Fictions Romantico-erotiques

Je déteste le café, mais étrangement avec du lait ça passe mieux. Parce qu’un aliment peut devenir meilleur si l’on modifie son goût d’origine avec un second. Et je suis persuadée que c’est pareil pour chacun ; à deux, notre vision des choses peut changer, notre monde peut devenir colorer. C’est ce qu’on appelle une relation. Et moi, Heaven, je suis spécialiste des relations - spécialiste de vos relations. Laissez-vous guider. Votre monde ; je vais le transformer. Vous verrez, mes fictions rendront votre vie beaucoup plus belles et personne n’échappera à mon imagination doucereuse. Je suis pressée de découvrir vos réactions hilarantes en découvrant mes écrits sur vous, mes petits choux. Je vous aime, tous sans exception. Que l’amour règne entre ces murs de pierre, alors faites l’amour et pas la guerre.
Cet onglet du stupeshit appartient à Alienor Tigernach.

Alienor & Adrian
That's the price you pay.

Chanel & Alexander
Look what you made me do.

Lillie & Akhil
You arrest my heart.

  • .01 Alienor & Adrian
  • .02 Chanel & Alexander
  • .02 Lillie & Akhil
Pitoyable calamité aux yeux faussement dorés, pitoyable tromperie aux cheveux faussement immaculés, pitoyable malheur au sourire faussement heureux. Tout chez toi n'était que mensonge, duperie et tricherie. Heaven, même ton simple prénom semblait être une douce entourloupe, plongeant dans un cauchemar sans fin. Mélancolie récidivante, enfouie au plus profond de ton cœur et dévorant la sagesse présente dans le fond de ton âme. Corps éternellement corrompu par des coups et blessures, à la peau porcelaine distinctement déshonorer d’hématomes. Et il t'observait dans l'obscurité de ses yeux éclatants, déchirant l'imposture pour ne laisser que la vérité. Et il t'effrayait, profondément et avec sincérité. L'unique vérité ; le déni de la réalité. Adrian Mortimer Blake, cette réalité bouleversante qui te poignardait avec agressivité, tâchant ton nom angélique d'un doux supplice, tâchant l'immaculer d'une couleur flamboyante. Tu fuyais, Heaven. Désespérément et indomptablement. Tu ne voulais pas, ne souhaitais pas que tes larmes se déversent sur tes joues, que tes sentiments se manifestent sur ton visage, que tes cheveux ou ton apparence commencent à te trahir. Mais il t'observait et sous son regard perçant, tu étais prise au piège. Sous son regard perçant, la vérité allait être dévoilée. « Aliénor, il ne reviendra pas. » Non, tu ne voulais pas entendre ces paroles, ces murmures qui s'apparentais à un mensonge. Tu ne voulais pas entendre sa voix, ni voir sa personne près de toi. Et pourtant, il continuait d'avancer avec méfiance à ton égard, s'approchant lentement de l'animal terrifiée que tu étais. Rapidement, tu avais reculer jusqu'à que ton dos rencontre le mur de pierre, froid, glacé - comme une pierre tombale. Qu'est-ce qu'il devait avoir froid, Croyance. Les larmes te montèrent aux yeux. Non, tu ne devais pas flancher, pas à ses côtés. « Adrian. » L'unique mot qui s'était échapper d'entre tes lèvres, avec l'espoir que tu ne flancherais pas. L'unique mot qui contenait pourtant une multitude de tes sentiments, en espérant que ces sentiments l'avaient atteint. « Tu n'as pas le droit de m'appeler de la sorte. » Et tu avais baisser la tête pour ne pas affronter son regard, pour ne pas qu'il remarque tes yeux humidifiés qui brillaient de nostalgie. Mais c'était trop tard. « Tu n'es ni Croyance, ni mon père, ni ma mère. Ni une quelconque personne importante à mes yeux ! » Et tu avais crier, Heaven. Et il avait déposer ses mains contre la pierre, à chaque côté de ton visage, emprisonnant ta personne pour que tu ne puisse t'échapper. L'odeur de la cigarette parcourait ton corps, alors que tes paroles l'avait profondément vexer ; un coup de martinet sur la bête et elle serait de nouveau apprivoisée pensait-il avec facilité alors que son visage restait de marbre et son regard reflétait sa tempête intérieur. « Et heureusement, vu que toute ces personnes finissent