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FALVIE E. HOLLYN - She’s beauty, she’s grace, she’ll kick you in the face

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FALVIE E. HOLLYN - She’s beauty, she’s grace, she’ll kick you in the face Lun 14 Jan - 21:16


Falvie E. Hollyn
Prénom(s) et nom — Falvie Ether Hollyn
Surnom(s) — Non, évite
Âge — 17 ans
Orientation sexuelle — Hétéro
Origine — Américaine
Sang — Sang mêlé
Particularité —  Elle sait courir avec des escarpins sans se péter la gueule, et c’est franchement pas rien.
Année d'études — 7ème
Options ou licence — ASPIC :  Occultisme & alchimie
Avenir — Elle sera probablement rédactrice critique, pour plomber des egos de sa plume acerbe
Avis sur les cracmols et moldus à Poudlard — Elle s’en bat la rate. Genre, complètement. Elle pourrait leur tenir la porte comme s’en servir de paillasson selon le goût qu’aura son cappuccino du matin.
Maison —....
Avatar — gasai yuno

Baguette magique — Ebène, crin de licorne, souple, 31cm.
Épouvantard — Un chaton trop mignon super câlin qui fait miamiamia avec des grands yeux plein de love
Patronus — Une biche
Reflet du miroir de Risèd — Elle dans vingt ans, reconnue et acclamée pour un talent… Qu’elle espère bien trouver d’ici là. i
Odeur de l'Amortentia — Herbe fraîchement coupée et… Coco chanel black, les deux se mélangent très bien.
Matière favorite — Métamorphose
Bonbon favori — Aucun
Créature inspirante — Elle s’inspire très bien toute seule mais merci quand même
Animal de compagnie — Un individu charm(chiant) lui a offert deux ans auparavant un hibou grand-duc à l’air patibulaire qu’elle a instantanément prénommé « Pakontan »
Mental
Ta supériorité n'est odieuse que pour ceux qui t'envient.
Ton cœur est froid.
Ton monde n'est pas constitué d’une hiérarchie de rapports de force, où tu es supposée montrer que tu es la plus puissante… Parce que tu ne ressens rien. Qu'ils se placent au-dessus ou au-dessous de toi t'indiffère - tu sais pertinemment que tu les vaux tous. Les plus jeunes comme les plus vieux, des fainéants aux grands studieux, tu les piétines de ta grandeur, juchée sur ce trône qu'est ton ego. Tu les contemples, presque attendrie par leur misère intellectuelle, ennuyée rien qu'à l'idée des réflexions inutiles qui hantent leurs crânes vides. Ce n'est pas de l'arrogance non ; c'est une réalité que tu assumes et que tu entretiens avec soin. C'est le seul brasier qui te réchauffe encore un peu, lorsque tes pensées vagabondent. Lorsque tu réalises que tu es seule, perdue dans une marée de visages anonymes, et que tu te rappelles que la trace laissée dans ton sillage est éclatante.
Tu les écrases tous.

Ton échelle de valeur n'est pas comme la leur. Tes échelons sont atypiques, peut-être créés en fonction de ton niveau, pour que tu te places toujours sur la dernière graduation. Mais tu t'en fous, parce que tu es en haut, un sourire sans joie collé sur tes lèvres pales, et tu ris de la distance qui vous sépare. Qu'ils sont loin, perdus dans un brouillard qu'ils finissent par affectionner, imaginant que leur sottise est commune et partagée. Qu'ils sont drôles, à s'imaginer intéressants, pire, captivants, à caracoler, naseaux frémissants et queue en panache, jeunes yearlings quittant tout juste l'ombre maternelle. Comme ils sont ennuyeux, à graviter autour de toi, pôle d'attraction car marginale, cherchant à attirer ton regard en crachant des sujets de conversations qui ne t'arrachent que des soupirs.

Et pourtant tu sais rire.
En vérité, le rire n'est rien d'autre qu'un énième outil de ta collection de comédienne. Rire est le propre de l'homme, mais rire de l'homme est ton credo. Provoquer est un jeu. Un mouvement des lèvres, rictus ou sourire, quelques battements de paupières et tu tourbillonnes autour d'eux, prenant l'habit d'une coqueluche, pour jouer quelques secondes. Tu provoques et t'en réjouis, manipulatrice que tu es, te distrayant à leurs dépens. Ils t'approchent, osent te toucher ? Ton masque de théâtre est posé et tu t'élances. Fais courir tes doigts sur leur peau, cherche leur regard, approche tes lèvres des leurs. Puis te dérobes et disparais, phobique des conséquences. Les relations ? Tu ne les connais pas. Ou elles sont à sens unique. Peu de gens parviennent à imposer leur trace sur le carcan imperméable qu'est ta carapace ; leur passage glisse comme la pluie sur ta peau, mais ne la mouille pas.

