Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth

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Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth Dim 11 Juin - 17:15

 
Lisbeth Rosa Gretel Hohenwald
“ Vous qui entrez, laissez toute espérance. „
 
Le choixpeau a quelques questions pour commencer...
 
Tu t’appelles ? Lisbeth Rosa Gretel Hohenwald, car c'est amusant de s'acharner sur les noms de ses enfants, n'est-ce pas ? 
Un surnom ? Ton frère est le seul à pouvoir te nommer Lis. Pour les autres tu es Beth, ou Lisbeth. 
Donne moi ton âge jeune individu... Dix-huit lunes de cendres que tu es déjà là., née dans le froid hivernal d'un décembre glacial. 
Tu viens d’où ?  De Arnstorf, petit bourg allemand.  
Et au niveau de ton rang ici ?   Sang-mêlée, bien que ton sang soit plus pur que celui de ceux qui daignent s'éduquer dans cette école. 
T’es en quelle année ? Neuvième année 
Quelle licence? Tu es en Licence de Droit et de Politique magique 
Tu aimerais faire quoi plus tard ? Contrôler. Être au-dessus de ceux qui croient naïvement que le pouvoir revient aux justes. Tu voudrais sournoisement démontrer à ceux qui auront l'audace d'ouvrir les yeux, que l'univers est constitué de gens malsains, et de ceux qui les laissent faire. Et toi, tu appartiens à cette première catégorie. 
Que penses-tu des élèves moldus et cracmols à Poudlard ?  Certains d'entre eux ont du potentiel, du cran. Mais les autres capes grises... Ah cela t'arracherait un rire de plaisir que de les voir déchoir entre les mains du directeur qui semble si avide de se repaître de leur chair dépourvue de quintessence.  
Je vois je vois… tu seras donc dans la maison…
 
 
 
Il est temps que tu affrontes qui tu es.
 
 
 
 
 
Ta baguette magique C'est une baguette d'une trentaine de centimètres, d'un gris cendres tournant vers le noir par endroits. Le bois est celui de sureau, si inhabituel, mais qui fait de ta baguette un compagnon digne de ce nom, surtout avec en surcroît avec une plume d'oiseau tonnerre en son cœur. Il est vrai que parfois elle devient incontrôlable, mais autant ton désir de pouvoir que le sien s'accordent avec malice et délice, et vos capacités s'embrasent avec l'ardeur de la destruction. 
La forme de ton épouvantard Le son retentissant, carillonnant, d'une bague qui s'écroule au sol. Et puis tes yeux aperçoivent Dante, son sourire dément maculé de sang, à ses pieds une enfant, un vieillard, parfois une femme enceinte - jamais la même vision, toujours la même signification. Il s'échappe à ton contrôle, aux chaînes dans lesquelles tu l'as enveloppé pour le protéger de sa propre folie, de sa propre bestialité. 
L’animal de ton patronus Tu n'as que très récemment compris que le chat de ton patronus, n'en était pas un. Sa double queue indiquait un nekomata, créature japonaise qui ressuscite les morts et qui prend place de ceux qui croient pouvoir la posséder en les dévorant. 
Qu’est-ce que tu vois dans le miroir de Risèd ?  Tu évites ce miroir comme la peste, sachant pertinemment que le plus profond de tes désirs devrait rester enterré même à tes yeux... 
Que sens-tu au dessus de la potion d’Amortencia ? L'odeur du vin rouge, celle rance de la peau de ton frère et l'odeur du vent en montagnes. 
Ta matière favorite Tu apprécies toutes tes matières, car elles permettent sans exception de t'offrir une large panoplie de connaissances dans lesquelles tu peux piocher tout ce dont tu as besoin pour démontrer ta supériorité intelectuelle.  
Tu aimes quoi comme bonbon ? Tu adores le caramel. Inconditionnellement. 
La créature qui t’inspire le plus Probablement la Yuki-Onna japonaise. Bien que ce ne soit pas réellement une créature, elle n'est pas non plus réellement humaine. Elle incarne en quelques sortes le brouillard hivernal et tu te demandes sérieusement où cette légende a-t-elle commencé. Et surtout si ce n'est vraiment qu'une légende.
 
