Re: Demande de particularité : Test RP Dim 7 Avr - 10:18
Vu sur Discord pour les deux trois questions que je me posais mais du coup tout est parfait Des bisous love et c'est validé
Adélaïde Oxwell
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Re: Demande de particularité : Test RP Sam 13 Avr - 19:25
Animagus
Run, run, run
Il faut souvent un brin de folie, une pincette de volonté et beaucoup de courage pour devenir un animagus. Au départ, il est difficile de s'imaginer de changer de corps, de se vêtir dans la peau d'un être différent du nôtre. La peur peut vite nous prendre à l'estomac, de penser qu'on agira tel une bête féroce, sans aucune conscience d'avoir été humain. C'est ce qu'avait cru Adélaïde, réticente étant jeune. Pourquoi faire un tel parcours, aussi long soit-il, juste pour se transformer en une créature ? Tant de questions peuvent se bousculer ; Avantages, désavantages. Quand on est une jeune enfant, d'à peine neuf ans, tout cela peut sembler insaisissable. Nous ne sommes pas des dieux, il ne suffit pas d'un claquement de doigt et de fermer les yeux pour réussir. Et l'échec était quelque chose qui effrayait énormément l'enfant.
La fragilité, une petite fleur qui ne sait pas vraiment où se mettre, étouffée par la société. L'enfant avait écouté, encore et encore, les débats de son père sur cette transformation en mille étapes. Une seule erreur et tout devait être recommencé. Il suffit donc de manquer un peu de courage et de confiance en soi et Adélaïde en manquait cruellement. Mais enfant aux rêves frivoles, elle fut finalement convaincue et se mit aussitôt à apprendre.
À cet âge, bien que le monde soit inconnu, qu'on ne comprenne pas tout, les enfants sont dotés d'un apprentissage hors norme. Il faut huit mois pour qu'un bambin se tienne sur ses pieds, deux ans pour dire ses premiers mots et pas moins de dix ans pour comprendre les dangers de notre monde. Et c'est comme cela qu'Adélaïde, à ses dix ans, débuta son proccessus pour devenir une animagus.
Mais pourquoi prendre une telle décision ? Et à cet âge ? La raison était de redonner un peu de confiance en soi, de se retrouver et apprendre à passer au dessus de ses peurs et des mauvais souvenirs.
Plusieurs fois, Adélaïde avait du recommencer et déjà, la douce comptine, tel qu'elle la voyait, elle chantonnait.
Amato Animo Animato Animagus. Amato Animo Animato Animagus. Amato Animo Animato Animagus. Amato Animo Animato Animagus.
C'est uniquement à sa quinzième année qu'elle réussit à faire correctement toutes les étapes. Adélaïde aurait pu abandonner après tant d'échecs mais comme dit, il faut de la volonté et du courage, qu'importe la patience qu'il faut pour réussir. En tant d'années, elle avait appris à ne pas abandonner et savait par cœur comment s'y prendre jusqu'à la nuit d'orage et de humain, elle était devenue animale.
Il est souvent facile d'être quelqu'un d'autre quand on a peur. Même si cela paraît douloureux et qu'il faut beaucoup d'expérience pour savoir jouer avec un masque. Forcément, il faut du temps pour savoir tout maîtriser, comme dit, nous ne sommes pas des dieux. Mais au moins, l'épreuve était passée et on peut désormais se reposer un peu sans oublier qu'il faudra acquérir l'expérience nécessaire pour être un véritable animagus, qu'importe les années qu'il faudra passer.
Car en attendant, il faut apprendre à se connaître soi-même pour savoir vivre la tête haute et devenir une personne exceptionnelle. Mais il est difficile de faire parler son cœur quand on a pas assez de confiance.
Dernière édition par Adélaïde Oxwell le Sam 4 Mai - 22:05, édité 2 fois
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Re: Demande de particularité : Test RP Lun 15 Avr - 5:47
d'abord il y avait eu la prédisposition familiale aux dons de l'esprit. car père, madame ta tante et cette foule de cousins, les mieux-que-toi prenaient un malin plaisir à fouiller dans ta tête et à jouer avec tes souvenirs comme si tu n'étais qu'une vulgaire marionnette sur qui ils pouvaient s'entraîner. les legilimens te l'avaient dit : il était ton devoir de devenir comme eux. l'école était réputée pour cela, après tout. bientôt, tu apprendrais à faire tout comme ta famille, tu rentrerais dans le rang et ainsi, peut-être auront-ils plus de considération pour ton pauvre petit cœur fragile.
mais lorsque l'heure de faire le choix est arrivé, tu as souris. tu as souris, parce que c'est sur l'occlumancie que tu as décidé de te concentrer. ils pouvaient t'enfermer autant qu'ils le voulaient. si tu parvenais à retourner la cage contre eux en y cachant tes propres pensées, que pourraient-ils faire ? il faudrait que tu deviennes plus forte et bientôt, bientôt, ils n'auraient plus aucune emprise sur toi.
père, je souhaite rester à l'école pour étudier pendant les vacances.