par disparaître. Je ne pourrais supporter perdre quelqu'un de nouveau. » avais-tu murmurer, tes joues se colorant d'une douce couleur rougeâtre, sentiments intérieurs dévoilés ; victoire assurée pour Adrian qui commençait à prendre conscience de ta propre faiblesse. « Ce n'est pas à toi de décidé si je dois disparaître aussi aisément que les autres. Et soyons clairs, je n'abandonnerai jamais aussi facilement. » Et tu sent tes joues devenir brûlantes, s'empourprant rapidement alors que tu le poussais agressivement, tentant de t'enfuir à nouveau. Mais sa main droite vint s'emparer de ton poignet, qu'il trouva étonnamment fragile. Tout comme le reste de ton corps qu'il vint plaquer contre le sien, soulevant ton visage de sa main de libre. « Un fouet et des menottes serait régler pour te tenir tranquille. » Mais son amusement disparu bien vite lorsqu'il remarqua tes larmes dévalées tes joues, ton esprit ne pouvant éclipser la vérité plus longtemps. « Adrian, est-ce que je vais devenir plus vieille que mon grand-frère ? » Et les mots mouraient dans ta gorge, alors qu'il avalait sa salive douloureusement en sentant les battements de ton cœur. « Adrian. » Répétais-tu toujours plus douloureusement, le cœur de ton interlocuteur manquant un battement. « Vais-je devenir plus vieille ? » Les larmes continuèrent à basculer, ne pouvant plus être contenues. « Oui, toi et moi nous vieilliront sans eux. » Et la vérité te brisa le cœur, brisa ton esprit, brisa ce monde falsifié dans lequel tu t'étais désespéramment enfuie. Tu avais fermer tes paupières douloureusement, ne pouvant supporter le poids de son regard, le poids de son existence, déversant ta tristesse. « Si seulement ce soir-là je l'avais accompagné, si seulement je n'avais pas privilégier ce foutu score de ce foutu jeu vidéo ! .. peut être serions-nous rentrer tous les trois. » Et tu en rêve, Heaven. Chaque nuit, chaque seconde de ta misérable existence. Tu imagines ce monde alternatif ; si seulement tu n'avais pas été stupidement égoïste. « Ou peut-être auriez-vous tous perdu la vie. » Tes paupières s'étaient soulevées délicatement, acceptant ses paroles comme ton destin car tu aurais au moins été à ses côtés. Et le visage d'Adrian s'était légèrement crispé d'amertume alors qu'il te libérait de son emprise, laissant tes jambes se mollir sous le poids de ton corps, tombant pitoyablement sur le sol. La déception certainement visible sur son visage, tu vins fermer tes paupières à nouveau, abandonnant totalement. « Ne te fais pas d'idée sur ce qui va suivre, je veux simplement avoir la satisfaction d'être la raison de ta survie. » Hein ? Brusquement, lumière défaillante, crépitement sous le coup de l'émotion, sous le coup de cette magie qui sommeillait en toi, sous le coup de ses sentiments que tu ne contrôlais plus. Sentiments puissants, sentiments bouillonnants, sentiments débordants, tempête grandissante à chaque caresse de sa part. A chaque baiser déposer contre ta peau fébrile, ses lèvres délicates qui embrassaient tendrement chaque partie de ton corps avec sensualité, libérant un désir ardent qui ne pouvait plus être arrêter. Et ta voix libérait des petits gémissement de plaisir, te délectant de ce moment unique et privilégier entre vous deux. Un moment qui ne durerait pas, un moment éphémère ou bientôt vous ne serez plus deux amants, mais deux inconnus. Et il avait plonger son regard ambré dans la profondeur de tes prunelles violines, ressentant cette attraction séduisante parcourir son corps. « C’est pas que tu me déconcentres, mais je risque de perdre le contrôle si tu continues de me regarder comme ça. » Et tes lèvres avaient dessinées un sourire factice. Avant qu’il ne soit détruit par un impatient baiser. Le lendemain, il avait simplement déposer un baiser sur ton front avant de prononcer, d’un ton hautain : « N'ose plus jamais prétendre que tu souhaites mourir. Je ne cesserai jamais de me dresser sur ton chemin, de toute façon. » Et il avait quitter ton dortoir, fièrement.
