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[fb] Perhaps vampires is a bit strong but... // Ethan et Romeo

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[fb] Perhaps vampires is a bit strong but... // Ethan et Romeo Sam 29 Déc - 22:37


'Cause all you people are vampires

Romeo est un homme de scène ; il ne pleure jamais en public, mais trompe l’œil du spectateur à l’abri des regards.

Ainsi s'est-il retranché en coulisse – dans une salle de classe vide – prostré à un pupitre, la tête entre les bras, il s'autorise au drame.

Romeo a beaucoup joué pour les beaux yeux de Pan – il s'en est fait l'Astrée complaisante, complètement coloriée des termes en « e » et « elle » qui conviennent à sa grâce innée – cette délicatesse toutes en courbes douces et langueur élégante qu'il déteste passionnément..
Il s'est travesti, beaucoup ; s'est vernis les ongles et mis du rouge aux joues ; il a consenti aux déguisements de velours et de dentelle, quelque fois – il donnait toujours la réplique au patronyme honni, avec dégoût, pour le (re)nier, avec amour – (« c'est r-o-m-e-o ») il se disait qu'avec patience, et efforts, Pan allait finir par comprendre
mais Pan est un sage ingrat qui ne croit que ce qu'il voit.

Pan a besoin d'une jolie bergère au bras, qu'il peut courtiser légèrement, en contrebas des balcons ; et pas d'un petit Prince comme Romeo, un titre que Pan a refusé très longtemps – parce que ce Romeo-là est bien joli, avec ses longs cils, et ses lèvres rosées, et sa gorge blanche qui déclame sur des airs peu trop aigus – mais avec beaucoup de patience et d'efforts, Romeo a fini par persuader Pan de lever les yeux de son script parfait – oui, Pan avait fini par comprendre – il l'avait vu, bien vu, et puis répudié, comme cela.

Romeo est un HOMME de scène qui pleure pathétique, dans une salle de classe vide, son aliénation vaine, tous ses sacrifices gâchés à faire semblant, et c'est bien la première fois qu'il regrette d'avoir joué autant. Romeo pleure de frustration, au nom de tous ceux qui refusent de le voir ou qui font semblant, parce qu'il est bien joli, avec ses longs cils, et ses lèvres rosées, et sa gorge blanche qui déclame des airs un peu trop aigu – c'est injuste, et Pan est un salaud, un immonde salaud, une véritable ordure, mais à la fin – combien d'autres Pan devra-t-il encore amuser ? Combien de pièces comme celle-ci Romeo devra-t-il rejouer ? Tout ce temps perdu à venir encore, qui ne se rattrape jamais – et Romeo est déjà si fatigué d'expliquer ce qu'il y a de plus simple, fatigué d’épeler son prénom, r o m e o, r o m e o – lui ne se demande pas pourquoi il est, parce qu'il sait qu'il y a toutes sortes d’héritiers sous les balcons, des Romeo très jolis et très gracieux, très délicats, toutes en courbes douces et langueur délicates – et il hait le fait que personne ne les regarde comme il se doit – et il hait le fait que Pan soit désormais un « personne » aussi – mais il ne pardonnera pas. Il ne boira plus de ce poison-là. Assez de ces vanités.

Romeo trahi pleure de dépit et de rancune – le commencement douloureux d'un nouvel acte, où il sera.
??? mots
J'espère que tout va bien sinon dis-moi surtout ;;



@ethan stoker
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Re: [fb] Perhaps vampires is a bit strong but... // Ethan et Romeo Mar 1 Jan - 20:47


C’était l’époque de l’âge d’or de mes cheveux verts. La voix qui mue, un bouton de temps en temps, la maladresse qui suit les poussées de croissance, toutes ces belles choses. La période ingrate, comme on dit. Cette époque où l’on m’aurait sans doute dit : t’es mignon, mais reviens dans trois ou quatre ans, quand t’auras fini la puberté. Vous comprenez le principe. Habitué aux couloirs et aux gens de Poudlard, mais pas encore assez âgé pour être un top dog. Juste dans la bonne zone pour intimider les nouveaux et être intimidé par les vieux. Le moment où je commençais à chercher ma voie, à me questionner sur mon choix de DEMA. J’avais encore le temps, bien sûr, mais le choix d’options pour les ASPIC m’encourageaient à déjà planifier mon avenir, ce à quoi je pensais avec zèle, comme dans pratiquement tout ce que je faisais. Par conséquent, il était plutôt correct d’assumer que j’avais la tête ailleurs, la plupart du temps. Ce jour-là, c’était un de ceux-là.