tu notais tes mensonges sur tes lettres et y consacrait ton temps libre. épuisée, fatiguée, usée par le temps que tu consacrais à cet art qu'ils te reprocheraient. mais tu savais qu'un jour, tes efforts porteraient leurs fruits. désir de liberté et d'indépendance et c'est pour cela que tu as écumé les livres de la bibliothèque pendant des mois et des mois. tu leur es revenue plus résistante et ils t'ont demandé tes progrès en legilimancie.
c'est l'occlumancie que j'étudie.
tu t'attendais à une punition. tu t'attendais et tu t'y étais préparée mais père a éclaté de rire et il s'est mis en face de toi pour te cacher de la moue furieuse de madame ta tante. il a frotté ta tête pour quelque chose comme la première fois de toute ta vie et tu as levé les yeux vers lui. geste paternel. il t'a murmuré qu'il était surpris de ta décision mais amusé de voir que vous partagiez le même tempérament têtu. et c'était le premier pas vers la liberté que t'apportent tes efforts. ce n'est toujours pas parfait. c'est vrai. tu continues encore aujourd'hui d'apprendre et de fermer ta tête du mieux que tu le peux. un jour, tu y parviendras.
après tout, tu es déjà sur la bonne voie, tu te souviens ?
père, avais-tu murmuré, m'autoriseriez-vous à me rendre au royaume-uni pour étudier à poudlard ? notre cousine vit là-bas n'est-ce pas ?
il avait demandé pourquoi, pour la première fois et tes yeux s'étaient illuminés.
vous ne pouvez pas le dire ?
et tu as souris.
A. Harry Fitzgerald
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Re: Demande de particularité : Test RP Lun 15 Avr - 9:25
Heyo @Adélaïde Oxwell > Je vois que tu as compris qu'on ne devient pas animagus en un claquement de doigts et ça c'est bien ! Je note qu'Adélaïde a réussi sa première transformation à 15 ans et qu'aujourd'hui elle en a 17, j'attendrais donc dans fiche (ou ici en éditant si tu le souhaite) de savoir aujourd'hui comment elle se débrouille avec son don. J'attendrais aussi entre autres des possibles raisons de pourquoi ? Puisqu'elle a commencé très jeune, je suppose qu'elle en a entendue parlé dans sa famille ? (mais ça c'est dans la fiche tkt). Sinon, (après ce paragraphe du stress) ton don est validé !
@Amrita S. Kumar > c'est perf, maybe dans la fiche explique un peu comment elle a étudié l'occlumantie, bien que l'ont comprenne déjà ici que cela lui a pris du temps. Il me tarde d'en savoir plus sur sa famille dans ta fiche Le don est validé ma belle
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Re: Demande de particularité : Test RP Sam 20 Avr - 19:29
TEST RP : Legilimens I need to know
La confiance n’avait jamais été chose facile pour toi Charlotte. Toujours prête à voir les pires intentions chez ton vis-à-vis, à ériger un mur pour te protéger des pires volontés et obsessions des assoiffés du pouvoir. Tu te retrouvais essoufflée de faire semblant, de te conforter dans la douceur des relations sincères qui se font de plus en plus rares. Il fallait savoir. Tu devais savoir. Et, pour avoir accès aux non-dits, il n’y avait pas la masse de solutions.
**********************************
"On réessaie, si tu veux bien." L’agacement teintait ta voix pourtant calme habituellement. Depuis quelques mois déjà, tu cherchais à percer les secrets de la légilimancie avec, pour cobaye, nul autre que Morpheús Gaunt. Les résultats n’étaient pas toujours concluants, les images apparaissant dans ton esprit n’étaient jamais assez claires, assez complètes. Tout était brouillé, les pensées comme les émotions, rien n’était assez limpide pour conclure à un succès. Pourtant, ce n’est pas un manque d’informations qui te mettait des barrières, depuis le temps que tu faisais tes recherches sur le sujet. Tu n’avais pas pu passer à côté… Si?
Accoudée devant le jeune homme, tu inspires longuement, ramenant ta concentration à la surface, t’imprégnant de ton objectif et de cet informulé qui déclencherait tout. Expiration. Tes prunelles rencontrent les siennes, miroir de ta détermination à ne pas faillir. Pas cette fois.
"Montre-moi ta première journée à Poudlard." Encore. Un souvenir qui ne vous appartenait pas, qui ne pouvait être qu’à lui et qui ne pourrait être mêlé à tes propres perceptions. Cette version de Morpheús ne pouvait provenir que de son esprit et, si tu réussissais à bien capter le moment, tu saurais que tu avais réussi. Logiquement, c’était parfait. Tu sens une connexion s’établir, des couleurs apparaître. Une forme de train, d’abord floue, puis de plus en plus précise. La… hâte d’être loin de la maison. L’espace devient une cabine du Poudlard Express, où une autre personne se trouve. Une… Tu fronces les sourcils, te concentrant davantage pour obtenir cet élément manquant. Une fille. Des flashs de conversation où tu peux sentir une pointe de stress, l’envie de se faire des amis. Un nom. Moi c’est Roxanne. Un sourire.