Ils sont rares, ceux qui ont pu t'effleurer. Ceux qui t'approchent en cachant crocs et griffes afin de t'amadouer sont au mieux ignorés, au pire, exterminés. Dupe, tu ne l'as jamais été. Ou pas depuis très longtemps en tout cas. Pour dompter l'animal qui est en toi, il faut être patient. Proche, mais pas trop. Tenace, mais pas collant. Original, mais pas loufoque. Pour attirer ton regard, il faut être particulier, ou intelligent. Et seules ces deux catégories peuvent susciter assez de curiosité en toi pour te pousser à croiser leurs regards.
Car lorsque tu marches, ton regard est droit. Trop fier pour frayer avec la masse, il est à ton image, planant au-dessus de la foule à la stupidité crasse, refusant tout contact avec leur contagieuse bêtise.

Il est si rare de te voir accompagnée que certains te considèrent comme un fantôme, spectre silencieux et hautain, une reine déchue qui refuserait de quitter son lieu de grandeur et de décadence. Ne te manque plus que la couronne pour asseoir ton rôle, créature solitaire qui pourtant, parvient à s'abaisser au niveau des humains. Quelques paroles échangées à tes côtés, une réplique particulièrement venimeuse à ton intention, un regard à demi voilé que tu n'étais pas censée voir, et tu t'avances, curieuse de découvrir le mouton noir du troupeau. Tu ne leur tends pas la main ; ils doivent se saisir de la tienne, et simplement rester eux-mêmes pour te prouver qu'ils possèdent assez d'intellect pour graviter dans ta sphère. Tu les tolères, bienveillante, et parviens même à t'attacher à certains, qui, en distillant leur délicieux poison autour d'eux, ont réussi à t’appâter. Ils sont si rares, et si noirs ! Car impératrice des venimeux, tu ne t'entoures que de serpents et autres spécimens au poison létal, bien plus passionnants que les athlètes au sourire bancal et les blondes aux yeux bleus et vides.
Tu ne collectionnes que les nuisibles.

Parce que tu es malade, Falvie. Ils l'ignorent et ne le sauront jamais, mais ton encéphale est rongé par un mal que même ton ego ne peut enrayer. Une maladie de vieillard, ridicule. Avilissante. Qui te dévore jours après jours, parcelles après parcelles. Alzheimer. Précocement déclaré, comme s'il voulait se venger de tant d'arrogance et d’égocentrisme. Il est ton monstre, ton démon et te suit pourtant, ombre macabre ficelée aux talons. Te narguant d'un œil narquois que tu ne peux fuir. Certains jours, tu t'éveilles en ayant oublié les péripéties de la veille. Page blanche. Les noms fuient les premiers ; les banalités aussi. Les cours, tu les retiens lorsqu'il t’intéressent, et fort heureusement, tu as tellement besoin de dominer ceux qui t'entourent que chaque parole prononcée par un enseignant est bue comme une source de jouvence. Mais ce qui ne te marque pas disparaît. Inéluctablement.
Alors tu as décidé de tous les détester.
Pour ne pas regretter d'oublier.
Story
Ta jeunesse est un cliché répugnant, et qui n'aura été narrée qu'une seule fois, lors de ton admission pour remplir les archives de l'école. Aucun meurtre de masse, pas d'éducation pour haïr ceux qui ne te ressemblent pas, aucune mise en valeur de l'arbre familial, tu naquis comme une fleur dans la maison d'un couple qui s'aimaient, tout simplement. Le père était un ancien élève de Ivelmorny, la mère une mordue qui travaillait dans un hopital non loin.
Tu vis le jour le vingt octobre à dix-nruf heures.
Première enfant aussi blonde que tes deux géniteurs, tu grandis entourée de magie, éduquée par des parents aimants et encadrée par des règles strictes. Ils t'aimaient, tu les aimais, ils étaient parfois sévères mais toujours justes, et disposaient toujours d'une heure ou deux pour te raconter des histoires inventées sur le tas, qui continuaient, soirs après soirs, à rythmer tes nuits peuplées de créatures et de sorciers valeureux.
Vint évidemment le moment où tu grandis.
Où, avide de liberté, tu n’obéissais plus aux règles. Où, intelligente et très bonne élève, tu tenais tête à tes parents aimés, simplement pour leur rappeler que tu avais grandi et que tu désirais une nouvelle place familiale. Pas celle de l'enfant, mais celle de l'adolescente, bouleversée par les changements et les hormones. Ce moment où ils ne te connaissaient plus, alors que tu étais la même et que tu les aimais plus que tout.
Ce moment où ils pensèrent t'avoir perdu.
Et qu'ils conçurent un autre enfant.
Du jour au lendemain, tu disparus dans leur vie.
Tu avais à peine onze ans, et ivelmorny te tendait les bras. Tu te souvenais encore très bien de ton père, toujours tendre et serviable, qui t'avait largué sur le quai 9¾ avec les affaires neuves achetées en vitesse, pour retrouver sa bien aimée et le bambin tout juste né.
Oh oui. Tu t'en souvenais si bien.
Des familles fières et heureuses. Des familles soudées ou pas, des disputes entre gosses, des amis qui se retrouvaient, d'autres qui se découvraient, des cris, des appels, des blagues, des rires...
Et toi.
Seule.
Oisillon tombé du nid sans jamais avoir appris à voler.
Tellement amère que le sol aurait pu fondre sous tes pieds.