 
Tout est possible, du moment qu'on a assez de cran
Le miroir. Une surface lisse, brillante, reflétant un visage mince, des cheveux clairs. Tu es belle. Oui, tu es belle. Tu sais parfaitement reconnaître une belle femme et c'en est une que tu vois dans ton miroir. Un visage rond, un cou gracieux, fin, des lèvres fines mais bien tracées, des cheveux courts aux reflets d'or. Oui, une femme très séduisante. Tout du moins, tant que tu ne regardes pas ces yeux sombres. Car tes yeux bruns, eux, ne mentent pas. Tes yeux si sombres sont aussi ténébreux que ton âme. Impurs. Des yeux de trainée, des yeux de vipère, des yeux de menteuse, des yeux de voleuse. Car il n'y a plus rien au fond d'eux qui pourrait leur donner un bel éclat. Ce sont des yeux pleins d'un fiel corrompu, un poison gangréné, un liquide amer aux propriétés de l'acide sulfurique, étouffant, monstrueux, immonde.   
Car il est trop tard pour toi et tu le sais parfaitement. Il n'y a plus de meubles à sauver. Seul subsiste ton cœur, encore fragilement soutenu par l'amour que tu portes à tes proches. Amour inconditionnel, puissant, un amour qui ne laisse pas de doutes sur sa nature. Tu es possessive, tu es jalouse, mais surtout tu es attentionnée, délicate, franche, honnête. Car tu sais que si tu n'offres pas le meilleur de toi, peut-être que personne ne le fera.   
Ton regard se dépose sur ton corps féminin, bien taillé comme dans un bloc d'argile. Tu n'es peut-être pas très forte physiquement, mais cette force là, n'a pas tant d'importance que ça pour toi. Et puis, c'est avec un léger sourire cynique que tu constates souvent que les gens te sous-estiment. Pourtant, tu es imprévisible. Tu es l'orage et la tempête à la fois, violente, calme, œil du cyclone qui se referme autour de sa victime avant de l'emporter dans une pluie de gravats mortels. Tu es celle qu'on défie pour un rien et qui prouve qu'elle est capable de tout, celle qu'on voit marcher sur les toits dans la nuit, celle qui crache au visage de la Mort et tombe dans ses bras avec le délice de la provocation. Tu es celle qui fume des cigarettes à sa fenêtre le soir, à moitié nue malgré la lumière de la chambre qui souligne tes contours sur le verre transparent. Tu es celle qui aime sans amour, qui se laisse dans les étreintes d'un soir sans jamais aller plus loin que quelques caresses silencieuses. Tu es celle qui n'aime pas les hommes, qui trouve la virilité un mythe ambulant et qui y préfère la tendresse des courbes d'une femme. Tu es celle qui ne pense qu'à un seul visage, toujours, encore, sans jamais oser affronter la réalité de peur de la déception.  
L'eau éclabousse ton visage, un jet contrôlé, efficace. Le contrôle, c'est ce que tu aimes, ce que tu ne peux pas perdre tant il est attaché à ta raison. Maitriser les évènements, ne pas se laisser surprendre, être préparée à toute éventualité. Être préparée à la mort, à la déception, à l'affrontement, à l'amour. Car tout a besoin d'être réfléchi, pesé, calculé. Rien ne peut t'échapper, mais tu y es préparée à ça aussi. Alors plus rien ne te surprend. Tu n'as plus de grandes peurs, sauf une. Tu es capable d'un calme olympien tout en étant capable de danser jusqu'à l'épuisement dans les bras d'une inconnue, le cœur chamboulé et le souffle court. Mais tu n'as pas non plus de grandes ambitions. Tu désires sur le moment et tends ta main pour te saisir de ton destin. Tu n'as pas de grands rêves, tu veux juste découvrir, au fur et à mesure, essayant tant bien que mal de survivre dans ce monde que tu n'apprécies pas forcément, mais que tu ne détestes pas non plus.   
Tu es toute en oppositions, en contrastes, en antithèses. Alors tu es tout, et tu n'es rien. Tu es différente, en étant identique. Tes vêtements sont ceux de tout le monde, mais ta chemise est en cachemire et ta cape en soie. Ton sourire est le même que celui des autres mais il n'est que rarement sincère. Ton rire est aussi éclatant que celui qu'aurait une démente au bord de la folie. Ton âme est noire mais tu t'habilles de blanc comme un travestissement illusoire qui te permettrait de cacher ce que tu es aux yeux de ceux qui te regardent, qui te voient.  
Ton corps s'enroule dans une serviette douce et épaisse, comme dans l'étreinte de quelqu'un qui te serait cher. Pourtant tu ne te laisses pas aller à cette tendresse, tu frottes ta chair vivement, comme si tu n'avais pas le temps de profiter de la douceur du tissus, le rendant désagréable et brusque par ta seule volonté. Après tout, toi aussi tu te rends désagréable au possible, sarcastique et ironique à souhaits, blessante et amère. Parce que c'est comme ça, parce que tu n'as pas envie de sembler douce et mignonne. Tu as beau être belle femme, c'est pas imposé aussi d'être belle âme, si ?  
 