Le lien dépérit doucement, au même rythme que tes lèvres qui creusent tes joues. Illuminée par ton succès, tu perds ton focus, fière toutefois de pouvoir balancer tes nombreux échecs d’une réussite, même partielle.
Tu observes le Poufsouffle dans un silence lourd de sens quelques temps. Juste avant de le briser d’un murmure. "Merci."J’ai réussi. que tu te retiens d’ajouter. Mais ton visage devait déjà tout dire. "Essaye maintenant de voir quelque chose que je ne te montre pas."
Nouveau froncement de sourcils. Ce serait difficile - Morpheús s’entraînait depuis un moment déjà à l’occlumencie et il était certainement plus fort que toi - mais tu aimes les défis et tu te trouvais revigorée par ta petite victoire. Il fallait voir plus grand, aller plus loin, pousser pendant qu’il était encore temps. Tu inspires à nouveau. Expire. Plonge ton regard dans celui de ton ami d’enfance pour reprendre le fil du souvenir précédent, retrouvant sa trace dans sa tête en un claquement de doigt. Tu vogues sur ses souvenirs, retrouvant la tête brune féminine à plusieurs reprises, en cours, dans les couloirs, sur le terrain de Quidditch.
Mais ça, c’est ce qu’il semble vouloir te montrer. Et, toi Charlotte, tu devais sortir de la route qu’il t’avait tracée. Ton esprit pousse plus loin, te concentrant pour trouver un souvenir qui ne t’est pas proposé. Les images se font plus saccadées, moins précises, moins longues. Difficiles à cerner. Pour finalement obtenir un visage masculin. Un adolescent, cheveux bouclés, penché sur... Sur Morpheús. Tu sens le désir qui réchauffe son bas-ventre et les palpitations de son coeur qui accélèrent… Puis soudain, plus rien si ce n’est une brume envahissante qui voile ta vue à toute forme de pensée du jeune homme. T’as l’impression de flotter dans le vide, de te perdre dans un néant qui t’est imposé tant et aussi longtemps que tu restes liée à ton ami.
Tu détournes le regard, brisant la connexion entre vous le temps de digérer la scène dont tu avais été témoin. Incertaine de la manière d’aborder le sujet avec lui.
Re: Demande de particularité : Test RP Sam 20 Avr - 20:09
Bon bah du coup rien à dire ma baby Amuse-toi bien c'est validé
Otília C. Ambrozy
Professeur de Potions & Directrice de Serdaigle
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Re: Demande de particularité : Test RP Dim 21 Avr - 0:25
DEMANDE DE DON DE VOYANCE (utilisation bon animation 2 ans)
Un homme d’une trentaine d’années, le visage pâle et lacéré en de multiples endroits. Un lit sinistre, bien trop blanc. Un drap et un oreiller tout aussi immaculés. Elle voit ça, sans savoir pourquoi, sans comprendre qui sont ces gens ni quel est son rôle. Mais elle voit, et même si elle ne le voulait pas, il semblerait que son corps soit figé, que ses yeux soient déjà fermés. Elle observe, spectatrice invisible, jusqu’à ce qu’une porte qu’elle n’avait pas remarqué jusque-là s’ouvre à la volée et une femme entre dans la pièce. Elle a un hoquet étranglé par des larmes qui sont immédiatement visibles sur son visage. Elle court pour finir les quelques mètres qui la séparent du lit et là… Elle hurle. Elle hurle, un cri déchirant qui glace le sang.
C’est avec ce sentiment terrifiant que la jeune fille aux cheveux rouges sort de sa crise. Elle aussi elle a crié. Dans l’imposant manoir Ambrozy, tout le monde l’a entendu.
- Tu es bénie mon enfant, tu as le troisième œil.
Otília, elle se souvient parfaitement de cette expression, « le troisième œil ». Elle devait avoir sept ou huit ans quand sa grand-mère maternelle, qui a souvent veillé sur son frère et elle, lui a dit cela pour la première fois. Elle n’a eu de cesse de le répéter, ensuite, avec une fierté presque inquiétante. Rom d’origine, elle a toujours accordé une place importante aux mythes et diverses croyances hongroises. Elle voyait des signes en tout, particulièrement dans la chiromancie et, à la manière des centaures, il lui arrivait souvent de brûler de la Mauve douce afin de lire dans les flammes et la fumée qui s’en dégageait. De temps à autre, elle tirait même les cartes.
Elle était fascinante mais pour l’héritière Ambrozy, elle paraissait aussi… fantasque. Son père, souvent, le disait. Pour lui, sa belle-mère était amusante, attachante, mais il ne la prenait pas au sérieux. Aussi, la jeune enfant ne savait pas bien quoi dire, à l’époque. Elle avait peur de ces images qu’il lui arrivait de percevoir, sans en comprendre le sens.