J’avais quitté mon cours une bonne heure plus tôt, retournant au dortoir pour me reposer un peu et, après coup, je pensais étudier. Parce que je suis chiant et ennuyeux, voilà, deal with it. Le problème ? Je ne trouvais plus mon livre. J’étouffai un juron, n’arrivant pas à croire que j’avais pu être aussi tête en l’air. Il n’y avait toutefois pas cinquante-six solutions : j’étais forcé de retourner au troisième étage, dans la classe, pour voir si je pouvais y retrouver l’ouvrage. Si ce n’était pas le cas, j’allais devoir me renseigner aux objets perdus ou aller à la bibliothèque pour emprunter leur exemplaire en attendant de retrouver le mien. Ça ne me ferait pas plaisir, mais il faut ce qu’il faut. Et c’est donc ainsi que, ce jour-là, le destin avait choisit de me faire rencontrer Romeo Pridemoore.

Le pas énergique, j’avais monté les marches sans m’arrêter pour personne. Remarque il n’y avait personne pour m’interpeller non plus alors, forcément. Concentré, déterminé, je savais où je m’en allais et ce que j’avais à faire. Du coup, quand j’ai ouvert la porte pour entrer tel un coup de vent, je ne vous raconte pas la surprise en découvrant une unique silhouette, parée de vert. Le plus grand choc, toutefois, fut lorsque je réalisai que cette personne était en train de pleurer. Paralysé, la main toujours sur la poignée, j’hésitais sur la marche à suivre. Devrais-je simplement fermer la porte et lui laisser l’intimité adéquate ? Mais j’étais venu ici pour chercher mon livre, j’avais des trucs à faire moi aussi. Sauf que d’entrer, de prendre mes trucs et de repartir comme si de rien n’était, c’était juste impensable. C’était pas la bonne chose à faire.

Me résignant, je finis donc par fermer derrière moi, avançant dans la salle à pas prudents. Si c’était moi qui était en train de pleurer, sans doute aurais-je pu voir cette nouvelle arrivée comme une intrusion qui n’était pas nécessairement la bienvenue. Je voulais aider, pas empirer les choses, quand même. M’éclaircissant la gorge, je me frottai la nuque, manifestant une certaine nervosité, une certaine hésitation.

« Est-ce que ça va ? »

Demander ça à quelqu’un qui pleure, faut quand même être vachement maladroit.  
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Re: [fb] Perhaps vampires is a bit strong but... // Ethan et Romeo Lun 21 Jan - 19:03

'Cause all you people are
vampires


« Est-ce que ça va ? »

Romeo tout abandonné à ses chagrins – n'a pas entendu l'entrée en scène. Il tourne la tête ( se ressaisit de ses semblants avant que le feu des projecteurs ne puisse encenser les détails déjà détruits de sa mascarade )

Silhouette d'ambre et d'ombres, inquiétude indiscrète – le blaireau a surpris la couleuvre en pleine mue – impossible ! Romeo refuse un tel renversement de la hiérarchie, beaucoup trop honteux.

Il se redresse, figeant son indignité en assurance raidie – le menton relevé, le coude négligemment jeté par-dessus le dossier de sa chaise ( et ses paumes qu'il fait papillonner en biais de regard, où il lui faut bien vite butiner les reliquats déshonorants de ses larmes ) Romeo encore tout reluisant du flot de son dépit, se compose un nouveau rôle, s'improvise un sourire de carnaval et des intonations de nouveaux carêmes –

« Oh, oui, ça va très bien, très très très bien, tout va bien. Ça va super ! Yeah. »

– mais sa misère embue ses grimaces, qui prennent déjà l'eau ; Romeo n'a pas encore appris l'art du sacrifice, et comment l'on s'y prend pour brimer l’impérieux courant des émotions compromettantes. Il est jeune et presque nu – sa sincérité déborde encore.

« … non, ça ne va pas du tout, tu vois bien ! »

Ses prétentions à la prestance s'écroulent emportées par l'onde pathétique de ses sanglots impulsifs ; et il se sent s'effondrer, là, sous les yeux jaunes du public appréciateur, quelle décadence – il voudrait disparaître, que le diable l'emporte, qu'un précipice s'ouvre sous ses pieds, mais sa tristesse comble malheureusement toutes ses crevasses indignes ; il ne parvient pas à se préoccuper de l'humiliation d'avoir été surpris, alors qu'il aimerait ! – il aimerait n'être soumis qu'aux fauves considérations du spectateur impromptu, il voudrait être en mesure de se préoccuper seulement des sarcasmes possibles, des railleries envisageables. Mais il n'y a que Pan, uniquement Pan, et son absence abjecte – qui le font pleurer.

« Je me suis fait larguer. Ça va t'es content ? Voilà ! Tu peux te moquer maintenant si tu veux, j'en ai plus rien à faire de toute façon »

Et il en a presque l'espoir – que l'inconnu consacre sa misère, qu'il rit en désignant directement son infamie. Que l'on valide au moins son désespoir.