 
Ce qui compte, ce n’est pas la naissance, mais ce que l’on devient.
 Chute.
Le bruit caractéristique de la bille de verre qui retombe dans ta paume. Vol, arrêt, chute. Tu la lances et la rattrapes, agilement, délicatement. Vol, arrêt, chute. Pourtant tu mets beaucoup de force, mais elle ne vole pas très haut. Vol, arrêt, chute. Tu t'assois.
Tes yeux contemplent ta chambre. Des murs beiges, une grande armoire de bois, un plafond en biais. Une petite fenêtre sur le côté, une autre derrière toi, derrière ce grand lit sans entête. Tu n'aimes pas ça, c'est superflu. Alors on croirait juste que tu as posé ton matelas sur un piédestal, tant l'absence de cadre ou d'ornements le différencie d'un lit classique. Tu n'as jamais aimé le superflu. Déjà petite, lorsque ta mère voulait t'apprendre à te faire belle, plus belle encore que tu ne l'étais, tu n'aimais pas ça. Car tu savais que jamais ta beauté n'égalera celle que ta mère voulait voir en toi. Celle du parfait petit garçon qu'était ton frère.
Tes mains glissent sur tes bras dénudés par le débardeur que tu portes. C'est bien une exception aujourd'hui, mais après tout, tu n'as l'intention d'aller nulle part et tes parents sont à une réception. Tu ne peux pas te dénuder ainsi. Tes doigts s'arrêtent quelques instants aux cicatrices pâles au creux de ton coude. Même les crocs les plus acérés laissent des traces sur une peau aussi pâle que la tienne.
Tu te lèves, tes pieds glissent sur un parquet de bois. Tu ouvres ton armoire, vaste, remplie. Des chemises blanches, bleues, beiges. Unies, toutes, sans exceptions. Des pulls de laine d'alpace, d'autres en soie. Manches longues, cols remontés, l'élégance et la féminité. Pas de jupes, non, tu n'aimes pas ça. Pantalons cintrés, noirs, gris, quelques paires de Levis, jeans de marque. Ton armoire est le reflet de ta réalité, une richesse non contenue qui s'estompe. Car oui, ce n'est plus si simple, les parents travaillent de plus en plus afin de pouvoir compenser les frais de l'appétit de ton frère. Le sang, ça coûte cher.
Tes pensées divaguent. Troisième année, tu avais encore treize ans, car tu as eu le malheur de naître en décembre. Les yeux de ton frère, de ce petit ange que vos parents idolâtrent, sont rouges, colériques. Tu n'as pas le choix cette fois. Il t'avait déjà demandé par le passé, mais cette fois il avait exigé. Et tu avais accepté.
La bague qui orne ton doigts ne se retire pas. Tu le sais pour l'avoir essayé comme toute personne censée. Mais finalement, c'était mieux ainsi. C'était toi et pas une autre qui lui aurait rien fait. Toi tu le connais Dante, ce jeune homme cultivé, charmant, à double visage. Tu as passé ton enfance à l'observer, passionnée et terrifiée par l'autre enfant de ta mère. Mais tu as bien fini par l'aimer car il était doux, bienveillant envers toi. C'était un grand frère en or.
Il l'est toujours d'ailleurs, non ? Tu t'interroges. Il a été un peu absent, ces temps-ci. Mais il a sa vie après tout. Pas comme toi. Les gens t'ont toujours trouvée trop... Raffinée, comme tu te plais à le dire. Alors tu n'as pas eu beaucoup d'amis. Ni d'amies.
Ton armoire se ferme, impersonnelle, armoire de Madame tout le monde. Ta chambre même est exempte de ton essence. Il n'y a rien. Quelques livres, mais aucun que tu aies vraiment appréciée. Un katana, mais tu ne l'as pas touché depuis que tu as cessé d'aller au dojo à la grande déception de ton père.
Elle est grande ta chambre, alors tu tends tes bras et fais une roue. Juste pour détendre tes muscles, pour te rappeler le délice de la chute, la puissance de l'élan, la fébrilité de cet instant où le monde bascule. De nouveau debout, tu ouvres grand ta fenêtre qui donne sur le ciel. L'air est pur, lourd de pollen, d'odeurs de fleurs et de rayons du soleil. Tu souris et monte agilement pour t'asseoir sur le rebord, les pieds dans le vide. Le vent caresse tes cheveux, tes épaules, tes longues jambes. C'est le seul moment où tu as la certitude de vivre. Car tout ce qui s'est passé... Eh bien, il ne s'est rien passé. Tu es née, tu as grandi et vécu toujours dans la même maison, toujours auprès de la même famille inchangeante. Poudlard t'a ouvert les portes sans plus de soucis, tu y as été reçue comme tous les autres.
En vérité, la seule chose particulière dans ta vie, c'est ton frère.
Et pour cela, tu lui es éternellement reconnaissante.
Mad
 