Des cauchemars. C’est comme ça qu’elle le vivait. Elle se réveillait en sueur, prise de tremblements et les larmes aux yeux sans avoir le souvenir d’avoir pleuré. Il lui fallait du temps pour reprendre une respiration saine. Lorsque ça arrivait dans son sommeil, elle avait du mal à déceler ce qu’elle devait comprendre. Ce qu’elle devait retenir. Ce qui la marquait, la prenait aux tripes, c’était cette sensation… une sensation de réalité forte, des images décousues, des visages qu’elle ne connaissait pas toujours et des mots confus. Mais ce qu’elle en gardait, l’émotion vive qui la bouleversait, voilà qui lui permettait de comprendre – à force de « subir » cela – qu’il ne s’agissait pas d’un simple cauchemar. Heureusement, c’était très ponctuel, et ça l’est toujours autant.
Lorsque ça lui arrive quand elle est éveillée, tout prend alors des proportions démesurées. C’est moins fréquent et à force, elle parvient désormais à déceler les signes avant-coureurs, comme un tressaillement de paupière, un frisson qui lui parcourt l’échine et une sensation de vertige. Quand c’est le cas maintenant, il faut qu’elle s’isole, qu’elle se cache. Elle ne supporte pas l’idée que d’autres soient témoins de ses transes, quand ses yeux se recouvrent d’un voile opaque et que ses lèvres se plissent, laissant parfois entendre des mots ou des cris incongrus. Souvent, il s’agit de simples flashs, relativement courts. Elle n’a pas la prétention, jusque-là, d’avoir été la messagère d’une véritable prophétie. Elle sait qu’elle a transmis des mises en gardes, des alertes, le plus souvent.
Au fil des années, elle a tout fait pour se préparer, pour pleinement lire les signaux que lui envoie son corps, avant une crise. Elle n’y arrive pas toujours, bien entendu, mais elle fait au mieux afin de ne pas se retrouver prise au dépourvu, dans une situation ou un moment qui ne permettrait en rien de perdre le contrôle. Car c’est bien ça, le problème, avec ce pouvoir, c’est qu’elle a longuement eu la sensation de ne rien pouvoir contrôler. De ne pas pouvoir déchiffrer, non plus. En quelques secondes, tout devient intense, bien trop intense et elle se retrouve plongée en un moment, en un espace-temps qui n’est pas le sien, à voir une scène dont elle ne sait rien, une scène qui viendra, un jour. Parfois, c’est très bref et presque insignifiant. Parfois, c’est vivace et atroce, ça la plonge dans une torpeur qui l’embarrasse, tellement elle la rend faible, à fleur de peau et dépassée.
Elle n’a jamais su si elle était bénie. Elle ne le vit pas ainsi. Elle ne s’estime pas maudite non plus, elle sait que la plainte serait malvenue. Ses visions qu’elle a sont l’un des nombreux mystères fantastiques de la magie. A croire que le destin s’est amusé de bien des manières à son égard. Face à son insatiable envie de comprendre, de se renseigner, il a placé sur sa route un pouvoir irrationnel, fait de sensations, d’émotions et… de magie. La magie brute, puissante, vivace et volatile.
Dans son enfance, puis à l’arrivée à Poudlard, elle a subi des tests auprès de psychomages réputés qui ont bien affirmé qu’elle devait être dotée du pouvoir de voyance et l’ont recensé auprès du Ministère de la Magie en tant que tel. Si elle ne le cache pas, elle ne l’affiche pas non plus. Cela fait parti de ce qu’elle est, une force autant qu’une faiblesse, avec laquelle elle a appris, bon gré mal gré, à vivre.
A. Harry Fitzgerald
Cracmou tout doux
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Re: Demande de particularité : Test RP Dim 21 Avr - 11:17
ouiiin ce don est tellement parfait il me tarde de lire ta fiche et tout naturellement le don est validé
Moera E. Sweetlove
Eleve sang-mêlé
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En couple avec : °///° Euh...
Re: Demande de particularité : Test RP Lun 22 Avr - 22:54
Voilà je vous présente donc ma vision de la malédiction de Moera ainsi que la manière dont elle peut la vivre. Son origine sera expliquée en détails dans ma fiche de présentation. Bonne lecture à vous !
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HOW I CAN SAY THIS WITHOUT.... BREAKING YOUR HEART, HONEY. Bureau d'Altibel - Le 17.11.2018.
« Papa... Pourquoi pleures-tu ? » « S'il te plait ma poupée, ne me regardes pas... » « Papa qu'est-ce-qu'il se passe ? Dis le moi... » Il ne voulait pas parler, il ne voulait pas avouer. Déjà pour lui, c'était bien trop dur à accepter. Sous ses airs impassibles, il a toujours été un homme sensible... Tout ce qu'il voulait, c'était te préserver. C'est idiot car tu étais en âge de comprendre, tu pouvais accepter cette vérité, aussi douloureuse soit-elle. Mais à ses yeux tu seras toujours sa petite poupée. Une poupée qui a déjà du subir les conséquence de ses choix. En ce jour funeste, tout ce qu'il voulait c'était ne pas briser un peu plus ton innocence. Pour lui, tu en avais déjà perdu bien assez. Ce silence, il s’efforçait de le garder, cachant son regard de sa grande main tremblante. Tu étais morte d'inquiétude, et lui te répétait de ne pas t'approcher... Comment pouvais-tu lui obéir alors qu'il souffrait autant ? C'était impensable, tu ne pouvais pas te résoudre à le laisser seul dans son bureau, pleurant à en perdre l'âme. Plus qu'un réponse, tu voulais être à ses côtés, le soutenir et pour cela tu devais savoir n'est-ce-pas ? Alors tu as recommencé...
