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Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé

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Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé Dim 13 Aoû - 13:46



Ariel McCluskey
❝ Il y a dans l'amour du doux et de l'aigre ❞
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Un grand rire clair, libre. L’effet d’une pluie fraiche sur la peau un chaud jour d’été. Ariel amène le sourire autant qu’il le brandit sur ses lèvres fières. Soleil rayonnant aux grands gestes. Léger, l’adolescent inspire à grands poumons et, bien qu’il se trouve à quelques centimètres du mètre-quatre-vingt, il semble s’élever plus haut. L’impression est palpable, persistante, explicable de par sa tenue. Tête haute, menton levé, Ariel paraitrait n’avoir peur de rien ni personne. Assuré dans ses gestes, dans ses paroles, jamais il ne retient son expressivité. Démonstratif, le brun ne craint pas ses émotions, et encore moins de les dévoiler. Inconséquent, pourrait-on le trouver, frivole. Ce ne serait pas bien difficile à concevoir. Le garçon est simple, dans son allure, dans ses désirs. Et il communique tant qu’on lui attribuerait quelconque maladresse. Pourtant, là n’est point sa place. En effet, aussi insouciant peut-il apparaitre, Ariel n’en possède pas moins une connaissance raisonnée de lui-même. Conscient de ses émois, de ses défauts, ainsi s’efforce-t-il de les corriger autant qu’il s’en peut. Il existe une certaine droiture, dans ses convictions. Elle n’est pas celle des héros, encore moins de ceux qui rêvent de grandeur. La seule chose à laquelle Ariel puisse réellement aspirer, c’est d’être un homme bien. Pas le meilleur, ni le plus intelligent, surtout pas le plus fort. Juste la bonne personne et, si possible, au bon moment.
Pilier sincère, il se veut être l’épaule sur laquelle on peut se reposer, l’oreille à qui l’on confie ses peines, le cœur qui comprend, concède. Alors, peut-être s’y applique-t-il trop, avec une inconvenante ardeur. Bon gars, bonne pâte, il pourrait se faire mener par le bout du nez. Il suffirait de jouer avec son désir de bien faire. Cependant, Ariel n’est pas celui qui hausserait tristement les épaules en se faisant berner. Il s’offusque, probablement pas autant qu’il le voudrait, répond des actes, comme il le ferait pour les siens. S’il ne fait preuve de violence, autant physique que verbale puisque cela ne lui sied guère, il n’est pas homme à se laisser moralement écraser. Plus solide en pensée qu’on ne voudrait lui concéder, il en faudrait beaucoup pour faire flancher ses certitudes, en particulier lorsque celles-lui lui semblent justes.
Mais, Ariel n’est pas tête de mule. Il écoute les avis divergents, les prend en compte, quand bien même ceux-ci seraient dramatiquement opposés aux siens et délivrés avec brutalité. Si l’écossais devait étouffer de quelque chose, ce serait sûrement de patience. Ne manquant point de cette dernière, Ariel sait subir, tenir bon, parfois même pour le bien d’autrui. Pour se défouler de sentiments douloureux. C’est un maigre sacrifice qu’il est largement capable de prendre.
Puis, quand la tension retombe, il se trouve toujours là, le sourire doux, les gestes tendres. On ne le croirait pas, en le voyant. Il n’est pas extrêmement fin, il parait brut de sincérité, et pourtant. Affectueux, il partage ses caresses avec allégresse. Il s’attendri de peu de chose, cœur d’artichaut et, se montre d’une gracieuse galanterie. Précautionneux envers son prochain, il possède cette façon, sensible, qui fait se sentir précieux, quelque part, au moins un peu. En même temps, Ariel ne manque pas d’attentions. Loyal et profondément complaisant, il apprécie faire des cadeaux. Plaisir d’offrir. Il se fait une spécialité du fait-main, bien plus concret et porteur de sentiment qu’une babiole qui aurait juste été achetée.