BY MITZI


@Ethan Stoker je suis la lenteur incarnée pardon.....


Dernière édition par Romeo Pridemoore le Ven 1 Fév - 23:52, édité 1 fois
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Re: [fb] Perhaps vampires is a bit strong but... // Ethan et Romeo Jeu 24 Jan - 16:33


J’ai été repéré, c’est déjà un début. Enfin, un début qui n’exclu pas que cette personne puisse soudainement se vexer de mon entrée ou se défouler sur moi ou que sais-je encore. Mais j’ai besoin de mon livre et, comme je l’ai déjà dit, je me vois pas juste entrer, le récupérer et ressortir. Ce serait encore pire, quelque part. On n’ignore pas les gens en détresse. Pas s’ils n’ont pas spécifiquement mérité de subir ce qui est devenu leur fardeau. Dans le cas présent j’ai aucune idée si c’est le cas ou pas, mais je suppose que je vais le découvrir. Ou pas, je sais pas. Si ça se trouve on va me montrer la porte et je serai pas plus avancé. À voir.

La réponse initiale est positive, beaucoup trop positive. Faudrait être vachement con pour y croire, ou vraiment en avoir envie. Y’a des gens comme ça, qui s’en contenteraient avec le sourire et prendraient ça comme une excuse pour tourner les talons. « On m’a dit que ça allait, j’ai plus rien à faire ici ! » Ce serait doute beaucoup plus facile de m’inspirer de ceux-là, mais ça se saurait si j’étais du genre à me faciliter la vie. Ainsi, lorsque l’élève des Serpentards revient sur son pronostique initial et me dit que je vois bien que ça va pas, je ne sais pas trop où me mettre. Ce qui ne m’empêche pas d’acquiescer bêtement, avec le regard fuyant du gars qui sait pas sur quel pied danser.

« Ouais, je le vois. »

C’était pas une vraie question Ethan, pourquoi tu as répondu ? Je sais vraiment pas améliorer les choses moi hein ? Il n’est pas trop tard pour m’excuser et battre en retraite, si je veux. C’est pas ce que j’ai envie de faire, mais tant qu’à empirer le truc… Je suis encore en pleine hésitation lorsque tombe le verdict : un cœur brisé. Ça doit pas être évident. Je pourrais pas dire, j’ai jamais vécu de situation comme celle-là, mais ça semble douloureux. Par contre, je ne m’attendais pas à ce qu’on m’offre de me moquer. C’est… particulier, comme façon de penser. J’en suis tellement choqué que ma réponse sort toute seule.

« Faudrait vraiment être un connard pour se moquer du malheur de quelqu’un qu’on connait même pas. »

Non parce qu’au moins si c’était quelqu’un que j’aimais pas, qui méritait de se faire larguer, là peut-être, je sais pas. Je suis pas plus vertueux qu’un autre au fond, même si j’essaie. Mais là c’est juste… triste. Et pourtant pas trop, parce qu’on ne se connait pas pour autant alors c’est difficile aussi de faire preuve d’empathie. Certaines ruptures ont besoin d’arriver et c’est pour le mieux donc, je sais pas. Je suis pas assez impliqué dans tout ça pour offrir autre chose que de la neutralité, ce qui est quand même mieux que ce qui était attendu de moi. Après un soupir, parce que je sais pas trop ce que je fais et que c’était non plus prévu tout ça, je vais m’asseoir à une chaise voisine, tourné vers l’élève que je ne connais pas. C’est le moment de faire étalage de la philosophie Poufsouffle du mieux que je peux. Allez hop, en piste.

« Tu as besoin d’en parler ? Je m’appelle Ethan, au fait. »


Mon offre sera probablement rejetée, mais on ne sait jamais. Je dois tout essayer avant de jeter l'éponge et, même si je suis un inconnu, peut-être que la réputation des jaunes et noires m'aura précédée, qu'elle suffira à permettre la confidence. On verra bien.
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Re: [fb] Perhaps vampires is a bit strong but... // Ethan et Romeo Sam 2 Fév - 3:00

'Cause all you people are
vampires

« Faudrait vraiment être un connard pour se moquer du malheur de quelqu’un qu’on connait même pas. »

une vraie réplique de blaireau – Romeo se redresse ; pense qu'il a de la chance qu'on n'ait pas surpris sa chute avec des intentions vipérines, par exemple... Il toise l’intrus à ses lamentations, détaille sa stature, il prend son temps – cherche avec attention des signes de malveillance – méfiant, même mortifié. On ne l'y prendra plus.

« toi t'es bien un poufsouffle pour dire ça » il énonce, très conformément à sa pensée. Il a décidé de parier avec sincérité – de toute façon, c'est trop tard, l'inconnu l'a vu dans toute l'ampleur de son effondrement pathétique.