« Papa s'il te plait... Regardes-moi... » « NON ! Je t'ai dit NON MOERA ! VA DANS TA CHAMBRE QUE DIABLE ! » « Papa s'il te plait... Tu peux me dire la vérité.» Il le savait pourtant, combien tu connaissais cette terrible alliée que peut être la vérité. Elle est toujours à tes côtés depuis ce jour sombre qu'il ne s'arrive pas à se pardonner. Elle te saute au visage sans filtre ou fioriture. Elle sait se montrer dure. Elle ne fait jamais dans la demi-mesure. Elle se présente sous tes yeux, sans pouvoir faire taire nos aveux. C'est là toute la cruauté de ta malédiction, regarder les gens dans les yeux et savoir, tout savoir. Lorsqu'on est une enfant, il y a des choses qu'on ne devrait et ne voudrait savoir, n'est-ce-pas ? Un petit mensonge pour éviter la peine. Alors ton père ne voulait pas te regarder, il ne voulait pas risquer de délier sa langue à cause de tes grands yeux bleus. Ces iris hypnotiques et enivrantes dans lesquelles on aimerait se perdre pendant des heures. Et il faut le dire, ils sont magnifiques tes yeux...
« Je ne peux pas te laisser comme ça, s'il te plait papa ... Regardes-moi.» « Je ne veux pas Moera, s'il te plait... Laisse-moi. » « Non, je t'aime bien trop pour ça... » « Ma chérie, c'est parce que je t'aime aussi que je ne veux pas... » Peine perdue, tu as compris le message. C'était une vérité qui mérite un silence ou un petit mensonge pour ne pas faire trop mal alors tu as retiré le foulard autour de ton cou pour venir te bander les yeux. Voilà, il n'y avait plus de risque qu'il te dise quoique ce soit sans le vouloir, puis tu as posé ta main sur son bras, tu as serré sa chemise entre tes doigts hésitants. « C'est bon, je ne regarderais pas ... » Il s'est tourné vers toi, le cœur serré de te voir ainsi aveuglée. Dans un geste rapide il t'a soulevé de terre, il t'a serré dans tes bras comme jamais encore il ne l'avait fait. Il t'a murmuré combien il était désolé, tu lui as répété encore mille fois combien tu ne lui en voulais pas et finalement il a avoué...
« C'est au sujet de Mami Georgette... » « Je m'en suis doutée... Elle est morte n'est-ce-pas ? » Cette question n'a pas trouvé de réponse autre qu'un sanglot étouffé, rien de plus qu'un petit « Oui » entrecoupé. Il t'a serré si fort que tu as senti ton souffle se couper quelques secondes. Tu as caressé tendrement ses cheveux, pleurant avec lui le décès de ta grand-mère. Même si elle était dure et froid, même si elle doutait de son amour envers vous, elle restait la mère de ton père. Mais à l'époque tu ne pouvais pas te douter que s'il pleurait tant c'est parce qu'il avait peur de t'avouer qu'elle avait été assassinée par un cambrioleur paniqué...
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WHEN IT'S ALMOST TOO MUCH FOR MY SOUL ALONE. Salon de Beauxbatons - Le 24.05.2026
« Dis Moe je peux te poser une question ? » « Evidemment, mais je pourrais ne pas y répondre... » « Pourquoi tu portes des gants ? » Cette question, tu ne comptes plus le nombre de fois où tu l'as entendu. Tes yeux passent de ton chocolat chaud à tes mains. Des gants de dentelles délicats cachant la conséquence d'une tentative raté, c'est ça la réponse que tu devrais donner. Tu souris à cette pensée, roulant les yeux en répondant que c'est un secret. Une réponse qui ne lui plait pas, une réponse qui la pousse à insister. Alors elle redemande, elle te fait des yeux doux en espérant te voir céder mais tu lui répètes que c'est un secret. Elle approche doucement son index du tien pour pouvoir jouer avec les plis du tissus qui vous sépare. Dans un sourire, tu lui chuchotes : « Tu ne devrais pas faire ça, qui sait... Peut-être que je pourrais te brûler, hum ? » Évidemment elle n'y croit pas. Mais elle ne sait pas qu'on peut se brûler les ailes à être trop curieux ? Tant pis pour elle. Dans un nouveau soupire, tu retires ton gant.