Dans ce même ordre d’idées, le brun cuisine. Ou, plus particulièrement, il prépare douceurs et pâtisseries. Lui-même gourmand, il ne peut s’empêcher d’offrir de lui-même ce goût du sucre. Ah, ils ont été nombreux, les plus jeunes années, à voir leur ventre s’arrondir à force d’abuser de ses gâteaux. Lui-même l’a été, plus rond, dans sa jeunesse, quand il grignotait tout en cuisinant. Puis, l’activité couplée à la puberté aura eu raison de ses quelques courbes. Laissant même poindre une certaine musculature. Il faut dire qu’il cavale, Ariel. De gauche à droite, pour aider et travailler. Il a le cœur au labeur et le même cœur ouvert aux sensations. De la même manière que ses émotions, l’adolescent se laisse aller à son instinct et celui-ci ne lui réussit pas trop mal. Socialement, Ariel ne tombe pas dans l’excès. Il sait se taire quand il le faut, se retenir de poser des questions, et même s’effacer quand il le pense nécessaire. Comme contrôlant son rayonnement, Ariel est un soleil conscient, à la fois de lui-même, mais aussi du monde qui l’entoure. De cette même manière, il se plait à se trouver à l’écoute de la nature. Appréciant le calme, il lui arrive de s’éclipser dans les alentours de Poudlard pour simplement écouter le son du vent secouant les branchages, ou bien, pour observer quelque animal dans son milieu naturel. Là, plus que jamais, il préfère s’évaporer. Ressentir, sans influencer ou bousculer. Spirituel, à sa manière, il aime se sentir faire partie d’un grand tout. Sentimental, ses rêves sont de tendres volutes graciles. Ariel assume cette sensibilité avec une certaine fierté, quand bien même elle puisse être perçue comme une faiblesse par bien d’autres. Elle le rend plus à l’écoute, empâte, une qualité bien aisée, en particulier lorsque l’on désire aider, apaiser son prochain.
Malheureusement, celle-ci se trouve à double tranchant. S’il ressent la joie, la beauté, avec une émotion et une passion sans pareille, ses peurs en sont, elles aussi, irrémédiablement affectées. Lui qui ne rêve que d’espace se constate aisé à étouffer. La pression d’une foule le fait transpirer, mais rien n’est pire que l’étreinte implacable de l’eau. Il s’agit là d’un sujet sensible qu’il préfère éviter d’aborder mais, Ariel, quand bien même son nom ferait référence à une certaine créature des mers, ne sait, et n’a tout bonnement jamais su nager. Lui-même en ignore la raison exacte, le pourquoi du comment mais, ce dont il est assuré, c’est que plus le temps a passé, plus sa crainte sera devenue grande. Imposante. Envahissante. Liée à celle-ci, la honte. Honte d’être presque un adulte et de ne savoir faire ce dont même certains bébés sont capables. Ariel suppose une mauvaise chute, survenue trop loin dans ses jeunes années pour qu’il puisse s’en rappeler. Néanmoins, la sensation reste. Celle de la trachée qui brûle et de la toux qui soulève les poumons. Celle de la pression de cette force cruelle et indifférente. Encore aujourd’hui, le simple fait de regarder une étendue d’eau le fait frémir.
Pour lui, l’heure à combattre cette terreur indicible n’est pas encore arrivée.
Mais un jour.
Peut-être.
Il l’espère sincèrement.


