses lippes abîmées. il les pourlèche et compense d’un baiser saturé de toute son incapacité, à en sentir l’une de tes canines entailler la chair rougie de sa bouche d’adolescent trop enthousiaste. “prends c’que tu veux, chaudasse.” chuchoté en invitation suprême tout contre ta joue, alors-même que la paume de sa main se presse contre ta peau nue.
sex money feelings die // hrp: switch culture
Trésor Van Eck
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Re: (flashback) sex money feelings die -- trésoyd Dim 23 Sep - 18:14

floyd
sex money feelings die, baby don't you cry
t'as presque envie d'rire quand il s'foire sur ta braguette, mais tu l'fais pas. parce qu't'as pas envie d'rire, t'as envie d'faire exactement c'qu'il te dit d'faire : prendre c'que t'veux. alors tu le laisses s'essayer à te déshabiller, et quand il emprisonne tes lèvres, t'lui rends son baiser.
puis tu commences à glisser tes mains sur son torse, son pantalon.
tu sens l'excitation monter. tu l'veux tout entier. et tu t'lances dans l'action, sur l'balcon, pour l'peu qu't'en avais à faire. l'vent dans l'dos et la chaleur devant.
floyd, enfin.

***

tu t'laisses tomber à côté d'floyd, sur l'banc, comme une lourde masse informe. t'es épuisé, t'es vidé, t'es toujours bourré. mais t'as l'sourire aux lèvres et la sueur au front. et quand tu t'resappes, t'es content d'l'avoir fait, et tu te tournes vers floyd, et tu l'fixes sans rien dire, n'voulant pas briser la courte magie d'l'instant, le p'tit moment d'réalisation, les étoiles qui brillent et l'ciel noir.
t'fermes les yeux quelques instants, et s'il t'restais pas un peu d'adrénaline et un peu d'mal de crâne, t'es persuadé qu'tu t'serais endormi sur l'coup, aussi simplement qu'ça. t'poses ta main sur l'épaule d'floyd.

bon, c'était cool?
t'sais pas pourquoi t'lui poses la question, comme si t'doutais d'tes performances, mais c'était v'nu naturellement, un peu comme tout l'acte lui même.

c'était pas vraiment v'nu naturellement parce qu'il a fallu l'aide d'l'alcool, mais quelqu'part, t'es persuadé qu'ça aurait fini par arriver même sans. un appel du destin, des chemins qui s'croisent inévitablement. t'en rêvais d'puis un moment, et t'obtiens toujours c'que t'veux, alors t'savais qu'ça viendrait un jour.
et t'sais pas vraiment si t'dois t'sentir mal pour l'avoir fait dans la faiblesse d'ton ami, dans le creux d'une vague d'boisson, mais t'regrettes pas, et tu t'sens jamais vraiment mal d'faire ça, peu importe la condition d'l'autre personne.

j't'avoue ça f'sait un moment qu'j'voulais l'faire avec toi.
t'es sincère, et c'est probablement encore une fois l'euphorie d'la soirée et les nombreux verres qui t'empêche d'mettre un filtre sur tes paroles habituellement mesurées.

t'as un coup d'barre, d'un coup t'es crevé ; d'un coup l'mal de tête t'retient plus, mais t'veux pas t'assoupir maint'nant, mais t'as la tête qui penche et les paupières qui luttent.

c'était quand même bien cool c'te soirée. t'as vu quand matthias il s'est pété la gueule? ah j'ai explosé d'rire.
MONTY


Dernière édition par Trésor Van Eck le Lun 15 Oct - 13:14, édité 1 fois
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Re: (flashback) sex money feelings die -- trésoyd Dim 30 Sep - 17:01

bon, c’était cool?” floyd a jamais cru en la magie des moments, en particulier ceux qui impliquent une demi-douzaine de coups de reins de taulard. mais quand tu murmures ta question et que lui, de son côté hagard, tente tant bien que mal de reprendre ses esprits, c’est sans contrôle qu’il éclate de rire -- le ridicule de la situation arrachant toute trace d’air dans ses poumons cancéreux. main sur la braguette dans un énième essai d’y enfermer la bête, il laisse sa tête s’agiter (ou, plus honnêtement, dodeliner pitoyablement) et sent le rire mourir sur le bord de ses lèvres. pour combler, il y colle une clope. “ta gueule, van eck. tu poses toujours cette question, après avoir sauté quelqu’un?