« Tu sais quoi, je vais te montrer... » « Tu vas pas réellement me brûler hein ? » « Qui sait... Approches ta main, tu verras... » Elle a ce moment d'hésitation, ton cœur qui entends déjà la déception faire son entrée. Il n'est jamais bon de connaître le fond d'une pensée à son égard. Il n'est jamais bon de connaître les petits secrets, ceux qu'on veut garder juste pour soi. Mais puisqu'elle veut tant savoir, tu vas lui montrer. Ton index touche le sien et elle fronce les sourcils, sa bouche s'ouvre et elle se met à rire : « Quoi c'est tout ? Tout ce cinéma pour rien ? C'est bien ton genre tiens ! A jouer les mystérieuses... Tu es vraiment une fille agaçante Moera avec ton côté trop parfait, on dirait que personne n'est assez bien pour toi ! » Tu retires ton doigt et tu regardes la demoiselle avec ton petit sourire le plus satisfait, tu penches la tête sur le côté prenant appuyé sur tes mains pour la regarder : « Alors, heureuse de savoir la vérité ? ». Elle est restée sans voix, elle a essayé de demander pardon à plusieurs reprise mais les mots étaient dit. Vous saviez toutes les deux que c'était la vérité, le fond de sa pensée à l'instant précis. Une vérité de plus à encaisser pour toi mais tu commences à y être habitué, avec toi il est dur de garder des secrets Moera, lorsqu'on te touche on finit toujours par te les dévoiler... Il suffit seulement d'y penser sur le coup.
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HRP: Juste pour préciser que la malédiction est "coupée" en deux car c'est en essayant de conjurer la malédiction qu'elle se retrouve avec un nouveau malus... Si cela pose un problème, elle sera comme cela de base et je viendrais modifier sans problème mon poste ! Je vous remercie par avance pour votre lecture en espérant que cela vous plaise.
Dernière édition par Moera E. Sweetlove le Mar 23 Avr - 14:23, édité 2 fois
L. Andy Ollivander
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Re: Demande de particularité : Test RP Mar 23 Avr - 0:45
c'est validé ma belle, c'est perf
Jade L. Carmel
Eleve sang-mêlé
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Test RP - Animagus Mar 23 Avr - 11:49
Test RP - Animagus - Bonjour à toutes et tous, je me lance dans le test rp en espérant que ça vous plaise et que vous puissiez lire la passion que j'ai eu à décrire et écrire ce processus!
Mercredi 04 janvier 2024 -
Jade venait à peine de revenir à la maison avec son sac d’emplettes que déjà il était en train de le vider sur son bureau pour en éparpiller le contenu. D’abord il avait posé une très belle boîte en bois de cerisier ouvragée et sculptée possédant un système ingénieux d’ouverture cachée. Puis ensuite le matériel nécessaire au rituel à venir: une fiole en verre assez grande et une cuillère en argent. Et enfin les ingrédients principaux, une feuille de mandragore et une chrysalide d’un sphinx tête-de-mort. Chacun de ses gestes était empreint d’une fébrilité et d’une impatience sans borne. Toutes les condition seraient réunies pour commencer le rituel d’ici la semaine prochaine. En attendant le jeune homme ne pouvait que tout ranger dans sa boîte achetée pour l’occasion et attendre que la pleine lune arrive.
Mardi 10 janvier 2024 -
La nuit est tombée et la pleine lune est magnifique ce soir. Jade est assis au milieu du jardin et commence le rituel sous sa lumière douce, il tient à rendre ce processus très cérémonieux. Il prend un instant pour méditer et écouter son corps et son cœur puis place la feuille de mandragore sur sa langue. Ça commence. Il ne peut pas s’empêcher de faire une grimace de dégoût, pouark, c’est amer cette merde! Bon… pour ce soir le côté cérémonieux est un peu raté mais il va avoir 28 jours, le temps du cycle lunaire pour s’y habituer.
Jeudi 19 janvier 2024 -
Le repas familial du soir vient de se terminer et Jade se lève pour aider à débarrasser les assiettes quand il fait tomber la sienne. Elle lui glisse des mains et s’éclate au sol sans qu’il ne bouge d’un pouce. Il est concentré à chercher sa feuille de mandragore de la langue dans sa bouche… Il était sûr de l’avoir glissé entre sa joue et ses dents du côté droit en haut. Peut être que c’est du côté gauche alors? Il se met à marcher à grandes enjambées jusqu’au miroir de la salle de bain pour ouvrir grand la bouche et la trouver vide…
- “Merde! Merde! MERDE! Putain je l’ai avalé! MEEERDE!”