  • CreditsAlienor Tigernach
  • ProtagonistesAdrian Blake et Alienor Tigernach
  • TypePerso
Le bruit des petits talons rougeâtres appartenant à la demoiselle résonnait dans l’allée goudronnée qui menait au parc, juste à côté de l’endroit où habitait sa tante. C’était un parc moldu où énormément de personnes étaient obligées de passées pour accéder au centre-ville, principalement à cause de l’arrêt de bus qui se trouvait juste devant. Et, tout au fond de ce fameux parc, se trouvait divers distributeurs de canettes, particulièrement celui de Star coff. C’était de simples canettes de café avec les personnages de la série culte dessinées dessus, beaucoup de personnes les collectionnaient dont notre chère protagoniste, Chanel. Seulement, cette dernière détestait le café. Pourtant, sortant la pièce de sa poche, elle ne pouvait abandonner l’idée d'agrandir sa collection. Brusquement, due à un moment d’inattention, la pièce qu’elle tenait entre ses doigts fins s’échappa de son emprise et roula entre les deux fameuses machines de distribution. « AHHHH NON. » Avait-elle laissée échapper de maladresse alors qu’elle s’accroupissait et tendait désespérément la main pour attraper la petite pièce en fuite. Mais c’était trop tard, la pièce était inaccessible. S’apercevant qu’elle pouvait glisser son corps entre les deux machines, Chanel se redressa et s’aventura dans cet endroit étroit. Au début, tout allait bien. Elle tendait sa main pour attraper la pièce mais, voyant que ça ne servait à rien, finissait par abandonner. Ainsi, elle tenta de se retirer… Mais malheureusement cela paraissait impossible également. Le corps de l’adolescente ne pouvait guère bouger et, par-dessus le marché, il était impossible pour elle d’attraper la foutue pièce qui avait glissé de sa main mignarde. Misérable dans une telle situation, Chanel n’abandonnait guère et ne cessait de gigoter d’entre les machines en laissant quelques petits couinements s’échapper d’entre ses lèvres pulpeuses. Lorsque des bruits de pas parvinrent à ses oreilles et que ses yeux à la couleur du ciel étaient désormais remplis d’espoir, croisaient ceux d’un adolescent qu’elle connaissait bien… Alexander Raeken. « Qu’est-ce que… MERDE CHANEL, QU’EST CE QUE TU FOUS LA ?! » S’était-il écrié avec étonnement, alors qu’il sentait son coeur battre la chamade dans sa poitrine. Un sentiment de chaleur naissant dans son coeur, dont il était bien trop immature pour en comprendre le sens. Et son regard parcourait la jeune fille qui était coincée entre les deux machines, observant sa détresse avant de réagir au quart de tour. « On parlera après. » Elle avait de la chance, Chanel. C’était parfaitement dans les cordes d’Alexander de pouvoir la libérer. Ce fût comme un prince charmant de conte de fées qui venait secourir une demoiselle en détresse, le jeune homme positionna ses mains entre les deux imposantes machines de distribution et, en exhibant sa force exceptionnelle, vint écarter la machine de gauche de quelques centimètres. Ce qui fût juste assez pour permettre à la demoiselle de s'extirper de l’endroit étouffant dans lequel elle s’était retrouvée complexée. Mais avant qu’elle ne s’en aille joyeusement de cette situation embêtante, Chanel attrapa rapidement la petite pièce qu’elle avait laissée échapper. Puis, dans la même vivacité, se dégagea, laissant le destin funeste de cette machine aux mains d’Alexander. Qui libéra cette dernière. La machine se balança légèrement de droite à gauche avant d’équilibrer son poids pendant que le jeune homme semblait soupirer lourdement en massant sa pauvre main gauche, qui devait s’en être prise plein la tête. « Franchement quelle idée d'aller se fourrer là-dedans… Putain, Chanel qu’est-ce qui t’a pris ?! » Avait-il prononcé en se tournant vers la demoiselle, déposant un regard inquiet sur cette dernière. Un très beau regard doré doté d’une grande tendresse, Alexander était véritablement incroyable et Chanel n’en avait plus aucun doute désormais, il était un précieux ami sur qui elle pouvait compter. Il vint s’approcher de la jeune fille, avant de brusquement la prendre dans ses bras, laissant ses sentiments se déverser. Et il avait serré son corps contre le sien, profitant de ce moment privilégié entre vous deux. Profitant de la chaleur de cette dernière, chaleur qui rassurait son esprit. Elle était à ses côtés, c’est tout ce qui comptait dans son esprit désormais, loin du danger. Les lèvres de l’adolescent vinrent s'entrouvrir, son tendre murmure résonnant dans le creux de l’oreille de Chanel. « Ça va ? Tu n’as rien de cassé ? » Chanel répondit d’un mouvement de tête négatif, les joues vivement empourprée, gênée de la situation dans laquelle elle se retrouvait : « J-Je vais bien, mais euh… Alex, c’est très gênant. Je. Euh. » Et l’adolescent avait réalisé son comportement, s’écartant en la relâchant énergiquement, ses joues légèrement rouges. « Woah, non d’un Nunbu ! Tant mieux alors, si tu vas bien. Foutu Aliénor, elle m’a encore fait boire une potion bizarre ! » Et là, Alexander s’était donné une claque psychologique car vous étiez durant les périodes de vacances scolaires. Par conséquent, Aliénor n’était pas à ses côtés. « Aliénor ? Oh, tu parles d’Heaven. Je ne vous savais pas aussi proche ! » Seconde claque émotionnelle pour Alexander, qui semblait incapable d’assumer ses sentiments sans préparer une excuse derrière. « Non, c’est... Euh... OH T’ABUSES. » Le serpentard avait déposé ses mains sur les joues de Chanel, redressant son visage vers lui, plongeant ses prunelles dans les siennes, plongeant dans l’océan qui y régnait. C’est tendrement qu’il avait déposé ses lèvres contre les siennes, sentant la douceur de ces dernières, réchauffant de nouveau son coeur. Et il avait fermé ses paupières, profitant de l’instant présent, profitant du contact avec la poufsouffle - encore sous le choc. Car oui, Chanel ne réagissait plus, elle ne comprenait plus et ne souhaitait rien comprendre. Elle souhaitait juste fuir, sans accepter le fait que son ami semblait avoir des sentiments amoureux à son égard. Alors elle l’avait repoussé de toutes ses forces, subitement et agressivement. Puis elle avait déposé sa main contre ses lèvres, son regard baignant de tristesse et d’incompréhension. « Chanel, je suis amoureux de- / Désolée ! J’aime quelqu’un d’autre ! » Et elle avait pris ses jambes à son coup, laissant Alexander sur le cul.