les muscles tirés et la fatigue en épée de damoclès au-dessus de ses épaules, il tire une latte monstrueuse et s’imprègne de tout le poison, sa dépouille esseulée s’enfonçant plus encore dans la courbe du banc. la satisfaction d’avoir purgé quelque pulsion animale gorge ses pores et agraine le désir pur de s’endormir dans l’instant mais, contre toute attente, le serpent se redresse. pire, il ose se lever dans un râle ténu, douloureusement conscient que les prochains jours allaient être éprouvants. “j’t’avoue ça f’sait un moment qu’j’voulais l’faire avec toi.

t’as l’accent épais et tu bouffes tes mots -- lui est tenté de feindre l’incompréhension, juste pour le plaisir puéril de t’entendre répéter ces quelques phonèmes. pour en faire une sonnerie, peut-être. “trésor, j’vais devoir t’apprendre à gérer les discussions post-coït.” soupir désemparé, le désespoir qui tord ses traits -- expression qui éclate en morceaux l’instant d’après, sous l’impact d’un rire un peu nerveux. il rend pas les compliments, confie pas avoir voulu que tu te glisses entre ses guiboles dès le premier soir.

c’était quand même bien cool c’te soirée. t’as vu quand matthias il s’est pété la gueule? ah j’ai explosé d’rire.” boutons de chemise remis en place (du moins, pour ceux qui restent) et l’adolescent s’étire, tend sa clope à la lisière de tes lippes dans une invitation muette. le sourire reste en place sur les siennes, coupant et prétentieux. “ouais ouais, c’était marrant. lève ton cul van eck, on va pas rester plantés là. j’ai besoin d’une douche, tu m’as dégueulassé.” implication si discrète quand sa main s’enroule autour de son poignet et qu’il t’attire aux cachots, le mégot oublié près du banc -- nonchalamment écrasé par son talon épuisé.
il a pas envie de dormir tout seul ce soir.
sex money feelings die // hrp: switch culture
Trésor Van Eck
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Re: (flashback) sex money feelings die -- trésoyd Mar 23 Oct - 1:55

floyd
sex money feelings die, baby don't you cry
t'commences par t'indigner des réponses d'floyd. t'as pas l'habitude qu'on questionne tes paroles - mais fallait s'y attendre avec lindberg. ouais, t'la poses toujours cette question. t'as peur d'pas satisfaire, p'têt, trésor? l'toi sobre dirait non, mais c'lui qu'à pas encore fini de décuver sait pas trop.

t'fous pas d'ma gueule putain. lâche moi, j'peux marcher tout seul.
langage fleuri et phrases en alexandrins - ((bien entendu)).

t'le suis dans les méandres du château, les boutons d'ta chemise probablement mal refoutus. « grouille par contre, on a dépassé l'couvre-feu, j'veux pas m'faire gauler. » et pour appuyer l'action à tes paroles, tu t'mets à presser l'pas. t'as envie d'arriver vite aux dortoirs - parce qu'tu dois admettre qu'toi aussi tu t'sens un peu crade après c'te soirée ; l'alcool, la transpiration et autres.
quand t'vois enfin l'entrée d'votre salle commune du coin d'l'oeil, t'dois presque t'retenir d'courir en rentrant.
c'que tu détestes pas être propre, bordel.
t'lui fais signe qu'tu montes dans ton dortoir.

j'vais prendre une douche viteuf, fais pareil. on s'rejoint après, j'suppose qu'tu veux prolonger la nuit jusqu'dans ton lit.
j'sais qu't'as pas envie de dormir tout seul, floyd.

t'mets pas plus d'cinq minutes avant d'redescendre - t'fais gaffe d'pas réveiller kain au passage. t'passes dans les escaliers silencieus'ment et t'attend qu'lindberg r'vienne appuyé sur un des canapés.

prends ton temps surtout, cendrillon. j'ai pas du tout envie d'm'allonger.
perds pas ton soulier, ma belle.
MONTY
(flashback) sex money feelings die -- trésoyd
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