Lundi 06 février 2024 -
La pleine lune est de nouveau là ce soir, elle a finit son cycle complet et Jade l’attendait impatiemment. Il espérait qu’aujourd’hui il serait en train de retirer sa feuille de mandragore de la bouche et pas d’en remettre une nouvelle. Allez la deuxième fois c’est la bonne, il se le répète et il y croit. Cette fois pas de méditation ni rien de tout ça, il se contente de fixer la pleine lune quelques minutes en lui donnant mentalement rendez vous dans 28 jours et place la nouvelles feuille dans sa bouche. Ah putain c’est vraiment dégueulasse…
Dimanche 26 février 2024 -
Plus que 8 jours, ça y est il en voit le bout. Jade a trouvé plein de stratagèmes pour éviter d’avaler sa feuille, il s’est mis à éviter certains plats et à caler sa feuille d’une certaine manière pour dormir. Ce soir dans sa chambre il est installé en tailleur en train d’étudier pour son contrôle du lendemain quand il éternue. Ça vient sans prévenir… tellement fort qu’il en expulse sa feuille à un mètre de là.
Il est là, il a honoré son rendez vous. Sauf que cette fois il regarde de travers la pleine lune depuis la fenêtre de sa chambre. Allé c’est reparti pour un tour…
Samedi 03 avril 2024 -
Il est debout au milieu du jardin, au même endroit que la première fois mais il est 4h du matin. Jade est exténué mais il a réussi! Il a gardé sa foutue feuille le temps du cycle sans jamais l’enlever ni la perdre ni l’avaler. Il la prend entre les doigts et la glisse dans la fiole. Il soupire de soulagement avant de prendre un de ses cheveux et de l’ajouter puis il se lève et va dans un coin du jardin préservé de toute visite depuis maintenant plus de deux semaines et avec sa cuillère en argent réservée à cette occasion il recueille la rosée toute fraîche pour l’ajouter. Il retourne à son emplacement et prend sa chrysalide pour terminer la constitution de sa précieuse potion. Il ferme et scelle la fiole puis la place dans la boîte en bois qu’il ferme à son tour. Jade souffle longuement, il est tellement emplit d’émotions à cet instant.
Bientôt il espère il pourra sentir ce nouveau cœur battre en lui. En attendant il rentre dans sa chambre et place la boîte en bois au fin fond de son armoire à un endroit où personne ne va jamais. Puis il la ferme à clé. Sa journée ne fait que commencer. Il ne peut pas se rendormir alors il attend sagement souhaitant au-revoir à la lune pour attendre le soleil. Il est 6h24 et Jade met la pointe de sa baguette contre son cœur pour la première fois.
- "Amato Animo Animato Animagus."
Mercredi 10 mai 2024 -
Jade attend sagement à sa fenêtre que le soleil embrasse l’horizon. Il ne louperait pour rien au monde ce rituel, matin et soir il a toujours hâte de l’effectuer pour écouter l’évolution de ce doux bruit en lui. Il est l’heure. Il pointe sa baguette à son cœur et récite l’incantation.
- "Amato Animo Animato Animagus."
Le battement est enfin fort et régulier, on pourrait croire que son cœur bat deux fois si on écoute bien car leurs battements se sont presque synchronisés. Il ferme les yeux et affiche un grand sourire, il a tellement hâte de découvrir qui peut bien se cacher derrière ces palpitations. La saison des pluies au japon ne devrait plus tarder. Elle est pour dans un mois.
Samedi 07 juin 2024 -
Il fait plus sombre qu’à l’usuel, jade se lève de sa chaise et regarde par la fenêtre. Il n’a jamais été autant heureux de voir le ciel rempli de nuages gris et noirs. Au loin un grondement se fait entendre. Le jeune homme trépigne d’impatience. La saison des pluies est enfin là et il en est sûr maintenant… c’est pour ce soir! Il est 17h et le premier éclair tombe enfin sur la ville. Jade file droit vers son armoire, la déverrouille, prend la boite en bois délicatement et l’ouvre aussi le cœur serré. Ouf… cette fois c’est la bonne c’est bon! La potion est rouge! Il la prend avec lui ainsi que sa baguette et sort dans le jardin où un grand espace l’attend et où toute sa famille le laisse en paix.
Il a les mains qui tremblent, c’est le grand moment et non il n’a pas peur, il a terriblement hâte de pouvoir enfin clore ce rituel. La pointe de la baguette est sur son cœur,
- "Amato Animo Animato Animagus"
Il débouche la fiole et la boit d’une traite. Ça y est ça fait effet, il ne peut pas se tromper car une gigantesque douleur lui déchire les entrailles. Il tombe à genoux au centre du jardin, la douleur le terrasse. Jade ferme les yeux. Il le sent, son cœur… non ses cœurs… ils battent plus vite… plus fort. Et des yeux s’ouvrent dans le noir derrière ses paupières. Deux yeux gris-verts plissés le défiant comme les siens, ils s’avancent vers lui et un magnifique loup au pelage gris et argenté sort de l’ombre pour s’approcher et s’unir à lui. Dans un grand tourbillon douloureux tout se mêle, peau, vêtement cheveux. Jade grogne de douleur, il ne sait plus où il se trouve il a la tête qui tourne et son corps est endoloris, le loup grogne, les deux ne sont qu’un.