  • CreditsAlienor Tigernach
  • ProtagonistesChanel Tudor et Alexander Raeken
  • TypeVengeance
C’est l’ambition qui vous guide, main dans la main vous gravez ensemble les échelons. Akhil le cerveau, celui qui calcule chaque détails. Lillie, la femme de sa vie. Celle qui passe à l’action, se débarrasse des obstacles avec une volonté digne d’une reine. Le couple parfait, ce couple qui se complète parfaitement et avec une confiance inébranlable. Et avec passion, ils avaient fracassés leurs lèvres ensemble dans un désir charnel, la convoitise de chacun remplissant leurs prunelles. Akhil rompit le baiser, sortant sa baguette pour verrouiller le placard a balais - ne souhaitant aucun dérangement durant leurs moment d’intimité - et il s’est de nouveau tourné vers Lillie, répandant des baisers brûlants dans son cou. Décorant parfois sa peau de légères rougeurs. A chaque baiser désireux, des petits rires et gémissements s'échappaient des lèvres de la gryffondor - permettant à l’unique élu de son coeur de percevoir sa féminité si bien protégée. De ses doigts fins, avec habileté, il avait déboutonné sa chemise, de plus en plus excité par les gémissements de sa tendre. Et les chemises s’étaient retrouvées sur le sol poussiéreux, bientôt suivi du soutien-gorge aux couleurs chaudes de la gryffondor. Avec tendresse, il avait caresser doucement sa poitrine pour s’attribuer de nouveaux gémissements. Et en guise de récompense, la main de Lillie s’était aventurée entre ses jambes, provoquant un petit grognement de plaisir chez le serpentard. Avant qu’il ne reprenne le contrôle de la situation, sa main parcourant le ventre de la demoiselle pour venir la débarrasser de sa jupe. Mais brusquement, c’est la timidité qui avait repris le dessus, Lillie cachant son corps de ses mains : « Akhil, je… » Et il avait doucement pris les siennes. « Lillie, tu es magnifique. Fais-moi confiance, je promet de te rendre heureuse, maintenant et à jamais. » Sa main reprit sa place contre la lingerie de la gryffondor, mais au lieu de s’en débarrasser, il vint légèrement pressée ses doigts contre le tissus, faisant un mouvement répétitif et provoquant ainsi un plaisir taquin. Un sourire narquois s’était formé sur son visage pendant qu’il la regardait s’agiter et sa seconde main vint se plaquer contre sa bouche, murmurant à l’oreille de son amante : « Ne fais pas trop de bruit chérie, on risquerait de se faire prendre. » Et il avait continué avec un rythme ni trop lent, ni trop rapide. Juste assez pour la torturer et s’exciter. Son sourire désormais diabolique, il avait retiré sa main du visage de la belle pour venir se débarrasser à son tour de son pantalon - accompagné de son boxer - et avait doucement retirer le dernier tissus qui les séparaient. « Je peux ? » Avec l'acquisition de Lillie, c’est affectueusement qu’il s’était frayé un chemin en elle pour ne former plus qu’un et ne ressentir désormais que votre plaisir commun. Et les coups de hanches qui se suivirent n’étaient guère agressifs, ils étaient romantiquement érotiques. Akhil était attentif à chaque expression que Lillie arborait, prêt à s’arrêter si ce n’était pas un sentiment de plaisir qui était visible sur son visage. Et leurs regards partageaient cette même étincelle, échangeant un baiser durant leurs points culminants, leurs corps étroitement liés maintenant et à jamais.
  • CreditsAlienor Tigernach
  • ProtagonistesLillie Hanson et Akhil Khan
  • TypeErotique