Ta rancune grandit et prit une ampleur monumentale lors de ta première année. Agressive et malheureuse à en mourir, tu t’abattais sur ceux qui osaient te regarder, brisant tes petits poings sur leurs nez fragiles, mordant et griffant comme un chat sauvage, retrouvant une étincelle de vie par la rage et la violence.
Tu les haïssais. Tous. Férocement.
Mais une parcelle au fond de toi priait encore avec ferveur. T'affirmant qu'à ton retour, lors des vacances d'été, tu rentrerais à la maison et que tes parents te montreraient à quel point tu leur avais manqué. Tu recevais encore leurs lettres bien sûr, mais toutes parlaient exclusivement des progrès de...
l'intrus.
Le sale gosse qui t'avait volé leur amour.

Au fil des années, tu t’étais détachée d’eux, déchirant les lettres sans les lire, revenant pendant les vacances pour t’enfuir chez certaines de tes sbires. Tu avais une vie en dehors d’eux, et tu ne les voyais plus que comme des visages parmi une foule. Des connaissances sympathiques qui te filaient du pognon et avec qui tu mangeais parfois.
Tu avais grandi, pris en assurance, et tu frappais plus souvent avec les mots qu’avec les poings. Tu folâtrais de beaux Serdaigles aux délicieux Serpentards, avec une préférence pour les grands bruns de Gryffondor, plein d’une assurance qui se heurtait à ton regard polaire. Tu avais fini par trouver une stabilité, un semblant de fil conducteur dans ta vie.
Mais le petit lutin avait d’autres plans. L’atmosphère polluée et le grand soleil des Etats-Unis ne lui allaient guère, pauvre petit adonis à la santé fragile. Ainsi, il fut décidé que Falvie poursuivrait ses études à Poudlard, pour une dernière année – après tout, on ne pouvait pas laisser le petit trésor dans cet état ! Valises faites, adieux expédiés, amis désavoués. Temps gris, humeur morose, nouvelle vie. Nouvelle Falvie ?
Pas vraiment.

Derrière l'écran
Ness — Salut, je sais absolument pas quoi mettre ici. Je n’ai pas RP depuis deees années alors je risque d’être très rouillée, milles excuses si je fais des trucs tout nuls asdfhj. Et précision pour la maladie de Fal’ comme certains avaient buté dessus lorsque je la jouais avant, oui Alzheimer peut se déclencher très précocement et sans autres symptômes que la perte de mémoire. Et oui, c’est horrible, faut bien que toute la connassitude de mon perso vienne de quelque part, je suis un monstre parfaitement assumé 8D


Dernière édition par Falvie E. Hollyn le Lun 14 Jan - 22:04, édité 4 fois
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Re: FALVIE E. HOLLYN - She’s beauty, she’s grace, she’ll kick you in the face Lun 14 Jan - 21:17

T BEL

Edit :

Bienvenue chaton grjekgjkr ♥️♥️
tes images sont nbgfkgjf ♥️♥️♥️
fal est fkgjkre ♥️♥️♥️♥️
je lis toussa en me dandinant gracieusement (tmtc) sur ma chaise ♥️

KISSKISS FALLINLOVE ♥️

longue vie à Pakontan 8D
Slàine O’Toole
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Re: FALVIE E. HOLLYN - She’s beauty, she’s grace, she’ll kick you in the face Lun 14 Jan - 21:30

Woh, on a une fournée de teignes ces temps-ci, ça promet ! selene La fin du mental est déchirante, cela dit. halp Bienvenue parmi nous, si j'ai bien compris, j'espère que tu t'amuseras tout plein avec Falvie (j'ai l'impression d'avoir fait une faute de frappe après avoir voulu écrire Flavie c'est terrible ptdr )
Bonne validation ! love
Ene Reiss
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Re: FALVIE E. HOLLYN - She’s beauty, she’s grace, she’ll kick you in the face Lun 14 Jan - 21:30

BIENVENUE fire
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Re: FALVIE E. HOLLYN - She’s beauty, she’s grace, she’ll kick you in the face Mar 15 Jan - 21:37




Bienvenue sur Dabberblimp !

Ayayayaye !! Je crush hard sur gasai yuno donc tu as atteint ta flèche dans mon petit coeur love
Je trouve que tu n'es pas vraiment rouillée, c'est vraiment bien écrit, hyper fluide et tout !
Je pense que tu t'en doutais pour la maison, amuse toi bien parmi nous !


Te voilà validé, tu peux dès à présent créer ta fiche de lien dans ce sujet, ainsi que ton téléphone portable ici (des modèles sont mis à ta disposition). Tu dois aller faire recenser ton avatar par là et tu peux aussi faire une demande de RP juste ici, ou aller sur la CB te trouver un éventuel partenaire. Tu peux aller t'inscrire dans un club de Poudlard et aussi aller zyeuter la liste des postes.
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