Jade sous sa forme de loup reste là peut être une minute à haleter, le temps de réaliser qu’il est enfin transformé. Il se décide enfin à se mettre sur ses pattes et à s’étirer puis à marcher. Il parcours le jardin regardant chaque plante et humant l’air. Il sent l’odeur de la pluie qui tombe sur lui de plus en plus fort. Il se retourne se rappelant de sa baguette, il vient délicatement la prendre entre ses dents puis vient la poser sur le rebord de la terrasse dans un plateau là pour ça.
Il va passer la nuit sous le couvert de la terrasse à s’habituer à son nouveau corps, à tout écouter, observer et humer. Il se sent tellement bien qu’il s'endort en boule pour ne se réveiller qu’aux premières lueurs de l’aube, l’aube d’un nouveau jour et d’une nouvelle vie pour lui. Une vie d’animagus. Il se lève et se secoue un peu et de nouveau il va marcher puis courir dans le jardin comme un jeune chiot. Il sent cette odeur si particulière de la terre et des plantes mouillées après une pluie, l’odeur de l’humidité dans l’air. Pour lui cette odeur restera à jamais sa préférée, marquant le premier orage qui aura changé sa vie. Il essaie de se représenter mentalement son corps humain dans son esprit pour se retransformer mais il n’y arrive pas, il ne pense qu’au loup qu’il est devenu. Alors tant pis il va encore profiter de ce corps pour quelques heures avant de redevenir un jeune homme.
Fenry D. Williams
Captain Queenie Bitch
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Re: Demande de particularité : Test RP Mar 23 Avr - 14:13
Hola !! J'ai vraiment rien à redire sur ce test il est extrêmement complet et détaillé puis tu as une écriture très claire ce qui rend la lecture très facile c'est un plaisir Ton test est donc validé
Jade L. Carmel
Eleve sang-mêlé
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Re: Demande de particularité : Test RP Mar 23 Avr - 14:33
Fenry D. Williams a écrit:
Hola !! J'ai vraiment rien à redire sur ce test il est extrêmement complet et détaillé puis tu as une écriture très claire ce qui rend la lecture très facile c'est un plaisir Ton test est donc validé
Merci beaucoup!! Je cours de ce pas finaliser ma fiche personnage alors!
Antigone Fawkes
Eleve hybride
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Points : 108
Re: Demande de particularité : Test RP Mer 24 Avr - 1:44
test semi-vélane des bisous
Papa disait toujours que c'était une femme d'une beauté telle que les hommes se jetaient à elle. Puis il se corrigeait souvent, maladroit, il disait enfin, pas vraiment une femme, mais elle en avait les traits. Les traits de la plus belle de toutes les femmes, c'étaient ses mots. Et il disait que l'homme qu'elle avait choisi était aussi heureux et fier qu'il était maudit. La beauté n'est pas toujours un cadeau, mon Antigone.
Embraser les passions avait quelque chose d'excitant. J'avais une certaine fierté à constater les premiers regards hypnotisés qui s'étaient posés sur moi. Ils me rappelaient l'histoire de ma mère ; la femme si belle que les hommes se seraient tués pour elle. C'était sans savoir que des hommes étaient vraiment morts, c'était sans savoir que ce n'était pas moi qu'ils voulaient, mais mon corps.
A treize ans on ne sait pas bien si il faut être cruelle pour être socialement acceptée ou si il faut être gentille et se laisser piétiner. A treize ans on a pas envie de manger seule au buffet du soir, on veut bien s'asseoir à côté de n'importe qui tant qu'on est pas l'imbécile tout au fond juste à côté de la porte du couloir, avec trois mètres qui nous séparent des autres. Les autres filles ne m'aimaient pas, ce n'était pas faute d'avoir essayé. Quand je voulais m'asseoir avec elles elles me lançaient des regards noirs et s'écartaient comme si je portais la poisse, comme si j'avais la peste. Même à m'asseoir près des garçons, je pouvais sentir leur poison couler de là où elles étaient, je les entendais glousser.
A seize ans on est pas mieux lotie. A seize ans il y avait un garçon, très grand, qui m'a souri. A seize ans j'ai voulu lui consacrer ma vie, et à seize ans j'ai compris ce que Papa m'avait dit. Parce qu'à seize ans, le garçon très grand a passé sa main dans mes longs cheveux d'argent et m'a appelée son ange. Puis dans le mois sa main était passée dans les cheveux roux d'une autre qu'il appelait son renard. La trahison et la haine m'avaient rendue laide.
Mon charme s'était affaibli, mon cœur s'était brisé. Mes longs cheveux d'argent, mes fils d'ange, mes ailes, je les ai repeints en noir, comme le charbon, j'ai voulu devenir démon. Mais ça ne marchait pas, ils me regardaient toujours, elles me détestaient autant, j'étais maudite ; comme Maman. Et de charbon je les ai laissés dépeindre bruns.
L. Andy Ollivander
Cracmolle-en-chef et propriété de Felix
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Re: Demande de particularité : Test RP Mer 24 Avr - 8:07
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ASHLING DE 
Le don est validé ma belle 
HOW I CAN SAY THIS WITHOUT....
WHEN IT'S ALMOST TOO MUCH FOR MY SOUL ALONE.