Le petit dernier des McCluskey n’a jamais été quelqu’un de très remarqué, ni de particulièrement remarquable, surtout après le passage de ses sœurs. Même lors des vacances, dans leur maison campagnarde non loin d’Iverness, près d’un grand lac, le garçon se laissait submerger par la masse. Fergie, Jessica et Erin ont toujours eu bien plus fort caractère que lui et, c’était sans compter la présence des autres. Il faut dire que Màiri et Logan McCluskey se sont fait une spécialité d’héberger de nombreux jeunes en difficulté, ou, qui n’avaient tout bonnement plus leur place chez eux.  Certains ne restaient que quelques mois, d’autres ont littéralement grandi aux côtés des enfants de la famille. En soit, Ariel ne s’est jamais plaint de cet anonymat latent dont il était victime. D’un côté, cela lui évitait des ennuis lorsqu’il faisait une bourde et de l’autre, il se sentait, de manière générale, bien plus tranquille. Gamin timide et secret, on aurait du mal à le croire à présent. Le petit brun aux grosses joues roses et à l’embonpoint notoire a bien grandi depuis le temps, bien qu’on le reconnaisse toujours au large sourire heureux qu’il arbore quotidiennement.

Ariel ne s’est jamais considéré comme un fils à problèmes. Sage, facile à vivre et probablement trop facile à berner par ses aînées, il fut comme voué à une vie sans histoires ni rebondissements. Peut-être à cause de sa capacité à s’effacer, ou bien, cette manière qu’il avait d’être optimiste pour les autres, et tout l’inverse envers sa propre personne. C’est ainsi qu’il revit ses rêves à la baisse, comme s’il n’en était pas méritant. Il a ce sourire mi-triste mi-désolé dans ces cas-là, à se moquer de lui-même. Une attitude qui fait soupirer ses amis pour en énerver d’autres. Même ses résultats scolaires auront toujours été dans une moyenne médiocre. Pas qu’il lésinait sur le travail, ah ça non. Mais son attention papillonnante lui faisait défaut, tout comme une certaine incapacité à ordonner son labeur. Jessica, ou aucune de ses autres sœurs, n’avaient pu l’aider. Les deux premières ayant déjà quitté Poudlard lorsque Ariel y entra, et pour la dernière, Erin, celle-ci était bien plus occupée à valider son DEMA qu’à s’empêtrer de leur frère beaucoup trop maladroit.

Dans ses premières années, le garçon ne fut pas loin d’être affublé du titre de cancre notoire avant de, finalement, parvenir à se dépêtrer dans ses devoirs et à s’adapter à l’école des sorciers. C’est qu’il ne manquait pas de bonne volonté et, bien heureusement, ses efforts finirent par payer. Quelque part, il lui fut bien plus facile de se faire des amis que de maintenir une moyenne scolaire honorable. Il avait déjà l’air aimable et ce désir bien ancré de se rendre utile. Alors, bien évidemment, cela ne lui empêcha pas de se retrouver dans de beaux draps, entrainé malgré lui dans certains mauvais coups, jusqu’à ce que, en grandissant, il finisse par se méfier un peu plus de ses fréquentations. La Bonne Poire – qui en avait la forme physiquement, selon certaines mauvaises langues – n’était plus aussi naïve qu’elle l’avait été. Ainsi, s’il lui arrivait encore de se faire avoir – les habitudes ont la dent dure – ce n’était plus aussi récurent que dans ses plus jeunes années. Ses amis s’habituèrent même à ses cadeaux réguliers, parfois portés d’une intention candide, il fallait le reconnaitre, ou à ses moments d’absences, ponctués de maux de tête. Comme cette fois où il avait voulu ‘‘noyer le lavabo’’ selon Arthur Taylor, le regard perdu dans l’eau qui remplissait l’évier, jusqu’à ce que celle-ci débordât presque. Et, comme à son habitude, Ariel s’excusa avec un rire désolé puis retira le bouchon avant de détourner le regard de cette ondée tourbillonnante qui lui donnait le vertige en se frottant le crâne avec une fine grimace.
On lui prêta même de petites histoires sentimentales, gentiment moquées à cause de ses tendances – plutôt ringardes – à envoyer des bouts de poèmes ou de chansons aux personnes concernées. La plus notable, pour avoir bien fait rire les copains, fut sa brève amourette l’année passée avec Lindsey Peters, surnommée ‘‘tête de poisson’’ par certains garçons, à cause de son visage plat. Et, même si jamais elle ne lui rendit ses sentiments et que, pour beaucoup, elle ne correspondait pas aux critères de beauté usuels, Ariel n’a jamais cessé de la trouver très jolie et absolument adorable.

L’expérience la plus particulière que ressentait l’adolescent au cours de sa vie était sûrement quand il croisait à Poudlard des jeunes qui avaient été dans sa famille. S’il s’entendait avec quelques-uns, ce n’était vraiment pas le cas de tous. Mais, généralement, il préférait ignorer sagement la personne pour éviter toute situation gênante. Pour les autres, qui n’étaient scolarisés à la même école que lui, pour des raisons de santé, principalement, Ariel leur portait une attention plus particulière. Parmi les derniers venus dans leur famille, se trouvait un jeune garçon du nom d’Emeric, atteint d’autisme, à qui le brun envoyait régulièrement des photos magiques. Il se surprit même à le faire plus à l’intention du petit que de sa propre famille. Puis, quand il rentrait pour les vacances, il prenait toujours le temps de s’occuper de lui. Il l’aimait bien, le blondinet, et Ariel avait comme la sensation que c’était réciproque. Leurs activités ensembles n’étaient pas forcément usuelles – il fallait bien s’adapter à la sensibilité et aux crises du plus jeune – mais agréables et précieuses, aux yeux du McCluskey. La seule chose qui peinait ce dernier, c’était de ne pouvoir aller aux abords du lac avec lui. En effet, à chaque fois qu’Ariel posait son regard trop longtemps sur l’immense étendue d’eau, sa migraine avait tendance à le reprendre. A force, il avait mis cet état sur le compte de sa peur indicible de l’eau, qu’il supposait être un vieux petit accident sans importance mais qui, pour une raison obscure, l’avait marqué de cette façon. En soit, Ariel n’avait jamais essayé d’en savoir plus non plus, assuré qu’il devait s’agir d’une histoire sans intérêt.