 
 
Qui es-tu ? — Ne tapez pas mais j'suis la déesse de l'amour... again...  aled 
( sur le vava c'est Victoria de Life is Strange ! )
 
 
 
 
 


Dernière édition par Lisbeth R. G. Hohenwald le Dim 25 Juin - 18:27, édité 3 fois
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Re: Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth Dim 11 Juin - 18:45

BIENVENUE ! je voulais te dire que Lisbeth c'est une marque d'eau pétillante en Alsace et que du coup jéri très fort ptdr

Bonne chance pour finir ta fiche!

Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth GAMME_lisbeth-1


Dernière édition par Sergei Hooker le Lun 12 Juin - 10:25, édité 1 fois
Alaine P. Aslingt
Lil' precious girl
Lil' precious girl
Alaine P. Aslingt
Messages : 304
Points : 343
En couple avec : Âme sœur de la mort.
Re: Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth Lun 12 Juin - 0:15

BIENVENUE ♥️.
TON PERSONNAGE A L'AIR JUSTE TELLEMENT COOL ♥️. aled
et ce caractère... aled
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Re: Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth Lun 12 Juin - 8:03

fire
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Re: Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth Lun 12 Juin - 14:02

Sergeï je te jure.. xD je vais te trouver et te tatouer plus qu'un cœur sur tes fesses xD j'vais te tatouer une bouteille de Lisbeth xD

Merci Alaine mais il me reste encore l'histoire et j'ai pas la foi aled

Caleb fire
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Re: Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth Ven 16 Juin - 20:54

Oh my dog. Just. Wow. YOu tuch my tralala, my dingding dong !
Haha ! J'aime beaucoup ! Voilà ! han
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Re: Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth Sam 17 Juin - 10:28

Ha ben enfin te voilà (j'ai failli attendre )

Je plaisante, je repasserai pour te dire si tout est OK, pour l'instant ça me convient parfaitement fire
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Re: Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth Sam 17 Juin - 18:51

Hé hé hé merci jolie Moon !

Dante, mon frère, cela fait plaisir de te voir ici ! ♥
Orphan E. Scamander
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Orphan E. Scamander
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Points : 1028
En couple avec : Marié à Rachel O'Sullivan Scamander.
Re: Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth Sam 17 Juin - 19:07




Bienvenue sur Dabberblimp !

Wesh la soeur de Dante à l'avatar du jeu que je suis la seule à pas connaitre et dont j'ai galeré à répartir...
Ta fiche elle est cool. aled
Rebienvenue !

Te voilà validé, tu peux dès à présent créer ta fiche de lien dans ce sujet, ainsi que ton téléphone portable ici (des modèles sont mis à ta disposition). Tu dois aller faire recenser ton avatar par là et tu peux aussi faire une demande de RP juste ici, ou aller sur la CB te trouver un éventuel partenaire. Tu peux aller t'inscrire dans un club de Poudlard et aussi aller zyeuter la liste des postes.
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Re: Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth

Lorsque partager le même sang n'est plus qu'une expression... || Lisbeth
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