Il l'observe s'asseoir, sans ciller, il n'est pas gêné de le fixer, Romeo ne détourne jamais les yeux.

« Tu as besoin d’en parler ? Je m’appelle Ethan, au fait. »

Ethan, silhouette en jaune et noir à l'aplomb affable et au ton égal – qu'a-t-il à craindre ? Lui, il reste d'émeraude. Surtout, il a bien peu à perdre au profit de l'ambre.

« Je m'appelle Romeo. »

il s'autorise à regarder ses mains.

« et au cas-où tu as un doute moi c'est il.» rictus amer.

Il tire de sa poche son paquet de cigarettes.

« je te remercie, Ethan ; mais il n'y a pas grand-chose à dire, en vérité. Je correspondais juste pas à ses... attentes » la flamme au bord de ses lèvres vacille un instant « tu veux une cigarette ? ah, j'espère que tu vas pas rapporter que je fume en classe. J'ai un chagrin d'amour, j'ai le droit... »

il s’essouffle du bout des lèvres en infimes nuages bleutés qui s'égarent entre ses doigts.

BY MITZI
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Re: [fb] Perhaps vampires is a bit strong but... // Ethan et Romeo Lun 4 Fév - 16:46


La réponse ne tarde pas à fuser et, je l’avoue, je me demande comment je dois prendre ça. Bien sûr, je ne suis pas aveugle au dédain que partagent plusieurs des autres maisons à l’égard des Poufsouffles et j’ai l’impression que je viens d’en avoir un autre exemple. Ceci dit, m’en formaliser ne m’apporterait absolument rien. Autant simplement l’accepter, le tourner en ma faveur.

« Je vais le prendre comme un compliment. »

Parce que c’est bien un truc de blaireau, de pas être un connard. Et, mine de rien, j’ai pas l’impression que c’est quelque chose qui vaille la peine de s’en formaliser. Même que si plus de gens aspiraient à ça, peut-être bien que le monde serait un meilleur endroit. De ceux où quelqu’un qui pleure en solitaire dans une salle de classe n’aurait pas à craindre qu’on soit venu pour se moquer. Ce après quoi j’avais pris place non loin de l’élève de Serpentard, lui offrant mon nom et la possibilité de se vider le cœur. Vint, en réponse, le prénom de Roméo et une clarification quant à ses pronoms. Got it, c’est il. J’ai aucun problème avec ça, parce que déjà ça me concerne pas et que ça changera rien à ma vie. Pour moi ça reste un Serpentard que je connais pas et que j’ai trouvé en train de pleurer dans une salle de classe. Ah et il vient de sortir un paquet de cigarettes de ses poches, super. Maintenant j’ai encore plus envie de prendre la clé des champs et de le laisser se démerder, si seulement je ne savais pas trop bien que ça me causerait tout un tas de remords.

J’attrape au vol qu'il ne correspondait pas aux attentes de celui ou celle qui l’avait rejeté. C’est pas de chance, mais j’ai jamais rien vécu de similaire, en bien ou en mal. Célibataire depuis ma naissance. Alors je ne risque pas de savoir de quoi il parle, d’avoir de grande histoire à lui partager ou de sagesse cachée. Ceci dit, j’ai aussi des sens particulièrement aiguisés, dont mon odorat. Quand je le vois allumer sa cigarette, je ne peux m’empêcher de quitter mon siège et de m’éloigner avant que l’odeur ne me prenne à la gorge. Je n’arrive pas à me retenir de toussoter, parce que ça gratte. Et pire, il m’en offre une, avant de rajouter que je devrais pas le dénoncer parce qu’il vit une peine d’amour. Il a le droit.

« Ouais, t’as le droit de te ruiner la santé et de te créer un beau gros cancer du poumon. »

Eh oui, la fameuse époque du Ethan qui peste contre la cigarette et ses dangers date d’avant même le début de mon DEMA en médicomagie. Je sais, je sais, c’est pas idéal pour se faire des potes, parce que personne aime les chieurs. Mais c’est pas une raison pour faire semblant que ce poison ne m’incommode pas. La fumée secondaire c’est vrai les gens, c’est pas un mythe. Enfin, essayons quand même de revenir au sujet initial même si, comme dit plus tôt, j’ai pas d’expérience sur le sujet. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que je sorte une réplique peut-être un peu naïve, réductrice, qui ne tient pas compte de la complexité d’une situation comme celle-là. Quant à savoir si ça va aider ou pas, je ne suis pas le juge de la question.

« De toute façon si tu correspondais pas aux attentes, comme tu dis, c’est probablement que cette personne t’aimais pas pour ce que t’es de toute façon. Enfin, je connais pas ton histoire, mais ça m’a pas l’air d’une grosse perte du coup. »
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