-

« Tu aimes ? »
Pour seule réponse, un rire, discret, comme de petites bulles qui gazouillent sur l’eau. Le garçon grimace un peu face à cette réaction vague, se grattant l’arrière du crâne en haussant un sourcil avant de bouger la main pour changer la musique de son phono-magique, dans un petit éclat de fumée bleutée. Et, quand il voit son sourire, Ariel ne peut s’empêcher de lui répondre avec le sien.
Ce sont des moments précieux qu’il apprécie. Sous le ciel grisonnant et le vent des Highlands, le garçon d’à peine onze ans inspire à pleins poumons. Il veut profiter de l’endroit, de son chez-lui, de ce calme et de son amie avant son entrée à l’école des sorciers. Cela fait peut-être deux ans déjà qu’il l’a rencontré et qu’ils passent du temps là où ils se trouvent. Il faut dire qu’ils ne pourraient pas réellement se rejoindre ailleurs même s’ils le désiraient.
Comme réalisant ce qu’elle est en train de faire, la demoiselle semble faire les yeux ronds, inquiète et cache soudainement sa bouche de ses mains grises écaillées. Ariel secoue la tête en riant :
« Eh. T’es pas obligée de faire ça. » et, en se pinçant la lèvre, il se penche un peu plus sur le vieux ponton de bois pour tapoter doucement le poignet de la Selkie. Il sait qu’elle n’aime pas montrer ses dents pointues.
Le garçon n’est pas particulièrement à l’aise à l’idée de se retrouver aussi près du lac en ne sachant pas nager. Il sait même que ses parents le réprimanderaient sévèrement s’ils apprenaient qu’il vient souvent ici. Le brun ne laisse pas plus trainer le bout de ses doigts et se réinstalle en tailleur, levant le nez « Celle-là, c’est mieux ?» désignant le Phono-magique du menton. Et il voit le dodelinement de la tête rythmée de la jeune être de l’eau avec grande satisfaction.
Leurs rencontres sont comme de doux rituels, ponctués d’échanges, à la manière de lettres muettes. Parfois, Ariel s’en va chercher quelques fleurs dans la campagne autour jusqu’à faire un bouquet qu’il dépose sur la berge et, le jour suivant, il retrouve à la place un nouveau, composé de fleurs et plantes aquatiques. Ce sont là de petits bonheurs qu’il n’échangerait pour rien au monde, pas même le plus puissant des sortilèges.
Sa mère se doutât bien, au bout d’un moment, de ses escapades, ainsi que de leur raison. Et, quand après plusieurs semaines de pluies diluviennes qui l’empêchèrent de rendre visite à sa Selkie, à cause de la terre aux alentours du lac rendue meuble et boueuse comme des sables mouvants, sa mère lui interdit d’aller au bout du ponton, fragilisé par l’ondée, Ariel n’écouta point et s’y précipita à la première éclaircie. Il allait bientôt entrer à Poudlard et ne pourrait plus la voir autant qu’il le voudrait.

Peut-être parce qu’il était stupide.
Peut-être parce qu’il était un garçon amoureux.
Peut-être parce que l’un ne va pas sans l’autre.

Et le bois craqua sous ses pieds, et son crâne heurta durement la partie du ponton qui ne s’était pas effondrée, et son corps s’immergea sans grande révolte. Ses gestes auraient sûrement été plus vifs, plus fous, s’il n’avait été engourdi par le choc. Probablement aurait-il pu avaler quelques précieuses bouffées d’oxygène supplémentaires.
Avant qu’il ne perde connaissance.

