Re: Les froufrous roses •• RAFFAELLO Ven 9 Juin - 0:19
Les froufrous roses
Raffaello ricana parce que Fenry avait beau lui dire qu'elle ne perdait pas son temps à lire dans son esprit, son petit doigt lui disait que ce n'était pas entièrement le cas. Son don était ancré en elle et c'était obligé qu'elle l'utilisait ne serait-ce qu'un chouilla sur chaque personne qui croisait sa route. Toute la noirceur qui se dégageait du ténébreux devait certainement la mettre mal à l'aise et il s'en fichait vraiment pas mal en fait. Il était venu pour la déranger de toute façon et non faire mumuse.
Dit celle qui a quand même un peu lu à l'intérieur. Tu ne vas pas me cacher ça Fenry. Je suis pas le genre à croire des conneries tu vois ?
Raffaello pouffa cette fois-ci d'un rire méprisant en se déviant sur le côté à cause de sa deuxième remarque. Il avait pensé à la vengeance mais là c'était beaucoup trop fade pour oser clamer qu'il s'agissait d'elle. Non, le ténébreux était juste venu l'emmerder en fait et égayer plus ou moins la journée de la serpentarde de sa perfidie. Il se demandait quand même comment elle faisait pour rester un tantinet calme avec lui avec un esprit aussi névrosé que le sien surtout avec son don. Il valait mieux en effet pour elle de ne pas trop se perdre dans les méninges de l'hybride si elle ne voulait pas devenir carrément folle à la fin parce que Raffaello était capable d'imaginer l'impardonnable. Il avait d'ailleurs cette très récente envie d'utiliser stupéfix sur Misa, la chauve-souris casse-pieds d'Orphan. Ça ferait des vacances à tout le monde.
En y réfléchissant bien, c'est pas vraiment de la vengeance. C'est plus de la provocation qu'autre chose. J'aurais commis bien pire sinon.
Raffaello appréciait finalement un peu Fenry au bout du compte pour ne pas oser la faire souffrir comme ses véritables victimes.
Origami
Fenry D. Williams
Captain Queenie Bitch
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Re: Les froufrous roses •• RAFFAELLO Mer 18 Oct - 18:35
Les froufrous roses
Il se moquait, Rafflo la terreur, il se moquait toujours, c'était son leitmotiv dans la vie. Il lui fallait une victime à humilier, quelqu'un à traîner dans la boue, il lui fallait toujours charrier ou emmerder, profondément de préférence, enculer sans grâce et lever le majeur sans honte. Fenry elle en avait rien à faire, qu'il soit le pire des connards, Fenry ça l'amusait de le voir se débattre dans son identité de chien – de bâtard, l'enculé de première. Elle trouvait ça drôle, et elle riait – et la honte avait oublié d'effleurer son ego. En y repensant un peu, elle aurait peut-être été comme lui, à cracher sur le monde et à y faire naître des emmerdes, si elle n'avait pas autre chose à foutre.
C'était peut-être juste de l'ennui qu'il exprimait ou un éternel besoin de se faire remarquer. On aurait dit un enfant qui faisait des bêtises pour que ses parents le voient. Elle n'avait pas vraiment envie de savoir. Il y avait des gens dont elle préférait ignorer les pensées.
Elle regarda l'heure – chose qu'elle ne faisait jamais habituellement – et haussa les sourcils. Elle était venue dans sa chambre seulement pour récupérer des affaires qu'elle y avait laissées et la voilà à causer de ses strings et de la préfète-en-chef des rouges avec le mec le moins discutant de la planète. Elle se mit à rire et haussa les épaules, récupérant un sac près de son lit.
« On va dire que je t'ai pas vu dans le dortoir des filles. »
Elle se retourna, s'apprêtant à quitter sa chambre et se retourna , lui laissant avec pour derniers mots ;
« Oh et puis si ça t'excite tu peux offrir ce string à ta prochaine victime. Je le mettrai plus. »
Elle quitta la pièce, le laissant avec ses sous-vêtements et la porte ouverte.
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Il se moquait, Rafflo la terreur, il se moquait toujours, c'était son leitmotiv dans la vie. Il lui fallait une victime à humilier, quelqu'un à traîner dans la boue, il lui fallait toujours charrier ou emmerder, profondément de préférence, enculer sans grâce et lever le majeur sans honte. Fenry elle en avait rien à faire, qu'il soit le pire des connards, Fenry ça l'amusait de le voir se débattre dans son identité de chien – de bâtard, l'enculé de première. Elle trouvait ça drôle, et elle riait – et la honte avait oublié d'effleurer son ego. En y repensant un peu, elle aurait peut-être été comme lui, à cracher sur le monde et à y faire naître des emmerdes, si elle n'avait pas autre chose à foutre.