Pour pénétrer le repère des lions, il faut donner un mot de passe au portrait de la Grosse Dame, qui vous laissera ensuite entrer. La salle commune est circulaire et confortable, avec une grande cheminée qui flamboie joyeusement en hiver. Les escaliers desservant les chambres sont connus pour se transformer en toboggan lorsqu'un garçon essaie d'aller chez les filles. Heureusement, les non-binaires sont épargnés par ces rejetons de l'escalier magique principal.
Elle ne s'ouvre que lorsque l'on en a véritablement besoin, ne cédant ni aux caprices, ni aux larmes. Cette salle ne fait pas la distinction entre sorciers, moldus et cracmols. Un certain schéma se dessine pourtant, lorsqu'on croise plusieurs témoignages. La salle est grande, souvent pourvue de miroirs, avec de hautes colonnes droites qui fondent dans le plafond arqué. Ses portes s'ouvrent à divers endroits, en fonction de qui passe par où. C'est pour cela qu'elle est si difficile à situer.
Il est rare que les élèves soient convoqués dans cet endroit étrange, auquel on accède grâce à une gargouille qui, une fois déverouillée par un mot de passe très particulier, tourne sur elle-même, dévoilant des escaliers qui vous emmènent devant une grande porte gravée et frappée des insignes des quatre fondateurs de l'école. Le bureau lui-même est circulaire, très haut, la lumière venant de fenêtres placées face à l'entrée.
Les balcons sont probablement l'endroit le plus calme et serein du Château. Donnant sur la Forêt Interdite, les petites terrasses de pierre donnent un abri à ceux qui aiment s'isoler et se poser quelque part, au calme. Quelques bancs en pierre ont été placés là, et les plantes ont fini par pousser sur certaines rambardes, verdissant la pierre grise lui donnant un aspect plus chaleureux et agréable.