Réveillé entouré par ses parents, la blessure soignée par un sortilège, bien qu’il en gardera une cicatrice, Ariel ne savait pas qui l’avait sauvé. Enfin, de façon plus exacte, il ne savait plus qui l’avait sauvé. Quand ils réalisèrent cet état de fait, ni Màiri, ni Logan McCluskey ne voulurent lui en dire d’avantage. Probablement pour ne pas qu’il se souvienne.
Et qu’il devienne aussi tristement célèbre qu’une certaine sorcière.

-

Aujourd’hui, quand Ariel regarde le lac de Poudlard, son crâne le lance d’une manière lancinante. Alors, il se passe la main dans les cheveux, les frotte un peu avec une petite grimace.
« Eh mec ça va ? »
Et il sourit, l’air désolé : « Ouai ouai. Rien d’important. » avant de rire.

De rire tendrement.


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Un surnom ? — Ary, le plus souvent, en toute simplicité.
Donne moi ton âge jeune individu... — Dix-huit ans
Tu viens d’où ?  — Iverness, en Écosse.
Et au niveau de ton rang ici ? — Sorcier de Sans-mêlé et sans moindre prétention.
T’es en quelle année ? — Huitième année
Quelle licence?  —  Licence d’Etude des Créatures Magiques
Tu aimerais faire quoi plus tard ? — Depuis tout jeune, il rêve du métier d'éleveur de Dragons. Cependant, loin d'être certain d'en avoir les capacités, il se penche plutôt sur la Brigade d'Intervention pour Créatures Magiques en danger.
Que penses-tu des élèves moldus et cracmols à Poudlard ?  — Son avis demeure mitigé à ce sujet. S'il peut comprendre l'intérêt de faire étudier des cracmols à Poudlard ( ils ont un pied dans la magie après tout ), il considère que les moldus, en revanche, n'y ont pas vraiment leur place.
Je vois je vois… tu seras donc dans la maison… (attendre la répartition) — Poufsouffle
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Ta baguette magique  — Revêtue de Chêne Blanc pour un coeur de Crin de Licorne, elle mesure 27 centimètres. Elle est d'épaisseur moyenne mais, flexible.
La forme de ton épouvantard — De l'eau. Beaucoup d'eau. Il s'agit de sa crainte de se noyer.
L’animal de ton patronus — Un Mouton de Soay aux cornes recourbées.
Qu’est-ce que tu vois dans le miroir de Risèd ?  — Il se voit sur le dos d'un Dragon.
Que sens-tu au dessus de la potion d’Amortencia ? — Une odeur finement sucrée, de pluie forestière et une dernière effluve qu'il ne parvient pas à discerner. Celle-ci lui donne un certain mal de crâne quand il s'y penche trop longtemps.
Ta matière favorite — Étude et soin aux créatures magiques, de très loin.
Tu aimes quoi comme bonbon ? — Préfère les pâtisseries. Surtout en préparer.
La créature qui t’inspire le plus — Le Dragon.
Un animal de compagnie peut-être ? — Une Chouette Petit-Duc des Montagnes nommée Bourrasque.
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Reedy

Qui es-tu ? — Ma propre personne.
Ton âge ? — 24 ans.
Ton film favori — Le Rocky Horror Picture Show Question qui fâche, j'en ai beaucoup trop. Mes Saga préférées, en revanche, sont Alien, et Hellraiser. ( Et je garde l'Échelle de Jacob dans un coin très fort dans mon cœur ) - Notez au passage que tout ce beau monde est très cuir-moustache. Je dois avoir des trauma encore irrésolus dans ma tête -
Ton livre favori — Crime et Chatiment, Dostoïevski. Mais les trilogies "A la croisée des mondes" Et "Le Livre des étoiles" sont une grosse partie de mon enfance. Bon, et il y a "Je suis ta Nuit". Ovni littéraire que j'ai toujours aimé, comme un plaisir coupable.
Comment tu as découvert Dabberblimp ? — En faisant le saute-mouton des partenaires.
Des remarques pour l’améliorer ? — Pas vraiment non.
Personnage sur l’avatar — Dick Grayson - DC Comics
Une dernière… Nargole ou Joncheruine ? — Nargole









