Neverland is nowhere to be found •• Arizona

Prénoms •• Arizona Victoire
Nom •• Disney
Âge •• 17 ans
Orientation sexuelle •• Hétérosexuelle
Sang •• Gorgé d'impuretés disent-ils
Année •• 7° année
Option •• La noirceur de l'occultisme
Avenir •• Creuser les pas de son arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père Walter Elias Disney et étaler l'enchantement des attractions et des dessins animés à travers les contrées dépourvues de leur présence
Avis sur les Cracmols et Moldus à Poudlard •• Seule la présence des Moldus est un arôme étranger à ses prunelles et son esprit s'écartèle de son indécision face à eux
Avatar •• Original Character de Jzvbeee's + d'autres random fanarts

Baguette magique •• Noisetier - plume de phénix - 15 cm - à demi flexible
Epouvantard •• Sa pulpe forgée et effritée par le statut adulte. Une horreur qui lui tord les tripes
Patronus •• Un bassari
Odeur de l'amortentia •• La délicatesse du musc effritée par la toxicité de la fragrance nicotinique
Reflet dans le miroir de Risèd •• Son reflet semblant figé dans la jeunesse adolescente
Matière favorite •• L'astronomie
Bonbon favori •• Leur exquis à tous roule langoureusement le long de ses papilles
Créature qui t'inspire le plus •• Les fées débordantes d'ardentes poussières magiques
Animal de compagnie •• Un spitz nain poméranien à la soie dénuée d'éclat et profonde d'obscurité. Doux contraire de la pulpe de son appellation, Coco

Fascinée par l'émotivité exacerbée et les préjugés surfaits de ces dessins criards et mouvants. Princesses et Princes Charmants pourtant éclipsés, inexistants des méandres de tes croyances. Mythes évaporés, gangrénés par la véracité de la réalité et indifférents à l'ardeur de la torpeur du temps. Ses secondes martèlent ta pulpe qui soumise, ploie l'échine, se déchire et tes os se craquèlent, se remodèlent. Une quête périlleuse jusqu'à l'état d'adulte. Immondice répugnant bafoué de ton esprit et futures responsabilités se fracassant contre ta chair fuyarde. Syndrome de Peter Pan érodant tes artères et entravant ta liberté. La connaissance de l'amertume de la cruauté de la réalité, des autres, de la bestialité de ce père agonise ta mémoire incapable de cautériser. Les nuits ne sont que chaotiques ravages où ta pulpe tressaille et le sommeil se brise. Rarement dégusté que la ferveur des migraines t'assaille, narquoises et incorrigibles. Les insomnies au règne infini, véhémentes, décadentes et âme-sœurs de la viscéralité de ta haine de l'adulte. Et vient l'isolation au creux de la toxicité des vapeurs de tes cigarettes consommées, rivalisant avec les bienfaits de ces antimigraineux presque vomitifs. Phalanges tantôt entrelacées, tantôt déliées, ondulant à l'aube d'une fallacieuse lumière doucereusement tamisée. Les ombres se forgent, s'animent et débordent d'histoires transcendant le temps, ton temps, la vie, ta vie. Charme perlant du pulpeux de tes lippes, ruisselant sur leurs courbes et conquête charnelle de ces esquisses masculines. Attachement éphémère embrassant vos deux êtres enlacés qui explose lorsque le temps décide de la fin. Exquise franchise parfois pestilente qui harponne le palpitant, adoucie par cette maigre hypocrisie au moment propice. Une violence qui se fait évanescente, ravivée par la susceptibilité. Les cordes vocales qui s'emmêlent, se démêlent et façonnent ses voix déjà existantes et possédées. Des imitations au déroutant presque effrayant.