Dernière édition par Ariel McCluskey le Mar 15 Aoû - 17:57, édité 7 fois
Invité
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Re: Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé Dim 13 Aoû - 17:40

han Hâte de voir la suite, que de point communs !!! J'attend ta validation et ta RS pour te stalker !!
(Re?) Bienvenu !!!!!
Invité
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Re: Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé Dim 13 Aoû - 18:19

du coup, est-ce que ariel prend des bains ? ou des douches ? ahen
le début envoie du lourd en tous cas, bienvenue et bonne continuation love
Luke Blane
Papa Ours
Papa Ours
Luke Blane
Messages : 645
Points : 922
Re: Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé Dim 13 Aoû - 21:28

Bienvenue à toi Ariel :D Super caractère et personnage ça promet, c'est un bon petit gaillard banane !
C'est le comble de s'appeler Ariel quand on a peur de l'eau xD Bon courage pompom
L. Andy Ollivander
Cracmolle-en-chef et propriété de Felix
Cracmolle-en-chef et propriété de Felix
L. Andy Ollivander
Messages : 1879
Points : 1792
Re: Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé Lun 14 Aoû - 18:53

O
M
G
eeh
La beauté de cette fiche aled
L'avatar, le prénom, les images (ptdr) et l'écriture jpp

JTM
Invité
Invité
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Re: Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé Lun 14 Aoû - 19:26

Heeey ! Merci à vous pour cet accueil !

Annaëlle > Merci ! et ça serait avec grand plaisir hehe ( et je suis nouveau, tout à fait nouveau. C'est même mon premier forum HP, je dois l'avouer )

Nansy > Pour répondre à ta question, il prend des douches. Se force pour des bains. Et si bain il y a, le cas échéant, ne supporte absolument pas de mettre la tête sous l'eau. Il préfère clairement utiliser le pommeau huhu Oui, je me suis aussi posé la question

Luke > Hey ! merci ! Oui, pour le détail du prénom, je l'ai rajouté biiien après avoir commencé à écrire. J'ai réalisé avec du temps - long à la détente - XD

Andy > Oh ! Je suis flatté par tant d'amour , merci beaucoup

Et bien, je vais essayer de ne pas vous décevoir avec la suite
et merci encore banane
A. Harry Fitzgerald
Cracmou tout doux
Cracmou tout doux
A. Harry Fitzgerald
Messages : 329
Points : 646
Re: Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé Mar 15 Aoû - 0:34

*✦ Personnage sur l’avatar — Dick Grayson - DC Comics*
...
SALUT BEAU-GOSSE 8D
Juste parce que Jason et Dick, je demanderais j’exigerais un lien entre nous.
Entre nous, c'est le temps qui s'enfuit qui s'en fou.

BREF.
Bienvenue ♥ courage pour la suite de ta fiche et pleins de bisous, on se retrouve en RP o/
Invité
Invité
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Re: Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé Mar 15 Aoû - 9:28

Personnage sur l'avatar : Jason Todd ~ DC Comics
hehe

Eh ! Je te rend le compliment : SALUT BELLE-GUEULE 8D
et ça serait absolument un très grand plaisir
En revanche, je ressens une honte coupable quand je crois reconnaitre ... C'est du Chimène Badi ? * blush*

Hem.

Merci beaucoup en tout cas !

et je crois avoir terminé tout ça
avis à modification si besoin est ♥️
Orphan E. Scamander
Directeur
Directeur
Orphan E. Scamander
Messages : 929
Points : 1028
En couple avec : Marié à Rachel O'Sullivan Scamander.
Re: Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé Mar 15 Aoû - 17:39




Bienvenue sur Dabberblimp !

OMG.
Cette fiche mais.. Juste trop trop cool!
Ton histoire, ton caractère, comme dit plus haut sous le compte d'Andy, tu gères !
Désolé encore du petit délai mais comme dit sur une autre fiche, je suis en vacances huhu
Ariel est définitivement un petit blaireau (non non je te jure, ce n'est pas une insulte é_è) l'ami parfait que j'aurai voulu avoir IRL huhu
J'ai été surtout passionnée par toute ton histoire qui est captivante eeh

Te voilà validé, tu peux dès à présent créer ta fiche de lien dans ce sujet, ainsi que ton téléphone portable ici (des modèles sont mis à ta disposition). Tu dois aller faire recenser ton avatar par là et tu peux aussi faire une demande de RP juste ici, ou aller sur la CB te trouver un éventuel partenaire. Tu peux aller t'inscrire dans un club de Poudlard et aussi aller zyeuter la liste des postes.
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Re: Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé

Ariel McCluskey - Un Brave Garçon | Terminé
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